29 juillet Lecture de la Bible : Actes 26-28
au chapitre 26 des Actes et analysons la défense de Paul. Notez ses premiers mots : il introduit son intervention en trouvant une raison valable de complimenter Agrippa, même si celui-ci vit une relation scandaleuse avec sa sœur Bérénice. Paul commence ainsi : “ Au sujet de toutes les choses dont je suis accusé par les Juifs, roi Agrippa, je m’estime heureux que ce soit devant toi que j’aie à présenter ma défense aujourd’hui, surtout parce que tu t’y connais dans toutes les coutumes ainsi que dans les controverses parmi les Juifs. C’est pourquoi je te prie de m’écouter patiemment. ” — Actes 26:2, 3.
Avez-vous remarqué que Paul reconnaît le rang élevé d’Agrippa en mentionnant son titre de roi ? C’est une marque de respect ; il honore son interlocuteur en termes choisis (1 Pierre 2:17). Il rappelle aussi que le souverain est parfaitement au fait des coutumes et des lois complexes de ses sujets juifs, et il se déclare heureux de pouvoir présenter sa défense devant une autorité si bien informée. Le chrétien Paul ne prend donc pas de haut le non-chrétien Agrippa, comme s’il s’estimait supérieur à lui (Philippiens 2:3). Il le prie même de l’écouter patiemment. Ce faisant, il crée un climat propice, grâce auquel Agrippa, mais aussi les autres personnes présentes, accepteront plus facilement ce qu’il va leur dire. Il pose un fondement, il établit un terrain d’entente sur lequel il va développer ses arguments.
Comme Paul devant Agrippa, quand nous présentons le message du Royaume à quelqu’un, parlons au cœur, et ce, de l’introduction à la conclusion. Nous y parviendrons grâce à deux moyens : en témoignant un respect sincère à notre interlocuteur, et en nous intéressant tout aussi sincèrement à sa vie et à ses opinions. — 1 Corinthiens 9:20-23.
au chapitre 26 des Actes et analysons la défense de Paul. Notez ses premiers mots : il introduit son intervention en trouvant une raison valable de complimenter Agrippa, même si celui-ci vit une relation scandaleuse avec sa sœur Bérénice. Paul commence ainsi : “ Au sujet de toutes les choses dont je suis accusé par les Juifs, roi Agrippa, je m’estime heureux que ce soit devant toi que j’aie à présenter ma défense aujourd’hui, surtout parce que tu t’y connais dans toutes les coutumes ainsi que dans les controverses parmi les Juifs. C’est pourquoi je te prie de m’écouter patiemment. ” — Actes 26:2, 3.
Avez-vous remarqué que Paul reconnaît le rang élevé d’Agrippa en mentionnant son titre de roi ? C’est une marque de respect ; il honore son interlocuteur en termes choisis (1 Pierre 2:17). Il rappelle aussi que le souverain est parfaitement au fait des coutumes et des lois complexes de ses sujets juifs, et il se déclare heureux de pouvoir présenter sa défense devant une autorité si bien informée. Le chrétien Paul ne prend donc pas de haut le non-chrétien Agrippa, comme s’il s’estimait supérieur à lui (Philippiens 2:3). Il le prie même de l’écouter patiemment. Ce faisant, il crée un climat propice, grâce auquel Agrippa, mais aussi les autres personnes présentes, accepteront plus facilement ce qu’il va leur dire. Il pose un fondement, il établit un terrain d’entente sur lequel il va développer ses arguments.
Comme Paul devant Agrippa, quand nous présentons le message du Royaume à quelqu’un, parlons au cœur, et ce, de l’introduction à la conclusion. Nous y parviendrons grâce à deux moyens : en témoignant un respect sincère à notre interlocuteur, et en nous intéressant tout aussi sincèrement à sa vie et à ses opinions. — 1 Corinthiens 9:20-23.