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Non à l'abattage rituel des animaux nos amis !

+3
Patrice1633
Josué
Marmhonie
7 participants

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Marmhonie

Marmhonie
MODERATEUR
MODERATEUR

Non à l'abattage rituel des animaux nos amis !

Non à l'abattage rituel des animaux nos amis ! Image-4e3e56d
Ne me parlez pas de Dieu, de Coran et livres saints quand vous imposez de faire ces horreurs barbares à des âmes pures et simples !

Non à l'abattage rituel des animaux nos amis ! Image-4e3e52b

Quel monde de fous.
Marmhonie, catholique végétarien.

http://forummarmhonie.forumotion.asia/forum

Josué

Josué
Administrateur

Et que penses tu du rituel juif sur les sacrifices des animaux ?

Marmhonie

Marmhonie
MODERATEUR
MODERATEUR

Josué a écrit:Et que penses tu du rituel juif sur les sacrifices des animaux ?
Hallal, kacher, c'est pareil. C'est du judaïsme 100% orthodoxe.
Non à l'abattage rituel des animaux nos amis ! Image-4e3ee65

Jésus a mis fin à tout cela par la Nouvelle Alliance.
Au lieu de dire "un TJ ne mange pas de boudin", dites :
- Un TJ respecte le sang et est contre l'abattage rituel.
Non à l'abattage rituel des animaux nos amis ! Image-4e3ee6c

Ça, ça marque des points. J'ai placé un maximum de TMN (à mes frais) chez quantité de végétariens, et tous découvrirent la Bible du même coup. En plus, vous savez combien je soutiens la TMN 1974 chez les cathos. À force, ça marche.
Non à l'abattage rituel des animaux nos amis ! Image-4e3ee70

Non à l'abattage rituel des animaux nos amis ! Image-4e393c4
C'est psychologique, on ne peut pas naturellement supporter la vue de son sang, ni voir du sang. C'est ancré en nous. Il faut comme les infirmier(es) une formation.

http://forummarmhonie.forumotion.asia/forum

Patrice1633

Patrice1633
MODERATEUR
MODERATEUR

Hahaha, cette homme n'as pas totalement raison mais pas totalement tord non plus ...

L'homme est végétarien - preuves en 5 minutes
https://youtu.be/Qx35AvEBC2M

https://www.jw.org/fr/

samuel

samuel
Administrateur

Mais la loi sur le sacrifice d'animaux venait de bien de Dieu et aucun juif ne contestait cette façon de faire.
Et si nous ne sommes plus sous la loi de Moïse c'est une raison pour contester cette pratique?

Josué

Josué
Administrateur

De près ou de loin, les animaux font partie de notre vie. La façon dont nous les traitons a-t-elle vraiment de l’importance ?

Comment doit-on traiter les animaux ?
CE QUE CERTAINS DISENT
Certains croient qu’on peut se servir des animaux comme on le juge bon. D’autres pensent qu’on devrait traiter les animaux pour ainsi dire comme des humains.

Un fervent défenseur des droits des animaux déclare que ceux-ci devraient bénéficier du « droit fondamental de ne pas être traités exclusivement comme des ressources ou des produits de consommation ». Il ajoute : « Nous devrions cesser de traiter les animaux comme notre propriété. »
Citons un exemple de comportement jugé excessif par beaucoup. La milliardaire Leona Helmsley a légué à son chien 9 260 000 euros et a souhaité que l’animal, une fois mort, soit placé près de sa dépouille.
Qu’en pensez-vous ? Comment doit-on traiter les animaux ?

CE QUE LA BIBLE DIT
Selon Genèse 1:28, le Créateur de la vie, Jéhovah, a demandé aux humains de « ten[ir] dans la soumission les poissons de la mer, et les créatures volantes des cieux, et toute créature vivante qui se meut sur la terre ». Il est donc logique d’en conclure que Dieu considère les humains comme supérieurs aux animaux.

Cette conclusion est renforcée par la déclaration importante qui précède Genèse 1:28. La Bible dit : « Dieu se mit à créer l’homme à son image, à l’image de Dieu il le créa ; mâle et femelle il les créa » (Genèse 1:27).

Ayant été créés « à l’image de Dieu », les humains se distinguent des animaux en manifestant des qualités divines, comme la sagesse, la justice ou l’amour. De plus, ils naissent dotés d’un sens moral et d’une dimension spirituelle. Ce n’est pas le cas des animaux, car ils n’ont pas été créés « à l’image de Dieu ». Ils sont inférieurs aux humains et ne doivent pas être traités de la même façon qu’eux.

Cela signifie-t-il que les humains ont le droit de maltraiter les animaux ? Non.

La Loi que Dieu a donnée aux Israélites ordonnait de nourrir les animaux, de leur accorder du repos, de les secourir et de ne pas les blesser (Exode 23:4, 5 ; Deutéronome 22:10 ; 25:4).
« Six jours durant tu feras ton travail, mais le septième jour tu cesseras toute activité, afin que se reposent ton taureau et ton âne » (Exode 23:12).

Est-il mal de tuer des animaux ?
CE QUE CERTAINS DISENT
Des chasseurs et des pêcheurs, qui prennent plaisir à poursuivre des animaux, tuent pour le sport. À l’opposé, certains partagent l’avis de Léon Tolstoï, romancier russe, qui a écrit que tuer et manger des animaux est absolument immoral.

CE QUE LA BIBLE DIT
Dieu permet aux humains de tuer des animaux pour se protéger ou se vêtir (Exode 21:28 ; Marc 1:6). Il leur permet aussi de tuer des animaux pour se nourrir. « Tout animal qui se meut et qui est vivant pourra vous servir de nourriture », lit-on en Genèse 9:3. Jésus a d’ailleurs aidé ses disciples à attraper des poissons qu’ils ont plus tard mangés (Jean 21:4-13).

Toutefois, la Bible dit que Dieu « déteste celui qui aime la violence » (Psaume 11:5, Nouvelle Bible Segond). Il est donc évident que Dieu ne veut pas que nous blessions ou mettions à mort des animaux simplement pour le plaisir ou pour le sport.

La Bible enseigne que Dieu accorde une grande valeur à la vie des animaux.

Elle explique qu’à l’époque de la création, « Dieu se mit à faire la bête sauvage de la terre selon son espèce, et l’animal domestique selon son espèce, et tout animal qui se meut sur le sol, selon son espèce. Et Dieu vit que c’était bon » (Genèse 1:25).
La Bible dit de Jéhovah : « Il donne leur nourriture aux bêtes » (Psaume 147:9). Dans l’écosystème que Dieu a créé, les animaux trouvent en abondance ce qu’il leur faut pour se nourrir et s’abriter.
David, roi d’Israël, a prié ainsi : « Tu sauves homme et bête, ô Jéhovah ! » (Psaume 36:6). Par exemple, durant le Déluge, Jéhovah a éliminé les méchants mais a gardé en vie huit personnes et toutes sortes d’animaux (Genèse 6:19).
De toute évidence, Jéhovah aime les animaux et s’attend à ce que les humains les traitent avec respect.

Josué

Josué
Administrateur

LES ANIMAUX DANS LES TRADITIONS SPIRITUELLES
Les bêtes, ces âmes sœurs
Jean-Philippe de Tonnac - publié le 24/06/2011

De la Grèce antique et l’égypte pharaonique au monde indien actuel, la relation de l’homme à l’animal est marquée par un sentiment de parenté, de proximité, qui implique le respect de toutes les espèces vivantes. L’expérience spirituelle reste indissociable de la non-violence à l’égard des animaux.

Imaginons, par-delà les anachronismes, un Indien jaïn, un égyptien sujet de Pharaon, un Grec influencé par Pythagore et un naturaliste héritier des Lumières commentant la crucifixion de l’homme Dieu. « Pour qui le Christ est-il venu ?, demande le Grec. Est-il venu aussi pour les animaux, les poissons ? » Question dérangeante dans la mesure où les réponses, en fonction du rapport que nous établissons avec le monde animal, ne vont jamais de soi.
Si une partie du monde grec antique parie, en effet, sur une oikeiôsis, une parenté entre le monde humain et le monde animal, il circonscrit pourtant celui-ci aux bêtes vivant sur la Terre. Ces clivages n’ont aucune pertinence pour le jaïn, méticuleux défenseur de toutes les formes de vie, non plus pour l’égyptien pour qui le poisson est le hiéroglyphe du corps humain. La question n’est pas innocente si on se souvient que les lettres du mot poisson en grec (ichtus) servaient à désigner parmi les premiers chrétiens tenus au secret le Sauveur (Iêsoûs Khristòs Theoû Huiòs Sôtêr, « Jésus Christ fils de Dieu Sauveur »). Pour qui Jésus, sur sa croix, est-il mort ?
« Considérons les 67 000 espèces décrites par Cark von Linné au XVIIIe siècle, dit le scientifique, et demandons-nous à qui profite le crime. Parmi les grandes familles du vivant, les chrétiens ne retiennent que les vertébrés, parmi ceux-ci les seuls mammifères, plus restrictif encore les primates et, parmi ceux-ci, la famille des hominidés laquelle abrite le genre homo qui compte, comme chacun sait, l’espèce homo sapiens, dont nous sommes. -Mais qui est ce “nous” ?, demande l’Indien. -Jésus s’incarne en homo sapiens et parle donc aux seuls homo sapiens, rétorque le naturaliste. -Pourquoi seulement ceux-là ?, s’étonne l’égyptien. -Parce que Dieu a créé homo sapiens à son image (Genèse 1, 27). Les autres Terriens n’ont pas été invités à participer de sa ressemblance. Le salut ne les concerne pas. » Le Grec, le jaïn, l’égyptien restent sans voix.
Si les Pères de l’église se sont employés à fonder théologiquement la discrimination, les arguments avancés n’ont pas annihilé le questionnement au sein des familles chrétiennes. Le théologien et psychanalyste jungien Eugen Drewermann le résume ainsi : « Toute théologie chrétienne semble reposer sur ce présupposé : nous, les représentants de l’espèce homo sapiens sapiens, représentons le sommet « indépassable » de toutes les possibilités de développement de l’évolution. Et pour quelle raison ? Parce que le Christ est apparu seulement dans cette espèce. » Pourtant, explique-t-il, en l’état actuel de l’évolution, « nous sommes bien plus près des animaux que du pressentiment de l’humain que nous portons en nous ».

Chasse, don et contre-don
Pourquoi ne pas imaginer que le Christ, à l’image de Vishnou dans le monde hindou, ne revienne dans une forme qui ne soit pas humaine ? L’Indien acquiesce. La conclusion revient au scientifique, citant le protestant Théodore Monod, lui-même naturaliste : « Le christianisme est la religion la plus anthropocentrique que le monde ait connue. » Au regard de l’histoire profonde, la mise à l’index du règne animal dans son ensemble au profit exclusif d’homo sapiens sapiens fait l’effet d’une parenthèse et semble procéder de cette « haine de l’origine » dont parle le psychanalyste Daniel Sibony à propos de l’antisémitisme. C’est donc cette oikeiôsis grecque, cette parenté qui justifierait à la fois une proximité ou une confusion, et une volonté de sécession de la part d’une espèce que l’évolution ou que Dieu aurait doté d’une capacité d’abstraction, de synthèse et d’association. Elle seule.
La manière dont les religions de la préhistoire et les grands systèmes de croyance qui les ont prolongées questionnent la relation homme-animal nous offre pourtant une tout autre perspective. Comme les autres mammifères, homo erectus manifeste une curiosité pour ses « semblables » avec lesquels il partage un même territoire et qu’il chasse. La chasse désigne un système complexe de don et contre-don à l’intérieur duquel le chasseur - qui peut devenir le chassé - se trouve contraint à la préservation des grands équilibres dont sa survie dépend.
La consommation de la chair animale lui pose peut-être alors autant de problèmes « métaphysiques » qu’à nous qui nous trouverions en situation de manger de la chair humaine. Par la chair et le sang ingérés, le chasseur s’approprie en effet aussi la force vitale et l’esprit de sa proie. Une subtile dialectique s’instaure entre l’acte de tuer et le respect de celui qu’on s’incorpore. « L’application du concept dualiste dans la relation homme-animal, écrit Emmanuel Anati, professeur de paléoethnologie, trouve un prolongement dans les visions totémiques de la nature, encore actuelles chez certaines populations tribales, principalement en Afrique centrale, en Sibérie et en Amérique du Sud, où subsiste l’identification totémique de l’homme et d’un animal spécifique. » L’opposition du bison (symbole féminin) et du cheval (masculin), récurrente dans l’art pariétal du sud de la France, rendrait parfaitement compte de cette obsession de la préservation d’une homéostasie originelle.
Cette mesure qu’homo erectus, puis homo sapiens, mettent dans l’acte prédateur imprègne toute la pensée religieuse des sociétés qui voient le jour au néolithique. Dans la répartition des êtres entre le visible et l’invisible, les animaux ne sont assignés à aucune résidence et participent de la globalité des échanges. Il n’existe ainsi aucune différence essentielle entre ces trois sortes de vivants que sont les dieux, les hommes et les animaux, si ce n’est dans leurs modalités d’incarnation. De cette promiscuité, la théorie de la transmigration va tirer ses arguments essentiels.

Antiracisme et antispécisme
Dans l’espace occidental, c’est le monde égyptien qui postule d’une manière exemplaire l’immortalité des animaux, au même titre que celle des hommes, et apparie leur destinée dans une élaboration eschatologique sans équivalent. Le statut des animaux dissuade qu’on vienne à leur manquer de respect et si c’est le cas, c’est la balance de Maat qui détermine la gravité des actes dont ils ont été victimes et la sanction qu’elle induit. L’éthique égyptienne pousse même le raffinement jusqu’à imaginer que l’animal lui-même puisse accuser l’être humain. Dans une inscription trouvée sur une tombe royale, on prend soin de signaler qu’il n’a été reçu aucune plainte d’une oie ou d’un bœuf contre Pharaon.
La philosophe élisabeth de Fontenay rappelle que, d’après Hérodote, les Grecs ont bien hérité la croyance en la transmigration de l’âme des Égyptiens. C’est d’abord un souci de piété et de pureté qui détermine certains philosophes à refuser la consommation de la chair animale. « Une filiation s’atteste de Platon à Plotin, de Plotin à Porphyre, de Porphyre à Jamblique, et de proche en proche, s’établit une relation de plus en plus forte à l’ascétisme - exercice en vue de la pureté, gage de l’union avec la transcendance - et l’abstinence de nourriture carnée. »
Renonçant à la consommation de viande afin de mettre en adéquation régime alimentaire et exigence spirituelle, ils n’ont pourtant pas encore à cœur la mise à mort des bêtes. C’est avec Théophraste (mort vers 288 avant notre ère) et, plus tard, avec Plutarque (mort vers 125), que la philosophie grecque atteint pour la première fois la pitié. à ceux qui rudoient, tuent et consomment les animaux, elle oppose le modèle proprement hellénique de l’homme doux et humain. La philanthrôpia s’étend désormais à tout le genre humain, y compris aux Barbares considérés jusque-là comme des « quasi animaux privés du vrai langage qu’est la langue grecque » ; mais elle ne laisse pas non plus les animaux hors de son champ. Selon Élisabeth de Fontenay, « on peut dire que, chez Théophraste, l’antiracisme et l’antispécisme ne font qu’un ». La question de la pitié et de l’amour pour les animaux à laquelle parviennent péniblement les philosophes grecs restera pour le pasteur Wilfred Monod la véritable énigme de l’évolution. Animal qui a trahi ses semblables, l’homme conserve pourtant de ses origines cette cruauté qui caractérise de part en part le règne du vivant. Si le Créateur n’a pas eu à cœur d’épargner à ses créatures la souffrance, où trouve alors origine ce sentiment de pitié pour le semblable (l’humain) et, plus improbable encore, le dissemblable (ou le semblable refoulé, l’animal) ?

L’idée de « non-nuisance »
L’ahimsa indien (« non-violence », « respect de la vie »), cœur battant des métaphysiques hindoue, jaïne et bouddhique est formulé explicitement pour la première fois dans les Upanishads. Le concept cherche à traduire l’idée de « non-nuisance » de la part de ceux qui, par instinct, par nécessité de survie, ont agi par la violence. Si le végétarisme strict qui en découle n’est en rien obligatoire dans le système social indien, il apparaît pourtant bien comme indissociable d’une stricte observance du principe du respect universel. Parce que l’ahimsa est le préalable à toute question spirituelle, et non pas une manière d’ersatz comme l’ont pensé les philosophes de l’Occident, il est le premier des cinq renoncements auxquels le yogi accepte de se soumettre.
De la même manière qu’on n’imaginerait pas assumer de hautes charges dans la cité si on n’était pas, peu ou prou, maître de ses instincts, l’Inde dit que l’expérience spirituelle est indissociable de la volonté de préserver, jusqu’aux plus infimes, les représentants de la vie.

Essayiste et éditeur, Jean-Philippe de Tonnac a codirigé une encyclopédie des savoirs et des croyances sur La Mort et l’immortalité (avec Frédéric Lenoir, Bayard, 2004) et a dirigé le Dictionnaire universel du pain (Robert Laffont, 2010).

La révélation d’Albert Schweitzer

La personnalité d’Albert Schweitzer, à la fois théologien protestant, médecin, musicien, organiste, philosophe, orientaliste, prix Nobel de la paix, s’éclaire par cet événement fondateur survenu au Gabon à l’époque où il dirigeait l’hôpital à Lambaréné qu’il avait fondé en 1913. Cherchant à saisir les principes d’une éthique universelle, il a soudain cette révélation de ce qu’il nommera plus tard « respect de la vie ». Il comprend que l’éthique telle que l’Occident la comprend se trouve confinée dans la relation de l’homme avec l’homme : « L’homme n’est moral que lorsque la vie en soi, celle de la plante et de l’animal aussi bien que celle des humains, lui est sacrée, et qu’il s’efforce d’aider dans la mesure du possible toute vie se trouvant en détresse » (Ma vie et ma pensée, 1931).

Pour aller plus loin

■ Eugen Drewermann, De l’immortalité des animaux (Cerf, 1993).
http://www.lemondedesreligions.fr/mensuel/2011/48/les-betes-ces-ames-soeurs-24-06-2011-1651_179.php

Patrice1633

Patrice1633
MODERATEUR
MODERATEUR

Je sais ps trop, les turc parle a l'animal avant de le tuer, ou une Priere je pense, mon boss faisait cela quand on allais tuer un mouton regulierement ...

https://www.jw.org/fr/

kaboo

kaboo

Bonjour à tous.

Personnellement, je ne vois pas la différence entre un abattage rituel et une société de consommation.
Logiquement, un animal abattu selon les rituels religieux ne devrait pas souffrir.

Chez les musulmans, l'imam dit "bé Sem Il'lah" et ensuite il égorge le mouton.
Chez les juifs, afin que les offrandes soient agréés, l'animal doit être égorgé debout afin qu'il ne s'étouffe pas avec son sang.

Pour autant, de nos jours, il y a un problème lié à l'offre et à la demande.
Aucune religion ne demande à ce que l'animal souffre.
C'est pourquoi chez les juifs et musulmans, l'animal est normalement égorgé.

Etant donné que le petit d'homme ne peut s'empêcher de se multiplier, nous sommes arrivés à un stade qui impose une production en chaîne soit disant Casher ou Hallal.

Pour le reste, les multinationales qui gèrent cette "marchandise" ne sont pas en reste.
Le mot d'ordre est $$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$ à tout prix.

Que dire de nos animaux de compagnies errants ?
Dans le documentaire suivant, on y voit de quel manière la Turquie à résolue ce problème.
Ils se servent de camions d'éboueurs pour broyer les chiens et les chats errants.

Je ne peux que conseiller de regarder ce documentaire qui va au delà des abattages rituels.

Attention aux âmes sensibles.


Que penser du trafic d'ivoire ?
Que dire des gorilles massacrés afin de leur couper les mains et les pieds pour en faire des cendriers ?

Cordialement.

samuel

samuel
Administrateur

Tant que l'argent mène le monde on ne pourra rien faire et ce n'est pas disant que je devient végétarien va changer le fon du probléme.

kaboo

kaboo

Bonjour. bizzou

samuel a écrit:Tant que l'argent mène le monde on ne pourra rien faire et ce n'est pas disant que je devient végétarien va changer le fon du probléme.

C'est malheureusement l'argent et surtout l'intérêt qui dirige le monde.
Perso, je peux confirmer que le fait de ne pas consommer de viande n'est pas mortel.
Je suis resté pendant 2 ans sans manger de viande. Aucune séquelle.

J'ai depuis recommencer à consommer de la viande mais bon ...
Comme je l'ai dit plus haut, plus il y a de petit d'homme, plus il faut produire de viande.
Donc, s'en plaindre est une chose, pointer l'autre du doigt en est une autre mais pour arrêter cette machine infernale, il n'y a qu'une solution. Ne plus consommer de viande.

Petite anecdote.
Mon frère m'a dit un jour que les animaux étaient trop mignons et qu'il ne pourrait jamais leur faire de tort.
Devant cette affirmation, je n'ai pas pu m'empêcher de lui rappeler que si personne n'achète de viande, les massacres cesseront.

Qui en effet irait chasser ou pécher s'il n'y a pas d'acheteurs ????

Coluche avait fait le même constat concernant les fourrures.
Il disait ==> "Et dire qu'il suffirait que les gens n'achètent pas".

Cordialement.

Patrice1633

Patrice1633
MODERATEUR
MODERATEUR

Alors est-ce qu'il faut arrêter d'employer nos autos pour pas qu'ils pollu la terre?
Faut-il ne plus acheter de tablette électronique nos iPad et Samsung pour arreter l'exploitation humain car dans leur compagnie il ne reigne pas le respect comme on sais.

Nous pouvons user du monde car on ne peut nous sortir de ce monde ...

Il nous est permis de manger de la viande et meme que aujourdhui nous avons besoin de cette viande ...

-------------------
Samsara, sans un mot cette video qui vous rend muet en 6 min.
https://youtu.be/gLRt1yR2nbU
-------------------

https://www.jw.org/fr/

Josué

Josué
Administrateur

L’abattage rituel, point de crispation
Par Sarah Finger, Correspondante à Montpellier — 3 avril 2017 à 19:36
La proposition de rendre obligatoire l’étourdissement de l’animal avant sa saignée fait son chemin, mais se heurte aux appréhensions et au refus des responsables juifs et musulmans.
L’information vient tout juste d’être annoncée par le ministre flamand du Bien-Etre animal : la Flandre va interdire l’abattage sans étourdissement préalable, autrement dit l’abattage rituel. Tous les animaux devront donc bientôt être «étourdis» avant d’être saignés. De semblables mesures ont déjà été actées en Suisse, en Nouvelle-Zélande et dans plusieurs pays scandinaves. En France, la question de l’abattage rituel est à peine évoquée durant cette campagne présidentielle. Interpellés par le collectif Animal politique, quatre candidats se sont pourtant clairement prononcés pour l’étourdissement obligatoire avant la mise à mort : Marine Le Pen (lire page 6), Nicolas Dupont-Aignan, Jacques Cheminade et Jean-Luc Mélenchon. Sollicité par ce même collectif, Benoît Hamon reste prudent et propose la mise en place d’une «commission» pour dialoguer avec les responsables des cultes. De son côté, François Fillon a déclaré, lors d’une interview parue en novembre dans la France agricole, qu’il était favorable à l’étourdissement obligatoire, estimant que «les lois de la République doivent s’appliquer avant les consignes religieuses». Quant à Emmanuel Macron, il reste silencieux sur ce thème, comme sur à peu près tous les autres dossiers relatifs à la condition animale…

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La cause animale bien campée sur quatre pattes

Il est vrai que la question de l’abattage rituel provoque une inévitable crispation. Rappelons qu’en France, la règle, c’est «d’étourdir» les animaux avant de les tuer. Un «étourdissement» obtenu généralement par l’un ou l’autre de deux procédés : une tige métallique perforant le crâne ou une pince délivrant des décharges électriques. Toutefois, une dérogation permet aux communautés juives et musulmanes d’organiser au sein des abattoirs un abattage rituel, sans étourdissement, pratiqué par des sacrificateurs. Cette pratique dérogatoire soulève de nombreuses questions, notamment l’information des consommateurs. Lesquels ignorent, lorsqu’ils achètent de la viande, si l’animal a été étourdi avant d’être saigné, le mode d’abattage ne figurant pas sur les étiquettes…

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Les animaux dans la campagne politique : tous aux poils

Auditionnés en mai 2016 par la commission d’enquête parlementaire sur les conditions d’abattage des animaux de boucherie, les responsables des communautés juives et musulmanes avaient insisté sur le risque de stigmatisation lié à ce débat, tout en réaffirmant qu’ils n’étaient prêts à aucun compromis : les rites imposent que l’animal soit «vivant et conscient» avant d’être tué. Les associations de défense des animaux s’élèvent quant à elles contre cette pratique qui provoque des souffrances supplémentaires aux animaux : égorgés en toute conscience, ils agonisent durant de longues minutes, comme le prouvent plusieurs vidéos tournées clandestinement dans les abattoirs et diffusées par L214. Cette association rappelle d’ailleurs que le Conseil national de l’ordre des vétérinaires et la Fédération des vétérinaires d’Europe se sont positionnés contre l’abattage sans étourdissement.

Selon les chiffres cités dans le rapport de la commission parlementaire sur les conditions d’abattage des animaux de boucherie, environ 20 % des juifs et 80 % des musulmans de France consomment de la viande respectivement casher et halal. Parmi ces électeurs, difficile de prédire combien voteront en fonction des positions prises par les candidats sur l’abattage rituel.

Sarah Finger Correspondante à Montpellier
http://www.liberation.fr/elections-presidentielle-legislatives-2017/2017/04/03/l-abattage-rituel-point-de-crispation_1560308

samuel

samuel
Administrateur

L'abattage rituel devrait ce faire quand même dans de meilleures conditions en rapport avec les animaux.

Mikael

Mikael
MODERATEUR
MODERATEUR

Va voire dans les pays musulmans comment ies bêtes sont abattu , et nous en reparlerons.

papy

papy

Les responsables religieux juifs redoutent une emprise politique sur la liberté des cultes israélite et musulman. Ils plaident pour un compromis maintenant l'abattage traditionnel. La Région de Bruxelles-Capitale ne s'est pas encore déterminée. Rencontre.
La communauté juive de Belgique est en colère. Le mot est faible : l’interdiction annoncée de l’abattage rituel à partir de 2019 aussi bien en Flandre qu’en Wallonie - la Région bruxelloise doit encore se positionner - est perçue comme une atteinte directe à la liberté de culte. La sienne mais aussi celle des musulmans. L’intransigeance manifestée, ces derniers jours, au Vlaams parlement comme au Parlement wallon est même perçue comme "la crise la plus grave depuis la Seconde Guerre mondiale". L’émotion dépasse les seuls juifs pieux. Le très non religieux Centre communautaire laïc juif a estimé sur son site qu’il y a sérieusement péril démocratique dans la maison commune belge : "Même si comme Juif laïque on ne se soumet pas aux 613 commandements, on y voit une mesure visant à présenter injustement les juifs et les musulmans pratiquants comme des barbares."

Symboliquement, le président du Consistoire central israélite, Philippe Markiewicz, et le Grand Rabbin de Bruxelles Albert Guigui ont tenu à recevoir "La Libre" à la Grande Synagogue, lieu de dialogue interreligieux et de parfaite intégration politico-philosophique afin d’exprimer de réelles craintes pour l’avenir.

En cause : un refus évident dans le chef des décideurs politiques flamands comme wallons de prendre en compte la dimension cultuelle de l’abattage rituel mais aussi une série de propos polémiques qui les ont atteints directement. Avec, en filigrane, un rappel dérangeant : lorsqu’il a lancé les mesures anti-juives, l’occupant nazi a d’abord interdit l’abattage rituel…
http://www.lalibre.be/actu/belgique/interdiction-de-l-abattage-rituel-la-crise-la-plus-grave-depuis-la-seconde-guerre-mondiale-pour-les-juifs-de-belgique-58e51fc2cd70e80512adc0f2

Josué

Josué
Administrateur

Abattage sans étourdissement: Les cultes chrétiens plaident pour la liberté religieuse
BELGA Publié le jeudi 11 mai 2017 à 21h09 - Mis à jour le jeudi 11 mai 2017 à 21h10

Les cultes chrétiens de Belgique appellent au respect de la liberté religieuse dans le cadre de la problématique de l'abattage sans étourdissement pratiqué par certaines religions. Le Parlement wallon a voté la semaine dernière en commission l'interdiction au 1er septembre 2019 de l'abattage rituel s'il n'est pas précédé d'un étourdissement de l'animal. Au nord du pays, le décret interdisant l'abattage sans étourdissement est prêt et devrait être débattu au parlement avant les vacances pour entrer en vigueur au 1er janvier 2019.

Dans un communiqué diffusé jeudi soir, les représentants des cultes chrétiens reconnus en Belgique qui ne pratiquent pas d'abattage rituel, mettent en garde "de faire de la critique de l'abattage sans étourdissement, la couverture d'un discours de mépris à l'égard du mode de vie et des règles alimentaires" des citoyens juifs et musulmans.

"Un nombre limité d'animaux est concerné par l'abattage", ajoutent-ils, précisant que l'on "cherche toujours à limiter au maximum la douleur animale durant celui-ci et d'autre part que nombre d'autres points problématiques existent dans l'industrie alimentaire et lors de la transformation de la viande qui, vu leur échelle, sont tout autant prioritaires".

Les représentants des cultes chrétiens invitent les autorités à "élaborer des procédures qui réconcilient autant que possible hygiène, santé publique, bien-être animal avec le droit fondamental de la liberté religieuse".

BELGA
http://www.lalibre.be/actu/belgique/abattage-sans-etourdissement-les-cultes-chretiens-plaident-pour-la-liberte-religieuse-5914b6e5cd70022542c420eb

Josué

Josué
Administrateur

Au parlement flamand, feu vert quasi unanime à l'interdiction de l'abattage sans étourdissement

Belga Publié le mercredi 28 juin 2017 à 21h08 - Mis à jour le mercredi 28 juin 2017 à 21h10
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Politique belge

Le parlement flamand a adopté mercredi, à l'unanimité moins une abstention d'un élu s.pa, l'interdiction, en Flandre, de l'abattage rituel des animaux sans étourdissement, à partir de 2019. L'étourdissement sera alors obligatoire pour la plupart des espèces animales via le procédé de l'électronarcose. Pour le bœuf et le veau, la technique d'étourdissement n'est pas encore au point. Pour ces animaux, l'étourdissement se fait immédiatement après l'égorgement. En Flandre, la discussion sur l'instauration d'une interdiction générale de l'abattage sans étourdissement est en cours depuis longtemps. Le soutien politique en faveur d'une telle mesure a pris de l'ampleur au cours des dernières années, mais le dossier faisait l'objet de réticences et d'obstacles juridiques.

Le ministre du Bien-Etre animal, Ben Weyts (N-VA) a décidé de confier à un médiateur une mission de défrichage du dossier. Un accord politique s'est dégagé au début de cette année, à la suite de la publication du rapport de ce dernier. Cet accord a été traduit en proposition de décret adoptée à la quasi unanimité.

Les abattoirs disposent d'un an et demi pour préparer leur personnel et leur infrastructure au nouveau dispositif légal et à la nouvelle méthode d'abattage.

Les communautés juive et musulmane bénéficieront d'un accompagnement dans l'application des nouvelles règles. Une personne intermédiaire sera désignée à cet effet.
Belga
http://www.lalibre.be/actu/politique-belge/au-parlement-flamand-feu-vert-quasi-unanime-a-l-interdiction-de-l-abattage-sans-etourdissement-5953feaccd70d65d2471fbb7

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