Pentecôtistes
Le Baptême d’eau.
Le baptême d’eau fait partie du salut (1 Pierre 3/21). Il exprime la foi en Dieu par l'obéissance à Sa Parole (Marc 16/16; Actes 2/41). Le modèle biblique du baptême est l'immersion dans l'eau et seule cette méthode garde le symbolisme biblique du baptême comme un ensevelissement (Matthieu 3/6; Actes 8/36 à 39; Romains 6/4). La foi en Dieu et la repentance du péché sont nécessaires pour sa validité ; voilà pourquoi le baptême des bébés n'est pas convenable (Matthieu 3/6 à 11; Actes 2/38 ; 8/37).
La signification biblique du baptême d'eau est la suivante:
1) Dieu pardonne les péchés au moment du baptême (Actes 2/38; 22/16). Dieu efface vos péchés du registre et Il annule la peine. Il vous lave des péchés et ils sont enterrés à jamais.
2) Le baptême fait partie de la nouvelle naissance (Jean 3/5; Tite 3/5).
3) Le baptême identifie une personne à l'ensevelissement de Jésus-Christ (Romains 6/4; Colossiens 2/12). Il montre que la personne est morte au péché par la repentance et qu'elle enterre ses péchés passés avec sa domination et son style de vie.
4) Le baptême d'eau fait partie du seul baptême qui place un croyant en Christ (Romains 6/3 à 4; Galates 3/27; Ephésiens 4/5). Le baptême l'identifie personnellement avec Jésus et fait partie de l'entrée dans la famille de Dieu.
5) Le baptême est lié à la circoncision spirituelle (Colossiens 2/11 à 13).
La Bible enseigne que le baptême doit être administré au nom de Jésus-Christ, ce qui signifie qu’il faut invoquer le nom de Jésus oralement (Actes 22/16; Jacques 2/7). Ceux qui ont été baptisés d’une autre façon doivent être rebaptisés (Actes 19/1 à 5). Le nom de Jésus dans la formule de baptême exprime la foi dans Son identité et Son oeuvre expiatoire, dans Sa puissance à sauver et dans Son autorité. Le nom de Jésus est le seul nom qui sauve, c'est le nom par lequel nous recevons le pardon des péchés ; c'est le nom le plus élevé dans lequel les croyants doivent tout faire (Actes 4/12; 10/43; Philippiens 2/9 à 11; Colossiens 3/17). Pour toutes ces raisons, l'usage du nom de Jésus est le moyen le plus juste pour remplir tous les buts du baptême.
La Bible donne cinq récits historiques du baptême, dans l'église du Nouveau Testament, où le nom ou la formule utilisés sont donnés. Dans chaque cas, le baptême était au nom de Jésus (Actes 2/38; 8/16; 10/48; 19/5; 22/16). Les épîtres font aussi allusion à la formule du nom de Jésus (Romains 6/3 à 4; 1 Corinthiens 1/13; 6/11; Galates 3/27 ; Colossiens 2/12). Matthieu 28/19 fait également allusion à la formule du nom de Jésus car il décrit un nom singulier qui représente toutes les manifestations rédemptrices de la divinité, et ce nom est Jésus (Zacharie 14/9; Matthieu 1/21; Jean 5/43; 14/26; Apocalypse 22/3 à 4). De plus, Jésus est le nom qui est mentionné dans les autres récits de la Grande Mission (Marc 16/17; Luc 24/47).
Le Baptême du Saint-Esprit
Le baptême "du, par, ou dans le Saint-Esprit" fait partie du salut du Nouveau Testament (Jean 3/5; Romains 8/1 à 16 ; 1 Corinthiens 12/13 ; Ephésiens 1/13 à 14 ; Tite 3/5). La phrase décrit comment le croyant est immergé et remplit de l'Esprit de Dieu. Dans le livre des Actes, les mots "baptisé du ...", "remplit du ...", "ont reçut le ...", "descendit sur...", "vient sur..." décrivent cette expérience (Actes 1/4 à 5; 2/4; 10/44 à 47; 11/15 à 17; 19/1 à 17). Le Saint-Esprit est promis à tous ceux qui croient en Jésus et qui obéissent à sa Parole (Jean 7/38 à 39; Actes 5/32; 11/15 à 17; 19/2; Galates 3/14; Ephésiens 1/13).
La Bible donne cinq récits historiques ayant rapport au don du Saint-Esprit: aux Juifs, aux Samaritains, aux Gentils, à l'Apôtre Paul et aux disciples de Jean-Baptiste à Ephèse. Ces rapports établissent le fait que le baptême du Saint-Esprit est pour tout le monde (Luc 11/13; Actes 2/39) et qu'il inclue le signe initial du parler en langues (Marc 16/17). Parler en langues signifie parler surnaturellement selon que l’Esprit donne de s'exprimer. C’est parler dans une langue qui n'est pas connue par celui qui parle (Actes 2/1 à 11).
Trois des cinq récits décrivent explicitement le parler en langues comme l'évidence initiale du don du Saint-Esprit. Le jour de la Pentecôte, un bruit comme celui d'un vent impétueux a annoncé la venue du Saint-Esprit et des flammes, comme des langues de feu ont annoncé l'accessibilité pour chacun d'eux. Mais lorsqu'ils ont "parlé en d'autres langues selon que l’Esprit leur donnait de s'exprimer", c'était le signe initial donné individuellement à chaque personne lorsque le Saint-Esprit les avait remplit (Actes 2/1 à 4). Les langues ont convaincu les Juifs, étonnés de voir les Gentils recevoir aussi le Saint-Esprit. Les langues seules ont suffisamment identifié leur expérience comme celle de la Pentecôte (Actes 10/44 à 47 ; 11/15 à 17). Les disciples d’Ephèse ont aussi parlé en langues, ce qui fut le premier signe de leur baptême du Saint-Esprit (Actes 19/6).
Les langues sont implicites dans les deux autres récits de la venue du Saint-Esprit. Un signe miraculeux qui n'est pas nommé a indiqué le moment exact où les Samaritains ont reçu le Saint-Esprit; l'absence de ce signe avant ce moment, établit clairement qu'ils n'avaient pas reçu le Saint-Esprit malgré leur joie, leur croyance dans l'évangile et leur baptême; Ce signe était si impressionnant que Simon le magicien a convoité la puissance de donner l'Esprit avec ce signe (Actes 8/5 à 19). Actes 9/17 parle de l'expérience de Paul sans décrire la venue du Saint-Esprit, mais 1 Corinthiens 14/18 dit que Paul parlait souvent et beaucoup en langues.
Le baptême du Saint-Esprit, dans le Nouveau Testament, est l'expérience normale avec Dieu. L'Esprit est le repos, le guide dans toute la vérité, celui qui fait l'adoption, l'intercesseur, le sceau, le gage de notre héritage et celui qui sanctifie (Esaïe 28/11 à 12; Jean 16/13; Romains 8/15 et 26; Ephésiens 1/13 à 14; 1 Pierre 1/2). On peut recevoir le Saint-Esprit par la repentance, par la foi en Dieu, et en lui demandant ce don. Quand une personne reçoit le Saint-Esprit, elle reçoit la puissance victorieuse sur le péché et une vie sanctifiée (Actes 1/8; Romains 8/4 et 13). Si elle laisse l'Esprit la remplir, la contrôler et la guider continuellement, elle portera les fruits de l’Esprit et elle deviendra comme Christ (Galates 5/22 à 23).
Le Baptême d’eau.
Le baptême d’eau fait partie du salut (1 Pierre 3/21). Il exprime la foi en Dieu par l'obéissance à Sa Parole (Marc 16/16; Actes 2/41). Le modèle biblique du baptême est l'immersion dans l'eau et seule cette méthode garde le symbolisme biblique du baptême comme un ensevelissement (Matthieu 3/6; Actes 8/36 à 39; Romains 6/4). La foi en Dieu et la repentance du péché sont nécessaires pour sa validité ; voilà pourquoi le baptême des bébés n'est pas convenable (Matthieu 3/6 à 11; Actes 2/38 ; 8/37).
La signification biblique du baptême d'eau est la suivante:
1) Dieu pardonne les péchés au moment du baptême (Actes 2/38; 22/16). Dieu efface vos péchés du registre et Il annule la peine. Il vous lave des péchés et ils sont enterrés à jamais.
2) Le baptême fait partie de la nouvelle naissance (Jean 3/5; Tite 3/5).
3) Le baptême identifie une personne à l'ensevelissement de Jésus-Christ (Romains 6/4; Colossiens 2/12). Il montre que la personne est morte au péché par la repentance et qu'elle enterre ses péchés passés avec sa domination et son style de vie.
4) Le baptême d'eau fait partie du seul baptême qui place un croyant en Christ (Romains 6/3 à 4; Galates 3/27; Ephésiens 4/5). Le baptême l'identifie personnellement avec Jésus et fait partie de l'entrée dans la famille de Dieu.
5) Le baptême est lié à la circoncision spirituelle (Colossiens 2/11 à 13).
La Bible enseigne que le baptême doit être administré au nom de Jésus-Christ, ce qui signifie qu’il faut invoquer le nom de Jésus oralement (Actes 22/16; Jacques 2/7). Ceux qui ont été baptisés d’une autre façon doivent être rebaptisés (Actes 19/1 à 5). Le nom de Jésus dans la formule de baptême exprime la foi dans Son identité et Son oeuvre expiatoire, dans Sa puissance à sauver et dans Son autorité. Le nom de Jésus est le seul nom qui sauve, c'est le nom par lequel nous recevons le pardon des péchés ; c'est le nom le plus élevé dans lequel les croyants doivent tout faire (Actes 4/12; 10/43; Philippiens 2/9 à 11; Colossiens 3/17). Pour toutes ces raisons, l'usage du nom de Jésus est le moyen le plus juste pour remplir tous les buts du baptême.
La Bible donne cinq récits historiques du baptême, dans l'église du Nouveau Testament, où le nom ou la formule utilisés sont donnés. Dans chaque cas, le baptême était au nom de Jésus (Actes 2/38; 8/16; 10/48; 19/5; 22/16). Les épîtres font aussi allusion à la formule du nom de Jésus (Romains 6/3 à 4; 1 Corinthiens 1/13; 6/11; Galates 3/27 ; Colossiens 2/12). Matthieu 28/19 fait également allusion à la formule du nom de Jésus car il décrit un nom singulier qui représente toutes les manifestations rédemptrices de la divinité, et ce nom est Jésus (Zacharie 14/9; Matthieu 1/21; Jean 5/43; 14/26; Apocalypse 22/3 à 4). De plus, Jésus est le nom qui est mentionné dans les autres récits de la Grande Mission (Marc 16/17; Luc 24/47).
Le Baptême du Saint-Esprit
Le baptême "du, par, ou dans le Saint-Esprit" fait partie du salut du Nouveau Testament (Jean 3/5; Romains 8/1 à 16 ; 1 Corinthiens 12/13 ; Ephésiens 1/13 à 14 ; Tite 3/5). La phrase décrit comment le croyant est immergé et remplit de l'Esprit de Dieu. Dans le livre des Actes, les mots "baptisé du ...", "remplit du ...", "ont reçut le ...", "descendit sur...", "vient sur..." décrivent cette expérience (Actes 1/4 à 5; 2/4; 10/44 à 47; 11/15 à 17; 19/1 à 17). Le Saint-Esprit est promis à tous ceux qui croient en Jésus et qui obéissent à sa Parole (Jean 7/38 à 39; Actes 5/32; 11/15 à 17; 19/2; Galates 3/14; Ephésiens 1/13).
La Bible donne cinq récits historiques ayant rapport au don du Saint-Esprit: aux Juifs, aux Samaritains, aux Gentils, à l'Apôtre Paul et aux disciples de Jean-Baptiste à Ephèse. Ces rapports établissent le fait que le baptême du Saint-Esprit est pour tout le monde (Luc 11/13; Actes 2/39) et qu'il inclue le signe initial du parler en langues (Marc 16/17). Parler en langues signifie parler surnaturellement selon que l’Esprit donne de s'exprimer. C’est parler dans une langue qui n'est pas connue par celui qui parle (Actes 2/1 à 11).
Trois des cinq récits décrivent explicitement le parler en langues comme l'évidence initiale du don du Saint-Esprit. Le jour de la Pentecôte, un bruit comme celui d'un vent impétueux a annoncé la venue du Saint-Esprit et des flammes, comme des langues de feu ont annoncé l'accessibilité pour chacun d'eux. Mais lorsqu'ils ont "parlé en d'autres langues selon que l’Esprit leur donnait de s'exprimer", c'était le signe initial donné individuellement à chaque personne lorsque le Saint-Esprit les avait remplit (Actes 2/1 à 4). Les langues ont convaincu les Juifs, étonnés de voir les Gentils recevoir aussi le Saint-Esprit. Les langues seules ont suffisamment identifié leur expérience comme celle de la Pentecôte (Actes 10/44 à 47 ; 11/15 à 17). Les disciples d’Ephèse ont aussi parlé en langues, ce qui fut le premier signe de leur baptême du Saint-Esprit (Actes 19/6).
Les langues sont implicites dans les deux autres récits de la venue du Saint-Esprit. Un signe miraculeux qui n'est pas nommé a indiqué le moment exact où les Samaritains ont reçu le Saint-Esprit; l'absence de ce signe avant ce moment, établit clairement qu'ils n'avaient pas reçu le Saint-Esprit malgré leur joie, leur croyance dans l'évangile et leur baptême; Ce signe était si impressionnant que Simon le magicien a convoité la puissance de donner l'Esprit avec ce signe (Actes 8/5 à 19). Actes 9/17 parle de l'expérience de Paul sans décrire la venue du Saint-Esprit, mais 1 Corinthiens 14/18 dit que Paul parlait souvent et beaucoup en langues.
Le baptême du Saint-Esprit, dans le Nouveau Testament, est l'expérience normale avec Dieu. L'Esprit est le repos, le guide dans toute la vérité, celui qui fait l'adoption, l'intercesseur, le sceau, le gage de notre héritage et celui qui sanctifie (Esaïe 28/11 à 12; Jean 16/13; Romains 8/15 et 26; Ephésiens 1/13 à 14; 1 Pierre 1/2). On peut recevoir le Saint-Esprit par la repentance, par la foi en Dieu, et en lui demandant ce don. Quand une personne reçoit le Saint-Esprit, elle reçoit la puissance victorieuse sur le péché et une vie sanctifiée (Actes 1/8; Romains 8/4 et 13). Si elle laisse l'Esprit la remplir, la contrôler et la guider continuellement, elle portera les fruits de l’Esprit et elle deviendra comme Christ (Galates 5/22 à 23).