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1er sept. Lecture de la Bible : Nombres 17-21

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Josué

Josué
Administrateur

1er sept. Lecture de la Bible : Nombres 17-21
les expressions “ maison paternelle ” ou ‘ maison du père ’, “ maison de notre père ”, etc., ne furent pas toujours limitées aux emplois mentionnés ci-dessus. (Voir Nb 17:2, 6, où “ maison paternelle ” revêt un sens plus large, celui de tribu.)
À mesure que la population d’Israël s’accrut et que différentes régions de la Terre promise furent occupées, les maisons paternelles s’accrurent également en nombre. David organisa les prêtres en 24 divisions de service selon leurs maisons paternelles, 16 divisions pour Éléazar et 8 pour Ithamar. Les 24 chefs furent appelés “ chefs pour leurs maisons paternelles ”. (1Ch 24:4-6.) Le reste des Lévites furent choisis pour certaines tâches par le sort, et non en fonction de l’âge des chefs de leurs maisons paternelles. — 1Ch 24:20-31.

Josué

Josué
Administrateur

Le bâton d’Aaron, qui avait bourgeonné, fut placé dans l’arche de l’alliance “ en signe pour les fils à l’esprit de rébellion ” ; toutefois, il semble qu’après la mort des rebelles et l’entrée de la nation dans la Terre de la promesse, le bâton fut ôté de l’Arche, car il avait servi son dessein. — Nb 17:10 ; Hé 9:4 ; 2Ch 5:10 ; 1R 8:9.

Josué

Josué
Administrateur

1er sept.  Lecture de la Bible :  Nombres 17-21 Nombre14
 bible Thompson.

Josué

Josué
Administrateur

CLAN
Important groupe social ayant un héritage commun et ressemblant à une tribu quant à la taille.
Dans les trois cas où le mot hébreu ʼoummah apparaît, il désigne un groupe important de non-Israélites et il est traduit par “ clan ”. Par exemple, il est question des “ clans ” constitués par les descendants des 12 fils de Yishmaël tôt dans l’histoire de ce groupe ethnique (Gn 25:16). Il en va de même des descendants de Madiân (Nb 25:15). On trouve également ce terme dans la poésie hébraïque en Psaume 117:1, où il figure dans un parallélisme avec “ nations ”.
Le terme hébreu shévèt, généralement traduit par “ tribu ”, est exceptionnellement rendu par “ clan ” en Nombres 18:2 pour montrer une distinction que fait le texte hébreu. En effet, on trouve dans ce verset les mots mattèh et shévèt, lesquels sont d’ordinaire tous deux rendus par “ tribu ”.

Josué

Josué
Administrateur

Pourquoi la Loi mosaïque interdisait-elle de manger la graisse ?
Sous la Loi donnée aux Israélites, le sang et la graisse étaient considérés comme appartenant exclusivement à Jéhovah Dieu. La Loi déclarait : “C’est ici une loi perpétuelle (jusqu’à des temps indéfinis, NW) pour vos descendants, dans tous les lieux où vous habiterez : vous ne mangerez ni graisse ni sang.” — Lév. 3:17.
Le sang représente la vie d’une personne ou d’un animal. C’est pourquoi la Bible parle de l’“âme” comme étant “dans le sang”. (Gen. 9:4 ; Lév. 17:11, 14.) Puisque seul Jéhovah Dieu peut donner la vie, la vie ou ce qui en est le symbole, autrement dit le sang, lui appartient à juste titre.
La graisse était considérée comme la meilleure partie de l’animal. Cela ressort des expressions figurées telles que la “graisse du pays”, le “meilleur [littéralement, la graisse] en huile”, et “le meilleur [littéralement, la graisse] en moût et en blé”. (Gen. 45:18 ; Nomb. 18:12.) Par conséquent, l’interdiction de manger la graisse servait évidemment à faire bien comprendre aux Israélites que ce qu’il y a de plus délicat dans la chair des animaux appartenait à Jéhovah et devait lui être offert en sacrifice. Manger la graisse reviendrait donc à s’approprier illégalement une chose consacrée à Jéhovah. Cela équivaudrait à usurper sur ses droits. Toutefois, la graisse d’une bête morte ou déchirée par une autre bête pouvait servir à un usage quelconque. — Lév. 7:23-25.

Josué

Josué
Administrateur

Chaque Israélite était invité à apporter les prémices aux prêtres, au lieu de culte que Dieu lui-même avait établi. Il s’agissait des premiers-nés (tant des hommes que des animaux), des prémices de chaque produit de la terre, et même de celles de la toison des brebis (Ex. 22:29, 30 ; 23:19 ; Deut. 18:4). Ces offrandes étaient différentes de la dîme ou dixième de la récolte que les Juifs étaient tenus de donner à Jéhovah pour le soutien du culte pur et agréable.
Tout premier-né ouvrant le sein, tant des hommes que des animaux, était consacré à Jéhovah (Ex. 13:2). Toutefois, le premier-né des hommes, et celui des animaux qui n’était pas acceptable pour les sacrifices, devaient être rachetés par ses parents ou son propriétaire au prix minimum de cinq sicles d’argent, soit un peu moins de 14 francs français (Nomb. 18:15-17). Plus tard, par l’entremise de son prophète Ézéchiel, Dieu énonça clairement le principe indiqué dans ce passage : “Toutes les âmes sont à moi.” — Ézéch. 18:4.

Josué

Josué
Administrateur

Les sacrifices d’animaux et les cendres de la vache rouge que l’on répand (Nomb. 19:2-9) sont également une figure du sacrifice de Christ dont la valeur purificatrice est de loin supérieure. — Héb. 9:13, 14.

Josué

Josué
Administrateur

Jéhovah n’a pas rejeté ceux qui murmuraient. Il a plutôt ordonné à Moïse trois choses : prendre son bâton, réunir les Israélites et “ parler au rocher, sous leurs yeux, pour qu’il donne vraiment son eau ”. (Verset 8.) Moïse a obéi aux deux premières directives, mais a désobéi à la troisième. Au lieu de parler avec foi au rocher, il a parlé avec amertume au peuple. “ Entendez donc, rebelles ! s’est-il exclamé. Est-ce de ce rocher que nous ferons sortir de l’eau pour vous ? ” (Verset 10 ; Psaume 106:32, 33). Puis Moïse frappa deux fois le rocher et “ alors il sortit de l’eau en abondance ”. — Verset 11.
Cet acte de Moïse, auquel était associé Aaron, constituait un péché grave. Dieu leur a dit : “ Vous vous êtes rebellés contre mon ordre. ” (Nombres 20:24). En transgressant l’ordre divin, ils sont devenus en la circonstance ce qu’ils accusaient le peuple d’être : des rebelles. La sentence était claire, Moïse et Aaron ne mèneraient pas Israël en Terre Promise. Était-ce trop sévère ? Non, pour plusieurs raisons.
Premièrement, Dieu n’avait pas demandé à Moïse de s’adresser aux Israélites, et encore moins de les déclarer rebelles. Deuxièmement, Moïse et Aaron n’ont pas rendu gloire à Dieu. ‘ Vous ne m’avez pas sanctifié ’, Jéhovah leur a-t-il reproché (Verset 12). En disant : “ Nous ferons sortir de l’eau ”, Moïse suggérait que c’étaient son frère et lui, et non Jéhovah, qui fournissaient miraculeusement de l’eau au peuple. Troisièmement, la sentence était conforme à des jugements antérieurs. Dieu n’avait pas permis à la précédente génération de rebelles d’entrer en Canaan, il a donc agi de même avec les deux hommes (Nombres 14:22, 23). Quatrièmement, ces derniers étaient à la tête d’Israël. Ceux qui ont beaucoup de responsabilités ont davantage de comptes à rendre à Dieu. — Luc 12:48.
Jéhovah ne transige pas avec ce qui est droit. Parce qu’il aime la justice, il est incapable de rendre des sentences injustes. Assurément, un tel Juge mérite notre confiance et notre respect.

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