Il jeta la confusion dans le camp des Égyptiens.

Dimanche 23 février

Il jeta la confusion dans le camp des Égyptiens. Et il ôtait les roues de leurs chars, si bien qu’ils les conduisaient avec difficulté (Ex. 14:24, 25).

Contrairement aux forces militaires de Pharaon, qui se déplaçaient sur des chars, les Israélites avançaient lentement. Pourtant, leurs poursuivants n’avaient aucune chance de les rattraper, car Jéhovah combattait pour eux. Une fois tout le peuple rassemblé sain et sauf sur le rivage opposé de la mer Rouge, Dieu a commandé à Moïse : « Tends ta main sur la mer pour que les eaux reviennent sur les Égyptiens, sur leurs chars et sur leurs cavaliers. » Les soldats ont essayé d’échapper au déferlement des eaux, mais Jéhovah s’est « débarrass[é] des Égyptiens au milieu de la mer ». « Il n’en resta pas même un seul » (Ex. 14:26-28). Jéhovah a ainsi montré qu’il dispose de la puissance nécessaire pour délivrer son peuple de n’importe quelle situation. w12 15/4 4:11, 12.

Animée du désir d’écraser et de recapturer les anciens esclaves, toute l’armée s’engagea dans le bassin de la mer. Puis, à un moment de la veille du matin, qui était entre 2 heures et 6 heures environ, Jéhovah regarda depuis le nuage et commença à jeter la confusion dans le camp des Égyptiens en ôtant les roues de leurs chars. — Ex 14:24.
À l’approche du matin, les Israélites gagnèrent sains et saufs le rivage oriental de la mer Rouge. Jéhovah ordonna alors à Moïse de tendre sa main pour que les eaux reviennent sur les Égyptiens. Sur ce, “ la mer commença à revenir à son niveau normal ”, et les Égyptiens fuirent pour ne pas la rencontrer, ce qui indique encore que les eaux s’étaient ouvertes largement, sans quoi un étroit passage les aurait immédiatement engloutis. Les Égyptiens fuirent les murailles d’eau qui se fermaient en allant vers le rivage occidental, mais les eaux convergèrent jusqu’à ce que leur masse recouvre complètement tous les chars et tous les cavaliers de l’armée de Pharaon. Il n’en resta pas même un seul.
Il va de soi qu’un tel engloutissement aurait été impossible dans un marécage. De plus, dans un marais peu profond, les cadavres n’auraient pas été rejetés sur le rivage, comme cela se passa, de sorte qu’“ Israël put voir les Égyptiens morts sur le bord de la mer 

Il va de soi qu’un tel engloutissement aurait été impossible dans un marécage. De plus, dans un marais peu profond, les cadavres n’auraient pas été rejetés sur le rivage, comme cela se passa, de sorte qu’“ Israël put voir les Égyptiens morts sur le bord de la mer ”. — Ex 14:22-31 

Jéhovah a toujours délivré son peuple. Il a la puissance pour nous secourir, pour nous aider à endurer cette vie, pour changer notre personnalité, pour oublier ou se souvenir. En restant à ses côtés nous n'avons rien à craindre