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Boissons énergisantes: à éviter chez les enfants...

5 participants

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Josué

Josué
Administrateur

Boissons énergisantes: à éviter chez les enfants, ados et femmes enceintes
Publié par AFP le Mardi 01 Octobre 2013 à 10h09
La consommation de boissons "énergisantes" comme Red Bull, Monster ou Burn, est à éviter chez les enfants et les adolescents, mais aussi associée à de l'alcool ou lors d'un exercice physique intense, recommande l'agence sanitaire Anses.

Des cannettes de boissonsDes cannettes de boissons - Joel Saget ©AFP/Archives
La consommation de boissons "énergisantes" comme Red Bull, Monster ou Burn, est à éviter chez les enfants et les adolescents, mais aussi associée à de l'alcool ou lors d'exercice physique intense, recommande l'agence sanitaire Anses.

Sous surveillance en raison d'effets indésirables suspectés (notamment cardiaques), ces boissons contiennent quasi systématiquement de la caféine (en moyenne, l'équivalent de 2 expressos par cannette standard de 250 ml). Elles sont commercialisées depuis 2008 en France, qui en consomme quelque 40 millions de litres par an.

Près de 9 millions de Français de plus de 14 ans consomment ces boissons dite "énergisantes" (DBE), un terme purement commercial sans encadrement réglementaire spécifique, selon l'Agence nationale de sécurité sanitaire de l'alimentation (Anses) qui publie mardi un avis sur leurs risques sanitaires.

L'Anses déconseille également leur consommation aux femmes enceintes (risque de retard de croissance du foetus) ou allaitantes (passage de la caféine dans le lait), ainsi qu'aux personnes affectées de certains troubles cardio-vasculaires, psychiatriques ou neurologiques (épilepsie) ou encore souffrant d'une insuffisance rénale ou d'une maladie grave du foie.

L'agence recommande d'être particulièrement vigilant sur les apports de caféine chez les enfants et les adolescents, qui, s'ils sont trop élevés, peuvent souffrir de troubles du sommeil, somnoler le jour et même risquer de développer ultérieurement des conduites addictives à d'autres substances psycho-actives.

Selon ce rapport, 257 cas d'effets indésirables ont été signalés à l'Anses, dont 212 pouvaient être analysés.

"Le rôle des DBE caféinées a été jugé +vraisemblable ou très vraisemblable+" pour 25 cas, soit 12% des signalements", indique à l'AFP Franck Fourès, directeur adjoint santé alimentation à l'Anses.

Plus globalement, l'Anses appelle "à la modération" de la consommation des boissons caféinées, et à encadrer la promotion des BDE, dans les contextes "à risque (festifs, sportifs)".

Josué

Josué
Administrateur

Les députés votent la création d'une taxe sur les boissons énergisantes
Par Francetv info avec AFP
Mis à jour le 24/10/2013 | 10:52 , publié le 24/10/2013 | 10:36
La boisson Red Bull sera taxée. Les députés ont voté, jeudi 24 octobre, la création d'une taxe sur les boissons énergisantes, dans le cadre de l'examen du projet de loi de finances de la sécurité sociale (PLFSS) pour 2014. Cette mesure a été proposée en commission à l'Assemblée, par le socialiste Gérard Bapt.

La taxe, qui devrait s'élever à un euro par litre, pourrait rapporter 60 millions d'euros. Elle s'appliquera à compter du 1er janvier 2014 sur les boissons contenant un seuil minimal de 0,22 gramme de caféine ou 0,3 gramme de taurine par litre.

L'opposition s'y oppose, rappelant qu'une mesure identique avait été adoptée puis censurée par le Conseil constitutionnel. La ministre des Affaires sociales et de la Santé, Marisol Touraine, s'en est elle remise "à la sagesse" de l'Assemblée. La mesure devra toutefois être validée en deuxième lecture, après le vote des sénateurs.

Josué

Josué
Administrateur

http://www.francetvinfo.fr/sante/video-les-boissons-energisantes-sont-elles-dangereuses-pour-la-sante_591545.html#xtor=EPR-2-[newsletterquotidienne]-20140504-[lestitres-coldroite/titre7]

Josué

Josué
Administrateur

[size=36]Enfants : les boissons énergisantes sources d'intoxications

Mots clés : Red bull, boissons énergisantes, pédiatrie
Par Boissons énergisantes: à éviter chez les enfants... Ico-fPauline Fréour - le 19/11/2014
Une étude américaine met en garde contre les effets parfois grave de la caféine chez les très jeunes.[/size]

Depuis plusieurs années, les mises en garde relatives aux boissons énergisantes de type Red Bull se multiplient: pas de consommation avec de l'alcool, pendant l'effort physique ou chez les femmes enceintes ou allaitantes. Parmi les publics sensibles figurent également les enfants, pour lesquels le risque n'est pas fantasmé, rappelle une étude conduite après des centres antipoison américains.
Selon l'enquête du Dr Steven Lipshultz, pédiatre à l'hôpital des enfants de Détroit (Michigan), plus de 40 % des appels aux centres antipoison relatifs à des boissons énergisantes concernent des enfants de moins de six ans. Cela représente environ 3100 cas pour les États-Unis sur une période de trois ans, entre 2010 et 2013. Un chiffre faible au regard de la population (316 millions d'habitants), mais néanmoins significatif.
Un quart de ces enfants présentaient «des symptômes cardiaques et neurologiques modérés à sérieux», précise le pédiatre, qui a présenté ses résultats en début de semaine lors du congrès de l'American Heart Association.

Interdit avant 6 ans

L'excès de caféine a un effet excitant sur l'organisme bien établi: «Cette substance accélère le fonctionnement du cœur, ce qui peut conduire à la tachycardie, à des troubles du rythmes voire à l'arrêt cardiaque dans les cas les plus extrêmes. Au niveau du cerveau, la surexcitation des neurones peut entraîner des convulsions», énumère le Dr Luigi Titomanlio, pédiatre urgentiste à l'hôpital Robert-Debré à Paris.
Certaines canettes de Red Bull peuvent contenir jusqu'à 400 mg de caféine, alors qu'une tasse de café en présente 130 mg, et un coca, source d'apport souvent oubliée, 40 mg. Une intoxication peut survenir à des doses variables selon l'âge: plus de 400 mg par jour chez l'adulte, plus de 100 mg par jour chez l'adolescent, et 2,5 mg par kilo corporel par jour chez l'enfant de moins de 12 ans. «La caféine est proscrite chez l'enfant de moins de 6 ans, rappelle le Dr Titomanlio. Chez l'enfant de 7 à 9 ans, le maximum acceptable est atteint dès une demi-tasse de café.»
Pour le Dr Lipshultz, l'ampleur du phénomène d'intoxication à la caféine chez les enfants serait bien plus étendu que ce que reflètent ses données. En effet, rappelle-t-il, tous les cas ne donnent pas lieu à un appel aux centres antipoison, de nombreuses personnes se rendant directement chez leur médecin ou aux urgences.
En France, où la vente de boissons énergisantes n'est autorisée que depuis 2008, les intoxications aiguës à la caféine chez les jeunes enfants seraient moins fréquentes qu'aux États-Unis, estime le Dr Jérôme Langrand, du centre antipoison de Paris. «Chez les moins de 5 ans, la consommation est principalement accidentelle», précise-t-il. Selon les dernières données du dispositif de nutrivigilance, 5 cas d'intoxication auraient été recensés chez les moins de 10 ans, se manifestant en général par de l'agitation.

Troubles du sommeil

À l'Agence nationale de sécurité sanitaire (Anses), Franck Fourès, directeur adjoint de l'évaluation des risques, constate que la consommation régulière de boissons énergisantes par les enfants n'est pas si négligeable. «Nous avons été surpris de constater, lors d'une étude conduite dans 16 pays européens en 2013, que 3 % des enfants prenaient du Red Bull ou équivalent 4 à 5 fois par semaine. Chez les adolescents, on passait à 8 %».
Les excès de caféine peuvent avoir des effets moins aigus et spectaculaires que les troubles sévères mentionnés dans l'étude américaine, mais néanmoins très ennuyeux pour le développement de l'enfant. «Une surconsommation de caféine entraîne un syndrome de sevrage, qui perturbe le sommeil de l'enfant, créant une somnolence dans la journée, ce qui le pousse de nouveau à rechercher l'effet de la caféine pour rester éveillé. C'est un cercle vicieux», explique Franck Fourès. Par ailleurs, la caféine est un psychostimulant qui favorise les futures dépendances (à l'alcool, au tabac, aux drogues) chez les enfants et les adolescents dont le néocortex n'est pas mature.

Psalmiste

Psalmiste

La meilleure des boissons pour les enfants (et aussi pour les adultes) c'est encore l'eau. Et si on veut boire une boisson qui nous boost, alors un bon jus d'orange est bien meilleur que tout ces boissons chimiques.

samuel

samuel
Administrateur

Déjà que les enfants sont surecité si en plus ils prennent cette boisson ça ne va pas arranger les choses.

Josué

Josué
Administrateur

USA: une fac bannit les boissons énergisantes par peur des «comportements sexuels à risques»
L’université de Middlebury aux États-Unis a créé la polémique en prenant la décision de bannir les boissons énergisantes de son campus, par peur que ses étudiants prennent part à des activités sexuelles à haut risques.

Les boissons énergisantes favoriseraient-elles les comportements sexuels à risque? C’est en tout cas l’avis du service de restauration de l’université de Middlebury aux États-Unis. À coup de prospectus distribués en masse auprès de ses étudiants, l’université révèle une suposée connexion scientifique entre la consommation de ces boissons et un «comportement à risque chez les jeunes».

L’institution assure par le biais de ses dépliants, que les boissons énergisantes sont responsables de «l’augmentation de la consommation d’alcool, la conduite sous état d’ivresse, l’augmentation de la probabilité d’essayer d’autres substances toxiques et l’augmentation de la participation à des activités sexuelles à haut risque chez les étudiants»

Cette décision ne vient pas d’un professeur zélé mais bien d’un étudiant
Contrairement à ce que l’on pourrait penser, cette décision ne vient pas d’un professeur zélé mais bien d’un étudiant stagiaire au sein du service de restauration, selon le journal de l’université Middlebury Campus. Myles Kamisher-Koch a expliqué lors d’une réunion réunissant administrateurs et étudiants que les boissons énergisantes font la promotion d’une «culture du stress» et encourage les mauvaises habitudes.

Le directeur du service de restauration, Dan Detora, a précisé à la chaîne de télévision américaine NBC, que la consommation de ces boissons peut potentiellement avoir de sérieuses conséquences sur la santé. Les responsables de l’université ont également dévoilé que ces dernières étaient liées aux comportements à certains comportements dangereux, comme l’abus d’alcool et «les activités sexuelles à hauts risques». Au moins deux étudiants de l’université seraient concernés.

Pas de corrélation avérée entre comportements sexuels à risques et consommation de ces boissons
Une réflexion qui ne convainc pas Kathleen Miller, addictologue, qui a étudié la question en 2008 selon le New York Times .«Il ressort simplement que les étudiants qui ont une consommation excessive de boissons énergisantes sont plus enclins à prendre des risques, de manière générale». Pas de corrélation avérée entre comportements sexuels à risques et consommation de ces breuvages.

Certains étudiants remettent donc en cause cette décision. «Je pense qu’il y a des choses plus importantes auxquelles l’administration devrait réfléchir» lâche Arnav Adhhikari, étudiant en master. «Et puis quel est le rapport entre boire des boissons énergisantes et avoir des comportements sexuels à risques?» se demande-t-il. Ce dernier a également déclaré au New York Times que cette décision prise sous prétexte de protéger la santé des étudiants était hypocrite, au vu de la quantité de nourriture à base de friture que le service de restauration vend chaque jour. Quoi qu’il en soit, les étudiants sont toujours autorisés à boire ces boissons, ils sont seulement priés d’aller les acheter ailleurs...

samuel

samuel
Administrateur

Près de 70% des jeunes de 10 à 18 ans et moins de 18% des moins de 10 ans , consomment des boissons à base de taurine .
Un constat inquiétant selon les cardiologues qui signalent des troubles du rythme , des pathologies coronaires,voire la mort subites.

Josué

Josué
Administrateur

Conflit d'intérêts : Coca et Pepsi arrosent les sociétés savantes
Les Américains figurent parmi les plus gros consommateurs de sodas au monde. Conséquence : ces boissons seraient responsables d'environ 20 % de leur gain de poids entre 1977 et 2007. Face à ce fléau, les sociétés savantes devraient s'investir pour que les politiques publiques découragent la consommation de sodas.
Mais c'est sans compter avec la manne financière que représente cette industrie, qui n'hésite pas à faire des « dons » généreux à des groupes d'experts influents... C'est ce que révèle un article publié dans American Journal of Preventive Medicine, dont les auteurs sont Michael Siegel, professeur de la Boston University School of Public Health, et Daniel Aaron, étudiant de cette université.
Ce document décrit les liens financiers entre l'industrie et des groupes d'experts en santé : tout en versant des millions de dollars à des sociétés savantes en santé humaine, Coca-Cola et Pepsi ont exercé un lobbying contre des mesures de santé publique qui auraient eu pour conséquence de réduire la consommation de sodas des Américains. Entre 2011 et 2015, Coca-Cola et Pepsi ont sponsorisé 96 organisations de santé (telles que American Heart Association, Academy of Nutrition and Dietetics...). Dans le même temps, les deux firmes ont fait du lobbying contre 29 projets de loi visant à réduire la consommation de sodas ou à améliorer la nutrition.
L'article cite plusieurs cas troublants où des organisations sponsorisées par les industriels ont cessé de se battre pour des taxes anti-sodas ou sont restées silencieuses sur le sujet. Par exemple, Save the Children qui avait soutenu la mise en place de taxes sur les sodas a laissé tomber ce combat en 2010. Le groupe a reçu par ailleurs de Pepsi cinq millions de dollars (4,5 millions d'euros). Dans un communiqué cité par The New York Times, l'organisation a expliqué que sa décision n'était pas liée au soutien financier reçu.

Une expérience astucieuse pour savoir si votre soda est vraiment sans sucre Comment être certain qu’un soda ne contient que peu ou pas de sucre ? Unisciel et l’université de Lille 1 nous proposent en vidéo une expérience qui pourra fournir la réponse. Petit indice : il suffit de connaître la masse volumique du contenu de la canette…
http://www.futura-sciences.com/sante/actualites/nutrition-conflit-interets-coca-pepsi-arrosent-societes-savantes-64752/#xtor=EREC-50-%5BACQ%5D-20161018-%5BACTU-Conflit-d-interets-:-Coca-et-Pepsi-arrosent-les-societes-savantes%5D

samuel

samuel
Administrateur

Ils sont en train d'acheter les consciences de ses sociétés savantes.

chico.

chico.

Tout s'achète et tout ce vend mais la conscience de ceux qui luttent contre ce probleme de santé.

Mikael

Mikael
MODERATEUR
MODERATEUR

Dieu a fait les aliments , le Diable ,l'assaisonnement.

Josué

Josué
Administrateur

Attention, les sodas sont des bombes nutritionnelles
Par Anne Lefèvre-Balleydier Publié le 31/08/2017 à 06:00
Attention, les sodas sont des bombes nutritionnelles
Très sucrés, les sodas augmentent les risques de surpoids, d'obésité, de diabète... De surcroît, leur acidité abîme nos dents et met en péril nos os. A fuir, surtout pour les plus jeunes.

Les «fontaines à sodas» de l'Amérique des années 1950 ne sont sans doute pas pour rien dans l'explosion de l'obésité outre-Atlantique. Certaines grandes marques de fast-food avaient imaginé, en France, les remettre au goût du jour à coups de «refill» gratuit ou forfaitaire. Un arrêté publié en janvier 2017 y a mis un coup d'arrêt. Signé conjointement par les ministres de la Santé, de l'Agriculture et de la Consommation, il fixe la liste des boissons qui désormais ne pourront plus être mises «à disposition, en accès libre, sous forme d'offre à volonté gratuite ou pour un prix forfaitaire» dans les lieux de restauration ouverts au public.
Quelles sont les boissons visées? Principalement «les boissons gazeuses aromatisées», autrement dit, les sodas. Elles ne sont pas seules concernées par cette interdiction, qui porte aussi sur les boissons non gazeuses aromatisées, les sirops, les jus à base de concentrés, les nectars de fruits et légumes et autres breuvages de ce genre. Mais les boissons gazeuses et sucrées, icônes de la malbouffe, ont contre elles davantage de chefs d'accusation...
Pas seulement mauvais pour la ligne

De quoi sont-elles coupables? Comme toutes les boissons sucrées, on leur reproche d'augmenter les risques de surpoids, d'obésité et de diabète, notamment chez les jeunes, d'où une alerte lancée par l'Organisation mondiale de la santé (OMS) et la mise en place de ce récent arrêté français.
Une canette de soda de 33 cl contient en effet entre 30 et 45 g de sucre. Sachant que, d'après les recommandations de l'Agence de sécurité sanitaire de l'alimentation, de l'environnement et du travail (Anses), pour rester en bonne santé, il ne faut pas dépasser 100 g de sucre par jour, on saisit vite le danger. Mauvais pour notre ligne, le sucre fait aussi grimper le taux d'insuline dans notre sang et, partant, le risque de diabète: celui-ci augmente de 25 % lorsque l'on consomme un à deux verres de boisson pétillante sucrée par jour, au lieu de se contenter d'un par mois, d'après une importante étude américaine menée sur plus de 300.000 personnes. Le sucre abîme par ailleurs nos artères et fait ainsi croître le risque de maladies cardiovasculaires.
Ils augmentent le risque d'ostéoporose

Mais là ne sont pas les seuls méfaits des sodas, qui n'ont par ailleurs aucune valeur nutritive. Très acides, ils auraient pour effet d'user nos dents en altérant l'émail, en particulier chez les enfants et les jeunes. Ce processus a été démontré par de nombreuses études depuis le début des années 2000.
Autre effet pervers: ces breuvages augmentent le risque d'ostéoporose. En effet, les boissons gazeuses contiennent beaucoup d'acide phosphorique. Tant et si bien qu'à force d'en consommer l'équilibre entre phosphore et calcium se trouve rompu dans l'organisme, d'où une décalcification et un risque accru de fracture et d'ostéoporose. Enfin, on accuse également certains sodas de renfermer des substances potentiellement cancérigènes, comme par exemple l'aspartame. Ou encore de dérégler notre système hormonal, d'être à l'origine de problèmes rénaux, voire de faire vieillir prématurément nos cellules, si l'on en croit les résultats d'une étude américaine parue il y a un peu plus de deux ans. Deux verres quotidiens de soda raccourciraient ainsi l'espérance de vie de près de deux ans. Cinq verres l'amputeraient de plus de quatre ans. Une bombe à retardement, assurément.
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Les édulcorants, un mirage face aux dangers de l'excès de sucre
Anne Lefèvre-Balleydier
http://info.sante.lefigaro.fr/article/attention-les-sodas-sont-des-bombes-nutritionnelles/?utm_source=AM2&utm_medium=email&utm_campaign=Sante

Josué

Josué
Administrateur

[size=33]Les boissons light favoriseraient l’obésité[/size]

  • Par  Anne-Laure Lebrun 
     

VIDÉO - La consommation de sodas, eaux aromatisées ou jus de fruits est associée au surpoids et à l’obésité chez les enfants et les adultes.

Les produits light sont loin d’être bénéfiques pour notre santé. Censées être allégées en sucres, les boissons édulcorées à l’aspartame ou la sucralose n’aideraient pas à la perte de poids. Bien au contraire. Une nouvelle étude parue cette semaine dans Obesity facts confirme que leur consommation est liée au développement du surpoids et de l’obésité.Ces boissons sont pourtant présentées par l’industrie agroalimentaire comme une alternative «santé» aux sodas classiques. 
Plusieurs études montrent une hausse simultanée de la prévalence de l’obésité et du surpoids et de la vente de ces produits (les sodas light représentent près d’un quart des ventes de boissons sucrées dans le monde). Aujourd’hui, plus d’un tiers des habitants de la planète sont en surcharge pondérale. Les Nations unies et la Banque mondiale estiment que 42 millions d’enfants sont en surpoids. Ils étaient 10 millions de moins dix ans plus tôt.
» LIRE AUSSI - Les édulcorants, un mirage face aux dangers de l’excès de sucre
L’équipe internationale dirigée par le Dr Nathalie Farpour-Lambert, pédiatre aux Hôpitaux universitaires de Genève (Suisse), a analysé 30 études publiées entre 2013 et 2015. «Nous avons inclus uniquement des études non financées par l’industrie agroalimentaire», précise la responsable des travaux.
Menées auprès de 245.000 enfants et adultes à travers le monde, ces études ont été réalisées pendant dix ans en moyenne. La quasi-totalité met en évidence un lien entre l’augmentation de la corpulence ou de la masse grasse, et la consommation des boissons édulcorées, mais aussi des jus de fruits ou eaux aromatisées. Une étude française publiée en 2017 montre également que ces produits light font le lit du diabète de type 2. Ces impacts négatifs ont été observés même en cas de consommation modérée. 

Les édulcorants ouvrent l’appétit


Les mécanismes pouvant expliquer les effets des boissons édulcorées chez les enfants et les adultes sont encore un mystère. Une des hypothèses est que les édulcorants accroissent la sensation de faim en agissant sur le tube digestif. Plus particulièrement, ils augmenteraient l’appétence pour les produits gras et sucrés. Des chercheurs suggèrent aussi que les grands consommateurs de boissons light sécrètent moins d’hormones de satiété, ce qui dérégulerait le contrôle de la glycémie. Autre hypothèse: ces breuvages peu caloriques perturbent le microbiote et favorisent l’apparition d’un diabète.
Quoi qu’il en soit, pour les auteurs de ces travaux, il est temps de limiter la consommation de ces boissons lights mais aussi celle des sodas. «Plusieurs pays ont d’ores et déjà pris des mesures comme l’augmentation des prix, l’éducation de la population via l’école ou les médias, introduit une taxe soda ou améliorer l’étiquetage», décrit le Dr maria Bes-Rastrollo, médecin à la faculté de médecine de Navarre (Espagne).

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