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6 mai Lecture de la Bible : Jean 1-4

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Josué

Josué
Administrateur

Écrivain : l’apôtre Jean
Lieu de composition : Éphèse ou environs
Fin du travail de composition : vers 98 de n. è.
Période qu’embrasse le texte : 29-33 de n. è. (sauf le prologue)
LES Évangiles de Matthieu, de Marc et de Luc circulaient déjà depuis plus de 30 ans parmi les chrétiens du Ier siècle, qui leur accordaient un très grand prix parce qu’ils étaient l’œuvre d’hommes inspirés par l’esprit saint. À mesure qu’approchait la fin du siècle et que diminuait le nombre de ceux qui avaient côtoyé Jésus, ces questions pouvaient se poser : Restait-il encore quelque chose à dire ? Y avait-il encore quelqu’un qui, en faisant appel à des souvenirs personnels, pouvait apporter d’autres détails précieux sur le ministère de Jésus ? Certainement. Le vieil apôtre Jean avait été particulièrement béni dans ses relations avec Jésus. Il était, semble-t-il, parmi les premiers disciples de Jean le baptiseur à avoir été présentés à l’Agneau de Dieu et l’un des quatre premiers à être invités par le Seigneur à se joindre à lui dans le ministère à plein temps (Jean 1:35-39 ; Marc 1:16-20). Il continua à fréquenter intimement Jésus tout au long de son ministère, et c’est lui le disciple que ‘ Jésus aimait ’ et qui était étendu devant le sein de Jésus lors de la dernière Pâque (Jean 13:23 ; Mat. 17:1 ; Marc 5:37 ; 14:33). Il assista à l’exécution cruelle de Jésus, qui lui confia sa mère, et c’est lui qui, courant avec Pierre, le distança et arriva le premier à la tombe pour vérifier la nouvelle de la résurrection de Jésus. — Jean 19:26, 27 ; 20:2-4.
Mûri par environ 70 années d’activité ministérielle et tout imprégné de ses visions et de ses méditations sur l’île de Patmos, lors de son récent emprisonnement solitaire, Jean était tout à fait prêt pour consigner les choses qu’il gardait précieusement depuis longtemps dans son cœur. L’esprit saint a donc stimulé sa mémoire, afin qu’il se rappelle et écrive bon nombre de paroles précieuses, des paroles de vie, de sorte que chaque lecteur ‘ croie que Jésus est le Christ le Fils de Dieu, et pour que — parce qu’il croit — il ait la vie par le moyen de son nom ’. — 20:31.

Les chrétiens du début du IIe siècle attribuaient à Jean la rédaction de ce livre qu’ils considéraient aussi comme appartenant sans conteste au canon des Écritures inspirées. Clément d’Alexandrie, Irénée, Tertullien et Origène, écrivains de la fin du IIe siècle et du début du IIIe, attribuent tous cet Évangile à Jean. De surcroît, le livre lui-même fournit de nombreuses preuves attestant que Jean en est le rédacteur. De toute évidence, l’écrivain était Juif et connaissait parfaitement les coutumes juives et le pays (2:6 ; 4:5 ; 5:2 ; 10:22, 23). Les détails très personnels du récit de Jean indiquent qu’il n’était pas seulement un apôtre, mais l’un des trois amis intimes de Jésus, à savoir Pierre, Jacques et Jean, qui l’ont accompagné en certaines occasions spéciales (Mat. 17:1 ; Marc 5:37 ; 14:33). Des trois hommes, éliminons Jacques (le fils de Zébédée) qui fut livré au martyre par Hérode Agrippa Ier vers 44 de n. è., soit bien des années avant la rédaction de cet Évangile (Actes 12:2). Écartons également Pierre, puisqu’il est cité avec l’écrivain en Jean 21:20-24.

Josué

Josué
Administrateur

Le quatrième évangile a de tout temps exercé l’influence la plus profonde sur l’Église chrétienne ; il est donc naturel que celui des disciples de Jésus auquel il est attribué, soit pour elle l’objet du plus vif intérêt. Retraçons d’abord la biographie de Jean, en réunissant les données du Nouveau Testament, et en utilisant, pour les derniers temps de la vie de l’apôtre, les traditions recueillies par les écrivains ecclésiastiques des premiers siècles.

Aux jours où Jésus allait entrer dans son ministère, il y avait sur les bords alors fertiles et riants du lac de Génézareth, probablement à Bethsaïda (#Lu 5:10 ; comparez #Jn 1:44), une famille de pêcheurs dont quatre membres nous sont connus : le père, qui s’appelait Zébédée (#Mt 4:21 ; #Mr 1:19,20) ; la mère, qui avait nom Salomé (#Mt 27:56 ; comparez #Mr 15:40; 16:1) ; et deux fils, Jacques, le premier des apôtres qui souffrit le martyre, et Jean, notre évangéliste. Zébédée employait des ouvriers (#Mr 1:20). Il pratiquait donc en grand l’industrie, alors très lucrative, de la pêche. On peut en conclure que sa famille vivait dans une certaine aisance. Salomé, en effet, est mentionnée dans ce groupe de pieuses femmes qui, de la Galilée, suivirent Jésus et ses disciples dans leurs voyages en les assistant de leurs biens (#Mt 27:56 ; comparez #Lu 8:3). D’après une variante que présente notre évangile, et que plusieurs critiques admettent (19 : 25, voir la note), Salomé aurait été sœur de Marie, mère de Jésus, dont Jean aurait ainsi été le cousin germain. Mais si une telle parenté avait existé entre le maître et le disciple, on en trouverait d’autres traces dans le Nouveau Testament. Il n’était pas nécessaire que Salomé fût la tante de Jésus pour qu’elle donnât, non seulement ses biens, mais son cœur et sa vie au prophète dans lequel elle avait reconnu le Libérateur promis à son peuple. Et dès lors nous la retrouvons, avec ses pieuses compagnes, dans la société de Jésus, jusqu’au pied de la croix (#Mt 27:56) et auprès de son tombeau, où, elle aussi, apportait des aromates, alors que déjà il avait brisé les liens de la mort (#Mr 16:1). Ce saint enthousiasme avec lequel elle suivit le Sauveur fut magnifiquement récompensé, puisqu’elle eut le bonheur de voir ses deux fils appelés à l’apostolat. Elle porta même un jour son ambition maternelle, peu éclairée encore, jusqu’à désirer de les voir occuper la première place auprès du Seigneur dans son royaume (#Mt 20:20 et suivants).

Josué

Josué
Administrateur

La Parole était-elle “ Dieu ” ou bien “ un dieu ” ?
CETTE question s’impose aux traducteurs de la Bible dès lors qu’ils abordent le premier verset de l’Évangile de Jean. Dans la Traduction du monde nouveau, ce verset est rendu ainsi : “ Au commencement la Parole était, et la Parole était avec Dieu, et la Parole était un dieu. ” (Jean 1:1). D’autres traductions rendent la dernière partie du verset de manière à exprimer l’idée que la Parole était “ divine ”, ou quelque chose d’équivalent (A New Translation of the Bible, de James Moffatt ; Bible du Centenaire). Cependant, de nombreuses traductions traduisent cette partie comme suit : “ Et la Parole était Dieu. ” — Traduction Œcuménique de la Bible ; Bible de Jérusalem.
La grammaire grecque et le contexte du verset donnent de solides raisons de penser que la solution retenue par la Traduction du monde nouveau est correcte et que “ la Parole ” ne devrait pas être identifiée au “ Dieu ” dont il est question précédemment dans le verset. Cependant, du fait que la langue grecque du Ier siècle ne possédait pas d’article indéfini (“ un ” ou “ une ”), certains jugent qu’il y a matière à débat. L’examen d’une traduction de la Bible dans une langue parlée au cours des premiers siècles de notre ère se révélera dès lors très instructif.
La langue en question est le sahidique, un dialecte copte. Le copte a été parlé en Égypte durant les siècles qui ont suivi immédiatement le ministère terrestre de Jésus ; le dialecte sahidique était une forme littéraire primitive de cette langue. À propos des premières traductions de la Bible en copte, on lit dans un dictionnaire biblique (The Anchor Bible Dictionary) : “ Puisque la [Septante] et les [Écritures grecques chrétiennes] étaient en cours de traduction en copte au IIIe siècle de notre ère, la version copte est basée sur des [manuscrits grecs] qui sont bien plus anciens que la grande majorité des [documents] témoins ayant subsisté. ”
Le texte copte sahidique est intéressant pour deux raisons en particulier. Premièrement, comme cela vient d’être indiqué, il reflète une compréhension de l’Écriture datant d’avant le IVe siècle, époque où la Trinité devint une doctrine officielle. Deuxièmement, la grammaire copte est assez proche des grammaires anglaise et française sur un aspect important. Les Écritures grecques chrétiennes furent traduites d’abord en syriaque, en latin et en copte. Le syriaque et le latin, comme le grec d’alors, ne possèdent pas d’article indéfini. Le copte, en revanche, possède cet article. Le linguiste Thomas Lambdin, dans son Introduction au copte sahidique (angl.), écrit : “ En copte, l’emploi des articles, définis et indéfinis, correspond à quelque chose près à celui des articles en anglais. ”
Par conséquent, la traduction copte fournit une indication précieuse sur la manière dont on comprenait Jean 1:1 à l’époque. Or, que constate-t-on ? La traduction en copte sahidique emploie un article indéfini devant le mot “ dieu ” dans la dernière partie du verset. C’est pourquoi, une fois traduite en anglais moderne, elle se lit ainsi : “ Et la Parole était un dieu. ” Manifestement, pour ces traducteurs du temps passé, les paroles de Jean 1:1 ne signifiaient pas que Jésus devait être identifié au Dieu Tout-Puissant. La Parole était un dieu, pas le Dieu Tout-Puissant.

Josué

Josué
Administrateur

Notre entourage exerce sur nous, c’est-à-dire sur nos pensées, nos sentiments et nos actes, une influence qui peut être bonne ou mauvaise (Proverbes 13:20). De quelle compagnie Jésus a-t-il bénéficié dans les cieux avant de venir sur la terre ? L’Évangile de Jean évoque l’existence préhumaine de Jésus, période où il était “ la Parole ”, le Porte-Parole de Dieu. “ Au commencement, écrit Jean, la Parole était, et la Parole était avec Dieu, et la Parole était un dieu. Celui-ci était au commencement avec Dieu. ” (Jean 1:1, 2). Puisque Jéhovah n’a pas eu de commencement, le moment depuis lequel la Parole était avec Dieu, “ au commencement ”, doit nécessairement correspondre à celui où Dieu s’est mis à créer (Psaume 90:2). Jésus est “ le premier-né de toute création ”. Son existence est donc antérieure à la création des autres créatures spirituelles et de l’univers physique. — Colossiens 1:15 ; Révélation 3:14.

Josué

Josué
Administrateur

IL Y A un jour ou deux à peine qu’André, Pierre, Jean, Philippe, Nathanaël, et peut-être Jacques, sont devenus les premiers disciples de Jésus. À présent, ils rentrent en Galilée, district d’où ils sont tous originaires. Ils se rendent à un festin de noce à Cana, la ville d’où vient Nathanaël. Cana est située dans les collines, non loin de Nazareth, où Jésus a grandi.
La mère de Jésus est au mariage, elle aussi. Vraisemblablement, en tant qu’amie de la famille des mariés, Marie a été sollicitée pour servir les nombreux invités. C’est pourquoi elle voit vite que quelque chose est venu à manquer, et elle en informe Jésus: “Ils n’ont pas de vin.”
En réalité, en disant cela Marie suggère à Jésus d’intervenir pour remédier à ce petit incident. Au début, Jésus est réticent. “Qu’ai-je à faire avec toi?” demande-t-il. Effectivement, il est le Roi choisi par Dieu; sa famille ou ses amis n’ont donc pas à lui dicter ce qu’il doit faire. Aussi Marie a-t-elle la sagesse de laisser le problème entre les mains de son fils, déclarant simplement aux serviteurs: “Faites tout ce qu’il vous dira.”
Il y a là six jarres de pierre, des jarres à eau pouvant contenir chacune plus de quarante litres. Jésus donne aux serviteurs cette instruction: “Remplissez d’eau les jarres.” Les serviteurs les remplissent jusqu’au bord. Puis Jésus ajoute: “Maintenant puisez et portez-en au directeur du festin.”
Le directeur est agréablement surpris de l’excellente qualité du vin, car il ne sait pas qu’il a été produit par un miracle. Appelant l’époux, il lui dit: “Tout homme offre d’abord l’excellent vin, puis quand les gens sont ivres, celui qui est de qualité inférieure. Toi, tu as gardé l’excellent vin jusqu’à présent.”
C’est là le premier miracle de Jésus, qui contribue à affermir la foi de ses nouveaux disciples. Un peu plus tard, en compagnie de sa mère et de ses demi-frères, Jésus part avec ses disciples pour la ville de Capernaüm, près de la mer de Galilée. Jean 2:1-12.

Josué

Josué
Administrateur

Bible Fillion. introduction à l'évangile de Jean.
6 mai  Lecture de la Bible :  Jean 1-4 Jean_b10

Josué

Josué
Administrateur

L’apôtre Pierre était-il, quant à lui, engendré de l’esprit lorsque Jésus Christ lui donna la première “clé”? Oui, car le jour de la Pentecôte de l’an 33, Jéhovah Dieu se servit de Jésus glorifié pour baptiser d’esprit saint quelque cent vingt disciples qui attendaient dans une chambre haute de Jérusalem et parmi lesquels se trouvait l’apôtre Pierre. C’est seulement après que celui-ci eut été engendré de l’esprit de Dieu, qu’il se leva et s’adressa aux plus de trois mille Juifs et prosélytes circoncis qui s’étaient rassemblés là, pour leur expliquer comment la prophétie de Joël 2:28, 29 avait commencé à s’accomplir. Si le prosélyte éthiopien dont il est fait mention en Actes 8:27, 28 faisait partie des “hommes pieux” qui séjournaient alors à Jérusalem, il ne quitta pas le temple pour venir écouter Pierre (Actes 2:1-12). L’occasion d’entendre la bonne nouvelle s’offrit à lui par la suite.
Pierre déclara sans ambages à ces milliers d’observateurs qu’en tant que communauté religieuse, ils avaient commis un crime en clouant Jésus au poteau cinquante-deux jours auparavant. Ces “hommes pieux” en proie à des remords de conscience demandèrent alors: “Frères, que devons-nous faire?” La réponse vint de Pierre, et ce fut la suivante: “Repentez-vous, et que chacun de vous soit baptisé au nom de Jésus Christ pour le pardon de vos péchés, et vous recevrez le don gratuit de l’esprit saint. Car la promesse est pour vous, et pour vos enfants, et pour tous ceux qui sont au loin, autant que Jéhovah, notre Dieu, en appellera à lui.” Pierre ne s’en tint pas là, “et par bien d’autres paroles, il rendait témoignage à fond et les exhortait, en disant: ‘Sauvez-vous de cette génération tortueuse.’” (Actes 2:14-40). C’est ainsi que l’apôtre Pierre, lui-même engendré de l’esprit, fit usage de la première “clé”.

Josué

Josué
Administrateur

4:23, 24. Pour que Dieu accepte notre culte, il faut que ce culte soit conforme à la vérité révélée dans les pages de la Bible et qu’il soit guidé par l’esprit saint.

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