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Droit à l’objection de conscience : l’opinion de spécialistes

2 participants

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Josué

Josué
Administrateur

http://www.jw.org/fr/actualites/juridique/par-region/international/objection-de-conscience-specialistes-video/
Droit à l’objection de conscience : l’opinion de spécialistes

Deux éminents spécialistes expliquent comment le droit à l’objection de conscience au service militaire est devenu un droit de l’homme en Europe.

M. Nils Muiznieks est Commissaire aux droits de l’homme du Conseil de l’Europe ; sa mission est de promouvoir le respect des droits de l’homme dans les États membres.
M. Richard Clayton (Conseil de la Reine) est membre de la Commission de Venise pour le Royaume-Uni. La Commission de Venise est l’organe consultatif du Conseil de l’Europe sur les questions constitutionnelles.
Regardez des extraits de ces interviews convaincantes.
http://www.jw.org/fr/actualites/juridique/par-region/international/objection-de-conscience-specialistes-video/

Josué

Josué
Administrateur

Droit à l’objection de conscience : l’opinion de spécialistes Libert10
Le Point Juin 2014

Josué

Josué
Administrateur


La Corée du Sud coupable de détention arbitraire d’objecteurs de conscience

Le Comité des droits de l’homme de l’ONU a condamné le gouvernement de Corée du Sud pour la détention arbitraire d’objecteurs de conscience et la violation de leur liberté de conscience. C’est la cinquième décision que le Comité rend à l’encontre de la Corée du Sud pour l’emprisonnement des objecteurs de conscience. Mais c’est la première fois qu’il qualifie leur détention d’« arbitraire * ».

Dans les quatre décisions précédentes, concernant 501 objecteurs de conscience, le Comité a estimé que la Corée du Sud violait leur liberté de pensée, de conscience et de religion, garantie par l’article 18 du Pacte international relatif aux droits civils et politiques (PIDCP). La dernière décision, adoptée le 15 octobre 2014, rendue publique le 14 janvier 2015 et concernant 50 jeunes Témoins *, est allée encore plus loin. Le Comité a considéré que le gouvernement violait également l’article 9 du PIDCP en condamnant ces hommes à des peines de prison alors qu’ils exercent un droit fondamental. Cet article interdit en effet la détention arbitraire et garantit le droit à réparation. Le Comité a déclaré que le caractère « arbitraire » devait « être interprété plus largement pour inclure les notions d’inadéquation [et] d’injustice ». Il a donc conclu que « condamner des personnes à des peines de prison pour l’exercice légitime de leur liberté de religion et de conscience garantie par l’article 18 du Pacte » est arbitraire.

Obligation de résoudre le problème
Dans sa décision, le Comité a demandé au gouvernement de Corée du Sud d’effacer les casiers judiciaires des 50 Témoins et de leur accorder une indemnisation suffisante. De plus, il a précisé que le gouvernement « est dans l’obligation d’instaurer des lois garantissant le droit à l’objection de conscience ». La Corée du Sud doit fournir « des informations sur les mesures prises pour faire appliquer la décision » du Comité, dans les 180 jours suivant son adoption.

La Corée du Sud a systématiquement objecté qu’elle ne pouvait pas mettre en place un service civil de remplacement en raison des menaces qui pèsent sur la sécurité du pays et de l’absence de consensus national sur cette question. Pour la cinquième fois, et conformément aux premières décisions rendues en 2006, le Comité a rejeté les arguments du gouvernement. Il a affirmé que la Corée du Sud « n’était pas parvenue à démontrer en quoi le respect des droits des objecteurs de conscience pénaliserait le pays ». Quant à la question de la cohésion sociale et de l’équité, le Comité a estimé que « le respect de l’État pour les questions de conscience est en soi un facteur important qui contribue à la cohésion et la stabilité d’une société pluraliste ». Par conséquent, il a confirmé que la Corée du Sud n’a aucune raison valable d’emprisonner les objecteurs de conscience.

En détenant arbitrairement des objecteurs de conscience, la Corée du Sud ne se conforme manifestement pas aux règles et à la jurisprudence internationales sur cette question.
Bien que la Corée du Sud ait signé le PIDCP en 1990, elle refuse systématiquement de se soumettre aux obligations de ce traité relatives aux objecteurs de conscience. En fait, les autorités coréennes continuent d’emprisonner des centaines de jeunes Témoins chaque année. Le Comité des droits de l’homme de l’ONU s’est prononcé à maintes reprises en faveur des objecteurs de conscience de Corée du Sud. Le temps nous dira si le gouvernement coréen réagira à la pression internationale grandissante en mettant fin à ces détentions arbitraires et en adoptant une législation qui respecte la conscience de ses cithttp://www.jw.org/fr/actualites/juridique/par-region/coree-du-sud/violations-droits-des-objecteurs-de-conscience/oyens.

Josué

Josué
Administrateur

Le juge estime que la loi prend en charge l'objection de conscience

antonio-la-morale

ESPAGNE Le juge espagnol de la deuxième chambre de la Cour suprême Antonio del Moral a été en faveur d'éviter une confrontation entre l'objection de conscience normative et dans les soins de santé, car il "est aussi le droit, avec ses paramètres et limites , comme indiqué dans la Constitution ". Del Moral a fait valoir, lors d'une session organisée par le Forum sur la santé et le droit à l'hôpital La Paz à Madrid, que «la conscience ne est pas une opinion et ne peut pas banaliser".

Le juge a déclaré catégoriquement que «la loi doit être respectée», mais croit que nous devons éviter la confrontation et ne avons pas porter des situations à la limite, car les solutions ne arrivent pas à imposer le critère de l'un sur l'autre. Del Moral estime que si un médecin doit intervenir dans un Témoin de Jéhovah, l'obligation est d'expliquer les risques d'une intervention, et si la nécessité de faire une transfusion, le patient doit savoir si le praticien est l'serait donnée, en utilisant son objection de conscience.

Del Moral a insisté pour que chaque fois qu'il ya aucun objecteurs de personnes et est une fonction substituables pas essayer d'harmoniser et de donner la priorité, parce que «vous pouvez éviter un conflit artificiel quand il ya des sorties intermédiaires qui respectent l'intérêt de tous." Antonio del Moral stipule que «une loi qui vise à réglementer l'objection de conscience dans le détail ne est pas opérationnel et finissent par être restrictive," et a rappelé que "ceux qui abdiquer leur condamnation par une amende, ne sont pas objecteurs authentiques".
http://diariode3.com/juez-advierte-la-ley-apoya-objecion-de-conciencia/

Déjà dans ce forum, le juge de la Cour constitutionnelle Andrés Ollero, a noté que «l'objection de conscience ne peut être limitée par la volonté du patient» et que «même si ce est un droit qui doit être abordé, mais il fait un médecin, Je peux faire un autre ". Potter a déclaré que «l'objection de conscience ne conteste pas la norme, mais nécessite une exception, contrairement à la désobéissance civile."

Josué

Josué
Administrateur

Au milieu de tensions persistantes avec l’Azerbaïdjan sur le processus de paix au Haut-Karabagh, la controverse se développe en Arménie sur une proposition qui permettrait d’assouplir les conditions du service alternatif pour les objecteurs de conscience à motivation religieuse.
Selon la loi arménienne, tous les hommes entre 18 et 27 ans sont tenus de servir pendant deux ans dans les forces armées . Bien que l’Arménie ait une loi sur le service alternatif depuis 2004, ses dispositions n’ont « pas été appliquées dans la pratique », a affirmé le militant des droits de l’homme Avetik Ishkhanian. Les hommes qui refusent pour des raisons religieuses d’effectuer un service de remplacement sous la supervision du personnel militaire ont souvent reçu des peines de prison.
Les membres des Témoins de Jéhovah - une secte chrétienne qui épouse des croyances millénaires et dont les membres évitent le service militaire - ont été particulièrement touchés : Au cours de la dernière décennie, 274 Témoins de Jéhovah ont fait de la prison pour avoir omis de remplir leurs obligations de service de remplacement, selon Ishkhanian . Le gouvernement arménien a longtemps été sous la pression internationale pour abolir la pratique de l’emprisonnement des objecteurs de conscience. En novembre 2012, la Cour européenne des droits de l’homme a ordonné au gouvernement arménien de payer 112 000 € (142 338 $) de dommages et intérêts à 19 Témoins de Jéhovah qui ont été ainsi traités.
Le Parlement arménien a approuvé les modifications à la loi sur le service alternatif en première lecture le 18 mars, par un vote de 103 contre 1. Après le vote, les députés ont envoyé des amendements au gouvernement pour quelques ajustements. Aucune information n’était disponible sur les changements que les députés souhaitaient.
Le seul député à voter contre les amendements était Shushan Petrosian, membre du Parti républicain, qui est aussi un chanteur bien connu. « C’est un problème sur lequel je ne peux tout simplement pas être d’accord avec le gouvernement et avec mes collègues du parti » a déclaré Petrossian. « Ma conviction est que chaque garçon qui n’a pas de problème de santé devrait servir dans l’armée arménienne ».
En vertu des modifications dans leur forme actuelle, les militaires ne superviseraient plus le travail fait comme une alternative au service militaire, et le nombre de mois de service requis serait ramené de 42 à 30. « Nous avons besoin de cette loi, car celle que nous avons n’est pas efficace, et en ce moment plus de 80 personnes ont préféré aller en prison et sont maintenant dans les pénitenciers, plutôt que de faire un service de remplacement » a commenté le ministre de la Justice Hrayr Tovmasian à EurasiaNet.org .
Pour le porte-parole des Témoins de Jéhovah Tigran Harutyunian, les modifications offrent une pause bienvenue dans le passé, quand les croyants devaient opter soit pour un mandat de trois ans de prison, ou un service de remplacement « en contradiction avec leurs croyances religieuses » et avec des conditions de travail « humiliantes ». Le service de remplacement comprend actuellement le nettoyage des rues, ainsi que la maintenance des hôpitaux et du travail de garde, la plupart du temps dans des hôpitaux psychiatriques. Les responsables des district militaires sont tenus de superviser le travail effectué au moins une fois par jour. « Nous espérons maintenant qu’il y aura, en fait, une alternative » a déclaré Harutiunian.
Tous les membres du Parti républicain d’Arménie ne sont pas satisfaits des changements potentiels. Des inquiétudes persistent, au milieu d’une hausse violations du cessez-le-feu au karabagh que l’Arménie ne peut pas se permettre de laisser des hommes valides éviter le service militaire. Lorsque le ministre de la Justice Tovmasian a présenté les amendements au Parlement le 27 février le député Hayk Babukhanian s’est plaint de ce que les modifications donneraient un « feu vert » à « des sectaires » pour efficacement esquiver leurs obligations. Babukhanian et d’autres députés du Parti républicain ont prévu que de nombreux jeunes hommes arméniens se joindront à des groupes religieux en particulier pour éviter le service militaire.
« La croissance du nombre secte dans notre pays est déjà une question de sécurité nationale » a déclaré Babukhanian à EurasiaNet.org. Il a affirmé que « diverses recherches » montrent que « 300000 à 350000 Arméniens aujourd’hui appartiennent à certaines confessions ».
Le militant des droits de l’homme Avetik Ishkhanian a cité les commentaires Babukhanian sur les sectes afin de souligner « la façon dont nos législateurs sont intolérants envers les minorités religieuses ». L’Arménie n’a pas de religion d’Etat, mais l’Eglise apostolique arménienne est considéré comme un élément central de l’identité historique du pays.
Alors que certains députés du Parti républicain sont clairement mécontents, les hauts dirigeants du parti au parlement, comme Koryun Nahapetian, président du Comité permanent de la sécurité nationale et des affaires intérieures, sont très favorables aux amndements. « Ces modifications législatives et les modifications de certaines autres lois connexes garantiront que la loi [sur le service alternatif] sert vraiment son but » a déclaré Nahapetian. « Après tout, le droit à la liberté de religion et de conscience est d’abord établie dans la Constitution de l’Arménie, et il est de notre devoir de la protéger ». Certains militants des droits de l’homme estiment que le gouvernement s’intéresse moins à la défense des droits civils qu’aux décisions négatives des tribunaux internationaux. « Le gouvernement ne s’inquiète pas de la protection des droits des minorités religieuses, mais est gravement préoccupé par les affaires qu’il a perdu » a déclaré Mikael Danielian, président de l’Association Helsinki ONG en charge des droits de l’homme.
Le député indépendant Edmon Marukian, qui, en tant que militant des droits de l’homme en 2003, a pris part aux discussions sur la loi sur le service alternatif, affirme que le gouvernement est le seul à devoir être blâmé pour les frais encourus. « Il était clair dès le début que ... les gens vont refuser de servir pour des motifs religieux, et, plutôt que de créer des conditions favorables à exploiter leur potentiel ailleurs, l’État les a condamnés, a utilisé l’argent des contribuables pour les garder dans des pénitenciers, et est en train de payer 100000 euros d’indemnisation pour emprisonnement illégal » a déclaré Marukian.
Le débat parlementaire sur les amendements se poursuit, mais Marukian est certain qu’ils seront adoptés. « Après tout, il s’agit d’un projet du gouvernement, et [les républicains] forment le gouvernement, alors ils ne vont pas voter contre elle ».
Note de l’éditeur :
Gayane Abrahamyan est journaliste pour ArmeniaNow.com à Erevan.
EurasiaNet.org

Josué

Josué
Administrateur

on peut définir l'objection de conscience comme le refus de porter les armes fondé sur des considérations religieuses ou philosophique et plus précisément sur trois motifs: morale, par refus de la violence, politique, par refus de soutenir les options des pouvoir en place, ou religieux.
C'est évidemment ce dernier qui détermine les TJ à refuser de participer  aux guerres.

Mikael

Mikael
MODERATEUR
MODERATEUR


[size=41][ltr]Le Comité des droits de l’homme des Nations unies défend le droit des Témoins de Jéhovah à tenir des offices religieux[/ltr]


[ltr]Le 26 avril 2021, le Comité des droits de l’homme des Nations unies a rendu une décision importante dans l’affaire Aziz Aliyev et autres c. Azerbaïdjan. Il s’agit de la troisième décision du Comité en faveur des Témoins de Jéhovah d’Azerbaïdjan et qui confirme notre droit de pratiquer notre culte paisiblement.
Cette affaire concerne une descente de police illégale effectuée dans le village d’Aliabad de la région de Zagatala. Le 21 septembre 2013, des policiers ont fait irruption au domicile de frère Aziz Aliyev, où plusieurs Témoins de Jéhovah étaient présents pour une réunion de l’assemblée. Les policiers ont fouillé la maison et menacé nos frères et sœurs. Ils ont confisqué leurs publications, leurs papiers, leurs documents médicaux et leur argent. Ils ont ensuite emmené tout le monde au commissariat de police. En cours de route, sœur Havva Aliyeva a fait une crise d’épilepsie et a perdu connaissance. En voyant cela, les policiers ont dû l’emmener à l’hôpital. Dès qu’elle a repris conscience, elle a été conduite au commissariat pour être interrogée.
Par la suite, le tribunal du district Zagatala a condamné de nombreux frères et sœurs à une amende de 1 500 manats (environ 1 400 euros). La cour d’appel de Sheki a confirmé ce jugement abusif. Ayant épuisé les recours auprès des juridictions de leur pays, nos frères ont porté l’affaire devant le Comité des droits de l’homme des Nations unies.
Le Comité a déclaré que l’Azerbaïdjan avait violé le droit à la liberté de religion de nos frères ainsi que leur droit de ne pas être arbitrairement privés de liberté. Dans sa décision, le Comité a fait remarquer que les Témoins de Jéhovah ont été harcelés par les autorités et les agents de police qui « ont menacé de les emprisonner, ont insulté certains d’entre eux et ont critiqué leur religion, mais n’ont pas expliqué en quoi les offices religieux et les publications des Témoins de Jéhovah pouvaient troubler ou mettre en danger autrui ». Par conséquent, l’Azerbaïdjan doit indemniser nos frères et « prendre toutes les mesures nécessaires pour empêcher que ce genre de violations aient lieu à l’avenir, notamment en reconsidérant sa législation, sa réglementation et/ou ses façons d’agir ».
Nous sommes heureux que nos frères d’Azerbaïdjan soient autorisés à pratiquer leur culte et à se réunir librement depuis ces dernières années. Grâce à notre Dieu, Jéhovah, la vérité continue d’être ‘reconnue en justice’ devant les tribunaux modernes (Philippiens 1:7).
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En parallèle

[ltr]Droit à l’objection de conscience : l’opinion de spécialistes 702021005_univ_sqs_lg
ACTUALITÉS

Azerbaïdjan : Le Comité des droits de l’homme des Nations unies statue en faveur des Témoins de Jéhovah

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