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Coraux sont menacés de disparaître.

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samuel

samuel
Administrateur

La plupart des coraux des Caraïbes sont menacés de disparaître
Mis à jour à 09:32
La plupart des récifs coralliens des Caraïbes pourraient disparaître d'ici 20 ans à cause de la surpêche des poissons-perroquets et de la raréfaction des oursins.

(Photo: ARCHIVES / PHOTO D'ILLUSTRATION)
Les poissons-perroquets et la disparition des oursins sont considérées comme les principaux animaux «mangeurs» des algues envahissant les coraux.

Actuellement, dans les Caraïbes, il ne reste qu'un sixième des récifs coralliens d'origine, d'après une étude publiée par le Programme des Nations Unies pour l'environnement (PNUE) et l'Union internationale pour la conservation de la nature (UICN). Depuis les années 1970, plus de 50% de la surface occupée par les coraux dans a été perdue.

«Les récifs coralliens des Caraïbes ont enregistré des pertes massives depuis le début des années 1980» du fait des activités humaines, écrivent les experts, citant l'explosion de la croissance démographique, la surpêche et la pollution des côtes.

Le changement climatique a longtemps été tenu pour principal responsable de la dégradation de l'état des coraux. S'il représente toujours une «menace sérieuse» car il favorise l'acidification des océans et le blanchissement des coraux, ce qui entraîne un ralentissement ou un arrêt de leur croissance, il n'est désormais plus dans la ligne de mire des experts.

Hécatombe d'oursins en 1983

Le rapport montre que la quasi-disparition des poissons-perroquets, surpêchés depuis des décennies par les hommes, et des oursins, morts en masse en 1983 du fait d'une maladie non identifiée, est la principale cause du déclin des coraux des Caraïbes: les poissons-perroquets et les oursins sont considérés comme les principaux mangeurs d'algues qui envahissent les coraux.

Or, souligne à l'AFP Carl Gustaf Lundin, directeur du Programme du milieu marin et polaire de l'UICN, «s'il y a trop d'algues, il est très difficile de rétablir les coraux». D'où la nécessité de changer le mode de gestion de la pêche dans ces pays en luttant contre la surpêche, en empêchant de pêcher trop près des côtes et en interdisant la pêche avec des cages.

Jamaïque, Floride et îles Vierges

Il faut aussi, poursuit-il, que les pays règlent mieux la planification des lieux de construction des hôtels touristiques en bord de mer, et réduisent leur nombre. Les autorités doivent aussi mieux gérer le traitement des eaux usagées, en évitant le déversement près des récifs coralliens.

Selon le rapport, les coraux qui se portent le mieux sont ceux qui hébergent les plus grandes colonies de poissons-perroquets. C'est le cas dans le Secteur Marin National américain dans le nord du Golfe du Mexique, aux Bermudes et à Bonaire (Antilles néerlandaises), où les autorités ont restreint ou interdit les pratiques de pêche qui nuisent aux poissons-perroquets.

D'autres pays vont emboîter le pas. Barbuda est sur le point d'interdire la pêche des oursins et des poissons-perroquets et a prévu de transformer un tiers de ses eaux côtières en réserves marines.

Mais certains récifs, non protégés, sont en grand danger, comme en Jamaïque, mais aussi en Floride, entre Miami et Key West, et sur les îles Vierges américaines.

(ats)

samuel

samuel
Administrateur

Plan «inadapté» pour sauver la Grande barrière de corail
Mis à jour à 06:42
Le plan d'action du gouvernement australien pour protéger la Grande barrière de corail n'est pas adapté, il est à courte vue et n'empêchera pas sa dégradation, estiment les scientifiques.

Le plan avait été conçu avec le souci de trouver le bon équilibre entre protection de la Grande barrière de corail et développement durable. (Photo: AFP ARCHIVES)
L'ébauche de plan pour protéger la Grande barrière de corail , dévoilée pour consultation le mois dernier, doit répondre aux inquiétudes des Nations Unies concernant l'état de la Grande barrière, l'UNESCO ayant menacé de l'inclure dans la liste du patrimoine naturel mondial «en danger».

Le ministre australien de l'Environnement, Greg Hunt, a indiqué que le plan avait été conçu avec le souci de trouver le bon équilibre entre protection du corail et développement durable.

Mais l'Académie des Sciences a jugé ce mardi 28 octobre que le plan ignorait l'impact du changement climatique et ne résolvait pas les problèmes ayant trait à la qualité de l'eau, au développement côtier et à la pêche.

«La science est très claire: la barrière est dégradée et son état empire. Le plan ne va pas la rétablir, il ne va même pas la maintenir dans son état déjà diminué», a déploré Terry Hugues, membre de l'Académie.

«Le plan paraît aussi trop focalisé sur l'objectif de court terme de répondre aux inquiétudes de l'UNESCO, plutôt que sur le défi de long terme de restauration de la barrière», a-t-il ajouté.

Avancée probablement inutile

Selon le scientifique, bien que le plan ait entrepris de s'attaquer à l'écoulement des eaux agricoles, toute avancée sera probablement inutile face à l'ampleur sans précédent prise par le dragage destiné au développement de ports charbonniers et au projet de l'Etat de Queensland de doubler sa production agricole d'ici 2040.

La survie de la Grande barrière dépend de la réduction de la pollution provenant de l'écoulement des eaux et du dragage, de la limitation de la pêche et de la diminution des émissions de carbone issues des énergies fossiles, a souligné Terry Hugues.

L'ébauche de plan du gouvernement fédéral prévoit une meilleure coordination entre les différentes autorités, une proposition saluée par les écologistes.

Il prévoit aussi l'interdiction pendant une décennie du dragage effectué pour la création ou l'extension de ports à proximité de la Grande barrière - sauf dans les zones de développement portuaire prioritaires.

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