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Panel de l'ONU sur la torture à mettre invité improbable sur la sellette: le Vatican
AP
Le Comité des Nations Unies contre la torture, qui exige que les pays à se présenter devant le panneau et défendre leurs dossiers droits de l'homme, mettra un sujet peu sur son siège chaud la semaine prochaine quand il appelle au Vatican.
Le panel de l'ONU, qui comprend des représentants de la Chine, les États-Unis et huit autres pays, se réunira à Genève et appeler le Vatican pour rendre compte de son bilan sur la torture et les châtiments inhumains dans une procédure qui sera diffusée en direct sur Internet à compter du lundi. C'est la procédure standard pour tous les 155 pays qui ont signé à la convention du comité de présenter un rapport et devant le panneau, et le Vatican est à la fois un état-nation et un signataire. Chypre, la Lituanie, la Guinée, le Monténégro, la Sierra Leone, la Thaïlande et l'Uruguay sont également prévues à apparaître dès la semaine prochaine.
"Le Saint-Siège a ouvert la procédure par la présentation de leur rapport écrit," Felice Gaer, le représentant des États-Unis et un vice-président du comité, a déclaré à FoxNews.com.
Lors des sessions antérieures, les pays qui effectuent ou tolèrent des pratiques universellement reconnues comme inhumaines ont été forcés de défendre leurs dossiers. Le Centre pour les droits constitutionnels, qui représente le Réseau des survivants des personnes victimes de violence par des prêtres, a appelé le comité à faire griller le Vatican concernant les allégations de longue date d'abus sexuels au sein du clergé, en soutenant les échecs dans la réponse du Saint-Siège au scandale constitue une violation de la convention.
Bien qu'il soit possible, le panneau soulever des allégations de longue date d'abus sexuels au sein du clergé, le Vatican rapport se concentre principalement sur ce que l'église a et n'a pas fait d'arrêter d'autres nations de commettre des violations des droits de l'homme.
"Le Saint-Siège fait remarquer que dans les temps passés, des pratiques cruelles ont été communément utilisées par les gouvernements légitimes pour maintenir la loi et l'ordre, souvent sans protestation des pasteurs de l'église, qui eux-mêmes adopté dans leurs propres tribunaux les prescriptions du droit romain concernant la torture», lit un passage du rapport du Vatican. "regrettable que ces faits sont, l'église a toujours enseigné le devoir de clémence et de miséricorde."
Ce sera la deuxième telle audience du Vatican devant un panel de l'ONU. Janvier dernier, des responsables du Saint-Siège ont témoigné devant le comité de l'ONU qui supervise la mise en œuvre de la Convention relative aux droits de l'enfant, qui a également publié à l'époque un rapport critiquant l'Eglise pour ses positions contre l'homosexualité, la contraception et l'avortement. Le Comité a également demandé aux responsables du Saint-Siège dans leur rapport à modifier leur droit canon pour s'assurer que les droits des enfants.
Le porte-parole du Vatican Federico Lombardi Père a récemment déclaré la hiérarchie de l'église prend ses responsabilités en tant que nation et membre de l'ONU au sérieux.
«Cela fait partie de la procédure ordinaire à laquelle tous les États parties à adhérer le congrès", a déclaré Lombardi journalistes "Ce n'est pas que le Saint-Siège a été convoquée de façon en dehors des procédures normales, au nom de la Cité du Vatican.. - pas pour l'Église universelle - parce que la convention a des caractéristiques juridiques ".
Mais Gaer a déclaré que le Vatican était une décennie à la fin de la remise dans le rapport qui a incité la procédure de lundi, et a déclaré que le comité a été donné aucune explication pour le retard.
«Le Comité a maintes fois exprimé leur inquiétude à propos d'un retard de rapport, et a parfois demandé à recevoir une explication des raisons", a déclaré Gaer, notant que d'autres nations ont de même traîné les pieds. «Les États sont censés rapporter un an après la convention entre en vigueur, puis tous les quatre ans Certains font que cette question de la conformité de la procédure -.. Rapports périodiques - a été l'une des questions examinées dans les tentatives récentes visant à réformer le traité sur les droits de l'homme corps. Cela n'a pas été résolu. "
Fonctionnaires pour le Saint-Siège ne reprenaient pas immédiatement des demandes de commentaire.
http://www.foxnews.com/world/2014/05/01/un-panel-on-torture-to-put-unlikely-guest-on-hot-seat-vatican/?utm_source=JW+News+and+Archive&utm_campaign=df7ba276d3-RSS_EMAIL_CAMPAIGN&utm_medium=email&utm_term=0_5caf9e1836-df7ba276d3-29192077&ct=t(RSS_EMAIL_CAMPAIGN)
AP
Le Comité des Nations Unies contre la torture, qui exige que les pays à se présenter devant le panneau et défendre leurs dossiers droits de l'homme, mettra un sujet peu sur son siège chaud la semaine prochaine quand il appelle au Vatican.
Le panel de l'ONU, qui comprend des représentants de la Chine, les États-Unis et huit autres pays, se réunira à Genève et appeler le Vatican pour rendre compte de son bilan sur la torture et les châtiments inhumains dans une procédure qui sera diffusée en direct sur Internet à compter du lundi. C'est la procédure standard pour tous les 155 pays qui ont signé à la convention du comité de présenter un rapport et devant le panneau, et le Vatican est à la fois un état-nation et un signataire. Chypre, la Lituanie, la Guinée, le Monténégro, la Sierra Leone, la Thaïlande et l'Uruguay sont également prévues à apparaître dès la semaine prochaine.
"Le Saint-Siège a ouvert la procédure par la présentation de leur rapport écrit," Felice Gaer, le représentant des États-Unis et un vice-président du comité, a déclaré à FoxNews.com.
Lors des sessions antérieures, les pays qui effectuent ou tolèrent des pratiques universellement reconnues comme inhumaines ont été forcés de défendre leurs dossiers. Le Centre pour les droits constitutionnels, qui représente le Réseau des survivants des personnes victimes de violence par des prêtres, a appelé le comité à faire griller le Vatican concernant les allégations de longue date d'abus sexuels au sein du clergé, en soutenant les échecs dans la réponse du Saint-Siège au scandale constitue une violation de la convention.
Bien qu'il soit possible, le panneau soulever des allégations de longue date d'abus sexuels au sein du clergé, le Vatican rapport se concentre principalement sur ce que l'église a et n'a pas fait d'arrêter d'autres nations de commettre des violations des droits de l'homme.
"Le Saint-Siège fait remarquer que dans les temps passés, des pratiques cruelles ont été communément utilisées par les gouvernements légitimes pour maintenir la loi et l'ordre, souvent sans protestation des pasteurs de l'église, qui eux-mêmes adopté dans leurs propres tribunaux les prescriptions du droit romain concernant la torture», lit un passage du rapport du Vatican. "regrettable que ces faits sont, l'église a toujours enseigné le devoir de clémence et de miséricorde."
Ce sera la deuxième telle audience du Vatican devant un panel de l'ONU. Janvier dernier, des responsables du Saint-Siège ont témoigné devant le comité de l'ONU qui supervise la mise en œuvre de la Convention relative aux droits de l'enfant, qui a également publié à l'époque un rapport critiquant l'Eglise pour ses positions contre l'homosexualité, la contraception et l'avortement. Le Comité a également demandé aux responsables du Saint-Siège dans leur rapport à modifier leur droit canon pour s'assurer que les droits des enfants.
Le porte-parole du Vatican Federico Lombardi Père a récemment déclaré la hiérarchie de l'église prend ses responsabilités en tant que nation et membre de l'ONU au sérieux.
«Cela fait partie de la procédure ordinaire à laquelle tous les États parties à adhérer le congrès", a déclaré Lombardi journalistes "Ce n'est pas que le Saint-Siège a été convoquée de façon en dehors des procédures normales, au nom de la Cité du Vatican.. - pas pour l'Église universelle - parce que la convention a des caractéristiques juridiques ".
Mais Gaer a déclaré que le Vatican était une décennie à la fin de la remise dans le rapport qui a incité la procédure de lundi, et a déclaré que le comité a été donné aucune explication pour le retard.
«Le Comité a maintes fois exprimé leur inquiétude à propos d'un retard de rapport, et a parfois demandé à recevoir une explication des raisons", a déclaré Gaer, notant que d'autres nations ont de même traîné les pieds. «Les États sont censés rapporter un an après la convention entre en vigueur, puis tous les quatre ans Certains font que cette question de la conformité de la procédure -.. Rapports périodiques - a été l'une des questions examinées dans les tentatives récentes visant à réformer le traité sur les droits de l'homme corps. Cela n'a pas été résolu. "
Fonctionnaires pour le Saint-Siège ne reprenaient pas immédiatement des demandes de commentaire.
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