Haro sur le gaspillage alimentaire
NICOLAS FORQUET
CRÉÉ LE 01/09/2015 / MODIFIÉ LE 03/09/2015 À 09H44
Une convention vient d’être signée entre l’État et les grandes enseignes pour redistribuer les invendus. Une initiative qui questionne aussi nos comportements.
Les petites mains s’activent telles des abeilles dans une ruche. Une demi-douzaine de bénévoles trient avec énergie les viennoiseries récoltées le matin même dans un supermarché de la banlieue parisienne. Une quinzaine d’autres remplissent à un rythme soutenu des sacs plastique de denrées alimentaires. La scène se déroule fin août, au sous-sol de l’église SaintHippolyte, dans le XIIIe arrondissement de la capitale. C’est l’un des huit centres de distribution d’Août secours alimentaire en Île-de-France. Tout au long du mois estival, l’association s’est employée à satisfaire les besoins de bénéficiaires toujours plus nombreux, à une période où la plupart des associations interrompent leur service.
NICOLAS FORQUET
CRÉÉ LE 01/09/2015 / MODIFIÉ LE 03/09/2015 À 09H44
Une convention vient d’être signée entre l’État et les grandes enseignes pour redistribuer les invendus. Une initiative qui questionne aussi nos comportements.
Les petites mains s’activent telles des abeilles dans une ruche. Une demi-douzaine de bénévoles trient avec énergie les viennoiseries récoltées le matin même dans un supermarché de la banlieue parisienne. Une quinzaine d’autres remplissent à un rythme soutenu des sacs plastique de denrées alimentaires. La scène se déroule fin août, au sous-sol de l’église SaintHippolyte, dans le XIIIe arrondissement de la capitale. C’est l’un des huit centres de distribution d’Août secours alimentaire en Île-de-France. Tout au long du mois estival, l’association s’est employée à satisfaire les besoins de bénéficiaires toujours plus nombreux, à une période où la plupart des associations interrompent leur service.