Mardi 1er décembre
Toute Écriture est [...] utile [...] pour remettre les choses en ordre (2 Tim. 3:16).
Quand les chefs religieux juifs lui ont reproché d’être amical envers « des collecteurs d’impôts et des pécheurs », Jésus a répondu : « Ce ne sont pas les gens bien portants qui ont besoin de médecin, mais ceux qui vont mal. Allez donc apprendre ce que signifie : “Je veux la miséricorde et non le sacrifice” » (Mat. 9:11-13). Jésus expliquait la Parole de Dieu à tous avec patience et bonté. Les humbles ont ainsi découvert que Jéhovah est un « Dieu miséricordieux et compatissant, lent à la colère et abondant en bonté de cœur et en vérité » (Ex. 34:6). Grâce aux efforts du Fils de Dieu pour « remettre les choses en ordre », beaucoup ont eu foi en la bonne nouvelle. L’exemple de Jésus nous montre comment traiter les autres. Une personne irritée pourrait dire d’un ton brusque : « Je veux remettre quelque chose en ordre avec toi. » Mais nulle part l’« Écriture » ne nous autorise à nous parler durement. Tels « des coups d’épée », les reproches sévères font souvent beaucoup de tort et très rarement du bien (Prov. 12:18). w13 15/4 2:12, 13.
Toute Écriture est [...] utile [...] pour remettre les choses en ordre (2 Tim. 3:16).
Quand les chefs religieux juifs lui ont reproché d’être amical envers « des collecteurs d’impôts et des pécheurs », Jésus a répondu : « Ce ne sont pas les gens bien portants qui ont besoin de médecin, mais ceux qui vont mal. Allez donc apprendre ce que signifie : “Je veux la miséricorde et non le sacrifice” » (Mat. 9:11-13). Jésus expliquait la Parole de Dieu à tous avec patience et bonté. Les humbles ont ainsi découvert que Jéhovah est un « Dieu miséricordieux et compatissant, lent à la colère et abondant en bonté de cœur et en vérité » (Ex. 34:6). Grâce aux efforts du Fils de Dieu pour « remettre les choses en ordre », beaucoup ont eu foi en la bonne nouvelle. L’exemple de Jésus nous montre comment traiter les autres. Une personne irritée pourrait dire d’un ton brusque : « Je veux remettre quelque chose en ordre avec toi. » Mais nulle part l’« Écriture » ne nous autorise à nous parler durement. Tels « des coups d’épée », les reproches sévères font souvent beaucoup de tort et très rarement du bien (Prov. 12:18). w13 15/4 2:12, 13.