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26 août Lecture de la Bible : Romains 13-16

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Josué

Josué
Administrateur

26 août Lecture de la Bible : Romains 13-16.
Ayant rejeté l’autorité de Jéhovah, les humains ont dû mettre en place leurs propres formes de gouvernement. Dans une lettre adressée à ses compagnons de Rome, l’apôtre Paul a qualifié ces gouvernements d’“ autorités supérieures ”. Du temps de Paul, les autorités supérieures désignaient principalement le gouvernement de Rome sous Néron, empereur de 54 à 68 de notre ère. Paul a déclaré que ces autorités supérieures se trouvaient “ placées de par Dieu dans leurs positions relatives ”. (Lire Romains 13:1, 2.) Laissait-il entendre que l’exercice du pouvoir par les humains est une expression de la manière de gouverner de Dieu ? Nullement. Il voulait simplement dire que, aussi longtemps que Dieu laisserait des humains exercer le pouvoir, les chrétiens devraient respecter “ la disposition de Dieu ” et accepter ces dirigeants.

Josué

Josué
Administrateur

Les impôts et la conscience
Notons qu’une partie des impôts que les chrétiens du Ier siècle étaient encouragés à payer revenait à l’armée. C’est exactement ce cas de conscience qui a plus tard poussé Gandhi et Thoreau à refuser de s’acquitter de leurs impôts.
D’autre part, en Romains chapitre 13, il n’est pas recommandé aux chrétiens de payer leurs impôts pour échapper au châtiment de l’État, mais à cause de leur conscience (Romains 13:5). C’est donc bien la conscience du chrétien qui lui enjoint de payer ses impôts, même si cet argent sert à financer des activités que, personnellement, il désapprouve. Ce phénomène peut paraître paradoxal, mais il prend en compte un élément fondamental de la conscience, cette voix intérieure qui nous chuchote que nos actions sont bonnes ou mauvaises.
Comme l’a observé Thoreau, nous avons tous une conscience, mais voilà : elle n’est pas forcément digne de confiance. Nous ne pouvons plaire à Dieu que si notre conscience est en accord avec ses normes morales. Étant donné que ses pensées sont supérieures aux nôtres, il nous faut souvent aligner nos pensées et nos points de vue sur ceux de Dieu (Psaume 19:7). Nous devrions donc nous efforcer de comprendre de quelle façon Dieu voit les gouvernements humains.
D’après l’apôtre Paul, les gouvernements humains sont les “ serviteurs publics de Dieu ”. (Romains 13:6.) Qu’est-ce que cela signifie ? Essentiellement qu’ils maintiennent l’ordre et accomplissent des tâches utiles pour la société. En général, même les gouvernements les plus corrompus organisent des services : poste, enseignement, pompiers, police, etc. Dieu est parfaitement conscient des défaillances de ces autorités humaines, mais il les tolère pour le moment. Il souhaite que nous payions nos impôts par respect pour cette disposition.
Toutefois, Dieu ne permet aux gouvernements humains de diriger la terre que temporairement. Il a prévu de les remplacer par son Royaume céleste et, à terme, de réparer le mal causé par la domination humaine depuis des siècles (Daniel 2:44 ; Matthieu 6:10). Mais en attendant, Dieu n’a pas autorisé les chrétiens à se livrer à la désobéissance civile en refusant de payer leurs impôts ou par d’autres moyens.
Maintenant, que faire si, comme Gandhi, vous pensez toujours que payer des impôts qui entretiennent l’armée est un péché ? C’est du sommet de la montagne que l’on a la vision la plus exacte d’une région. Dieu, lui aussi, voit les choses d’en haut, ne l’oublions pas. “ De même, en effet, dit-il, que les cieux sont plus hauts que la terre, ainsi mes voies sont plus hautes que vos voies, et mes pensées que vos pensées. ” — Isaïe 55:8, 9.

Josué

Josué
Administrateur

Si nous voulons réveiller les autres, il nous faut nous-mêmes être éveillés. La Parole de Dieu associe le sommeil spirituel aux “ œuvres des ténèbres ”, qui englobent les orgies, les soûleries, les relations sexuelles illicites, le dérèglement, les querelles et la jalousie. (Lire Romains 13:11-14.) Il peut être particulièrement difficile de ne pas se laisser aller à de tels comportements. La vigilance est vitale. Tout comme un automobiliste ne doit jamais oublier que s’endormir au volant, c’est mettre sa vie en danger, le chrétien ne doit jamais perdre de vue que la somnolence spirituelle peut être mortelle !
Un chrétien pourrait estimer que, là où il prêche, il ne trouvera plus aucune oreille attentive à la bonne nouvelle (Prov. 6:10, 11). Il se dira peut-être : ‘ Puisque personne ne va m’écouter, pourquoi me donner tant de peine à essayer d’aider les gens ? ’ Certes, beaucoup aujourd’hui sont endormis sur le plan spirituel, mais leur situation et leur disposition d’esprit peuvent changer. Il en est qui se réveillent et acceptent la bonne nouvelle. Nous ne pourrons les aider que si nous nous tenons éveillés, en employant par exemple de nouvelles méthodes pour présenter le message du Royaume de façon attrayante. Nous rappeler le caractère vital de notre ministère contribuera aussi à nous tenir en éveil.

Josué

Josué
Administrateur

Les chrétiens sont encouragés à être “obéissants envers ceux qui [les] dirigent” ou les gouvernent (Héb. 13:17). Évidemment, cela ne veut pas dire que les collèges d’aînés promulgueront des lois ou des règles selon leur point de vue personnel en obligeant tous les membres de la congrégation locale à les observer. Au contraire, ces aînés sont les premiers à donner l’exemple de l’attachement fidèle à ce que l’apôtre a appelé “la loi du Christ”, la “loi de la foi”, renfermée dans la Parole de Dieu. Ils exhortent leurs frères à obéir à cette loi (Gal. 6:2 ; Rom. 3:27). D’autre part, ils reçoivent des conseils sur la façon d’appliquer la loi de la foi par l’intermédiaire du collège central et des instruments qu’il emploie.
Par exemple, les aînés doivent exercer un bon jugement quand ils invitent certains membres de la congrégation à présenter des allocutions sur l’estrade dans les réunions chrétiennes. Ils veilleront à ce que l’aspect de la personne ne produise pas un effet défavorable sur la congrégation en général. Cependant, ils ne devraient pas chercher à contrôler ce que les membres de la congrégation portent chez eux ou dans leur activité journalière, à moins évidemment que leur manière de s’habiller soit à ce point extrémiste qu’elle provoque un mauvais témoignage des gens du dehors.
Cependant, ils comprendront que pour les questions laissées à la conscience de chacun ils doivent, comme l’apôtre Paul, suivre l’exemple du Christ. Quand Paul a dit : “Devenez mes imitateurs, tout comme je le suis de Christ”, il venait juste de traiter certains problèmes de conscience. Il savait que le point de vue des autres est parfois erroné à cause de leur conscience faible ; mais il ne chercha pas à être une conscience pour eux et il mit en garde ses frères contre cette façon d’agir. Il les exhorta plutôt à “supporter les faiblesses de ceux qui ne sont pas forts”. — I Cor. 10:25-33 ; 11:1 ; Rom. 14:1-23 ; 15:1.
Nous devons tous nous assurer que non seulement notre point de vue sur une question est bien fondé, mais encore que nous agissons de la bonne manière, à l’exemple de Jésus-Christ. L’esprit qui préside à nos relations avec autrui favorise beaucoup l’établissement de l’union empreinte d’amour contribuant à la croissance et à l’accroissement spirituels.

Josué

Josué
Administrateur

(Romains 14:14, 20, 21). Oui, “ nous les forts, nous devons porter les faiblesses de ceux qui ne sont pas forts, et non nous plaire à nous-mêmes. Que chacun de nous plaise à son prochain dans ce qui est bon pour le bâtir ”. (Romains 15:1, 2.) Si la conscience d’un autre chrétien risque d’être offensée par notre action, l’amour fraternel nous incitera, par considération, à renoncer à certaines préférences. Citons l’exemple des boissons alcooliques. Un chrétien peut tout à fait boire du vin avec modération. Mais s’il risque de faire trébucher un compagnon, il n’insistera pas sur ses droits.
Ce principe pourrait également s’appliquer à notre conduite en dehors de la congrégation chrétienne. Admettons que nous vivions dans une région où la religion dominante amène ses membres à considérer un jour donné de la semaine comme un jour de repos. Afin de ne pas faire trébucher nos voisins et de ne pas créer d’obstacles à la prédication, nous éviterons le plus possible, ce jour-là, de faire quoi que ce soit qui les offusquerait. Imaginons une autre situation : pour les besoins de la prédication, un chrétien aisé déménage à un endroit où les habitants ont peu de moyens. Il voudra sans doute faire preuve de considération envers ses nouveaux voisins en s’habillant très simplement ou en vivant plus modestement que ses finances ne le lui permettent.

Josué

Josué
Administrateur

L’apôtre Paul espérait qu’après avoir rendu visite aux chrétiens de Rome ceux-ci l’escorteraient une partie du chemin vers ce pays (Rm 15:23, 24, 28). Il n’est pas certain que l’apôtre ait jamais atteint l’Espagne. Cependant, Clément de Rome déclara (vers 95 de n. è.) que Paul alla “ jusqu’aux bornes du couchant ”, ce qui pouvait comprendre l’Espagne (Les écrits des Pères apostoliques, Paris, 1990, p. 74, “ Épître de Clément de Rome aux Corinthiens ”, chap. V). Si Paul se rendit dans ce pays, ce fut probablement entre la fin de son premier emprisonnement à Rome (vers 61) et sa deuxième incarcération dans cette ville, vers 65. À l’époque, l’Espagne était sous le joug romain. Certains identifient Tarsis à la partie sud de l’Espagne.

Josué

Josué
Administrateur

Soyez hospitaliers les uns envers les autres ”

PHŒBÉ, une chrétienne du Ier siècle, était dans l’embarras : elle avait quitté Cenchrées, en Grèce, pour se rendre à Rome, mais là-bas elle ne connaissait aucun chrétien (Romains 16:1, 2). “ Le monde romain [de l’époque] était vil et brutal, informe le traducteur biblique Edgar Goodspeed, et les auberges avaient plutôt la réputation d’être peu fréquentables pour une femme convenable, à plus forte raison pour une chrétienne. ” Dès lors, où Phœbé allait-elle se loger ?
Aux temps bibliques, on voyageait beaucoup. Ainsi, Jésus Christ et ses disciples ont sillonné la Judée et la Galilée pour y prêcher. Peu après, des missionnaires chrétiens comme Paul ont porté le même message dans différentes régions du bassin méditerranéen, y compris à Rome, la capitale de l’Empire romain. Quand les premiers chrétiens se déplaçaient à l’intérieur ou à l’extérieur du territoire juif, où logeaient-ils ? À quelles difficultés d’hébergement se heurtaient-ils ? Quelles leçons d’hospitalité leur mode de vie nous enseigne-t-il ?

Josué

Josué
Administrateur

La lettre aux Romains présente une raison logique de croire en Dieu, car “ ses qualités invisibles se voient clairement depuis la création du monde, parce qu’elles sont perçues par les choses faites, oui sa puissance éternelle et sa Divinité ”. Mieux encore, cette lettre exalte la justice de Dieu et révèle sa grande miséricorde et sa faveur imméritée. Cela est merveilleusement porté à notre attention dans l’exemple de l’olivier sur lequel sont greffées les branches sauvages, alors que les branches naturelles sont élaguées. Méditant sur cette sévérité et cette bonté de Dieu, Paul s’exclame : “ Ô profondeur de la richesse et de la sagesse et de la connaissance de Dieu ! Que ses jugements sont inscrutables et ses voies introuvables ! ” — 1:20 ; 11:33.
21 C’est dans cet ordre d’idées que la lettre aux Romains explique un nouveau développement du saint secret de Dieu. Dans la congrégation chrétienne, il n’y a plus de distinction entre Juifs et Gentils, mais les gens de toutes les nations peuvent avoir part à la faveur imméritée de Jéhovah par Jésus Christ. “ Il n’y a pas de partialité chez Dieu. ” “ Mais est Juif qui l’est au-dedans, et sa circoncision c’est celle du cœur par l’esprit, et non par un code écrit. ” “ Il n’y a pas en effet de distinction entre Juif et Grec, car il y a le même Seigneur au-dessus de tous, qui est riche pour tous ceux qui l’invoquent. ” Pour eux tous, c’est la foi, et non les œuvres, qui leur est comptée comme justice. — 2:11, 29 ; 10:12 ; 3:28.

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