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22 juin Lecture de la Bible : 1 Rois 1-2

2 participants

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Josué

Josué
Administrateur

22 juin Lecture de la Bible : 1 Rois 1-2
*** si p. 64-65 Livre de la Bible numéro 11 — 1 Rois ***
Écrivain : Jérémie
Lieux de composition : Jérusalem et Juda
Fin du travail de composition : 580 av. n. è.
Période qu’embrasse le texte : vers 1040-911 av. n. è.
LES conquêtes de David avaient permis d’étendre le territoire d’Israël jusqu’aux limites fixées par Dieu, du fleuve Euphrate, au nord, au fleuve d’Égypte, au sud (2 Sam. 8:3 ; 1 Rois 4:21). À l’époque où David était mort et où son fils Salomon régnait à sa place, “ Juda et Israël étaient nombreux, comme les grains de sable qui sont au bord de la mer, en multitude ; on mangeait, on buvait et on se réjouissait ”. (1 Rois 4:20.) Salomon dominait avec grande sagesse, sagesse qui surpassait de loin celle des Grecs de l’Antiquité. Il construisit un somptueux temple à Jéhovah. Toutefois, même Salomon succomba au culte des faux dieux. À sa mort, le royaume fut divisé en deux, et de méchants rois se succédèrent à la tête des deux royaumes rivaux d’Israël et de Juda, agissant d’une manière désastreuse et plongeant le peuple dans l’affliction, exactement comme l’avait prédit Samuel (1 Sam. 8:10-18). Des 14 rois qui régnèrent sur Juda et sur Israël après la mort de Salomon et qui sont cités dans le livre de Un Rois, seulement deux firent ce qui est juste aux yeux de Jéhovah. En ce cas, peut-on dire que ce livre est ‘ inspiré et utile ’ ? Très certainement ! Et c’est ce que nous démontrera l’examen des avertissements, des prophéties et des types qu’il contient, ainsi que le rapport établi avec le thème central de “ toute Écriture ”, à savoir le Royaume.
2 À l’origine, les livres des Rois formaient un seul rouleau ou volume et s’appelait Melakhim (Rois) en hébreu. Les traducteurs de la Septante l’appelèrent Basiléïôn, “ royaumes ”, et furent les premiers à le diviser en deux rouleaux pour plus de commodité. Par la suite on appela ces rouleaux Trois et Quatre Rois, appellations qui ont été maintenues dans certaines Bibles catholiques. Toutefois, ils sont généralement connus sous le nom de Un et Deux Rois. Ces derniers diffèrent de Un et Deux Samuel en ce qu’ils citent des documents antérieurs ayant servi de sources au compilateur. Dans les deux livres, l’unique compilateur se réfère 15 fois au “ livre des affaires des jours des rois de Juda ”, 18 fois au “ livre des affaires des jours des rois d’Israël ” et aussi au “ livre des affaires de Salomon ”. (1 Rois 15:7 ; 14:19 ; 11:41.) Bien que tous ces documents anciens aient disparu, la compilation inspirée demeure ; d’où le récit utile de Un et Deux Rois.
3 Qui a écrit les livres des Rois ? Le fait qu’ils mettent l’accent sur les activités des prophètes, particulièrement celles d’Éliya et d’Élisha, indique que l’écrivain est prophète de Jéhovah. Les similitudes de langage, de composition et de style font penser qu’il s’agit du rédacteur du livre de Jérémie. Bon nombre de mots et d’expressions hébraïques n’apparaissent, dans la Bible, que dans les livres des Rois et de Jérémie. Mais si Jérémie a écrit les livres des Rois, pourquoi n’y est-il pas mentionné ? Cela n’était pas nécessaire, puisque son activité avait déjà été décrite dans le livre qui porte son nom. De plus, les livres des Rois ont été rédigés pour glorifier Jéhovah et son culte, et non pour accroître la réputation de Jérémie. En réalité, les livres des Rois et de Jérémie sont en grande partie complémentaires, les uns apportant ce que l’autre ne mentionne pas. En outre, ils renferment des récits parallèles, comme 2 Rois 24:18–25:30 et Jérémie 39:1-10 ; 40:7–41:10 ; 52:1-34. La tradition juive confirme que Jérémie est le rédacteur de Un et Deux Rois. Nul doute qu’il commença la compilation des deux livres à Jérusalem, et il apparaît que le deuxième livre fut achevé en Égypte vers 580 av. n. è., puisque dans sa conclusion il se réfère à des événements survenus cette année-là (2 Rois 25:27). Un Rois reprend l’histoire d’Israël à la fin de Deux Samuel et la poursuit jusqu’en 911 av. n. è., à la mort de Yehoshaphat. — 1 Rois 22:50.

Invité


Invité

Cest bien la lecture que toute les congrégations on a lire?
Si cest le cas alors je serais à date avec tout le monde ...

Oui, c'est intéressant de voir la véracité d'un livre avant de le lire, dans les livre apocryphe souvent on les vois redire du debut a la fin que l'auteur répète souvent lui même qu'il est l'auteur, et que c'est lui qui l'a ecrit tellement que Ca deviens agaçant aussi ...

Oui tantot je vais aller voir le video sur la bible sur JW



Dernière édition par Patrice1633 le Lun 22 Juin - 13:28, édité 1 fois

Josué

Josué
Administrateur

oui c'est bien ça !alors bonne lecture.

Invité


Invité

Bien, je comprend pas tout lol
Mais ce que j'ai vue c'est que un autre type a voulu prendre le trône de David, mais le trône a belle et bien ete donner à celui a qui il revenais...
Salomon ...

Faut faire confiance en Jehovah ...

Josué

Josué
Administrateur

Les Livres des Rois couvrent une longue période de l’histoire d’Israël. Les événements les plus anciens, les derniers jours de David, remontent à 972 environ avant J.C., tandis que la rentrée en grâce du roi Yoyakîn date de 561 avant J.C. Mais comme l’indique la liste des livres bibliques, le Livre des Rois est rangé parmi les Premiers Prophètes, ce qui veut dire que même si ces livres sont chargés de données historiques, ils ne sont pas d’abord des livres d’histoire. Leur contenu les définit plutôt comme une réflexion théologique sur une période de l’histoire d’Israël.

L’origine des Livres des Rois

Les Livres des Rois se présentent à nous sous la forme de deux livres distincts. En fait, dans les manuscrits de la Bible hébraïque, ils constituent un seul ouvrage. Cette distinction en deux livres est tardive, comme d’ailleurs la séparation entre 2Sa el et 1R (#1R 1:1-2:11 est la suite immédiate de 2S). L’analyse des Livres des Rois révèle que l’ouvrage n’est pas né d’un coup, mais qu’il a été rédigé en plusieurs étapes. En effet, #1R 11:41; 14:19,29, etc. parlent respectivement d’un livre des « Actes de Salomon », d’« Annales des rois d’Israël » et d’« Annales des rois de Juda » qui ont servi de point de départ pour la rédaction du texte que nous possédons actuellement. D’autres sources encore ont été utilisées, par exemple des archives venant du Temple (voir #1R 4:1-6; 7-19; 5:7-Cool ; l’histoire de la reine de Saba (#1R 10:1-13) provient d’une tradition à part ; les récits qui concernent le roi Akhab sont issus de milieux très différents : d’un côté il y a les textes qui parlent de lui de la façon la plus sévère, tandis que d’autres le présentent comme un roi courageux (#1R 9:35). D’autres récits sont issus de milieux proprement prophétiques : ainsi les Livres des Rois contiennent trois grands « cycles » ou suites de récits sur les prophètes Élie, Élisée et Ésaïe, sans parler des morceaux plus brefs sur Ahiyya, sur Michée fils de Yimla (#1R 11:29-39; 22:13-28), ou sur tel prophète dont le nom est resté inconnu (#1R 13 ; #2R 21:10-15).

Comment ces différents éléments ont-ils été réunis en un tout ? On touche ici à l’un des problèmes les plus difficiles de l’ouvrage. Il est évident que ce n’est pas le même auteur qui a écrit #2R 25:27-30 et qui, parlant en contemporain des événements qu’il rapporte, a décrit l’arche en #1R 8:7 ou a raconté les faits de #1R 9:21 : il lui aurait fallu vivre plus de quatre cents ans ! On est donc réduit à des hypothèses.
source bible Onligne

Josué

Josué
Administrateur

ABISHAG
Jeune vierge originaire de Shounem, ville située au N. de Yizréel et du mont Guilboa, sur le territoire d’Issakar (Jos 19:17-23). “ Extrêmement belle ”, elle fut choisie par les serviteurs de David pour être la garde et la compagne du roi pendant ses derniers jours. — 1R 1:1-4.
David avait alors environ 70 ans (2S 5:4, 5). Il était tellement affaibli que son corps dégageait peu de chaleur. Abishag le servait durant le jour, égayant sans doute son atmosphère par la beauté et la fraîcheur de sa jeunesse, et, la nuit, ‘ elle se couchait sur le sein du roi ’ pour le réchauffer, mais “ le roi n’eut pas de relations avec elle ”. Cependant, l’attitude ultérieure de Salomon à son égard montre qu’Abishag était considérée comme ayant le statut de femme ou de concubine de David. En tant que telle, selon une ancienne coutume orientale, elle devait devenir la propriété de l’héritier de David à sa mort.
Le récit concernant Abishag précède immédiatement celui de la tentative d’Adoniya, qui était probablement l’aîné des fils survivants de David, visant à s’emparer de la couronne ; il semble avoir été consigné à cet endroit dans le but d’expliquer une démarche qu’Adoniya entreprit par la suite, sous le règne de Salomon. Après son accession au trône, Salomon avait gracié Adoniya sous condition. Néanmoins, Adoniya persuada Bath-Shéba la mère de Salomon de demander à celui-ci qu’il lui donne Abishag pour femme. Convaincu que la requête d’Adoniya n’était pas uniquement motivée par la beauté d’Abishag, mais qu’elle constituait plutôt une manœuvre subtile visant à renforcer sa prétention au trône, Salomon réagit avec colère, révoqua la grâce d’Adoniya et le fit mettre à mort (1R 2:13-25). Après cela, il n’est plus question d’Abishag, mais il est probable qu’elle figura parmi les femmes ou les concubines de Salomon.

Invité


Invité

C'est spécial la coutume de donner le trône et les femmes et concubines avec le trône ...
Oui, Adonya n'était pas repentant car il savait que le trône revenais dans la même lignée et il avait le desir de prendre ce trone, tout comme les femmes revenais à celui qui aurais le trône et il voulais quand même une femme qui ne pouvais lui revenir ...

Josué

Josué
Administrateur

1:5 — Pourquoi Adoniya a-t-il tenté de s’emparer du trône du vivant de David ? La Bible ne le dit pas. Toutefois, on peut supposer ceci : ses deux frères aînés, Amnôn et Absalom, étant morts, de même probablement que Kiléab, autre fils de David, Adoniya s’est dit que le trône lui revenait de droit puisqu’il était l’aîné des fils de David encore en vie (2 Samuel 3:2-4 ; 13:28, 29 ; 18:14-17). Fort du soutien de Yoab, le puissant chef de l’armée, et d’Abiathar, l’influent grand prêtre d’Israël, sans doute était-il convaincu d’arriver à ses fins. La Bible ne précise pas s’il savait ou non que David avait l’intention de mettre Salomon sur le trône, mais le fait qu’il n’ait invité à “ un sacrifice ” ni Salomon ni les autres fidèles de David laisse à penser qu’il considérait son frère comme un rival. — 1 Rois 1:9, 10.
1:49-53 ; 2:13-25 — Pourquoi Salomon a-t-il fait mettre à mort Adoniya alors qu’il lui avait accordé son pardon ? Quand Adoniya lui a demandé d’intercéder auprès de Salomon afin qu’il lui donne Abishag pour femme, Bath-Shéba n’a pas discerné ce qu’il avait en tête. Salomon, lui, a vu clair. Bien que David n’ait pas eu de relations avec elle, la belle Abishag était considérée comme sa concubine et, selon la coutume de l’époque, elle ne pouvait donc revenir qu’à son héritier légal. Peut-être Adoniya a-t-il pensé qu’en prenant Abishag pour femme il pourrait de nouveau revendiquer le trône. Interprétant la requête d’Adoniya dans ce sens, Salomon a annulé son pardon.

Invité


Invité

Oui, mais c'était Salomon qui a pris le trône, selon ce que je comprend dans ton texte Salomon et Adonya etait deux frère??

samuel

samuel
Administrateur

Patrice1633 a écrit:Oui, mais c'était Salomon qui a pris le trône, selon ce que je comprend dans ton texte Salomon et Adonya etait deux frère??
Oui il était demi frère.

Invité


Invité

Ok, je comprend un peu plus Ca desision de vouloir avoir eu le trône, car je pensais qu'il arrivais de nul part, c'était pas une raison de faire ce qu'il as fait, mais je comprend mieux la situation ...

Si tu trouve le verset qui montre qu'il était son demi frère j'ai serais content, jai peut être pas porter attention dans ma lecture ...

Jai fait la recherche, j'ai le lien de parenté dans:

  • 2 Samuel 3:2-6


    • 2 Entre-temps il naquit à David des fils+ à Hébrôn+. Son premier-né fut Amnôn+, d’Ahinoam+ la Yizréélite. Son deuxième fut Kiléab+, d’Abigaïl+ la femme de Nabal le Karmélite ; le troisième fut Absalom+le fils de Maaka la fille de Talmaï+ le roi de Gueshour. 4 Le quatrième fut Adoniya+ le fils de Hagguith+ ; le cinquième fut Shephatia+ le fils d’Abital. 5 Le sixième fut Yithréam+, d’Égla la femme de David. Ceux-là naquirent à David, à Hébrôn.
      6 Et il arriva ceci : pendant que continuait la guerre entre la maison de Saül et la maison de David, Abner+ ne cessait de renforcer sa position dans la maison de Saül.



Merci

Josué

Josué
Administrateur

David demanda à Salomon de punir Yoab, qui avait ‘ mis le sang de la guerre sur ses sandales ’ en temps de paix, expression figurée rappelant que Yoab était coupable du meurtre des généraux Abner et Amasa (1R 2:5, 6). Si on ajoute à cela le fait que quelqu’un qui mettait ses sandales s’apprêtait à se livrer à quelque activité hors de sa maison (ou du lieu où il se trouvait ; voir Ac 12:Cool, on comprend mieux pourquoi l’apôtre Paul recommande aux chrétiens d’avoir les pieds “ chaussés de l’équipement de la bonne nouvelle de la paix ”. — Ép 6:14, 15.
Dénouer les lanières des sandales de quelqu’un ou lui porter ses sandales était considéré comme une de ces tâches serviles réservées le plus souvent aux esclaves. Jean employa cette image pour exprimer son infériorité par rapport à Christ. — Mt 3:11 ; Mc 1:7.

Invité


Invité

[*]REVETIR L'ARMURE DE DIEU
[*] Éphésiens 6:10-20
[*]

  • 10 Enfin, continuez d’acquérir de la puissance+ dans [le] Seigneur et dans la puissance+ de sa force. 11 Revêtez l’armure complète+ de Dieu pour que vous puissiez tenir ferme contre les manœuvres*+ du Diable ; 12 parce que nous avons à lutter+, non pas contre le sang et la chair, mais contre les gouvernements+, contre les autorités+, contre les maîtres mondiaux*+ de ces ténèbres, contre les forces spirituelles méchantes+ dans les lieux célestes. 13 Voilà pourquoi prenez l’armure complète* de Dieu+, pour qu’au jour mauvais vous puissiez résister et, après avoir fait toutes choses pleinement, tenir ferme+.
    14 Tenez donc ferme, les reins ceints+ de vérité+, revêtus de la cuirasse de la justice+, 15 les pieds+ chaussés de l’équipement* de la bonne nouvelle de la paix+. 16 Surtout, prenez le grand bouclier de la foi+, avec lequel vous pourrez éteindre tous les projectiles enflammés du méchant+. 17 En outre, acceptez le casque+ du salut, et l’épée+de l’esprit+, c’est-à-dire la parole de Dieu+, 18 tandis que par toutes sortes de prières+ et de supplications vous priez en toutes circonstances, en esprit+. Et pour cela tenez-vous éveillés avec toute persévérance et avec supplication pour tous les saints, 19 pour moi aussi, afin que la capacité de parler+ me soit donnée quand j’ouvre la bouche pour faire connaître avec franchise+ le saint secret de la bonne nouvelle+, 20 pour laquelle je fais fonction d’ambassadeur+dans les chaînes ; afin que je puisse, en ce qui la concerne, parler avec hardiesse* comme je dois parler+.

Josué

Josué
Administrateur

Leurs femmes et leurs biens. En matière de mariage et de famille, les rois judéens avaient coutume de prendre plusieurs femmes et concubines, alors que la Loi stipulait que le roi ne devait pas multiplier pour lui les épouses (Dt 17:17). On considérait que les concubines appartenaient à la couronne et elles étaient transmises au successeur sur le trône avec les droits et les biens du roi. Épouser ou s’approprier une concubine du roi après sa mort revenait à proclamer sa prétention au trône. Par conséquent, quand Absalom eut des relations avec les concubines du roi David, son père, et quand Adoniya demanda pour femme Abishag, qui gardait David et lui tenait compagnie dans ses vieux jours, c’était comme s’ils revendiquaient le trône (2S 16:21, 22 ; 1R 2:15-17, 22). Il s’agissait d’actes de trahison.

Josué

Josué
Administrateur

Abraham ayant donné l’exemple, les tombes familiales semblent avoir eu la préférence (2S 19:34-37). Il est dit de Guidéôn, de Samson et d’Asahel que chacun fut enterré ‘ dans la tombe de son père ’. (Jg 8:32 ; 16:31 ; 2S 2:32.) En revanche, l’expression ‘ se coucher, c’est-à-dire être enterré, avec ses ancêtres ’, qui revient souvent, ne signifie pas nécessairement être mis dans la même tombe, puisqu’on la rencontre à propos d’hommes qui à l’évidence ne furent pas enterrés au même endroit que leurs ancêtres (Gn 15:15 ; Dt 31:16 ; 32:50 ; 1R 2:10 ; Ac 13:36). Elle doit donc signifier que comme eux ils entrèrent dans le shéol (l’hadès), la tombe commune aux hommes. Cette tombe commune est appelée “ la maison de réunion de tous les vivants ”. — Jb 30:23.

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