20-26 juin
PSAUMES 45-51
« MON CŒUR EST DEVENU TOUT VIBRANT D’UNE CHOSE QUI EST BELLE »
(Lire Psaume 45:1.) Cette « chose qui est belle », qui touche le cœur du psalmiste et le rend « vibrant », concerne un roi. Le verbe hébreu traduit par « devenir tout vibrant » signifiait à l’origine « monter en bouillonnant » ou « bouillir ». Le thème qu’évoque le psalmiste fait bouillonner, ou déborder, son cœur d’enthousiasme et rend sa langue semblable au « stylet d’un copiste habile ».
De même aujourd’hui, la bonne nouvelle du Royaume messianique est une chose belle, qui touche notre cœur. Le message du Royaume est devenu particulièrement « beau » en 1914. Depuis, ce message ne concerne plus un Royaume à venir, mais un gouvernement réel aujourd’hui en fonction dans le ciel. Telle est la « bonne nouvelle du royaume » que nous prêchons « dans toute la terre habitée, en témoignage pour toutes les nations » (Mat. 24:14). Ce message ne rend-il pas notre cœur « tout vibrant » ? Prêchons-nous cette bonne nouvelle avec zèle ? Comme celui du psalmiste, notre message a « trait à un roi », notre Roi Jésus Christ. Nous proclamons qu’il a été intronisé Roi céleste du Royaume messianique. Nous invitons également tous les humains, les gouvernants comme les gouvernés, à se soumettre à sa royauté (Ps. 2:1, 2, 4-12). Notre langue devient comme « le stylet d’un copiste habile », car nous nous servons abondamment de la Parole écrite quand nous prêchons.
PSAUMES 45-51
« MON CŒUR EST DEVENU TOUT VIBRANT D’UNE CHOSE QUI EST BELLE »
(Lire Psaume 45:1.) Cette « chose qui est belle », qui touche le cœur du psalmiste et le rend « vibrant », concerne un roi. Le verbe hébreu traduit par « devenir tout vibrant » signifiait à l’origine « monter en bouillonnant » ou « bouillir ». Le thème qu’évoque le psalmiste fait bouillonner, ou déborder, son cœur d’enthousiasme et rend sa langue semblable au « stylet d’un copiste habile ».
De même aujourd’hui, la bonne nouvelle du Royaume messianique est une chose belle, qui touche notre cœur. Le message du Royaume est devenu particulièrement « beau » en 1914. Depuis, ce message ne concerne plus un Royaume à venir, mais un gouvernement réel aujourd’hui en fonction dans le ciel. Telle est la « bonne nouvelle du royaume » que nous prêchons « dans toute la terre habitée, en témoignage pour toutes les nations » (Mat. 24:14). Ce message ne rend-il pas notre cœur « tout vibrant » ? Prêchons-nous cette bonne nouvelle avec zèle ? Comme celui du psalmiste, notre message a « trait à un roi », notre Roi Jésus Christ. Nous proclamons qu’il a été intronisé Roi céleste du Royaume messianique. Nous invitons également tous les humains, les gouvernants comme les gouvernés, à se soumettre à sa royauté (Ps. 2:1, 2, 4-12). Notre langue devient comme « le stylet d’un copiste habile », car nous nous servons abondamment de la Parole écrite quand nous prêchons.