20 juillet Lecture de la Bible : 1 Rois 12-14
À l’époque du ministère terrestre de Jésus, il était courant de diviser la journée en heures. Ainsi, en Jean 11:9, Jésus dit : “ Il y a douze heures de jour, n’est-ce pas ? ” On les comptait généralement du lever au coucher du soleil, soit à peu près de 6 heures à 18 heures. “ La troisième heure ” correspondait donc approximativement à 9 heures, et c’est à ce moment-là que l’esprit saint fut répandu à la Pentecôte (Mt 20:3 ; Ac 2:15). Un jour, Jésus, épuisé d’un voyage, était assis près de la source de Jacob, environ à “ la sixième heure ”, c’est-à-dire midi ; c’est également l’heure à laquelle Pierre eut très faim à Joppé (Jn 4:6 ; Ac 10:9, 10). Le jour de la mort de Jésus, c’est aussi vers midi que les ténèbres se firent sur toute la terre jusqu’à “ la neuvième heure ”, soit environ 15 heures, moment auquel il expira sur le poteau de supplice (Mt 27:45, 46 ; Lc 23:44, 46). Cette neuvième heure était également appelée “ l’heure de la prière ”. (Ac 3:1 ; 10:3, 4, 30.) “ La septième heure ” correspondrait donc à environ 13 heures, et “ la onzième heure ” grosso modo à 17 heures (Jn 4:52 ; Mt 20:6-12). À l’époque, la nuit était aussi divisée en heures. — Ac 23:23 ; voir NUIT.
Parfois, chez les Hébreux, l’expression ‘ jour et nuit ’ désignait seulement une partie d’un jour solaire de 24 heures. Par exemple, en 1 Rois 12:5, 12, il est question de Rehabam demandant à Yarobam et aux Israélites de ‘ s’en aller pour trois jours ’, puis de revenir vers lui. Rehabam n’entendait pas par là trois jours complets de 24 heures, mais plutôt une partie de trois jours ; la preuve en est que le peuple revint vers lui “ le troisième jour ”. En Matthieu 12:40, le même sens est donné aux “ trois jours et trois nuits ” passés par Jésus dans le shéol. Comme l’indique le récit, Jésus fut ramené à la vie le “ troisième jour ”. Les prêtres juifs comprirent clairement les paroles de Jésus de cette manière, car, lorsqu’ils voulurent entraver sa résurrection, ils le citèrent : “ Après trois jours je dois être relevé ” et ensuite demandèrent à Pilate de donner ordre “ qu’on s’assure de la tombe jusqu’au troisième jour ”. — Mt 27:62-66 ; 28:1-6 ; voir d’autres exemples en Gn 42:17, 18 ; Est 4:16
À l’époque du ministère terrestre de Jésus, il était courant de diviser la journée en heures. Ainsi, en Jean 11:9, Jésus dit : “ Il y a douze heures de jour, n’est-ce pas ? ” On les comptait généralement du lever au coucher du soleil, soit à peu près de 6 heures à 18 heures. “ La troisième heure ” correspondait donc approximativement à 9 heures, et c’est à ce moment-là que l’esprit saint fut répandu à la Pentecôte (Mt 20:3 ; Ac 2:15). Un jour, Jésus, épuisé d’un voyage, était assis près de la source de Jacob, environ à “ la sixième heure ”, c’est-à-dire midi ; c’est également l’heure à laquelle Pierre eut très faim à Joppé (Jn 4:6 ; Ac 10:9, 10). Le jour de la mort de Jésus, c’est aussi vers midi que les ténèbres se firent sur toute la terre jusqu’à “ la neuvième heure ”, soit environ 15 heures, moment auquel il expira sur le poteau de supplice (Mt 27:45, 46 ; Lc 23:44, 46). Cette neuvième heure était également appelée “ l’heure de la prière ”. (Ac 3:1 ; 10:3, 4, 30.) “ La septième heure ” correspondrait donc à environ 13 heures, et “ la onzième heure ” grosso modo à 17 heures (Jn 4:52 ; Mt 20:6-12). À l’époque, la nuit était aussi divisée en heures. — Ac 23:23 ; voir NUIT.
Parfois, chez les Hébreux, l’expression ‘ jour et nuit ’ désignait seulement une partie d’un jour solaire de 24 heures. Par exemple, en 1 Rois 12:5, 12, il est question de Rehabam demandant à Yarobam et aux Israélites de ‘ s’en aller pour trois jours ’, puis de revenir vers lui. Rehabam n’entendait pas par là trois jours complets de 24 heures, mais plutôt une partie de trois jours ; la preuve en est que le peuple revint vers lui “ le troisième jour ”. En Matthieu 12:40, le même sens est donné aux “ trois jours et trois nuits ” passés par Jésus dans le shéol. Comme l’indique le récit, Jésus fut ramené à la vie le “ troisième jour ”. Les prêtres juifs comprirent clairement les paroles de Jésus de cette manière, car, lorsqu’ils voulurent entraver sa résurrection, ils le citèrent : “ Après trois jours je dois être relevé ” et ensuite demandèrent à Pilate de donner ordre “ qu’on s’assure de la tombe jusqu’au troisième jour ”. — Mt 27:62-66 ; 28:1-6 ; voir d’autres exemples en Gn 42:17, 18 ; Est 4:16