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La diffusion mondiale des épidémies serait prévisible

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Josué

Josué
Administrateur

La diffusion mondiale des épidémies serait prévisible
Mis à jour le 12.12.2013 2 Commentaires
Avec l'accroissement du trafic aérien, les épidémies peuvent se propager à grande vitesse autour du globe. Comme le montre une étude d'un duo de chercheurs suisse et allemand publiée dans la revue Science.
Par le passé, les modèles de propagation des maladies se basaient principalement sur l'éloignement géographique entre deux endroits. Une manière de faire aujourd'hui obsolète qui ne tient pas compte des voyages incessants par voie aérienne.

«C'est un changement total de perspective», a expliqué à l'ats Dirk Helbing, de l'Ecole polytechnique fédérale de Zurich (EPFZ), co-auteur de ces travaux avec Dirk Brockmann, de l'Université Humboldt à Berlin. A l'heure actuelle, le chemin le plus court pour une maladie n'est pas la distance géographique, mais celui entre deux aéroports ayant le plus fort flux de voyageurs.

Les chercheurs ont ainsi imaginé une nouvelle «distance effective» qui selon eux simplifie les modèles de diffusion autrefois complexes. Ils ont créé une nouvelle «carte du monde» où les épidémies se répandent à partir de leur lieu d'origine en cercles concentriques de manière linéaire.

Cela permet de calculer assez simplement quelles villes seront atteintes en premier. «Les médicaments et le personnel médical peuvent ainsi être préparés et l'épidémie mieux combattue», estime le Pr Helbing.

Les deux scientifiques ont testé leur modèle rétrospectivement sur les pandémies de pneumonie atypique SRAS de 2003 et de grippe porcine de 2009, avec de bons résultats. Le calcul des voies de propagation de la grippe de 2009 correspondait effectivement au déroulement réel de la pandémie.

Enorme travail

Jusqu'ici, prédire l'évolution d'une épidémie demandait un énorme travail avec une quantité de données. Une solution consistait à effectuer des simulations informatiques sur la base de taux d'infections et de guérisons ainsi que de probabilités de contagion transmis à l'Organisation mondiale de la santé par les hôpitaux des pays concernés.

Une autre possibilité appelée «Big Data» consiste à suivre la maladie en temps réel sur internet à l'aide d'un calculateur qui recense toutes les recherches effectuées avec les mots-clés «grippe» ou «fièvre», par exemple. «Google Flu Trends» fonctionne ainsi. Mais cela aussi prend du temps, note le Pr Helbing.

La nouvelle méthode est plus rapide, demande moins de travail et ses prédictions sont meilleures, selon ses auteurs. En outre, l'analyse des voies de diffusion permet de retrouver l'origine de la maladie. «On ne peut prédire une épidémie que lorsqu'on connaît son origine», conclut le Pr Helbing.
(ats/Newsnet)

Créé: 12.12.2013, 22h07

chico.

chico.

L'Afrique demande de l'aide pour faire face au virus Ebola
Mis à jour à 13:07
Les Etats d'Afrique de l'Ouest ont demandé l'aide de la communauté internationale pour lutter contre la propagation du virus Ebola qui a déjà fait 77 morts.

La Communauté économique des Etats d'Afrique de l'Ouest (Cédéao), qui réunit 15 pays de la sous-région, demande l'aide de la communauté internationale. Elle souhaite être appuyée dans sa lutte contre une épidémie de fièvre hémorragique, qui a déjà fait 77 morts ces dernières semaines.

Le conseil de médiation et de sécurité de la Cédéao «lance un appel à la communauté internationale afin qu'elle apporte son appui dans la gestion de l'épidémie d'Ebola dans la région», selon un communiqué transmis vendredi à la presse.

Cet organe, qui s'est dit «fortement préoccupé» par l'épidémie de fièvre hémorragique, a qualifié cette dernière de «sérieuse menace pour la sécurité régionale» et de «fléau» dont la prise en charge nécessite «une réponse régionale».

Quelque 77 personnes sont décédées de fièvre hémorragique, dont une partie due au virus Ebola, 66 en Guinée, six au Libéria et cinq en Sierra Leone, pour 111 cas suspects recensés. Quatre cas de virus Ebola ont été détectés à Conakry, a-t-on appris jeudi de sources médicales.

Véhiculé par des chauves-souris

Il n'existe aucun vaccin ni remède contre le virus Ebola, et seules des mesures préventives peuvent permettre de maîtriser l'expansion de l'épidémie, comme l'installation de centres d'isolement des malades et la désinfection systématique des domiciles des personnes atteintes.

Aucun autre cas n'a pour l'instant été détecté dans les quatre autres Etats frontaliers de la Guinée que sont la Côte d'Ivoire, le Mali, le Sénégal et la Guinée-Bissau. Le délai d'incubation de la maladie provoquée par Ebola (deux à 21 jours) ne permet pas d'écarter la présence d'individus contaminés dans les pays voisins.

Selon les autorités sanitaires de Guinée, le virus Ebola, mortel dans neuf cas sur dix, a été véhiculé par des chauves-souris dans ce pays. Il peut aussi l'être par des chimpanzés, des gorilles, des antilopes, etc.

Il se transmet ensuite entre humains par contact direct avec le sang, les liquides biologiques ou les tissus des sujets infectés.

La Cédéao représente quinze Etats, pour une population évaluée à 300 millions d'habitants. Ses ministres sont réunis depuis mardi à Yamoussoukro, et ses présidents se retrouvent vendredi dans la capitale ivoirienne.

Josué

Josué
Administrateur

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