Porto-Rico : les Témoins de Jéhovah
Le groupe chrétien gagne en appel face à la contestation constitutionnelle à Porto Rico
12 avril 2011
par Jess Kevin dans Le Journal numérique
Une cour d'appel fédérale de Boston a jugé lundi que la loi Porto-Ricaine destinée à maintenir la sécurité des quartiers "fermé" de la criminalité a été utilisé pour s'ingérer dans les droits de liberté d'expression des Témoins de Jéhovah.
Les Témoins de Jéhovah à Porto Rico avaient fait valoir que les lois adoptées en 1987 avaient eu pour effet de fermer l'accès au ministère de porte en porte effectué par le groupe de Chrétiens et qui bien connu pour cela.
Les lois ont de fait, autorisé les quartiers à refuser l'accès au public dans les rues e quartiers résidentielles en érigeant des murs et des barrières autour des citoyens, pratique signalée dans 'Digital Journal' l'an dernier.
Selon un communiqué du Palais de justice à 'New Service', la Cour fédérale a statué que la loi devrait permettre aux 318 congrégations des Témoins de Jéhovah à Puerto Rico à exprimer librement leur foi.
Les Témoins de Jéhovah considèrent que prêcher de porte en porte est un commandement de Jésus-Christ et de citer le passage biblique de Matthieu 24:14: " Et cette bonne nouvelles du Royaume sera prêchée dans toute la terre habitée, en témoignage pour toutes les nations ", afin de montrer que leurs actions sont scripturaires.
Le Directeur du Programme sur la Liberté de Religion et de Conviction, Daniel Mach de l'ACLU qui a salué la décision, aurait déclaré : " La Constitution protège certainement les droits des Témoins de Jéhovah à proclamer leur foi dans les rues publiques, et le gouvernement ne peut imposer de restrictions absolues sur le droit fondamental à la l'expression ou libre pratique religieuse. "
" La décision a également souligné que le gouvernement ne peut pas utiliser une allégation à la sécurité comme un «talisman» pour justifier la restriction du droit à la liberté d'expression et de religion " a déclaré William Ramirez, directeur de la section de Porto Rico de l'ACLU.
Source de l'article: Le Journal numérique
source : jwtalk.net
Le groupe chrétien gagne en appel face à la contestation constitutionnelle à Porto Rico
12 avril 2011
par Jess Kevin dans Le Journal numérique
Une cour d'appel fédérale de Boston a jugé lundi que la loi Porto-Ricaine destinée à maintenir la sécurité des quartiers "fermé" de la criminalité a été utilisé pour s'ingérer dans les droits de liberté d'expression des Témoins de Jéhovah.
Les Témoins de Jéhovah à Porto Rico avaient fait valoir que les lois adoptées en 1987 avaient eu pour effet de fermer l'accès au ministère de porte en porte effectué par le groupe de Chrétiens et qui bien connu pour cela.
Les lois ont de fait, autorisé les quartiers à refuser l'accès au public dans les rues e quartiers résidentielles en érigeant des murs et des barrières autour des citoyens, pratique signalée dans 'Digital Journal' l'an dernier.
Selon un communiqué du Palais de justice à 'New Service', la Cour fédérale a statué que la loi devrait permettre aux 318 congrégations des Témoins de Jéhovah à Puerto Rico à exprimer librement leur foi.
Les Témoins de Jéhovah considèrent que prêcher de porte en porte est un commandement de Jésus-Christ et de citer le passage biblique de Matthieu 24:14: " Et cette bonne nouvelles du Royaume sera prêchée dans toute la terre habitée, en témoignage pour toutes les nations ", afin de montrer que leurs actions sont scripturaires.
Le Directeur du Programme sur la Liberté de Religion et de Conviction, Daniel Mach de l'ACLU qui a salué la décision, aurait déclaré : " La Constitution protège certainement les droits des Témoins de Jéhovah à proclamer leur foi dans les rues publiques, et le gouvernement ne peut imposer de restrictions absolues sur le droit fondamental à la l'expression ou libre pratique religieuse. "
" La décision a également souligné que le gouvernement ne peut pas utiliser une allégation à la sécurité comme un «talisman» pour justifier la restriction du droit à la liberté d'expression et de religion " a déclaré William Ramirez, directeur de la section de Porto Rico de l'ACLU.
Source de l'article: Le Journal numérique
source : jwtalk.net