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Un médicament contre l'hépatite C

3 participants

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chico.

chico.

Un médicament contre l'hépatite C à 685 francs la pilule
Mis à jour il y a 13 minutes
Le nouveau médicament Sovaldi de la société américaine Gilead est si cher qu'il n'est fourni en Suisse qu'aux patients dont le foie est fortement affecté par le virus.



Un médicament contre l'hépatite C Image_big_ipad_http___files2.newsnetz.ch_story_1_6_8_16847799_2_topelement


Ce nouveau médicament contre l'hépatite C est si cher que peu de monde pourra en profiter en Suisse (Photo: DR)
Un médicament contre l'hépatite C HalfPageAdButton
Il est efficace, a peu d'effets secondaires et pourtant les malades de l'hépatite C ne seront qu'une minorité à pouvoir bénéficier du Sovaldi, nouveau médicament de la firme américaine Gilead.
Sovaldi est autorisé en Suisse depuis le 1e janvier. C'est un traitement révolutionnaire, mais qui coûte cher: 19'208 francs par emballage de 28 pilules, c'est le montant sur lequel Gilead et l'Office fédéral de la santé publique (OFSP) se sont accordés, indique ce dernier, confirmant une information des journaux alémaniques Tages-Anzeiger et Bund.
Ce traitement est une «percée», estime le médecin Philip Bruggmann, des centres de recherche en médecine (Arud) à Zurich. «Les chances de guérison ont massivement augmenté». La thérapie standard dure douze jours. Elle implique la prise d'une pilule par jour, combinée à d'autres médicaments.
Entre 50'000 et 70'000 personnes
L'hépatite C est une maladie d'origine virale qui attaque le foie. Sans soins adéquats, les conséquences peuvent être graves et les malades encourent le risque que leurs symptômes évoluent vers une cirrhose ou un cancer.
Ceux qui sont infectés ne s'aperçoivent souvent de rien pendant des années. En Suisse, entre 50'000 et 70'000 personnes sont porteuses du virus. Le médicament Sovaldi pourrait en principe leur être utile à tous.
En raison du prix, la Confédération a décidé de rationner le médicament: seuls les patients souffrant d'une maladie du foie déjà avancée, comme la cirrhose, ou de complications qui y sont liées (maladie de la peau, infection des reins), sont remboursés par les caisses maladie. Selon l'OFSP, quelque 1500 patients remplissent les critères, soit une minorité. Les coûts s'élèvent à environ 85 millions de francs.
Attention insuffisante
Une personne sur quatre, infectée par l'hépatite C, développe une cirrhose, un cancer du foie ou une insuffisance hépatique. Pour ces cas, une transplantation du foie est souvent la seule solution. A ce stade, il n'existe pas encore de tests pouvant prédire les catégories à risques.
«Bien que les effets de la maladie soient semblables à ceux du virus du sida (VIH), elle n'obtient jamais la même attention», regrette Philip Bruggmann. Le virus de l'hépatite C se transmet également par contact avec le sang d'une personne infectée. Les personnes qui s'injectent des drogues sont les plus touchées, mais l'infection est aussi répandue parmi les travailleurs du sexe et les homosexuels.

samuel

samuel
Administrateur

Il y a que les riches qui pourrons se payer ce médicament.

Josué

Josué
Administrateur

Hépatite C : Marisol Touraine annonce la fin du rationnement des traitements
La ministre de la Santé veut établir un accès universel aux traitements, très efficaces mais très chers.
Après des mois de polémique sur l'accès aux soins des malades de l'hépatite C, c'est un soulagement. Fini le rationnement : les traitements, très efficaces mais chers contre cette infection virale, jusque là réservés aux malades les plus graves, vont pouvoir bénéficier à tous les patients atteints, s'ils le souhaitent. C'est en substance ce qu'a annoncé mercredi 25 mai, Marisol Touraine.
Concrètement, la ministre de la Santé a annoncé sa décision d'établir un « accès universel » à ces traitements, à l'occasion d'un colloque consacré aux hépatites virales. « Le progrès thérapeutique permet aujourd'hui de guérir l'hépatite C », a rappelé la ministre ajoutant que les nouveaux traitements étaient « porteur d'espoir » pour les 500.000 porteurs d'hépatites virales (B et C).
230.000 personnes infectées en France

En dépit du prix élevé de ces traitements innovants, « plus de 30.000 malades » très atteints par l'hépatite C ont déjà été traités, et plus de 90% d'entre eux n'ont plus de trace du virus dans leur organisme, selon la ministre. Mais pour Marisol Touraine, il faut « aujourd'hui aller plus loin et garantir l'accès de tous les malades à ces traitements ».

Ainsi, 230.000 personnes en France, infectées par le virus de l'hépatite C (VHC), pourraient bénéficier de ces nouveaux médicaments, selon le ministère citant les derniers chiffres disponibles. Le recours à ces traitements ne dépendra que du choix du patient éclairé par son médecin, a dit la ministre.

La mesure prendra effet « dès les prochains jours »

La mesure d'accès universel aux traitements interviendra « dès les prochains jours » après l'avis de la commission de la transparence, pour un premier groupe de patients, a indiqué Marisol Touraine. A savoir, les patients transplantés ou en attente de greffe et ceux présentant une altération du foie (fibrose) de stade 2 (F2), ainsi que pour « des populations vulnérables, tout stade de fibrose, confondu dans la mesure où ils sont les plus exposés »,(toxicomanes notamment).

Pour tous les autres patients infectés par le VHC (fibrose absente ou moins importante dites F0 sans symptômes et F1), ce sera dans la foulée de la remise en septembre des recommandations de la Haute autorité de santé (HAS) dont l'avis est obligatoire, a-t-elle expliquée. Il n'existe pas de vaccin contre le virus de l'hépatite C et l'infection chronique non traitée peut évoluer en cirrhose et en cancer du foie.

Une renégociation des prix va suivre

Cette initiative va aussi de pair avec une renégociation des prix de ces médicaments particulièrement coûteux, a-t-elle précisé en ajoutant par ailleurs, que le cadre réglementaire devait être adapté.

« Le coût des traitements varient en France de 46.000 euros (pour 12 semaines) à 130.000 euros en fonction des combinaisons de médicaments et du profil des malades », avait récemment relevé pour sa part Yann Mazens, directeur de SOS Hépatites Fédération. Le coût facial (hors remises) d'un traitement complet avec le Solvadi du laboratoire américain Gilead est actuellement de 40.000 euros, indique pour sa part le ministère.

Une politique de rationnement « inacceptable »

Le « rationnement » d'accès aux traitements performants de l'hépatite C qui perdurait jusque là a été vivement dénoncé par des associations de médecins et patients (SOS hépatites Fédération, la Fédération des addictions, Aides, Médecins du Monde...).

Cette politique de « restriction » liée au « coût excessivement élevé » des traitements, qui dure depuis trop longtemps, est « inacceptable », et représente pour les patients infectés par le VHC « des pertes de chance » de guérir, s'est même insurgé il y a quelques jours le Conseil national du sida (CNS) et des hépatites virales. De plus, la possibilité d'être traité valorise le dépistage, selon les spécialistes.


En savoir plus sur http://www.lesechos.fr/industrie-services/pharmacie-sante/021965158724-hepatite-c-marisol-touraine-annonce-la-fin-du-rationnement-des-traitements-2001217.php?Ofw32vPUfJBB47uz.99#xtor=RSS-2055

samuel

samuel
Administrateur

tué 1,45 million de personnes. C’est 63 % de plus qu’en 1990. - Shutterstoc
En 2013, ces maladies infectieuses ont tué 1,45 million de personnes. C’est 63 % de plus qu’en 1990. Il existe pourtant des vaccins ou des traitements efficaces.

Les hépatites virales sont des maladies de plus en plus meurtrières. Elles tuent désormais autant de personnes par an que le sida ou la tuberculose, selon une étude publiée dans la revue scientifique The Lancet.

En se basant sur des données fournies par l'Organisation mondiale de la santé (OMS), des chercheurs de l'Imperial College de Londres et de l'Université de Washington ont évalué à 1,45 million le nombre de personnes décédées en 2013 des suites d'une hépatite virale, soit 63% de plus qu'en 1990. Par comparaison, 1,4 million de personnes sont mortes de la tuberculose, 1,3 million du sida, et 885.000 du paludisme au cours de la même année. Des chiffres qui ont globalement baissé depuis 1990, relèvent les chercheurs.

Cinq types d'hépatites virales

Il existe cinq types d'hépatites virales qui peuvent être transmises par le sang ou d'autres fluides corporels infectés comme le sperme (virus B, C) ou par l'ingestion d'eau ou d'aliments contaminés (virus A et E). L'agent de l'hépatite D est un virus incomplet qui ne touche que les personnes atteintes d'hépatite B chronique. L'hépatite C est principalement transmise par voie sanguine (sang non testé, matériel mal stérilisé, tatouage..).

Les plus meurtrières sont les hépatites de type B et C qui sont à l'origine de près de 96 % des décès, principalement par cancer du foie ou par cirrhose. Elles ne donnent souvent aucun symptôme dans un premier temps et progressent en silence jusqu'à ce que surviennent de graves problèmes hépatiques ou un cancer.

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