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28 juillet Lecture de la Bible : Nombres 1-3

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Josué

Josué
Administrateur

Écrivain : Moïse
Lieux de composition : désert et plaines de Moab
Fin du travail de composition : 1473 av. n. è.
Période qu’embrasse le texte : 1512-1473 av. n. è.
LES événements survenus au cours des pérégrinations des Israélites dans le désert ont été rapportés dans la Bible pour notre profit aujourd’hui. C’est ce que dit l’apôtre Paul en ces termes : “ Or ces choses sont devenues nos exemples, pour que nous ne soyons pas des gens qui désirent des choses mauvaises. ” (1 Cor. 10:6). Le récit très vivant des Nombres nous fait bien comprendre que pour survivre il nous faut sanctifier le nom de Jéhovah, lui obéir en toutes choses et témoigner du respect envers ses représentants. Dieu accorde sa faveur à ses serviteurs en vertu de sa grande miséricorde et non en raison de leur bonté ou de leurs mérites.
2 Le titre Nombres fait référence au dénombrement du peuple qui eut lieu d’abord au mont Sinaï puis dans les plaines de Moab, selon les chapitres 1-4 et 26. Ce livre tire son nom du latin Numeri d’après la Vulgate, lequel est la traduction du grec Arithmoï que l’on trouve dans la Septante. Mais les Juifs l’appellent Bemidhbar, qui signifie “ au désert ”, expression qui convient mieux au contenu du livre. Le mot hébreu midhbar désigne une région découverte où il n’y a aucune ville. C’est dans le désert, au sud et à l’est du pays de Canaan, que se sont produits les événements rapportés dans les Nombres.
3 Les Nombres faisaient vraisemblablement partie du volume quintuple originel qui comprenait les livres allant de la Genèse au Deutéronome. Le premier verset commence par la conjonction “ et ”, reliant ainsi ce livre au précédent. Il a donc dû être écrit par Moïse, le rédacteur des précédents écrits. C’est ce qui ressort également de cette déclaration du livre : “ Moïse consignait par écrit ”, et du colophon : “ Ce sont là les commandements et les décisions judiciaires que Jéhovah ordonna, par le moyen de Moïse. ” — Nomb. 33:2 ; 36:13.

Josué

Josué
Administrateur

28 juillet  Lecture de la Bible :  Nombres 1-3 Nombre12
Nouvelle bible Segond

Josué

Josué
Administrateur

LES NOMBRES — INTRODUCTION
Ce livre s’appelle “Les Nombres” parce qu’il commence par un recensement des Israélites. Ce que nous avons dit dans l’introduction du Lévitique s’applique ici aussi : le recensement, les événements et les déclarations de Yahvé à Moïse sont simplement une façon de présenter des lois que les prêtres d’Israël ont rédigées et rassemblées plus tard.
Cependant, tout n’est pas artificiel dans cette histoire : elle s’appuie sur d’anciennes traditions relatives au séjour dans le désert. On les retrouvera tout spécialement dans les chapitres 11 à 14 et 20 à 25, qui parfois redisent sous une forme différente les événements de l’Exode. Faisant suite à la sortie d’Égypte, le livre des Nombres se présente comme une marche du peuple d’Israël à travers le désert. Au cours de cette marche le peuple accumule les expériences qui marqueront tout son avenir.
Source bible des peuples

Josué

Josué
Administrateur

APRÈS leur délivrance d’Égypte, les Israélites errèrent 40 ans dans le Sinaï, la plupart du temps loin des routes commerciales fréquentées. C’était un ‘ grand et redoutable désert, où il y avait des serpents venimeux et des scorpions, ainsi qu’un sol desséché qui était dépourvu d’eau ’. (Dt 8:15.) Pourquoi durent-ils subir cette épreuve ?
Au mont Sinaï (dont le site probable est montré ci-dessous), Jéhovah assembla les Israélites après leur départ d’Égypte, leur donna ses lois par l’intermédiaire de Moïse et les organisa en nation. Ils auraient pu ensuite entrer rapidement en Terre promise, mais ils ne le firent pas. Pourquoi ? Malgré tout ce que Jéhovah avait fait pour eux, ils n’exercèrent pas la foi et se rebellèrent contre Moïse, que Dieu avait établi pour les guider. Préférant croire un rapport négatif sur Canaan, ils exprimèrent le désir d’être ramenés en Égypte (Nb 14:1-4) ! Le jugement de Jéhovah ne se fit pas attendre : quarante années s’écouleraient avant que la nation n’entre en Terre promise. À ce moment-là, les membres de cette génération qui avaient manqué de foi seraient morts.
Ce qu’Israël vécut dans le désert est un puissant avertissement pour les chrétiens d’aujourd’hui contre le piège qu’est le manque de foi. — Hé 3:7-12.

Josué

Josué
Administrateur

33 Mais les Lévites ne furent pas enregistrés au milieu des fils d’Israël, comme Jéhovah l’avait ordonné à Moïse
pour avoir 12 tributs il faut compter Ephraim et Manassé.

Josué

Josué
Administrateur

Le contexte donne souvent le moyen d’expliquer ces contradictions apparentes entre plusieurs nombres. On en a un exemple à propos du nombre des Lévites qui devaient remplacer les premiers-nés israélites. Dans le livre des Nombres, au chapitre 3, le recensement des trois familles composant la tribu de Lévi donne un total de 22 300 hommes. Toutefois, le texte de Nombres 3:39 indique que le nombre total des Lévites était de 22 000, soit une différence de 300.
On comprend aisément le pourquoi de cette différence quand on considère la raison de ces chiffres. Dans Nombres 3:12, 13, nous lisons : “J’ai [Jéhovah] pris les Lévites du milieu des enfants d’Israël, à la place de tous les premiers-nés, des premiers-nés des enfants d’Israël ; et les Lévites m’appartiendront. Car tout premier-né m’appartient ; le jour où j’ai frappé tous les premiers-nés dans le pays d’Égypte, je me suis consacré tous les premiers-nés en Israël.”
De ce passage, il ressort que tous les premiers-nés appartenaient à Jéhovah et que normalement ils auraient dû effectuer le service au sanctuaire. Mais au lieu de prendre les premiers-nés pour remplir cette fonction, Jéhovah choisit les hommes de la tribu de Lévi. Or, certains de ceux-ci étaient déjà qualifiés pour servir au sanctuaire. Pourquoi ? Parce qu’ils étaient eux-mêmes des premiers-nés. Ces Lévites n’allaient donc pas être inclus dans l’échange. Les 300 Lévites qui n’ont pas été comptés au moment de cet échange, devaient logiquement être des premiers-nés.

Josué

Josué
Administrateur

En se présentant pour être baptisé, Jésus accomplissait réellement les paroles des “Prophètes”. L’apôtre Paul indique quelles prophéties Jésus accomplit. Dans Hébreux 10:5-10, il dit à propos de Jésus au moment de sa présentation pour être baptisé : “C’est pourquoi, en entrant dans le monde, il dit : “‘Sacrifice et offrande, tu n’en as pas voulu, mais tu m’as préparé un corps. Tu n’as approuvé ni holocaustes ni offrande pour le péché.” Alors j’ai dit : “Voici, je viens (dans le rouleau du livre il est écrit de moi) pour faire ta volonté, ô Dieu.”’ (...) Par ladite ‘volonté’ nous avons été sanctifiés par l’offrande du corps de Jésus-Christ une fois pour toutes.” Jésus accomplissait le Psaume 40:7-9. La “volonté” de Dieu exigeait que Jésus se sacrifie, qu’il offre son “corps”.
 Puisque la prophétie exigeait cela, Jésus aurait eu mauvaise conscience s’il n’était pas venu pour accomplir la volonté particulière de Dieu, donc s’il ne s’était pas présenté à Jean pour être baptisé. Il est évident que le baptême de Jésus avait une signification symbolique. Ce n’était pas un “symbole de repentance pour le pardon des péchés”, mais le symbole de sa venue ou de sa présentation pour accomplir la “volonté” de Dieu qui incluait l’offrande de son corps en sacrifice une fois pour toutes. Étant Juif, Jésus était déjà sous la loi de Moïse et membre de la seule nation de la terre alors vouée à Dieu pour faire “tout ce qu’a dit Jéhovah”. Étant également le fils premier-né de Marie, que Joseph, son mari, adopta comme s’il était le sien, Jésus fut sanctifié pour appartenir à Dieu (Ex. 13:1, 2, Da). C’est pourquoi Joseph et Marie durent racheter Jésus, afin qu’il puisse accomplir un travail profane (Nomb. 3:13-51 ; 18:14-16). Ainsi, le baptême de Jésus ne représentait pas l’offrande de sa personne à Dieu, mais sa présentation pour faire la volonté de Dieu en allant jusqu’à se sacrifier.

Josué

Josué
Administrateur

Il se peut qu’Esdras et Néhémie aient établi leurs listes à partir de sources différentes. Par exemple, Esdras a pu utiliser un document indiquant le nombre de ceux qui s’étaient fait inscrire pour retourner dans leur pays, tandis que Néhémie a peut-être puisé ses renseignements dans un autre document indiquant ceux qui sont effectivement revenus. De plus, certains prêtres ont été incapables d’établir leur généalogie (Esdras 2:61-63 ; Néh. 7:63-65) ; d’autres Israélites ont très bien pu avoir le même problème. Ces personnes ont pu ne pas être inscrites avec leur famille, mais être incluses dans le total. Ainsi, le nombre total de 42 360 personnes peut représenter l’ensemble des membres de chaque famille, plus un grand nombre d’autres Juifs dans l’impossibilité de déterminer leurs origines. Toutefois, par la suite, certains d’entre eux ont peut-être pu établir leur généalogie exacte. Cela expliquerait pourquoi, malgré des variantes dans les différents chiffres, les deux récits indiquent néanmoins le même total.
Le contexte donne souvent le moyen d’expliquer ces contradictions apparentes entre plusieurs nombres. On en a un exemple à propos du nombre des Lévites qui devaient remplacer les premiers-nés israélites. Dans le livre des Nombres, au chapitre 3, le recensement des trois familles composant la tribu de Lévi donne un total de 22 300 hommes. Toutefois, le texte de Nombres 3:39 indique que le nombre total des Lévites était de 22 000, soit une différence de 300.
On comprend aisément le pourquoi de cette différence quand on considère la raison de ces chiffres. Dans Nombres 3:12, 13, nous lisons : “J’ai [Jéhovah] pris les Lévites du milieu des enfants d’Israël, à la place de tous les premiers-nés, des premiers-nés des enfants d’Israël ; et les Lévites m’appartiendront. Car tout premier-né m’appartient ; le jour où j’ai frappé tous les premiers-nés dans le pays d’Égypte, je me suis consacré tous les premiers-nés en Israël.”
De ce passage, il ressort que tous les premiers-nés appartenaient à Jéhovah et que normalement ils auraient dû effectuer le service au sanctuaire. Mais au lieu de prendre les premiers-nés pour remplir cette fonction, Jéhovah choisit les hommes de la tribu de Lévi. Or, certains de ceux-ci étaient déjà qualifiés pour servir au sanctuaire. Pourquoi ? Parce qu’ils étaient eux-mêmes des premiers-nés. Ces Lévites n’allaient donc pas être inclus dans l’échange. Les 300 Lévites qui n’ont pas été comptés au moment de cet échange, devaient logiquement être des premiers-nés.
Le nombre des premiers-nés de la tribu de Lévi peut paraître anormalement restreint. Cependant, il faut se rappeler qu’en raison de la polygamie, un homme pouvait avoir de nombreux fils tout en n’ayant qu’un premier-né. On considérait le premier-né de l’homme et non pas celui de la femme. La population de la tribu de Lévi étant cinq a six fois moindre que celle d’une autre tribu moyenne d’Israël, le nombre de ses premiers-nés paraît raisonnable quand on le compare au nombre des premiers-nés des autres tribus.
Ces quelques exemples montrent que les contradictions apparentes entre des nombres donnés dans la Bible peuvent souvent être expliquées. C’est pourquoi, quand vous rencontrez des contradictions apparentes, examinez attentivement le contexte et vous pourrez trouver une explication plausible. Si cela est nécessaire, demandez l’aide de ceux qui ont foi en la Bible et ont une bonne connaissance de celle-ci. Ce faisant, vous vous rendrez compte qu’en général il n’y a pas lieu de conclure que ces différences résultent d’erreurs de copies.

Josué

Josué
Administrateur

L’étranger. Le mot hébreu traduit par étranger (zar) vient sans doute de la racine zour, qui signifie “ se détourner, devenir un inconnu ” (Ps 78:30 ; 69:Cool, et il désigne donc fondamentalement “ quelqu’un qui se distancie ou qui s’éloigne ”. — Theological Dictionary of the Old Testament, par G. Botterweck et H. Ringgren, 1980, vol. 4, p. 53.
Certains étaient considérés comme des étrangers dans des domaines touchant à la famille aaronique et à la tribu de Lévi, et cela concernait aussi bien les Israélites de naissance et les résidents étrangers que toutes les autres personnes. La Loi réservait les fonctions sacerdotales à la famille d’Aaron (Ex 28:1-3) et confiait les autres occupations relatives au temple à la tribu de Lévi en général (Nb 1:49, 50, 53). Toutes les autres personnes, y compris les Israélites de naissance des 12 tribus non lévitiques, étaient, dans certains domaines, comparées à des étrangers par rapport à la tribu de Lévi (Ex 29:33, MN, note : “ ‘ un non-Aaronite ’, c’est-à-dire un homme qui n’est pas de la famille d’Aaron ” ; Sg, note : “ étranger à la lignée d’Aaron ” ; Nb 3:38, MN, note : “ c’est-à-dire un non-Lévite ” ; Jé : “ profane ”. Voir aussi Lv 22:10 ; Nb 3:10). Comme l’indique le contexte, dans la plupart de ses occurrences dans le Pentateuque, le mot “ étranger ” désigne quelqu’un qui n’est pas de la famille d’Aaron ou qui n’est pas de la tribu de Lévi, pour la raison que les privilèges et les charges sacerdotales ou ministérielles ne lui étaient pas attribués.
L’étranger (non aaronite) ne pouvait pas manger du sacrifice d’installation (Ex 29:33), ni être oint d’huile d’onction sainte (Ex 30:33), ni manger aucune chose sainte (Lv 22:10). Un étranger non aaronite ne pouvait s’occuper d’aucune tâche sacerdotale (Nb 3:10 ; 16:40 ; 18:7). Un étranger non lévite, c’est-à-dire même un membre d’une des 12 autres tribus, ne pouvait s’approcher du tabernacle pour le dresser ou pour quelque autre raison, si ce n’est pour offrir des sacrifices ou pour consulter les prêtres à la porte de la tente de réunion (Lv 4:24, 27-29). La fille d’un prêtre qui se mariait avec un étranger non aaronite ne pouvait manger de la contribution des choses saintes, pas plus que son mari “ étranger ”. — Lv 22:12, 13.

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