française - Lexiques Hébreu/Araméen et Grec
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Etudiez la Bible grâce aux lexiques Hébreu.
Qu'est-ce que la Concordance de James Strong ?
James Strong est un théologien américain du XIXe siècle (1822-1894). Il fut professeur d'exégèse biblique.
Pour faciliter l'étude des textes bibliques, il dirigea plus de 100 personnes pour publier, en 1890, sa concordance des mots hébreux et grecs. Chaque mot racine (on ne compte pas toutes les déclinaisons des verbes...) est numéroté, pour l'hébreu de 1 à 8674 (Ancien Testament) et pour le grec de 1 à 5523 (Nouveau Testament). La concordance contient également des précisions grammaticales et des informations supplémentaires.
Pour chaque mot, la concordance donne le mot dans la langue d'origine (hébreu, araméen, grec), le mot translitéré (convertion en alphabet latin), l'origine du mot (vient d'une autre langue, formé à partir d'un mot plus court...), sa prononciation (en phonétique), sa catégorie lexicale (nom, verbe, ...), ses différentes traductions en français dans la Bible Louis Segond 1910 (LSG) et les définitions qu'il peut prendre selon les contextes.
Certains passages de l'Ancien Testament sont en Araméen, cette information est donnée pour les mots en question mais ils demeurent classés dans le lexique hébreu.
James Strong a construit sa concordance à partir de la traduction anglaise King James (KJV). La version Louis Segond 1910 (LSG) a été utilisée pour traduire la Concordance Strong en français. En effet, les deux traductions ont en commun d'être très littérales, ce qui facilite les concordances entre les termes. Les textes originaux sur lesquels sont basées ces deux traductions ne sont pas les mêmes, ce qui peut mener à quelques différences.
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Etudiez la Bible grâce aux lexiques Hébreu.
Qu'est-ce que la Concordance de James Strong ?
James Strong est un théologien américain du XIXe siècle (1822-1894). Il fut professeur d'exégèse biblique.
Pour faciliter l'étude des textes bibliques, il dirigea plus de 100 personnes pour publier, en 1890, sa concordance des mots hébreux et grecs. Chaque mot racine (on ne compte pas toutes les déclinaisons des verbes...) est numéroté, pour l'hébreu de 1 à 8674 (Ancien Testament) et pour le grec de 1 à 5523 (Nouveau Testament). La concordance contient également des précisions grammaticales et des informations supplémentaires.
Pour chaque mot, la concordance donne le mot dans la langue d'origine (hébreu, araméen, grec), le mot translitéré (convertion en alphabet latin), l'origine du mot (vient d'une autre langue, formé à partir d'un mot plus court...), sa prononciation (en phonétique), sa catégorie lexicale (nom, verbe, ...), ses différentes traductions en français dans la Bible Louis Segond 1910 (LSG) et les définitions qu'il peut prendre selon les contextes.
Certains passages de l'Ancien Testament sont en Araméen, cette information est donnée pour les mots en question mais ils demeurent classés dans le lexique hébreu.
James Strong a construit sa concordance à partir de la traduction anglaise King James (KJV). La version Louis Segond 1910 (LSG) a été utilisée pour traduire la Concordance Strong en français. En effet, les deux traductions ont en commun d'être très littérales, ce qui facilite les concordances entre les termes. Les textes originaux sur lesquels sont basées ces deux traductions ne sont pas les mêmes, ce qui peut mener à quelques différences.