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18 nov. Lecture de la Bible : Hébreux 9-13

2 participants

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Josué

Josué
Administrateur

Il est vrai que la Loi mosaïque était d’origine divine. Toutefois, elle était désormais accomplie en Christ Jésus, “ la réalité ” vers laquelle ses ombres dirigeaient l’attention, et elle était par conséquent périmée (Col 2:13-17). En outre, le tabernacle (comme plus tard le temple) était de construction humaine, et à ce titre “ ‘ [...] mondain ’ c’est-à-dire de ce monde ” (gr. : kosmikon ; Hé 9:1, Les épîtres et l’Apocalypse, par L. Bonnet, 1855, note), autrement dit du domaine humain et non céleste ou spirituel, et les exigences qui en découlaient étaient “ des exigences légales se rapportant à la chair et elles furent imposées jusqu’au temps fixé pour remettre les choses en ordre ”. Jésus Christ était à présent entré dans “ la tente plus grande et plus parfaite, non faite par des mains, c’est-à-dire qui n’est pas de cette création ”, dans le ciel même (Hé 9:8-14, 23, 24). Il avait personnellement dit à une Samaritaine que le temps venait où le temple de Jérusalem ne serait plus essentiel au vrai culte, mais que les vrais adorateurs ‘ adoreraient le Père avec l’esprit et la vérité ’. (Jn 4:21-24.) Ainsi, les choses qui n’étaient que des “ représentations typiques ” (Hé 9:23) du domaine humain figurant les choses plus grandes de nature céleste n’avaient plus de raison d’être à partir de la mort, de la résurrection et de l’ascension de Christ Jésus.
Les chrétiens de Galatie et de Colosses pouvaient donc adorer Dieu selon la voie supérieure qui avait Christ Jésus pour fondement. C’est lui — et non des humains avec leurs principes et leurs enseignements, ni même les “ exigences légales se rapportant à la chair ” qui se trouvaient dans l’alliance de la Loi — qu’il fallait reconnaître comme la norme établie, comme le moyen de mesurer la véracité de tout enseignement ou de tout mode de vie (Col 2:9). Les chrétiens ne devaient pas ressembler à des enfants en se plaçant de leur plein gré sous ce qui était comparé à un pédagogue, à un précepteur, à savoir la Loi mosaïque (Ga 3:23-26) ; ils devaient plutôt avoir avec Dieu des relations qui soient celles qu’un fils adulte entretient avec son père. La loi était élémentaire, ‘ l’a b c de la religion ’, comparée aux enseignements chrétiens (Kritisch exegetisches Handbuch über die Briefe Pauli an die Philipper, Kolosser und an Philemon, par H. Meyer, 1874, p. 311). Étant engendrés [suite page 337] [suite de la page 320] pour la vie céleste, les chrétiens oints étaient pour ainsi dire morts et avaient été attachés sur un poteau pour ce qui est du kosmos, le domaine humain, dans lequel des prescriptions telles que la circoncision avaient été en vigueur ; ils étaient devenus “ une nouvelle création ”. (2Co 5:17 ; Col 2:11, 12, 20-23 ; voir aussi Ga 6:12-15 ; Jn 8:23.) Ils savaient que le Royaume de Jésus n’était pas d’origine humaine (Jn 18:36). Ils ne devaient en aucun cas retourner aux “ faibles et misérables choses élémentaires ” du domaine humain (Ga 4:9), ce qui serait revenu à se laisser égarer, à abandonner “ la richesse de la pleine certitude de leur intelligence ” ainsi que la “ connaissance exacte du saint secret de Dieu, c’est-à-dire Christ ”, en qui sont cachés “ tous les trésors de la sagesse et de la connaissance ”. — Col 2:1-4.

Josué

Josué
Administrateur

Tant que l’alliance de la Loi était en vigueur, le “service sacré” qui s’y rattachait avait sa place, et il était agréable à Dieu. C’est pourquoi l’apôtre Paul éleva très haut ce service en disant: “Pour ce qui la concerne, donc, la première alliance avait des ordonnances pour le service sacré [latréïa], et son lieu saint terrestre. Car on avait construit la première partie de la tente, celle où il y avait le porte-lampes et aussi la table et l’exposition des pains; et on l’appelle ‘le Lieu Saint’. Mais derrière le second rideau se trouvait l’autre partie de la tente, celle qu’on appelle ‘le Très-Saint’. (...) Ces choses ayant été ainsi construites, les prêtres entrent en tout temps dans la première partie de la tente pour accomplir les services sacrés [latréïa].” (Héb. 9:1-6). Ce service sacré rituel était lié aux sacrifices que les prêtres offraient en faveur de la nation d’Israël, et non aux occupations quotidiennes du peuple. Comme l’apôtre Paul le souligne, ce “service sacré” accompli sous l’alliance de la Loi était un type ou une préfiguration des réalités chrétiennes.
Dans le même ordre d’idées, Paul écrivit aux chrétiens de Rome: “Je vous supplie donc, frères, par les compassions de Dieu, de présenter vos corps en sacrifice vivant, saint, agréable à Dieu, un service sacré [latréïa] avec usage de votre raison. Et ne vous modelez plus sur ce système de choses-ci.” (Rom. 12:1, 2). Les actions que ces chrétiens feraient en guise de sacrifice ne seraient donc pas des choses courantes, comme celles que les personnes non chrétiennes du présent système de choses ont l’habitude d’accomplir.

Josué

Josué
Administrateur

La loi, en effet, possède une ombre des biens à venir et non pas l’exacte représentation des réalités ; c’est pourquoi elle ne peut jamais,
Les institutions de l’ancienne Alliance n’avaient qu’une ombre des biens à venir, le Nouveau Testament en offre en Christ la réalité. Telle est évidemment la pensée de l’auteur, qu’il a déjà exprimée à plusieurs reprises (#Hé 8:5; 9:9,13,14,23), et qu’il tenait à rappeler encore avant de montrer comment et pourquoi l’œuvre du Sauveur est la réalité des biens célestes. On aurait donc pu attendre qu’à l’ombre il opposerait le corps, comme Paul le fait dans #Col 2:17. Mais il emploie, comme second terme de l’antithèse, une expression qui offre quelque difficulté : l’image même des choses ; ce qui ne veut pas dire que l’ancienne Alliance avec ses sacrifices ne fût que l’image d’une image, et que la réalité des choses n’ait pas paru en Christ. Mais, de même que Christ lui-même est appelé l’image du Père (#Hé 1:3 ; #Col 1:15), bien qu’il en soit la révélation aussi réelle et aussi complète que nous pouvons la concevoir ici-bas, de même toute son œuvre, et en particulier son sacrifice, peut être aussi nommé une image des choses, des biens à venir. En effet, quoique les réalisant parfaitement, il n’en est encore pour nous qu’une révélation telle que nous pouvons la saisir, la pleine possession étant réservée à notre avenir éternel. La liberté qu’a prise Luther de rendre cette expression par « l’essence des choses » est donc fondée, quoique le mot image soit plus rigoureusement juste. Une explication un peu différente, qu’on a proposée de ces termes, est peut-être plus simple. L’auteur entendrait par biens à venir, l’expiation des péchés accomplie par Jésus, et le pardon, la sanctification, le perfectionnement qui en découlent pour le croyant de la nouvelle Alliance. Ces biens étaient à venir pour ceux qui vivaient sous l’ancienne Alliance. La loi n’en offrait qu’une ombre, c’est-à-dire une silhouette indistincte qui ne permettait guère de deviner comment s’accomplirait cette rédemption. L’Évangile, au contraire, en retraçant la vie et la mort du Rédempteur, nous offre l’image même des choses, l’exacte représentation des faits sur lesquels repose notre salut ; il nous permet de les connaître entièrement et d’en éprouver tous les effets.

Il s’agit ici du sacrifice annuel, offert dans le lieu très saint au grand jour des expiations (#Hé 9:7). L’auteur y revient sans cesse dans cette épître, parce que ce sacrifice exprimait le mieux l’idée de tous les autres et était le symbole le plus complet du sacrifice de Golgotha.

Voir sur ce mot rendre parfait (grec consommer) #Hé 5:9, note.
 — Ceux qui y prennent part, grec ceux qui s’approchent, sont ceux qui viennent à l’autel, et par là, à Dieu, au moyen de leurs sacrifices.

Josué

Josué
Administrateur

L’apôtre Paul explique que le rideau du tabernacle séparant le Très-Saint du Saint représente la chair de Jésus. Quand ce dernier sacrifia sa vie, le rideau en question se déchira en deux, montrant que désormais la chair de Jésus ne constituait plus une barrière lui interdisant l’accès auprès de Jéhovah dans les cieux. Sur la base du sacrifice de Jésus, ses sous-prêtres oints et morts dans la fidélité pourraient, eux aussi et en temps voulu, accéder au ciel (Matthieu 27:50, 51 ; Hébreux 9:3 ; 10:19, 20). Paul souligne également que les sacrifices d’animaux continuellement présentés au tabernacle annonçaient le sacrifice unique de la vie humaine parfaite de Jésus. L’autel des sacrifices dans la cour représentait la disposition prise par Jéhovah, conformément à sa volonté, pour agréer le sacrifice de Jésus en faveur de “ beaucoup ”, d’entre les oints d’abord puis d’entre les autres brebis, qui ‘ l’attendraient ardemment pour leur salut ’. — Hébreux 9:28 ; 10:9, 10 ; Jean 10:16.
D’après cette indication d’inspiration divine, nous pouvons conclure que le Lieu Saint du tabernacle symbolise une condition de sainteté qui fut d’abord celle de Christ, puis des 144 000 membres oints de la prêtrise royale tant qu’ils sont encore sur la terre, avant d’entrer à travers le “ rideau ”. (Hébreux 6:19, 20 ; 1 Pierre 2:9.) Il représente leur adoption comme fils spirituels de Dieu, de la même manière que Dieu a reconnu Jésus comme son Fils après le baptême de celui-ci dans le Jourdain en l’an 29 de notre ère (Luc 3:22 ; Romains 8:15). Et qu’en est-il de la cour intérieure, la seule partie du tabernacle que voyaient les Israélites n’appartenant pas à la prêtrise et où l’on procédait aux sacrifices ? Elle figure la perfection de l’homme Jésus, perfection qui le rendait apte à offrir sa vie pour l’humanité. Elle représente également la position de justes des saints, position qui est accordée aux disciples oints, sur la base du sacrifice de Jésus, alors qu’ils sont encore sur la terre. — Romains 1:7 ; 5:1.

chico.

chico.

Je trouve cette épître difficile a comprendre.

Josué

Josué
Administrateur

oui ce n'est pas du lait mais de la nourriture solide.
(Hébreux 5:13, 14) 13 Car tout homme qui a part au lait ne connaît pas la parole de justice, car c’est un tout-petit. 14 Mais la nourriture solide est pour les hommes mûrs, pour ceux qui, par l’usage, ont les facultés de perception exercées à distinguer et le bien et le mal.
il faut s'acrocher.

Josué

Josué
Administrateur

Comme si cela ne suffisait pas, Paul a donné aux Hébreux une seconde raison de ne jamais reculer pour la destruction : leur endurance passée. “ Rappelez-vous toujours, leur a-t-il écrit, les jours passés où, après avoir été éclairés, vous avez enduré un grand combat dans les souffrances. ” Il leur remettait en mémoire qu’ils avaient été “ exposés comme dans un théâtre ” aux opprobres et aux tribulations. Certains avaient connu la prison, tandis que d’autres les avaient soutenus avec compassion. Incontestablement, ils avaient fait preuve d’une foi et d’une persévérance exemplaires (Hébreux 10:32-34). Mais pourquoi Paul leur demandait-il de ‘ se rappeler toujours ’ ces moments pénibles ? Cela ne risquait-il pas de les décourager ?
Au contraire. En ‘ se rappelant les jours passés ’, les Hébreux se souviendraient comment Jéhovah les avait soutenus dans les épreuves. Grâce à son aide, ils avaient déjà repoussé bien des attaques de Satan. Aussi Paul leur écrivait-il : “ Dieu n’est pas injuste pour oublier votre œuvre et l’amour que vous avez montré pour son nom. ” (Hébreux 6:10). Jéhovah n’avait oublié aucune de leurs œuvres de fidélité ; il les conservait toutes dans sa mémoire infinie. Voilà qui fait penser à l’exhortation de Jésus d’amasser des trésors dans le ciel, des trésors contre lesquels les voleurs, les mites et la rouille ne peuvent rien (Matthieu 6:19-21). En réalité, il n’y a qu’une chose qui puisse détruire ces trésors : c’est, pour un chrétien, de reculer pour la destruction, car cela reviendrait à dissiper tout ce qu’il aurait amassé de valeur dans le ciel. Quelle raison puissante Paul donnait donc aux chrétiens hébreux de ne jamais agir ainsi ! Quel dommage en effet de perdre le bénéfice de toutes leurs années de service fidèle ! Il était de loin préférable, et juste, qu’ils continuent à endurer.

Josué

Josué
Administrateur

(Hébreux 11:1, 2) 11 La foi est l’attente assurée de choses qu’on espère, la démonstration évidente de réalités que pourtant on ne voit pas. 2 C’est par le moyen de cette [foi-]là, en effet, qu’il a été rendu témoignage aux hommes d’autrefois.
selon une autre version : “ C’est la certitude de choses qu’on ne voit pas. ” (Bible des peuples). Illustrons : vous marchez sur la plage quand soudain le sol tremble ; puis la mer se retire. Vous comprenez que ce sont des signes avant-coureurs d’un tsunami. Ces signes sont donc une “ démonstration évidente ” d’une réalité que vous ne voyez pas encore : un tsunami imminent. Cette certitude éclairée vous poussera alors à vous réfugier sur une hauteur.
Pareillement, la foi en Dieu devrait être éclairée, basée sur des preuves convaincantes. C’est à cette seule condition que Dieu deviendra pour vous une ‘ réalité invisible ’. Vous faut-il être un scientifique pour analyser ces preuves ? Un prix Nobel, Vladimir Prelog, a reconnu qu’“ en ce qui concerne Dieu, la religion et la vie après la mort, les lauréats de prix Nobel ne sont pas plus compétents que d’autres ”.
L’honnêteté intellectuelle et la soif de vérité devraient vous pousser à examiner objectivement les faits et à les laisser vous aiguiller dans la bonne direction. De quels faits disposez-vous ?

Josué

Josué
Administrateur


1. Un caractère de la foi. Elle est une assurance de ce que nous espérons, une démonstration de faits que nous ne voyons pas (verset 1).
2. Valeur de la foi. Elle a procuré aux anciens les sentiment d’être agréables à Dieu (verset 2).
3. Un premier fruit de la foi. Par elle, nous savons que le monde a été tiré du néant par une parole de Dieu (verset 3).
4. Abel, approuvé de Dieu. Sa foi lui permit d’offrir un sacrifice que Dieu accueillit ; grâce à elle, il fut déclaré juste ; par elle, il parle encore (verset 4).
5. Énoch, exempté de la mort. Sa foi lui valut d’être transporté au ciel, car elle le rendit agréable à Dieu. Celui qui s’approche de Dieu doit croire qu’il existe et qu’il récompense ceux qui le cherchent (versets 5, 6).
6. Noé divinement averti. Noé, instruit de l’avenir, bâtit l’arche, sauva sa famille et condamna le monde. Il hérita de la justice qui est selon la foi (verset 7).

Josué

Josué
Administrateur

En bref, Paul dit que “ puisque la Loi possède une ombre des bonnes choses à venir ”, ses sacrifices répétitifs n’ont pas été capables de supprimer la “ conscience de péchés ”. Toutefois, Jésus est venu dans le monde pour faire la volonté de Dieu. “ Par cette ‘ volonté ’-là, dit Paul, nous avons été sanctifiés grâce à l’offrande du corps de Jésus Christ une fois pour toutes. ” Par conséquent, que les Hébreux tiennent ferme la déclaration publique de leur espérance sans vaciller et qu’ils ‘ se considèrent les uns les autres pour s’inciter à l’amour et aux belles œuvres ’, n’abandonnant pas leur assemblée. S’ils pratiquent le péché volontairement après avoir reçu la connaissance exacte de la vérité, “ il ne reste plus pour les péchés aucun sacrifice ”. — 10:1, 2, 10, 24, 26

Josué

Josué
Administrateur

23 Plaidoyer en faveur de Christ, la lettre aux Hébreux est un chef-d’œuvre incontestable, parfaitement construit et abondamment étayé de preuves tirées des Écritures hébraïques. Elle couvre les différents aspects de la Loi mosaïque — l’alliance, le sang, le médiateur, la tente du culte, la prêtrise, les offrandes — et démontre qu’ils n’étaient qu’un modèle établi par Dieu qui annonçait des choses bien plus grandes à venir, toutes devant aboutir à Christ Jésus et à son sacrifice, l’accomplissement de la Loi. Paul dit de la Loi que “ ce qui devient périmé et qui vieillit est près de disparaître ”. Mais “ Jésus Christ est le même hier, aujourd’hui et pour toujours ”. (8:13 ; 13:8 ; 10:1.) Quelle joie ce dut être pour les Hébreux de lire cette lettre !
24 Mais de quelle valeur est-elle aujourd’hui pour nous dont la situation est différente ? Puisque nous ne sommes pas sous la Loi, l’argumentation de Paul peut-elle nous être de quelque utilité ? Très certainement ! Cette lettre expose pour nous l’ensemble des dispositions de la nouvelle alliance basée sur la promesse faite à Abraham, et selon laquelle toutes les familles de la terre se béniraient par le moyen de sa Semence. Tel est notre espoir de vie, notre seul espoir : la réalisation de la promesse antique de bénédiction faite par Jéhovah, bénédiction par le moyen de la Semence d’Abraham, Jésus Christ. Bien que nous ne soyons pas sous la Loi, étant descendants d’Adam nous sommes nés dans le péché, et nous avons besoin d’un grand prêtre miséricordieux qui puisse offrir un sacrifice acceptable pour le péché, entrer en la présence de Jéhovah dans le ciel et intercéder en notre faveur. Cette lettre nous présente ce grand prêtre qui nous mènera à la vie dans le monde nouveau de Jéhovah, qui compatit à nos faiblesses, ayant “ été mis à l’épreuve comme nous ”, et qui nous invite à nous ‘ avancer avec franchise vers le trône de la faveur imméritée, pour que nous puissions obtenir miséricorde et trouver faveur imméritée pour du secours au bon moment ’. — 4:15, 16.

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