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La première mosquée verte voit le jour à Massy

3 participants

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Josué

Josué
Administrateur




ISLAM
La première mosquée verte voit le jour à Massy
Matthieu Stricot - publié le 05/11/2014

Une première en France. À Massy (Essonne), la mosquée sera écologique. Une manière de concilier le message du Prophète et les économies d'énergie. L'eau et la lumière sont au cœur de la conception de l'édifice, qui devrait être terminé en septembre 2016. Mais les portes de la mosquée s'ouvrent déjà pour la prière du vendredi.

Le président du Conseil des musulmans à Massy aime voir la mosquée écologique prendre forme. © Matthieu Stricot
Le président du Conseil des musulmans à Massy aime voir la mosquée écologique prendre forme. © Matthieu Stricot

« Le Prophète Mahomet faisait ses ablutions avec un verre d'eau. Le message nous enjoint de ne pas prendre plus que nécessaire. » Pour le président du Conseil des musulmans à Massy (CMM), la question de l'économie d'eau était une priorité dans la réalisation du projet de mosquée écologique.

« Cinq prières, cela signifie autant d'ablutions par jour. Les fidèles se lavent les mains, la bouche, le nez, la figure... Cela demande une certaine quantité d'eau. » Tout a été fait pour réduire la consommation d'eau, tout en permettant au fidèle de faire ses ablutions de manière adéquate : réducteur de débit en amont, robinets à capteurs optiques et « double plancher incliné pour que l'eau puisse s'écouler au centre ». Un bassin de rétention d'eau de pluie alimentera les chasses d'eau.

Le président de l'association s'attend à des économies considérables : « Un litre d'eau par ablution, au lieu de trois à six litres dans une mosquée classique », selon les mesures réalisées à la mosquée de Créteil par les étudiants de l'école d'ingénieurs de Sceaux, partenaires du projet. Mais une mosquée écologique se doit d'optimiser toutes les sources d'énergie. La lumière naturelle est ainsi privilégié. « Normalement, c’est du minaret qu’est lancé l’appel à la prière. À défaut, le minaret ouvert appelle vers le ciel. Il permet de faire un appel de lumière vers l'intérieur. »

Une coupole de verre pour plus de lumière

La conception de la salle de prière, ouverte pour la prière du vendredi et le ramadan, est identique. Une coupole en verre, de huit mètres de diamètre sur quatre de hauteur, domine la salle principale, réservée à la prière des hommes, et la mezzanine pour les femmes, qui bénéficient d’un éclairage naturel considérable en dépit des nuages.

Sur le contour de la coupole, huit fenêtres mécanisées permettent d'utiliser la ventilation naturelle au maximum: « 1 000 personnes dans la salle principale, 500 sur la mezzanine, ça dégage beaucoup de chaleur. Aux fenêtres s'ajoute une centrale à double flux située sur le toit, permettant de traiter 20 000 m3 d'air par heure. »

Tout a été pensé pour l'efficacité énergétique de la mosquée : pompe à chaleur, double vitrage, chauffage au sol, éclairage aux ampoules LED... « Les travaux des étudiants ingénieurs nous ont vraiment aidés dans nos choix. »

La sobriété énergétique va de pair avec celle de l’architecture. « En dialoguant avec les services d'urbanisme de la mairie, nous avons opté pour des formes simples et modernes ». Résultat : la mosquée, située dans un quartier de bureaux, ne détonne pas de son environnement. « Heureusement, le pinacle posé en haut du minaret permet de l'identifier. »

Mille donateurs

Si l'édifice est déjà partiellement ouvert, la fin des travaux est prévue pour septembre 2016. « Tout dépend des donations, seule source de financement de l'ouvrage. » Près de 1 000 fidèles ont déjà participé au financement, chacun offrant « entre 10 et 10 000 euros ». C'est que l'attente est grande chez les musulmans de Massy : « Dans les années 80, nos anciens avaient déjà l'idée de construire une mosquée. Mais jusqu'ici, les fidèles musulmans se contentaient de salles de prières dans des foyers ou priaient dehors. » La création du CMM, en 2003, a permis d'obtenir le permis de construire en 2007, avant le lancement des travaux en 2011.

Au delà d'un édifice écologique, la mosquée de Massy sera donc un lieu de rencontre, et pas seulement pour les musulmans : « Un espace culturel permettra d'organiser des expositions et des conférences ouvertes au public. Il est important de favoriser le vivre-ensemble. » D'ailleurs, la synagogue est toute proche. « Pendant le Ramadan, nous avons organisé un repas interreligieux dans la mosquée, se souvient le président. Aujourd'hui, les juifs m'invitent pour la fête de Soukkot. »

Josué

Josué
Administrateur

http://www.lemondedesreligions.fr/actualite/la-premiere-mosquee-verte-voit-le-jour-a-massy-05-11-2014-4338_118.php

samuel

samuel
Administrateur

C'est un beau projet avec des vœux pieux.l'avenir nous le dira.

Josué

Josué
Administrateur

[size=44]Pourquoi la grande mosquée de Paris sera illuminée en rouge ce jeudi ?[/size]
La première mosquée verte voit le jour à Massy Photo-aleteia Agnès Pinard Legry | 21 novembre 2018
La première mosquée verte voit le jour à Massy Great-mosque-of-paris
Shutterstock




À l’occasion de la sortie de son rapport sur la liberté religieuse dans le monde, l’AED va illuminer quatre monuments parisiens ce jeudi 22 novembre : la basilique du Sacré Cœur de Montmartre, la grande synagogue, la cathédrale orthodoxe de la Sainte-Trinité… et la grande mosquée de Paris.


Éclairer pour dénoncer, éclairer pour se souvenir, éclairer pour ne pas les oublier. Ce jeudi 22 novembre, à l’occasion de la sortie de son rapport sur la liberté religieuse, l’Aide à l’Église en Détresse (AED) va illuminer toute la nuit différents bâtiments parisiens : la basilique du Sacré-Cœur de Montmartre, la grande synagogue, la cathédrale orthodoxe de la Sainte-Trinité… et la grande mosquée.
La première mosquée verte voit le jour à Massy Nuit-des-temoins-2016_marc-antoine_mouterde-8 

« On a contacté l’ensemble des responsables de ces édifices religieux entre mai et juin de l’année dernière. Nous avons eu progressivement tous les accords sauf celui de la grande mosquée, qui est finalement arrivé il y a quelques jours », se félicite-t-on à l’AED. « C’est un beau signal d’avoir ces quatre édifices illuminés pour une soirée d’unité ».

Josué

Josué
Administrateur

[size=30]Dès l’origine, le fidèle prie vers La Mecque[/size]

La prière est obligatoire cinq fois par jour. Depuis l’époque de Mahomet, elle s’est toujours faite tourné vers la ville sainte : faux
C’est Jérusalem, troisième ville sainte de l’islam, qui a eu le privilège d’avoir été la première qibla de l’islam, c’est-à-dire le point focal vers lequel s’orientent tous les musulmans au moment de la prière. Elle a occupé cette fonction symbolique pendant dix-huit mois, entre 622 et 624, date à laquelle la qibla est devenue La Mecque. Dans sa célèbre montée au ciel, la seule étape terrestre que le Prophète avait prévu de faire était Jérusalem, à l’endroit où se trouve aujourd’hui le Dôme du Rocher. C’est là qu’il fit sa dernière prière avant de s’élancer, en une seule nuit, dans ce qui deviendra l’ascension mystique du Prophète au septième ciel, le mi’raj (origine probable de notre mot « mirage »).
Une légende entoure ce changement brusque d’orientation. Alors qu’il conduisait la prière de la mi-journée dans la mosquée de Banû Salima, à Médine, le prophète Mahomet reçoit une révélation subite qui lui intime l’ordre de changer de cap, de prier dorénavant vers la mosquée sacrée de La Mecque, au centre de laquelle se trouve la Kaaba, temple cubique recouvert d’un voile noir. Aussitôt dit, aussitôt fait : le Prophète oriente son tapis vers La Mecque plutôt que vers Jérusalem, tandis que la communauté qui prie autour de lui, bien que très intriguée par ce brusque changement d’orientation, fait de même. Depuis, cette mosquée s’appelle : « la Mosquée des deux qiblas ».
Cette direction une fois calculée (sud-est en France, est dans le Maghreb, nord à Madagascar, ouest à Delhi, sud pour les Ouzbeks et les Tadjiks par exemple), les plans de toutes les nouvelles mosquées peuvent alors être dessinés : salle de prière, minaret, salle des ablutions, bibliothèque, cour centrale. La situation de certaines mosquées construites sur des soubassements antiques, notamment sur le pourtour méditerranéen, est des plus cocasses. La mosquée de Ronda, en Espagne, est édifiée sur les vestiges d’un ancien oratoire phénicien. Les architectes musulmans, lorsqu’ils en ont dessiné les plans, se sont trouvés devant une impossibilité technique : faire correspondre le mur de la qibla au mur de l’ancien oratoire. Il a fallu mettre fin rapidement à une controverse qui s’élevait entre l’aile conservatrice des théologiens et les architectes. Fallait-il ou non déplacer d’un degré l’orientation exacte de La Mecque ou, au contraire, reconstruire différemment le mur originel ?
Mais que le musulman prie vers Jérusalem ou vers La Mecque, qu’il prie assis, couché ou debout, qu’il prie alors qu’il est à cheval ou sur une barque, le tout est qu’il décide de le faire en toute connaissance de cause et en ayant l’intime conviction de vénérer Allah. On lit dans le Coran : « À Lui appartiennent l’Orient et l’Occident et quelle que soit la direction vers laquelle vous vous placez, là se trouve la face d’Allah » (Coran, II, 109).
Axe polaire de l’espace musulman, la direction de La Mecque a fini par donner son nom aux croyants. On les appelle en effet, « les Gens de la Qibla », pour signifier que La Mecque et surtout le temple de la Kaaba sont les éléments les plus déterminants de la cosmogonie musulmane.

Josué

Josué
Administrateur

[size=33]L'Arabie saoudite se désengage de ses mosquées à l'étranger[/size]


[size=33]Le secrétaire général de la Ligue islamique mondiale annonce que Riyad ne gérera et ne financera plus les lieux de culte hors de ses frontières.[/size]


 De notre correspondant à Genève, Ian Hamel
Publié le 20/01/2020 à 15:15 | Le Point.fr


La première mosquée verte voit le jour à Massy 19951344lpw-19951609-article-jpg_6845603_660x281

La mosquée de Genève dans le quartier du Petit-Saconnex.  
:copyright: FABRICE COFFRINI / 
Ancien ministre saoudien de la Justice et secrétaire général de la Ligue islamique mondiale, fondée à La Mecque en 1962, Mohammad bin Abdulkarim Al-Issa ne parle habituellement pas à la légère. Dans le journal Le Matin Dimanche de Lausanne, il a annoncé qu'il était temps de « confier la mosquée de Genève à un conseil d'administration suisse, représentatif, avec un président élu ».
En d'autres termes, la Fondation culturelle islamique, qui gérait la grande mosquée de Genève depuis sa création en 1978, se désengage. Ce prestigieux lieu de culte, inauguré par l'ancien roi Khaled ben Abdelaziz, est mis entre les mains de « la communauté des musulmans de Genève et de la région ». Le patron du bras religieux du royaume ajoute : « Nous allons arrêter de la financer. Sinon, cela voudrait dire que nous continuons de l'influencer. »




Un départ sans concertation


Ce coup de tonnerre ne se limite pas à la plus grande mosquée de Suisse,le secrétaire général de la Ligue islamique mondiale ajoutant : « Nous allons prendre les mêmes dispositions dans le monde entier. Partout, il y aura un conseil d'administration local, mis en place en coordination avec les autorités nationales. Notamment pour des raisons de sécurité. Il faut veiller à ce que les mosquées soient placées entre des mains sûres, évidemment. Ensuite, nous n'interviendrons plus. » Mohammad bin Abdulkarim Al-Issa, également président de la Fondation culturelle islamique de Genève, avait déjà donné des signes d'ouverture fin 2017 en licenciant quatre employés, dont trois étaient fichés S en France.
Toutefois, cette annonce brutale laisse pour le moins perplexe. Comment, du jour au lendemain, toutes les communautés musulmanes, qui n'ont pas été mises au courant avant l'annonce du désengagement brutal de l'Arabie saoudite, vont-elles s'organiser ? Sans compter que les autorités locales, notamment la France, pays laïque, n'ont pas forcément leur mot à dire dans la gestion des lieux de culte. « C'est à la fois une bonne et une mauvaise nouvelle, juge Hafid Ouardiri, ancien porte-parole de la grande mosquée et aujourd'hui directeur de la Fondation de l'entre-connaissance. Je me suis battu pour l'indépendance de cette mosquée vis-à-vis de l'Arabie saoudite. Mais je regrette que ce départ se fasse sans la moindre concertation avec la communauté musulmane. Comment trouver du jour au lendemain des personnes suffisamment compétentes pour gérer une telle mosquée ? » interroge-t-il.




D'autres États intéressés


En effet, situé dans le quartier du Petit-Saconnex, dans le canton de Genève, près des organisations internationales, l'établissement salarie 17 personnes. Il possède, outre le lieu de prière, une salle de conférences, une bibliothèque, une école enseignant l'arabe et le Coran, une salle des fêtes, une salle de sport et une morgue. Sans compter des clubs de femmes, de filles, de garçons. Qui va pouvoir, du jour en lendemain, financer toutes ces activités ? « Certaines mosquées dépendent des cotisations des fidèles et des dons privés. Alors, pourquoi pas celle de Genève ? Il faut diversifier les ressources si on ne veut pas de dépendance », répond le secrétaire général de la Ligue islamique mondiale (LIM) depuis 2016, par ailleurs président du Conseil mondial des savants musulmans.
Trouver du jour au lendemain des ressources tout en restant indépendant, c'est plus facile à dire qu'à faire. « Plusieurs États ont des vues sur la mosquée, suivent son évolution, comme le Maroc, la Turquie, la Bosnie. Si le retrait de la LIM revenait à offrir un cadeau à un autre État, ce serait un cadeau empoisonné », constate Hasni Abidi, directeur du Centre d'études et de recherche sur le monde arabe et méditerranéen, interrogé par 20 Minutes.
Mohammad bin Abdulkarim Al-Issa, 54 ans, en dira peut-être un peu plus en février prochain. Il doit revenir à Genève pour organiser sur deux jours une conférence portant sur les mesures concrètes à prendre pour « tenter d'immuniser la jeunesse contre la radicalisation ». Des chrétiens et des juifs participeront à cette conférence, déclare-t-il encore dans la presse suisse.

Mikael

Mikael
MODERATEUR
MODERATEUR

D'autres pays musulmans font prendre la place, il ne faut pas se leurrer.

Josué

Josué
Administrateur

[size=38]Grèce : la première mosquée d’Athènes devrait ouvrir ses portes à l’automne[/size]

Les faits 

Le ministère grec de l’éducation et des affaires religieuses a annoncé, samedi 27 juin, que la première mosquée officielle d’Athènes depuis l’indépendance du pays, devrait ouvrir « à la fin de l’automne ». L’édifice, dont la construction avec des fonds d’État avait suscité de fortes résistances, pourra accueillir 350 personnes.



  • Malo Tresca (avec AFP), 
  • le 29/06/2020 à 07:31



La première mosquée verte voit le jour à Massy Projet-construction-mosquee-officielle-Athenes-seule-capitale-europeenne-posseder-actuellement-avait-lance-2007_0_729_488



Le projet de construction d’une mosquée officielle à Athènes, seule capitale européenne à ne pas en posséder actuellement, avait été lancé en 2007[size=12]RICHARD VILLA
[/size]


Le projet, en cours depuis plus d’une décennie, avait une nouvelle fois dû être retardé à cause de l’épidémie de Covid-19. Samedi 27 juin, le ministère grec de l’éducation et des affaires religieuses a annoncé que la première mosquée officielle d’Athènes (depuis l’indépendance du pays, au début du XIXe siècle) devrait finalement bien ouvrir ses portes d’ici quelques mois. Le bâtiment est situé à Elaionas, un ancien quartier industriel de la capitale.

« Les procédures ont été en partie

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