Accueil
Publications
Les enfants à naître pourraient subir une intervention chirurgicale Photographie: Steve Allen Photographie Voyage / / Alamy
Les scientifiques ont lancé un projet de 10 M £ pour créer un petit chirurgicale main de robot qui pourrait transformer le traitement des enfants atteints de spina bifida et d'autres anomalies congénitales.
Le but de la recherche, qui est effectué par les ingénieurs de l'University College de Londres (UCL) et la KU Leuven en Belgique, est de créer un dispositif minuscule qui fournit des images en 3D d'un foetus pendant qu'il est encore dans l'utérus qui sera également agir comme une main de robot automatisé. Cela pourrait mener à une intervention chirurgicale délicate ou fournir des cellules souches pour les organes endommagés d'un enfant à naître.
"L'objectif est de créer des technologies chirurgicales moins invasives pour traiter un large éventail de maladies dans l'utérus, avec beaucoup moins de risques pour la mère et le bébé", a déclaré le chef de projet, le professeur Sébastien Ourselin, du centre UCL pour l'imagerie médicale informatique.
Une priorité de choix pour le projet, qui est financé par le Wellcome Trust et le Conseil de recherches en génie et en sciences physiques, est de révolutionner le traitement des enfants atteints de spina bifida. Bébés environ un mille naissent avec myéloméningocèle spina bifida, la forme la plus grave de la maladie. Ceci est dû à la colonne vertébrale d'un bébé à naître ne se forme pas correctement et les fuites de liquide amniotique en elle. Germes dans le liquide peuvent alors se propager jusqu'à la colonne vertébrale jusqu'à ce qu'il atteigne le cerveau et empêche son développement. En conséquence, les bébés nés avec le spina-bifida souffrent souvent de complications neurologiques graves. La réponse, les médecins ont conclu, est d'essayer de patcher l'écart une fois qu'il est apparu dans la colonne vertébrale du bébé.
Cette chirurgie consiste à ouvrir l'abdomen et de l'utérus de la mère et encourt un risque important de déclencher un accouchement prématuré, cependant. En conséquence, les opérations de ce genre sont rarement effectuées. "Ils sont très dangereux," a déclaré le directeur de projet Jenny Nery. "Il ya un risque très grave pour la santé de la mère."
En outre, une intervention chirurgicale sur l'enfant à naître ne peut être effectuée lorsque le foetus est âgé d'au moins 26 semaines. En ce moment, des dégâts considérables peut-être déjà été fait pour le cerveau en développement de l'enfant. «Nous devons trouver un moyen de bloquer l'écart dans la colonne vertébrale du bébé à un stade beaucoup plus tôt dans le développement du fœtus», a ajouté Ourselin. «Idéalement, il devrait être fait environ 16 semaines. Tôt le traitement, plus elle sera efficace."
À l'heure actuelle, ces opérations sont impossibles. L'objectif du projet financé par le Wellcome est de développer des instruments - sur la base des derniers développements de l'optique et de la robotique - qui les rendront possible.
Les ingénieurs et les médecins impliqués dans le projet envisagent de développer une très fine sonde, très souple qui serait inséré dans l'utérus d'une femme portant un enfant atteint de spina bifida. La tête de la sonde aurait un brin équipé d'une minuscule caméra qui utiliser des impulsions laser et la détection par ultrasons - une combinaison connue sous le nom d'imagerie photo-acoustique - pour générer une photographie 3D à l'intérieur de l'utérus. Ces images seront ensuite utilisés par les chirurgiens pour guider la sonde à son objectif: l'écart de la colonne vertébrale du fœtus.
D'autres bras de la sonde seront également équipés de petits instruments qui porter un morceau de gel ou patch qui serait ensuite inséré sur l'écart dans la colonne vertébrale du bébé. "Ce sera comme un plâtre", a ajouté Ourselin. "Si nous pouvons faire cela, il y aura un gain énorme pour le fœtus alors qu'il y aura peu de risques pour la mère."
http://www.theguardian.com/society/2014/may/31/project-create-tiny-robot-hand-transform-spina-bifida-surgery
Les scientifiques ont lancé un projet de 10 M £ pour créer un petit chirurgicale main de robot qui pourrait transformer le traitement des enfants atteints de spina bifida et d'autres anomalies congénitales.
Le but de la recherche, qui est effectué par les ingénieurs de l'University College de Londres (UCL) et la KU Leuven en Belgique, est de créer un dispositif minuscule qui fournit des images en 3D d'un foetus pendant qu'il est encore dans l'utérus qui sera également agir comme une main de robot automatisé. Cela pourrait mener à une intervention chirurgicale délicate ou fournir des cellules souches pour les organes endommagés d'un enfant à naître.
"L'objectif est de créer des technologies chirurgicales moins invasives pour traiter un large éventail de maladies dans l'utérus, avec beaucoup moins de risques pour la mère et le bébé", a déclaré le chef de projet, le professeur Sébastien Ourselin, du centre UCL pour l'imagerie médicale informatique.
Une priorité de choix pour le projet, qui est financé par le Wellcome Trust et le Conseil de recherches en génie et en sciences physiques, est de révolutionner le traitement des enfants atteints de spina bifida. Bébés environ un mille naissent avec myéloméningocèle spina bifida, la forme la plus grave de la maladie. Ceci est dû à la colonne vertébrale d'un bébé à naître ne se forme pas correctement et les fuites de liquide amniotique en elle. Germes dans le liquide peuvent alors se propager jusqu'à la colonne vertébrale jusqu'à ce qu'il atteigne le cerveau et empêche son développement. En conséquence, les bébés nés avec le spina-bifida souffrent souvent de complications neurologiques graves. La réponse, les médecins ont conclu, est d'essayer de patcher l'écart une fois qu'il est apparu dans la colonne vertébrale du bébé.
Cette chirurgie consiste à ouvrir l'abdomen et de l'utérus de la mère et encourt un risque important de déclencher un accouchement prématuré, cependant. En conséquence, les opérations de ce genre sont rarement effectuées. "Ils sont très dangereux," a déclaré le directeur de projet Jenny Nery. "Il ya un risque très grave pour la santé de la mère."
En outre, une intervention chirurgicale sur l'enfant à naître ne peut être effectuée lorsque le foetus est âgé d'au moins 26 semaines. En ce moment, des dégâts considérables peut-être déjà été fait pour le cerveau en développement de l'enfant. «Nous devons trouver un moyen de bloquer l'écart dans la colonne vertébrale du bébé à un stade beaucoup plus tôt dans le développement du fœtus», a ajouté Ourselin. «Idéalement, il devrait être fait environ 16 semaines. Tôt le traitement, plus elle sera efficace."
À l'heure actuelle, ces opérations sont impossibles. L'objectif du projet financé par le Wellcome est de développer des instruments - sur la base des derniers développements de l'optique et de la robotique - qui les rendront possible.
Les ingénieurs et les médecins impliqués dans le projet envisagent de développer une très fine sonde, très souple qui serait inséré dans l'utérus d'une femme portant un enfant atteint de spina bifida. La tête de la sonde aurait un brin équipé d'une minuscule caméra qui utiliser des impulsions laser et la détection par ultrasons - une combinaison connue sous le nom d'imagerie photo-acoustique - pour générer une photographie 3D à l'intérieur de l'utérus. Ces images seront ensuite utilisés par les chirurgiens pour guider la sonde à son objectif: l'écart de la colonne vertébrale du fœtus.
D'autres bras de la sonde seront également équipés de petits instruments qui porter un morceau de gel ou patch qui serait ensuite inséré sur l'écart dans la colonne vertébrale du bébé. "Ce sera comme un plâtre", a ajouté Ourselin. "Si nous pouvons faire cela, il y aura un gain énorme pour le fœtus alors qu'il y aura peu de risques pour la mère."
http://www.theguardian.com/society/2014/may/31/project-create-tiny-robot-hand-transform-spina-bifida-surgery