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7 déc. Lecture de la Bible : 2 Chroniques 10-14

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Josué

Josué
Administrateur

7 déc. Lecture de la Bible : 2 Chroniques 10-14
Le roi Rehabam déclara avec vantardise que, si son père Salomon avait châtié les Israélites avec des “ fouets ”, lui le ferait avec des “ lanières ”. Bien que Rehabam ait parlé au sens figuré, les lanières qu’il évoqua étaient peut-être munies de pointes acérées, puisque le mot hébreu (ʽaqrabbim) traduit par “ lanières ” signifie littéralement “ scorpions ”. — 1R 12:11, 14, note ; 2Ch 10:11, 14.

Josué

Josué
Administrateur

Roboam, fils de Salomon par l'Hammonite Nahama, et son successeur au trône de Jérusalem (#1R 11:43; 14:21; 31). Il fut le premier roi de Juda. La prospérité du règne de son père ne permettait pas de prévoir la division du royaume qui devait éclater sous son règne, et l'affaiblissement qui en serait la suite. Il avait quarante et un ans lors de son avènement. Il se hâta de réunir les tribus, mais au lieu de les convoquer à Jérusalem, il choisit Sichem comme lieu de rendez-vous, peut-être à l'instigation de ses ennemis non encore déclarés. Ce fut une faute de sa politique, et il l'expia. Le peuple parla librement, il demanda la diminution des impôts ; les mécontentements comprimés sous le règne précédent éclatèrent, les jalousies se firent jour ; Roboam, fort comme le sont les faibles, demanda, un délai avant de répondre, et prêtant, l'oreille à des conseils de jeunes gens, il voulut faire de l'énergie, repoussa brutalement les légitimes demandes de ses sujets, et mit le feu à la révolution. Éphraïm et les tribus qui marchaient avec lui, ne voulaient pas d'un roi de Juda ; l'occasion était bonne, le prétexte honnête, la division éclata, et dix tribus se séparèrent de Roboam, de Juda, de Jérusalem, et du temple. Elles choisirent pour roi Jéroboam. Le fils de Salomon voulut courir aux armes, mais le prophète Sémahja, déclarant la séparation consommée, le fait accompli, fit renvoyer les troupes (#1R 12:21 ; #2Ch 11:1). Roboam songea dès lors à fortifier le peu qui lui restait de l'héritage paternel, il bâtit des forteresses et les approvisionna ; il donna asile aux prêtres et aux lévites fidèles des dix tribus qui, chassés par les veaux d'or, se réfugiaient en Judée, en protestant contre la révolution et contre ses conséquences. Les Israélites fidèles des dix tribus, Église libre aussi quoique tenue en suspicion, continuaient de venir sacrifier à Jérusalem, et le pouvoir de Roboam se fortifiait de ces adhésions morales. Il continua de rattacher par des alliances tout ce qui restait de la maison de David, choisit Abija pour son successeur, et donna à ses autres fils des postes importants dans ses villes fortes. Mais après trois années de sagesse, il se fatigua du culte de l'Éternel et de ses bénédictions ; le péché et l'idolâtrie reprirent le dessus, et en la cinquième année de ce règne. Sisak roi d'Égypte, l'ancien protecteur de Jéroboam, monta contre Jérusalem, ravagea le pays, et ne cessa de triompher, que lorsque le peuple, averti par Sémahja, cessa de pécher, Roboam, ne racheta la paix qu'au prix des trésors du temple et du palais, et il dut remplacer par des boucliers, d'airain les magnifiques boucliers d'or que l'on portait en pompe devant Salomon. Il régna douze ans encore, sans gloire, ennemi de Jéroboam et sujet de Sisak, puis il mourut à l'âge de cinquante-huit ans, après en avoir régné dix-sept, et fut enseveli avec ses pères en la cité de David. Les prophètes Hiddo et Sémahja ont écrit des mémoires de ce règne si grand par les résultats que produisit la nullité de celui qui lui donna son nom. Abija lui-même méprisa son père, l'appelant « un enfant, et de peu de courage, qui ne sut pas tenir ferme » (#2Ch 13:7), si ces paroles, ne sont pas respectueuses, elles caractérisent du moins parfaitement l'esprit et le système de Roboam.

-- On peut conclure (#1R 14:30 ; #2Ch 12:15) que s'il n'y eut pas guerre proprement dite entre les deux royaumes, il n'y eut pas de paix non plus, et que des hostilités de détail continuèrent de donner issue à la vieille rivalité d'Éphraïm et de Juda, voir ce qui a été dit à l'article de ces deux tribus, Éphraïm et Juda. -- Quant aux femmes et aux enfants de Roboam (#2Ch 11:18).

Copyright Bost/Éditions Clé

Josué

Josué
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“Et Jéroboam commença à dire en son cœur: ‘Maintenant le royaume retournera à la maison de David. Si ce peuple continue à monter pour faire des sacrifices dans la maison de Jéhovah à Jérusalem, alors, à coup sûr, le cœur de ce peuple retournera à son seigneur, à Roboam, roi de Juda; et assurément ils me tueront et retourneront à Roboam, roi de Juda.’ Le roi tint donc conseil, et fit deux veaux d’or, et dit au peuple: ‘C’est trop pour vous de monter à Jérusalem. Voici ton Dieu, ô Israël, qui t’a fait monter du pays d’Égypte.’
“Alors il plaça l’un d’eux à Béthel et il mit l’autre à Dan. Et cette chose devint une cause de péché, et le peuple commença à aller devant l’un d’eux jusqu’à Dan. Et il commença à faire une maison de hauts lieux et à faire des prêtres pris parmi le peuple en général, qui n’étaient pas des fils de Lévi. (...) Et il commença à faire des offrandes sur l’autel qu’il avait fait à Béthel, le quinzième jour du huitième mois, au mois qu’il avait inventé de lui-même; et il fit une fête pour les fils d’Israël et fit des offrandes sur l’autel pour faire de la fumée sacrificielle.” — I Rois 12:26-33; II Chroniques 11:14, 15.

Josué

Josué
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Le “ grand bouclier ” (héb. : tsinnah) était porté par les fantassins lourdement armés (2Ch 14:Cool et quelquefois par un porteur de bouclier (1S 17:7, 41). Il était soit ovale, soit rectangulaire comme une porte. En Éphésiens 6:16, le terme grec thuréos (de thura, “ porte ”) désigne apparemment, lui aussi, un “ grand bouclier ”. Le tsinnah était assez grand pour couvrir le corps entier (Ps 5:12). On l’utilisait parfois de façon à former des lignes de bataille présentant un front continu hérissé de lances. On cite quelquefois le grand bouclier et la lance à propos des armes en général. — 1Ch 12:8, 34 ; 2Ch 11:12.
Le “ bouclier ” ou “ petit bouclier ” (héb. : maghén) était porté habituellement par les archers et accompagnait généralement les armes légères, comme l’arc. C’est ce type de bouclier que portaient les archers benjaminites de l’armée du roi judéen Asa (2Ch 14:Cool. Il est probable que le petit bouclier, ordinairement rond et d’un usage plus courant que le grand bouclier, servait surtout dans les corps à corps. Il semble qu’une grande différence de taille existait entre le tsinnah et le maghén hébreux, car, lorsque Salomon fit des boucliers en or, il fallut quatre fois plus d’or pour recouvrir le grand bouclier que le petit (1R 10:16, 17 ; 2Ch 9:15, 16). Apparemment, on se servait du mot maghén comme du mot tsinnah dans des expressions qui désignaient les armes de guerre en général. — 2Ch 14:8 ; 17:17 ; 32:5.

Josué

Josué
Administrateur

La Bible de Maredsous dit en 2 Chroniques 11:18 : “ Roboam [Rehabam] épousa Mahalat, fille de Jérimot, fils de David, et Abihaïl, fille d’Éliab, fils de Jessé. ” Cette traduction donne à penser qu’Abihaïl était la deuxième femme de Rehabam. Toutefois, le texte hébreu permet une leçon différente, adoptée par de nombreuses traductions modernes qui déclarent : “ Mahalath la fille de Yerimoth le fils de David, et d’Abihaïl la fille d’Éliab le fils de Jessé. ” (Voir MN ; Jé ; Os ; Pl ; Syn ; TOB). À ce sujet, l’ouvrage Soncino Books of the Bible explique dans une note sur 2 Chroniques 11:18 : “ La conjonction est sous-entendue. Mahalath était la fille de Yerimoth et d’Abihaïl. Certains commentateurs pensent qu’Abihaïl était le nom d’une autre femme de Rehabam. ” (Par A. Cohen, Londres, 1952). Les pronoms singuliers utilisés dans les versets suivants (19, 20) appuient l’idée selon laquelle il n’est question que d’une seule femme de Rehabam au verset 18. Il est par conséquent très probable qu’Abihaïl était la mère de Mahalath femme de Rehabam.

Josué

Josué
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Schischac (Sheshonq Ier, “XXIIe dynastie”) est le premier pharaon dont la Bible donne aussi le nom. Avec une armée puissante de chars et de cavaliers, il envahit Juda, menaça Jérusalem et “prit les trésors de la maison de Jéhovah et les trésors de la maison du roi. Il prit tout”. (2 Chroniques 12:9.) Un relief sculpté sur la muraille sud du temple d’Amon à Karnak (ancienne Thèbes) confirme cet événement. Il montre 156 prisonniers aux mains liées, chacun représentant une ville ou un village conquis, dont Méguiddo, Sunem et Gabaon. Parmi les régions prises Schischac mentionne même le “champ d’Abram”: c’est la plus ancienne référence à Abraham dans les textes égyptiens.

Josué

Josué
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À Karnak (l’ancienne Thèbes), au bord du Nil, une inscription gravée sur le mur sud d’un immense temple égyptien confirme que Shishaq (Sheshonq Ier) mena une campagne militaire en Palestine, comme le rapportent 1 Rois 14:25, 26 et 2 Chroniques 12:1-9. Le relief géant qui décrit ses victoires montre 156 prisonniers palestiniens enchaînés, chacun d’eux représentant une ville ou un village dont le nom est indiqué en hiéroglyphes. Parmi ces noms, on a identifié Rabbith (Jos 19:20), Taanak, Beth-Shéân et Meguiddo (où on a découvert un fragment d’une stèle ou d’une colonne portant une inscription de Shishaq) (Jos 17:11), Shounem (Jos 19:18), Rehob (Jos 19:28), Hapharaïm (Jos 19:19), Guibéôn (Jos 18:25), Beth-Horôn (Jos 21:22), Ayyalôn (Jos 21:24), Soko (Jos 15:35) et Arad (Jos 12:14). Dans cette liste des conquêtes du roi figure même le “ champ d’Abram ”, ce qui constitue la plus ancienne référence à Abraham dans les textes égyptiens. Dans cette région on a également découvert un monument de Mérneptah, fils de Ramsès II, qui comporte un hymne dans lequel apparaît le nom “ Israël ” pour la seule fois dans les textes égyptiens anciens.

Josué

Josué
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Zèle d’Asa pour le culte pur. Au cours des 20 ans qui avaient suivi la séparation de la nation en deux royaumes, Juda et Benjamin avaient plongé dans l’apostasie. Asa montra du zèle pour le culte pur “ comme David son ancêtre ” : il se mit courageusement à débarrasser le pays des idoles et des prostitués sacrés. Il enleva à Maaka, sa grand-mère, la dignité de ‘ première dame ’ du pays pourrait-on dire, parce qu’elle avait érigé “ une idole horrible ” pour le poteau sacré ou Ashéra, et il brûla cette idole. — 1R 15:11-13.
Selon le récit de 2 Chroniques 14:2-5, Asa “ enleva donc les autels étrangers et les hauts lieux, il brisa les colonnes sacrées et abattit les poteaux sacrés ”. Mais 1 Rois 15:14 et 2 Chroniques 15:17 apportent la précision suivante : “ Les hauts lieux, il ne les enleva pas. ” Il se peut par conséquent que les hauts lieux mentionnés dans le premier récit, celui des Chroniques, se réfèrent à ceux du culte païen que Juda avait adopté et qui contaminait le pays, tandis que le livre des Rois fait référence à des hauts lieux où le peuple adorait Jéhovah. Même après l’installation du tabernacle et, plus tard, après la construction du temple, des sacrifices étaient occasionnellement offerts à Jéhovah sur des hauts lieux, sacrifices que Dieu agréa dans des circonstances spéciales, comme dans le cas de Samuel, de David et d’Éliya (1S 9:11-19 ; 1Ch 21:26-30 ; 1R 18:30-39). Néanmoins, le lieu habituel approuvé pour les sacrifices était celui que Jéhovah avait autorisé (Nb 33:52 ; Dt 12:2-14 ; Jos 22:29). Il se peut que des formes du culte inconvenant pratiqué sur les hauts lieux aient subsisté en dépit de l’élimination des hauts lieux païens, peut-être parce que le roi ne mit pas la même application à les éliminer qu’il l’avait fait pour les sites païens. Ou encore, il est possible qu’Asa ait éliminé bel et bien tous les hauts lieux, mais que ceux-ci aient resurgi avec le temps et qu’ils n’aient pas été supprimés à la fin de son règne, de sorte que ce fut son successeur, Yehoshaphat, qui les réduisit en poussière.
En raison du zèle d’Asa pour le vrai culte, Jéhovah le bénit en lui accordant la paix pendant les dix premières années de son règne (2Ch 14:1, 6). Par la suite, Juda fut attaqué par Zérah l’Éthiopien, qui monta contre lui avec un million de guerriers. Bien que très largement dépassé par le nombre, Asa sortit à la rencontre des Éthiopiens à Marésha, dans les bas-pays de Judée, à environ 38 km à l’O.-S.-O. de Jérusalem. Dans la prière fervente qu’il adressa à Jéhovah avant que la bataille ne s’engage, il reconnut que Dieu a le pouvoir de délivrer et il lui demanda son aide en ces termes : “ Sur toi nous nous appuyons et c’est en ton nom que nous sommes venus contre cette foule. Ô Jéhovah, tu es notre Dieu. Que le mortel ne conserve pas de vigueur contre toi ! ” Et Juda remporta une victoire écrasante. — 2Ch 14:8-15.

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