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10 nov. Lecture de la Bible : Deutéronome 19-22

2 participants

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Josué

Josué
Administrateur

10 nov. Lecture de la Bible : Deutéronome 19-22

En tuant un meurtrier, le vengeur du sang ne se chargeait pas d’une dette de sang, car il faisait la propitiation pour le sang innocent qui, autrement, aurait souillé le pays (Nomb. 35:33). Mais que se passait-il si la mort avait été donnée accidentellement, sans préméditation ni méchanceté ? Il s’agissait d’un meurtre involontaire, l’auteur de celui-ci n’ayant pas cherché à frapper la victime. Dans un tel cas, si le vengeur du sang se saisissait du meurtrier involontaire et le tuait dans sa colère, le plus proche parent de ce dernier, qui n’était pas coupable d’un meurtre prémédité, pouvait se lever à son tour avec indignation contre celui qui avait tué son parent, et une autre vie innocente risquait d’être prise, celle du premier vengeur du sang, qui avait légalement le droit de frapper le meurtrier involontaire. Cela pouvait facilement provoquer une véritable guerre sanglante et la mort de plusieurs innocents. En outre, le pays serait souillé par un bain de sang.
9 Pour empêcher cela, et dans un acte de miséricorde, Jéhovah ordonna que des villes d’Israël soient prévues pour servir de refuge au meurtrier involontaire pourchassé par le vengeur du sang. “Ces villes vous serviront de refuge contre le vengeur du sang, afin que le meurtrier ne soit point mis à mort avant d’avoir comparu devant l’assemblée pour être jugé. Des villes que vous donnerez, six seront pour vous des villes de refuge. Vous donnerez trois villes au delà du Jourdain, et vous donnerez trois villes dans le pays de Canaan : ce seront des villes de refuge. Ces six villes serviront de refuge aux enfants d’Israël, à l’étranger et à celui qui demeure au milieu de vous : là pourra s’enfuir tout homme qui aura tué quelqu’un involontairement.” (Nomb. 35:10-15 ; Deut. 19:1-3, 8-10). Dans Deutéronome 19:6, il est montré que ces villes devaient être peu éloignées et facilement accessibles, “de peur que le vengeur du sang, échauffé par la colère et poursuivant le meurtrier, ne finisse par l’atteindre s’il avait à faire beaucoup de chemin, et ne frappe mortellement celui qui ne mérite pas la mort, puisqu’il n’était point auparavant l’ennemi de son prochain”. Bien que cela ne soit pas dit expressément dans la Bible, la tradition juive nous apprend que les chemins conduisant aux villes de refuge devaient être larges et toujours bien entretenus, afin qu’il n’y ait aucun obstacle.

Josué

Josué
Administrateur

Une fois définies les frontières plus précises des territoires des tribus, on put attribuer des possessions à chaque famille, et cela fut manifestement fait non par tirage au sort, mais sous la direction du comité mis en place, composé d’Éléazar, de Josué et des chefs (Jos 17:3, 4). C’est pourquoi Deutéronome 19:14 déclare que “ quand les aïeux auront fixé les limites dans ton héritage ” il ne faudra pas les reculer.
D’après le récit de la répartition du territoire à l’O. du Jourdain, ce sont les lots de Juda (Jos 15:1-63), de Joseph (Éphraïm) (Jos 16:1-10) et de la demi-tribu de Manassé installée à l’O. du Jourdain (Jos 17:1-13) qui furent délimités en premier, puisque leurs frontières et leurs villes sont énumérées. Après quoi le partage du pays fut manifestement interrompu étant donné que le camp d’Israël se déplaça de Guilgal à Shilo (Jos 14:6 ; 18:1). Il n’est pas précisé combien de temps s’écoula, mais finalement Josué réprimanda les sept autres tribus en raison de leur lenteur à coloniser le reste du pays (Jos 18:2, 3). Plusieurs explications ont été avancées sur la raison pour laquelle les sept tribus eurent cette attitude ; certains commentateurs supposent que l’abondance du butin qu’elles avaient recueilli lors de la conquête et la relative absence de danger immédiat de la part des Cananéens amenèrent peut-être ces tribus à ne pas juger urgent de prendre possession du reste du territoire. Ces tribus répugnèrent peut-être à affronter le problème consistant à s’occuper des îlots de résistance, ce qui contribua à ce manque d’empressement (Jos 13:1-7). En outre, elles connaissaient peut-être beaucoup moins bien cette partie de la Terre promise que les secteurs qui étaient déjà attribués.

Josué

Josué
Administrateur

La loi concernant le “vengeur du sang” soulignait, elle aussi, la nécessité d’accorder le plus grand respect à la vie. Le “vengeur du sang” était le plus proche parent de la victime. Il pouvait très bien reconnaître qu’il s’agissait d’une mort accidentelle. Mais, de son côté, le meurtrier pouvait tarder à s’enfuir ou, après avoir atteint la ville de refuge, sortir hors de ses limites ou même retourner chez lui. En agissant ainsi, il montrait qu’il n’était pas vraiment conscient d’avoir causé la mort d’un homme ou provoqué une effusion de sang. Dans ce cas-là, le “vengeur du sang” avait le devoir de mettre à mort le meurtrier. Ainsi, le meurtrier involontaire comme le “vengeur du sang” devaient faire passer le respect du caractère sacré de la vie avant leurs désirs ou leurs sentiments personnels. Cette disposition qui prévoyait des villes de refuge empêchait aussi les vengeances interminables entre familles. Elle sauvegardait les relations paisibles entre Dieu et la nation d’Israël. — Nomb. 35:26-29 ; Josué 20.2-6.

Josué

Josué
Administrateur

Le caractère sacré de la vie était bien mis en évidence même dans le cas d’un meurtre accidentel. Par exemple, le fer de la hache qu’un homme utilisait pour couper du bois pouvait se détacher du manche, atteindre une autre personne et la tuer. Le meurtrier involontaire devait alors s’enfuir immédiatement dans la ville de refuge la plus proche. Jéhovah avait en effet prévu de telles villes dans sa miséricorde (Deut. 19:4-7 ; Nomb. 35:6, 11). Le meurtrier involontaire y trouvait refuge jusqu’au moment où pour être jugé, il se rendait dans la juridiction où avait eu lieu l’accident. S’il était prouvé qu’il s’agissait effectivement d’un accident, l’homme était reconduit dans la ville de refuge où il devait rester jusqu’à la mort du grand prêtre en fonction à ce moment-là. Évidemment, il pouvait y rester des années, voire toute sa vie. — Nomb. 35:12, 22-25.
La loi concernant le “vengeur du sang” soulignait, elle aussi, la nécessité d’accorder le plus grand respect à la vie. Le “vengeur du sang” était le plus proche parent de la victime. Il pouvait très bien reconnaître qu’il s’agissait d’une mort accidentelle. Mais, de son côté, le meurtrier pouvait tarder à s’enfuir ou, après avoir atteint la ville de refuge, sortir hors de ses limites ou même retourner chez lui. En agissant ainsi, il montrait qu’il n’était pas vraiment conscient d’avoir causé la mort d’un homme ou provoqué une effusion de sang. Dans ce cas-là, le “vengeur du sang” avait le devoir de mettre à mort le meurtrier. Ainsi, le meurtrier involontaire comme le “vengeur du sang” devaient faire passer le respect du caractère sacré de la vie avant leurs désirs ou leurs sentiments personnels. Cette disposition qui prévoyait des villes de refuge empêchait aussi les vengeances interminables entre familles. Elle sauvegardait les relations paisibles entre Dieu et la nation d’Israël. — Nomb. 35:26-29 ; Josué 20.2-6.

Josué

Josué
Administrateur

les fils premiers-nés d’Israël représentaient la nation tout entière, car ils étaient appelés à succéder à leurs pères et à devenir les chefs de maison. C’est pourquoi, en tant que principaux héritiers de la nation, chacun des fils premiers-nés recevait deux parts de l’héritage familial, tandis que chacun des autres fils ne recevait qu’une seule part de l’héritage. Sous ce rapport-là, les fils premiers-nés d’Israël, qui étaient particulièrement exposés à la mort durant la dixième plaie sur l’Égypte, représentaient Israël dans son ensemble, le “premier-né” de Dieu, sa nation. — Deutéronome 21:17.

Josué

Josué
Administrateur

QUELLE est votre réaction quand vous trouvez un objet perdu ayant une certaine valeur ?
Éprouvez-vous aussitôt un sentiment de possession qui vous fait écarter toute intention de le rendre à son propriétaire ?
Peut-être n’avez-vous pas une réaction aussi dure. Mais vous mettez-vous à argumenter et à avoir des pensées comme celles-ci : “Cette personne n’aurait pas dû être aussi négligente ; elle ne l’aurait pas perdu”, ou : “Je ne connais pas le propriétaire. Ce n’est pas à moi de le retrouver. C’est bien trop compliqué.”
Il est facile de penser ainsi. Mais lorsqu’il s’agit de rendre un objet perdu à son propriétaire, quel est le point de vue de Dieu ?
Nous pouvons le savoir en considérant ce que disait la Loi de Moïse sur cette question. Nous lisons : “Tu ne dois pas voir errer le taureau de ton frère ou son mouton et te dérober à eux de propos délibéré. Tu devras les ramener à ton frère, sans faute. Et si ton frère n’est pas à proximité de toi et que tu ne le connaisses pas, alors tu devras mener la bête chez toi, au milieu de ta maison, et elle devra rester chez toi jusqu’à ce que ton frère l’ait recherchée. Et tu devras la lui rendre. Et c’est ainsi que tu feras pour son âne, et c’est ainsi que tu feras pour son manteau, et c’est ainsi que tu feras pour tout ce que ton frère a perdu, tout ce qui a été perdu par lui et que tu as trouvé. Il ne te sera pas permis de te dérober.” — Deut. 22:1-3.
Dans le cas d’animaux perdus, celui qui les trouvait allait dépenser de l’argent pour les nourrir jusqu’à ce que se présente leur propriétaire. Mais ce n’était pas une excuse pour abandonner un animal, pour le laisser errer, comme s’il était perdu, car il risquait d’être volé ou attaqué par des chiens ou des bêtes sauvages.

samuel

samuel
Administrateur

La loi de Moïse était bien faite tant pour les animaux que pour les personnes.

Josué

Josué
Administrateur

La simlah (héb.), un “ manteau ”, était l’habit porté par-dessus les autres vêtements par la plupart des gens. C’était aussi le plus ample et le plus lourd, fait de laine, de lin ou de poil de chèvre, et peut-être dans certains cas en peau de mouton ou de chèvre. Le manteau était souvent l’habit qu’on déchirait pour exprimer son chagrin (Gn 37:34 ; 44:13 ; Jos 7:6). Il semble qu’il s’agissait d’une grande pièce d’étoffe rectangulaire, placée d’ordinaire sur l’épaule gauche, passée par l’arrière sous le bras droit, ramenée sur la poitrine et rejetée de nouveau vers l’arrière sur l’épaule gauche, ce qui laissait libre le bras droit. Par mauvais temps, on s’en enveloppait plus étroitement en couvrant les deux bras et même la tête. Il s’agissait parfois d’un grand carré d’étoffe pourvu de fentes pour le passage des bras. Le manteau, comparable sous certains aspects au châle actuel, pouvait servir de couverture (Gn 9:23), de couverture de lit (Ex 22:27 ; Dt 22:17) ou servir à lier ou à envelopper des objets. — Ex 12:34 ; Jg 8:25 ; 1S 21:9.
La simlah était portée aussi bien par les hommes que par les femmes, celle de la femme se différenciant peut-être par la taille, la couleur et l’ornement, des broderies par exemple. Dieu ordonna que la femme ne revête pas un habit d’homme et que l’homme ne mette pas de manteau de femme ; ce commandement fut sans doute donné pour prévenir les péchés sexuels. — Dt 22:5.

Josué

Josué
Administrateur

BALAAM était un devin dont la renommée s’était répandue bien au delà des frontières de son pays natal, grâce à l’efficacité des malédictions et des bénédictions qu’il prononçait. Il habitait à Péthor, ville qui était située dans la haute vallée de l’Euphrate, près d’une autre rivière, le Sagur. Non loin de là se trouvait Haran, cité où avaient séjourné des hommes qui craignaient Dieu, tels qu’Abraham, Lot et Jacob. Cela peut expliquer le fait que le devin Balaam connaissait le vrai Dieu, au point qu’il l’appela “Jéhovah, mon Dieu”. — Nomb. 22:18.
Mais comment Balaam en vint-il à s’opposer à la volonté de Dieu? Alors que les Israélites s’apprêtaient à entrer en Terre promise, la vue de cette foule immense, qui pouvait compter environ trois millions d’individus, effraya le roi moabite Balak et ses sujets. Les représentants de Moab consultèrent donc les aînés de Madian et conclurent qu’Israël était une menace pour leur prospérité (Nomb. 22:1-4). Ils étaient parfaitement au courant de ce que Jéhovah Dieu avait fait pour Israël en le délivrant d’Égypte et en lui accordant une écrasante victoire sur les puissants royaumes amorites situés à l’est du Jourdain. Les Moabites n’avaient, par conséquent, aucun espoir de remporter une bataille contre Israël. Mais ils se dirent: ‘Si une malédiction pouvait être prononcée sur les Israélites, cela ne les affaiblirait-il pas, nous donnant ainsi l’occasion de les chasser de notre territoire?’ Voilà comment Balak en vint à rechercher les services de Balaam, dans l’espoir de pouvoir vaincre Israël

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