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Comment vaincre la dépression?

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philippe83
unitarien
pimprenelle
Aude
Psalmiste
VENT
Josué
samuel
12 participants

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samuel

samuel
Administrateur

Rappel du premier message :

suite a e une erreur de manipulation le sujet a été effacé. nous prions de nous pardonner.voilà pourquoi nous ouvrons un nouveau sujet .
Comment vaincre la dépression
“CE QUI m’accablait le plus et contre quoi j’ai dû lutter, reconnaît Lola, c’était de me sentir coupable d’être désespérée alors que je servais Jéhovah; je pensais que je ne devais pas ressentir cela.” Cette erreur courante est souvent le premier ennemi contre lequel le chrétien déprimé doit lutter. Lola ajoute: “Une fois que j’ai cessé de me culpabiliser pour ce que je ressentais et que je me suis appliquée à mon rétablissement, j’ai pu mieux faire face à ma dépression.” En effet, la dépression par elle-même n’est pas une raison pour penser que vous avez manqué à vos engagements envers Dieu.
Comme le montrait l’article précédent, la cause de la dépression peut être physiologique. En 1915, bien avant que les recherches récentes permettent d’établir le lien entre la dépression et de nombreuses maladies physiques, La Tour de Garde déclarait: “Cette lassitude de l’esprit ou ce sentiment de solitude et de dépression que tout le monde ressent parfois est normal (...). Ce phénomène est accentué dans une certaine mesure à cause de notre état de santé.” Par conséquent, si une humeur dépressive persiste, un examen médical peut être utile. Dans les cas extrêmes, on peut faire soigner ce trouble par un spécialiste de la dépression.
Mais, même quand l’état physique n’est pas en cause, il n’est pas réaliste de s’attendre à ce qu’un serviteur de Dieu ne soit jamais triste ou découragé. Pensons simplement à la fidèle Hannah, qui ‘avait l’âme amère et pleurait grandement’. (1 Samuel 1:7, 10.) Néhémie aussi ‘a pleuré et mené deuil pendant des jours’ et a ressenti “une morosité du cœur”. (Néhémie 1:4; 2:2.) Job en est venu à détester sa vie et à croire que Dieu l’avait abandonné (Job 10:1; 29:2, 4, 5). Le roi David a dit que son esprit défaillait au-dedans de lui et que son cœur se révélait tout engourdi (Psaume 143:4). L’apôtre Paul dit avoir ressenti ‘des craintes au-dedans’ et avoir été ‘jeté à bas’ sur le plan émotif. — 2 Corinthiens 4:9; 7:5, 6.
Tous étaient de fidèles serviteurs de Dieu; pourtant, des détresses, des inquiétudes ou des déceptions amères leur ont causé de la tristesse pendant un temps. Or, Dieu ne les avait pas abandonnés ni ne leur avait retiré son esprit saint. Leur dépression n’était pas due à un manquement d’ordre spirituel. À un moment où il était affligé, David demanda dans la prière: “Réjouis l’âme de ton serviteur.” Dieu réconforta David durant ce ‘jour de détresse’ et, avec le temps, l’aida à se réjouir (Psaume 86:1, 4, 7). À notre époque, Jéhovah aidera ses serviteurs d’une manière identique.
Puisque la dépression en elle-même n’est pas l’indice d’un quelconque manquement d’ordre spirituel ou d’une faiblesse mentale, le chrétien qui en souffre ne devrait pas être embarrassé au point de ne pas en parler. Il devrait plutôt franchir l’un des pas les plus importants qui soient dans la lutte contre cette maladie. Quel est-il?


sam94



les medicaments c'est bien mais les amis c'est beaucoup mieux .dans tous les cas il faut consulteé un specialiste pour avoir un avis sur le degres de depression

Josué

Josué
Administrateur

sam94 a écrit:les medicaments c'est bien mais les amis c'est beaucoup mieux .dans tous les cas il faut consulteé un specialiste pour avoir un avis sur le degres de depression
mais des fois il faut les deux.

sam94



je dirais meme que dans tous les cas les deux (amis et medicamens ) sont le seul remede pour venir a bout d'une depression

Josué

Josué
Administrateur

sam94 a écrit:je dirais meme que dans tous les cas les deux (amis et medicamens ) sont le seul remede pour venir a bout d'une depression
il y a aussi la foi.

Pro-TJ

Pro-TJ

sam94 a écrit:je dirais meme que dans tous les cas les deux (amis et medicamens ) sont le seul remede pour venir a bout d'une depression

les amis et les médicaments ne peuvent rien faire

ni croire en dieu
certains s'ent sortent avec le spiritisme

On cherche Dieu


VENT

VENT
MODERATEUR
MODERATEUR

Bah si, la fois aide beaucoup dans la mesure où elle nous édifie contrairement au monde qui nous déprime.

Josué

Josué
Administrateur

“ Un cœur joyeux est un bon remède ”, a écrit il y a 3 000 ans un sage roi Israélite (Proverbes 17:22, Bible à la Colombe). De nos jours, les médecins reconnaissent la pertinence de ces paroles inspirées. Seulement, la plupart d’entre nous n’ont pas naturellement un “ cœur joyeux ”.
Rares sont ceux qui échappent aux contraintes de la vie quotidienne, lesquelles peuvent engendrer frustration et pessimisme. Ceci dit, des études récentes montrent que, malgré les difficultés, on a tout à gagner à cultiver l’optimisme.
L’optimisme se définit comme suit : “ Impression, sentiment de confiance heureuse, dans l’issue, le dénouement favorable d’une situation particulière. ” Comment l’optimiste réagit-il quand il essuie un échec ? Il ne considère pas cet échec comme définitif. Cela ne veut pas dire qu’il n’est pas réaliste. En fait, il accepte la situation et l’analyse. Puis, si les circonstances le permettent, il agit de façon à la modifier voire à l’améliorer.
Le pessimiste, quant à lui, se tient souvent pour responsable de ses malheurs. Il les considère comme définitifs et les attribue à sa stupidité, à son incompétence ou à son physique peu attirant. En conséquence, il se résigne à l’échec.
L’optimisme a-t-il des conséquences sur notre santé et notre bien-être ? Oui. Pendant 30 ans, la clinique Mayo, à Rochester (Minnesota, États-Unis), a mené une étude sur 800 patients. Les chercheurs se sont aperçus que les optimistes avaient une meilleure santé et vivaient significativement plus longtemps que les autres. Ils ont aussi remarqué que les optimistes supportaient mieux le stress et étaient moins sujets à la dépression.
L’optimisme n’est pas une qualité facile à acquérir dans un monde où les problèmes semblent se multiplier. Il n’est pas étonnant que beaucoup aient du mal à être positifs. Que faire dans ce cas ? Vous trouverez dans l’encadré ci-contre des idées qui peuvent vous aider.
S’il est vrai qu’une disposition d’esprit joyeuse ne règle pas tout, elle permet d’être en meilleure santé et de mener une vie plus heureuse. La Bible déclare : “ Pour l’affligé, tous les jours sont mauvais, mais celui qui a le contentement dans son cœur est toujours en fête. ” — Proverbes 15:15, Bible Segond Révisée.

sam94



les medicaments , les amis , la foi le spiritisme . quand nous sommes en depresion il faut trouver un derivatif pour oublié notre etat et tout est bon a prendre tant que cela nous fait du bien

Pro-TJ

Pro-TJ

http://chretien.et.homo.free.fr/telechargements.php

Pro-TJ

Pro-TJ

Josué a écrit:
sam94 a écrit:je dirais meme que dans tous les cas les deux (amis et medicamens ) sont le seul remede pour venir a bout d'une depression
il y a aussi la foi.

toi, des foies, tu parles pour rien dire

VENT

VENT
MODERATEUR
MODERATEUR

Masoeur66 a écrit:
Josué a écrit:
sam94 a écrit:je dirais meme que dans tous les cas les deux (amis et medicamens ) sont le seul remede pour venir a bout d'une depression
il y a aussi la foi.

toi, des foies, tu parles pour rien dire
Si si Masoeur66, on sait de quoi on parle dans le domaine de la foi qui soigne la dépression.

Pro-TJ

Pro-TJ

VENT a écrit:
Masoeur66 a écrit:
Josué a écrit:
il y a aussi la foi.

toi, des foies, tu parles pour rien dire
Si si Masoeur66, on sait de quoi on parle dans le domaine de la foi qui soigne la dépression.

é bé ça me plairé bien Wink

chico.

chico.

De_passage a écrit:BJR

Sur ce site vous trouverez 2 livres sur la dépression
Dont un écrit par un docteur Témoin de Jéhovah qui est trés bon.

ce lien est anti-TJ qui défend l'homosexualité, et n'a rien à voir avec la depression [la moderation]
Il explique comment on peut se soigner avec des bons médicaments

Parceque la dépression, ou la déprime ça peut arriver à tout le monde
ça c'est bien vrais car nul n'est à l'abri de cette maladie du siècle.

Chris Smile

Josué

Josué
Administrateur

[img]Comment vaincre la dépression? - Page 2 Dsc00237ln [/img]
excellent article de réveillez-vous du mois de Mars 2012.

Josué

Josué
Administrateur

Fatigue, anxiété, moral en berne... Et si c'était une dépression ? Comment faire la différence avec une simple déprime passagère ? Medisite vous répond avec le Dr Alain Gérard, psychiatre.
La fatigue

La fatigue tient une place à part entière parmi les symptômes que l'on retrouve dans la dépression. "Il s'agit d'une fatigue qui, contrairement à la fatigue ordinaire, se manifeste le matin et s'améliore le soir", explique le Dr Alain Gérard psychiatre. "Elle est liée à ce que l'on appelle le ralentissement psychomoteur." La moindre activité physique ou intellectuelle, mais aussi le simple fait d'aller dîner ou déjeuner avec des amis devient difficile.
Quand consulter ? Si la fatigue s’associe à d’autres signes comme la perte du plaisir, l’anxiété, la dévalorisation de soi… et persiste quotidiennement pendant au moins une dizaine de jours, mieux vaut consulter.
http://sante.planet.fr/deprime-et-depression-comment-reconnaitre-une.155643.110.html

Yirmeyah Jérémie

Yirmeyah Jérémie

Quand on ne peut vaincre la dépression, on peut au moins l'amadouer.

http://communautetjfrancoph.forum-canada.com/

Josué

Josué
Administrateur

L’alimentation anti déprime

« Bien sûr on ne peut pas affirmer qu’un aliment ou qu’une catégorie d’aliments permettent de venir à bout de la déprime ou de la dépression… Mais une alimentation équilibrée favorise un bon état mental général », explique J. Roches, psychothérapeute. Par ailleurs les oméga 3 très présents dans les poissons gras (thon, sardine, saumon…) contribuent à la construction des cellules cérébrales et auraient selon certaines études des effets antidépresseurs. On peut aussi citer le calcium qui participe aux transmissions nerveuses et a une incidence sur la dépression, ou encore le magnésium (dans les noix par exemple), qui stimule l’influx nerveux et permet de lutter contre le stress, facteur de déprime.

Josué

Josué
Administrateur

[size=36]sous-estimée en cas de cancer

Mots clés : dépression, cancer
Par Comment vaincre la dépression? - Page 2 Ico-fdamien Mascret - le 27/08/2014
Elle n'est pas identifiée dans trois cas de cancer sur quatre.[/size]

Selon une étude réalisée en Grande-Bretagne auprès de plus de 21.000 malades atteints de cancer et publiée dans The Lancet le 28 août, le risque dedépression est plus élevé que dans la population générale. Rien d'étonnant, diront certains, mais alors comment expliquer que dans les trois quarts des cas le diagnostic ne soit pas posé?
«D'abord les patients eux-mêmes ne se rendent pas forcément compte qu'ils ont une authentique dépression», explique Catherine Adler, onco-psychologue et vice-présidente de l'association Étincelle, consacrée aux activités de bien-être pour les femmes ayant un cancer. «Se sentir triste peut paraître normal, mais si cela devient permanent et surtout s'il y a une perte d'envies, il faut s'inquiéter», insiste-t-elle.
Dans l'étude coordonnée par le Pr Jane Walker de l'université d'Oxford, le risque de dépression varie en fonction du type de cancer, allant de 13,1 % en cas de cancer du poumon à 5,6 % dans les localisations génito-urinaires. Elle est de 9,3 % pour le cancer du sein. «En dépit de ses conséquences néfastes sur la vie quotidienne et l'adhésion au traitement (contre le cancer, NDLR), soulignent les auteurs de l'étude, la dépression de patients qui consultent en cancérologie est insuffisamment prise en charge.»
«C'est en effet un problème très sous-évalué, confirme le Pr Jean-Louis Pujol, responsable de l'oncologie thoracique et de l'unité de psycho-oncologie au CHU de Montpellier. Le patient est dans une situation traumatique très forte et ses besoins ne sont pas complètement couverts.» Le Dr Sylvie Dolbeault, psychiatre responsable du département de soins de support de l'Institut Curie, milite pour que le dépistage de la détresse psychologique devienne une obligation dans les recommandations de bonnes pratiques qui guident les médecins. «Le repérage de la détresse ne doit pas seulement être fait au début mais aussi pendant le parcours de soins et même après le traitement», ajoute-t-elle.

Le rôle des proches

«Malheureusement, estime le Pr Pujol, les prises en charge actuelles se font avec de moins en moins de temps, ce qui augmente le risque de méconnaître des troubles dépressifs.» D'autant que la verbalisation des émotions n'est pas toujours facile pour un patient dépressif, que les proches, croyant bien faire, invitent d'abord à «se battre» et à «avoir le moral». Le vocabulaire guerrier est répandu en cancérologie, mais isole parfois les patients en difficulté psychologique.
«Il y a autour du patient tout un imaginaire qui renforce l'idée qu'il faut être un bon combattant, mais on a aussi le droit d'être déprimé et d'avoir besoin d'aide», insiste le Dr Sarah Dauchy, psychiatre à l'Institut Gustave-Roussy, à Villejuif. Un premier repérage de la dépression peut être fait systématiquement, quitte à confirmer ou pas le diagnostic par la suite. «Êtes-vous déprimé? Avez-vous le sentiment d'avoir perdu l'intérêt pour des choses ou des activités qui vous font habituellement plaisir? Ces questions simples peuvent être posées par un membre de l'équipe soignante qui a été formé au repérage et à l'accompagnement des personnes déprimés», remarque le Dr Dauchy.
Les proches aussi ont un rôle à jouer, car le patient dépressif n'identifie pas toujours sa dépression. «Il ne faut pas attendre l'accord spontané du malade pour demander une évaluation psycho-oncologique, explique le Dr Dolbeault, car beaucoup de patients ne vont pas demander d'aide.»
S'ajoute la difficulté de démêler ce qui est normal, étant donné la situation, et ce qui est pathologique. «La frontière est étroite entre les effets indésirables du traitement, le cancer et la dépression», note Catherine Adler. On ne soigne pas une maladie mais une personne, ont coutume de dire les médecins. «Hélas, lorsque l'on parle de médecine personnalisée en cancérologie, c'est plus souvent de génétique qu'il s'agit», regrette le Pr Pujol.

Josué

Josué
Administrateur

Vaincre le blues de Noël, cet autre mal de l'hiver
MAHAUT HERRMANN
CRÉÉ LE 23/12/2014 / MODIFIÉ LE 23/12/2014 À 19H25

Comme chaque année, Julie  voit arriver les fêtes de fin d’année avec la boule au ventre. Cette mère de famille se sent en « décalage » avec son entourage et redoute de devoir afficher « une joie feinte et normée ».

« Je n’aime pas les fêtes », « Vivement que ce soit fini ! », « Les fêtes, c’est toujours une corvée », ce sont des mots que le docteur Vincent Rébeillé-Borgella, médecin généraliste, entend régulièrement pendant ses consultations de décembre. Les patients ne viennent évidemment pas consulter spécifiquement pour ça. « Le sujet apparaît autour de la discussion pendant la consultation », précise le docteur Rébeillé-Borgella, « mais la part des patients qui l’abordent est en hausse depuis plusieurs années ».

Le blues, la dépression et le sentiment de solitude seraient les symptômes d’une maladie spécifique de Noël, le blues de Noël. « La baisse de la luminosité du mois de décembre a une influence reconnue sur le moral mais elle ne fait pas tout », commente la psychothérapeute Marie Romanens.

Consommation et soif spirituelle
Alors, quelles sont les causes du développement de cette « pathologie » saisonnière ? Pour le docteur Rébeillé-Borgella, il nous faut chercher du côté des pressions de notre société, qui rappelle aux gens leur isolement et les dysfonctionnements familiaux. Pour cette raison, SOS-Amitié met depuis plus de quarante ans un point d’honneur à ce que toutes ses lignes d’écoute soient opérationnelles la nuit et le jour de Noël, engagement popularisé par le film Le père Noël est une ordure.

D’autres facteurs jouent aussi. Chantal Rialland, psychothérapeute, psychogénéalogiste, rappelle que « beaucoup souffrent de la notion de fête obligatoire et subissent les réunions familiales, n'osant pas dire non aux invitations ». Le caractère familial des fêtes de fin d’année est propice à raviver les blessures de la vie tels que les deuils, les conflits, les séparations, ce sentiment de ne pas avoir été aimé comme on aurait aimé l’être, d’autant plus que beaucoup préfèrent se taire pour ne pas encourir le reproche d’avoir gâché la fête familiale.

La perte du sens religieux de Noël pourrait aussi expliquer l’augmentation du nombre de personnes touchées par le blues de Noël. Début décembre, un sondage du CSA pour Direct Matin montrait que Noël ne représentait une fête religieuse que pour 15% des français. « Il y a un vrai hiatus entre ce que la société propose et les besoins de l’individu. La débauche de consommation met l’accent sur tout ce qui nous manque », souligne Marie Romanens. Le constat fait écho à l’expérience de Julie : « Il y dans Noël une difficulté à s’extraire du matérialisme ambiant, du consumérisme qui ne peuvent pas combler ma soif spirituelle ». Ainsi, en préparant Noël, sa famille a tout évoqué, le budget cadeaux, les meilleures recettes de cuisine, les échanges de chèques. Tout, sauf les horaires des messes, si bien que Julie a dû poser la question elle-même.

Initiatives chrétiennes contre le blues des fêtes
Les communautés chrétiennes sont de plus en plus sensibilisées au sujet. L’Église évangélique protestante de Villeurbanne-Cusset a ainsi organisé en décembre une soirée sur le thème « Prévenir ou vaincre le blues de Noël » réunissant des médecins autour du pasteur. L’effet a été immédiat : les fidèles qui avaient prévu de passer le 24 décembre au soir dans la solitude ont été invités par d’autres pour la soirée.

Psalmiste

Psalmiste

Le meilleur remède c'est le sport en plein air (randonnée dans les bois, sur la plage, dans les dunes, ou encore en campagne). En tout cas c'est ce que je fais lorsque ça ne va pas.

chico.

chico.

Psalmiste a écrit:Le meilleur remède c'est le sport en plein air (randonnée dans les bois, sur la plage, dans les dunes, ou encore en campagne). En tout cas c'est ce que je fais lorsque ça ne va pas.
Mais tout le monde ne peut pas faire du sport et de la randonnée.

Psalmiste

Psalmiste

chico. a écrit:
Psalmiste a écrit:Le meilleur remède c'est le sport en plein air (randonnée dans les bois, sur la plage, dans les dunes, ou encore en campagne). En tout cas c'est ce que je fais lorsque ça ne va pas.
Mais tout le monde ne peut pas faire du sport et de la randonnée.

Et pourquoi ça ???
Il y a encore quelques jours j'ai fais 20 km dans les dunes avec 3 personnes qui avaient une moyenne d'âge de 60 ans.

Psalmiste

Psalmiste

Après d'autres personnes préfèreront le velo, la natation, la course à pied, etc... mais le plus important c'est d'avoir une activité physique, et si possible en plein air.

Josué

Josué
Administrateur

et ceux qui ne peuvent pas faire du sport et d'autres activités physiques il faut bien penser que c'est chez eux qu'arrive la dépression d'hiver.surtout ceux qui n'ont pas de famille.

Psalmiste

Psalmiste

Mais on peut tous faire du sport Smile
Pas besoin d'argent pour faire de la marche, des randos, du vélo, etc...
Et pas besoin nob plus d'être un athèlte pour se mettre au sport.

samuel

samuel
Administrateur

Un pépé de 80 ans tu vas lui dire fait du sport et ça ira mieux pour toi?Sad

Psalmiste

Psalmiste

samuel a écrit:Un pépé de 80 ans tu vas lui dire fait du sport et ça ira mieux pour toi?Sad

Ben ma grand-mère à 84 ans, et elle fait de l'aquagym.

samuel

samuel
Administrateur

Mais tout le monde n'a pas cette possibilité .

Psalmiste

Psalmiste

Tout le monde n'a peut être pas cette possibilité, mais tout le monde peut malgré tout faire une petite marche d'une 1/2 heure, de 20 minutes, ou même de 10 minutes. Car l'important c'est de sortir, prendre l'air et la lumière, et faire un minimum d'activité physique (en fonction de son age).

Car qu'une personne de 80 ans qui fait de la dépression aura bien du mal à faire 2 ou 3 heures de marche par jour, mais en revanche, quelqu'un de 20, 30, 40, 50, ou même 60 ans qui déprime, peut très bien se forcer au début pour sortir (car au début ce n'est pas toujours facile), puis ensuite il n'aura plus besoin de sortir, ça deviendra un loisirs.

chico.

chico.

Le meilleur remède c'est quand même le contact humain.

samuel

samuel
Administrateur

Comment démasquer la dépression de l'adolescent

: dépression, adolescents, Anti-dépresseurs
[size=10]Par Comment vaincre la dépression? - Page 2 Ico-fdamien Mascret - le 16/12/2014 
[size=14]De nouvelles recommandations visant à améliorer le repérage et la prise en charge des manifestations dépressives chez l'adolescent ont été émises par la Haute Autorité de santé (HAS). 
«La grande difficulté est que l'adolescent souffrant de dépression sévère ne verbalise pas sa tristesse mais manifeste indirectement sa douleur par des comportements non spécifiques», explique au Figaro le Dr Louis Tandonnet, pédopsychiatre à Agen et chargé de projet pour les nouvelles recommandations de la HAS. Sans compter qu'il est facile de les mettre sur le compte de l'adolescence elle-même. «Ça peut être des plaintes somatiques, un comportement opposant, une irritabilité importante, un retrait par rapport à la famille, un hyper-investissement des pairs ou des jeux vidéo», détaille-t-il. Ces comportements peuvent en fait masquer les émotions dépressives sous-jacentes.
Une étude suédoise récente, basée sur l'analyse des symptômes manifestés par des adolescents (13-17 ans) en difficulté consultant dans deux structures pédopsychiatriques de Stockholm, montrait l'incroyable variété de ceux-ci. Les chercheurs de l'Institut Karolinska, distinguaient deux groupes de symptômes, l'un classique, l'autre plus varié. Dans un cas, des facteurs bien connus: humeur dépressive, manque d'énergie ou fatigabilité accrue, perte d'intérêt ou de plaisir pour des activités habituellement agréables, difficulté de concentration, pensées ou comportements autodestructeurs, qu'ils soient actuels ou antérieurs, et enfin perte de confiance ou d'estime de soi. Les signes plus variés concernent des jeunes qui ont des rapports encore plus conflictuels en société: irritabilité, idées suicidaires, troubles des conduites, anxiété reflétant des peurs particulières, angoisse de séparation, attaques de panique, agoraphobie, modifications de l'appétit, problèmes de poids et de sommeil.
Une coordination entre acteurs
Les experts réunis par la HAS rappellent que «contrairement aux adultes, les adolescents sont ceux qui ont le moins recours aux soins lorsqu'ils rencontrent des difficultés psychiques». Toutefois, si les adolescents n'accordent pas facilement leur confiance et n'expriment pas spontanément leurs ressentis, «en revanche, ils les reconnaissent assez facilement si un adulte médiateur s'adresse à eux», remarquent les experts.
C'est en repérant l'humeur triste masquée par un comportement trop vite banalisé à cet âge que l'on peut aider l'adolescent en souffrance. Les soignants, notamment le médecin généraliste, seront à même de distinguer l'épisode dépressif de la simple déprime passagère et d'estimer le risque suicidaire. «Il faut se rendre compte que chacun a un pouvoir soignant important par sa simple empathie, insiste le Dr Tandonnet, qu'il soit un proche ou un éducateur.»
Mais le risque, pour les proches, n'est pas seulement de passer à côté des sentiments dépressifs, il est aussi d'adopter la conduite qu'il ne faut pas. «Plus l'incompréhension s'installe face à ces manifestations et plus on accentue la sensation de rejet qu'éprouve l'adolescent en dépression, souligne le pédopsychiatre. Il faut pouvoir comprendre et nommer la souffrance pour rester “soutenant” malgré les difficultés relationnelles.»
Enfin, la coordination entre les différents acteurs est fondamentale, qu'il s'agisse de la famille, du médecin généraliste, de l'école et éventuellement du pédopsychiatre.

Josué

Josué
Administrateur


Thérapie naturelle contre la dépression

Invité


Invité

la dépression, si une personne ne fait pas attention a ca, ca peut devenir dangereux. le remede, entre autres, c'est de ne pas s'isoler selon la bible mais de chercher a communiquer avec son prochain.

Josué

Josué
Administrateur

Comment en finir avec nos blocages émotionnels ? Focus sur la méthode Tipi, récemment mise au point pour surmonter des traumatismes anciens et prendre de la distance avec nos appréhensions.

Comment réagissons-nous face aux perturbations émotionnelles qui se présentent dans notre existence ? La plupart du temps, nous cherchons à les soulager d’une manière ou d’une autre. Si nous éprouvons de la colère, nous tâchons de la maîtriser, par exemple en serrant les poings. Si nous sommes paralysés par la peur, nous tentons de prendre une large respiration ou bien de nous raisonner pour réagir. Ces attitudes apportent un bienfait à court terme, mais à la longue nous pouvons avoir le sentiment de revivre toujours les mêmes gênes émotionnelles.

Une nouvelle technique a été récemment mise au point, qui vise à se désensibiliser des peurs. Elle ne promet pas de repeindre en rose notre environnement, mais elle permet de ne plus nous laisser paralyser par nos appréhensions. Simplement en étant à l’écoute de nos sensations corporelles, sans chercher à les contrôler ni à les soulager. Cette approche s’appelle Tipi, pour technique d’identification sensorielle des peurs inconscientes.

C’est un Français, Luc Nicon, 60 ans, qui l’a finalisée. Ni psychothérapeute ni médecin, il est avant tout pédagogue. Son métier consiste à mettre au point des méthodes d’enseignement destinées aux élèves qui ont des difficultés d’apprentissage. Pour y parvenir, il privilégie le ressenti de type sensoriel plutôt qu’intellectuel. Il a identifié cette approche à la fin des années 1990, sans penser qu’elle pourrait s’avérer utile à autrui. Puis il l’a testée lors d’une étude auprès d’un échantillon de 278 personnes et a obtenu des résultats très positifs : 79 % d’entre elles sont venues à bout de leur souffrance émotionnelle en une seule fois, 19 % en deux rendez-vous ou davantage, enfin 2 % n’ont expérimenté aucun changement notable.

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