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Les débaptisations sont en hausse

3 participants

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Josué

Josué
Administrateur

Les débaptisations sont en hausse
Fabien Trécourt - publié le 08/03/2013

De plus en plus d’Européens demandent l’annulation de leur baptême. Si le phénomène reste marginal, il n’en est pas moins symbolique.
Pascal Deloche / GODONG

De plus en plus d’Italiens demandent à être débaptisés. S’il n’existe pas de statistiques officielles, le site Fait religieux s’est livré à un décompte minutieux : en 2009, « environ 15 000 personnes avaient déjà demandé à être débaptisées. » De 2009 à 2012, « plus de 5 000 nouvelles demandes ont été enregistrées ». En 2010, « au mois d'avril, 500 formulaires de demande de débaptisation (…) avaient été téléchargés sur internet. », tandis qu’en décembre 2012, « on atteignait les 6 000 formulaires téléchargés ».

La débaptisation — acte purement symbolique — consiste à exprimer la ferme volonté de ne plus appartenir à l’Église. Celle-ci n’est pas tenu « d’effacer » l’acte de baptême, qu’elle considère comme un sacrement irréversible, mais elle s’est vue obligée par l’équivalent italien de la CNIL de noter le souhait de ces personnes dans ses registres. Forte de cette décision de justice, l’Union des athées et agnostiques rationalistes (UAAR) a tout fait pour faciliter la procédure de débaptisation, en expliquant la marche à suivre sur internet.

En France, un normand de 71 ans, René Lebouvier, a obtenu en 2011 du tribunal de Coutances que son nom soit rayé des registres paroissiaux et diocésains du baptême. L’évêque local a fait appel, rappelant que le baptême est un acte public : « De même qu’il n’est pas possible à un individu de rayer son nom d’une archive ou de l’état-civil de sa mairie, résume Slate, l’Église n’a pas le droit d’effacer la trace historique d’un acte public comme le baptême ». Aux dernières nouvelles, l’affaire n’est toujours pas tranchée.

Une première campagne de débaptisation s’est déroulée en 1996, à l’occasion de la visite à Reims du pape Jean-Paul II. Le phénomène s’est multiplié en Europe et dans le monde, aujourd’hui boosté par internet. D’après le quotidien La Croix, une enquête faisait état d’un millier de demande de débaptisations par an, en France, en 2008. « Comparée aux 310 000 baptêmes célébrés chaque année en France, le phénomène demeure marginal. Mais le sujet reste sensible pour l’Église de France. »

Psalmiste

Psalmiste

Normal, les gens ne se reconnaissent plus dans cette Eglise !

Yirmeyah Jérémie

Yirmeyah Jérémie

Pas besoin de débaptisé, il suffit de connaître la vérité pour savoir que ce baptême n'avait aucune valeur.

http://communautetjfrancoph.forum-canada.com/

Invité


Invité

Yirmeyah a écrit:Pas besoin de débaptisé, il suffit de connaître la vérité pour savoir que ce baptême n'avait aucune valeur.


Tu oublies quand meme que si l'on adhère a la verité et qu'on desir se faire baptiser tj, on doit quand meme envoyer une lettre à l'eglise dont nous faisions partie car on ne peut faire partie de deux eglises. Par contre, si l,ancienne eglise ne vous exclu pas, cela les regarde mais toi tu auras tout de meme la conscience tranquille et tu peux suivre ton nouveau cheminement spirituel.

Josué

Josué
Administrateur

ça fait pas mal de personnes par années qui quittent l'église.

Yirmeyah Jérémie

Yirmeyah Jérémie

caramel-mou a écrit:
Yirmeyah a écrit:Pas besoin de débaptisé, il suffit de connaître la vérité pour savoir que ce baptême n'avait aucune valeur.


Tu oublies quand meme que si l'on adhère a la verité et qu'on desir se faire baptiser tj, on doit quand meme envoyer une lettre à l'eglise dont nous faisions partie car on ne peut faire partie de deux eglises. Par contre, si l,ancienne eglise ne vous exclu pas, cela les regarde mais toi tu auras tout de meme la conscience tranquille et tu peux suivre ton nouveau cheminement spirituel.

Non je ne savais pas....

Bien sûr je blague. J'ai été baptisé catholique romain car mes parents bien que connaissant la vérité étaient fortement influencé par les autres au moment de ma naissance et ils n'Avaient pas pris vérité. Du coup, quand j'ai réalisé cela, j'ai envoyé une lettre, mais j'ai jamais eu de nouvelles, alors impossible de savoir si ça a bien fonctionné ou pas...

http://communautetjfrancoph.forum-canada.com/

Josué

Josué
Administrateur

si tu ne va pas trouvé le curé personnellement tu n'auras jamais de nouvelle.

Josué

Josué
Administrateur

Catholicisme : la fin… ou la résurrection ?
JEAN-PIERRE DENIS
CRÉÉ LE 01/04/2015
Aussi étonnant que cela puisse paraître, personne ne connaissait le nombre de baptisés aujourd’hui en France. Une enquête inédite de Paradox’Opinion apporte la réponse et dessine les scénarios de l’avenir. Mais si – sans surprise – le nombre de catholiques diminue en France, celle baisse est-elle inéluctable ? Non, des solutions existent, qui redynamisent déjà l’Église.

> Infographie : Les baptisés aujourd'hui... et en 2045 ?

Dans une France encore semée de milliers de clochers, l’Église peut-elle disparaître du paysage ? La question risque de surprendre. La vérité, c’est que le catholicisme traverse plus qu’une crise grave : un péril mortel. La cote d’alerte est atteinte. Un chiffre seulement l’illustre. En 2045, moins d’un Français sur deux sera baptisé, comme le révèle notre étude. Or, le baptême trace la limite supérieure du nombre de catholiques. Dans les faits, l’identification à la religion (le fait de se déclarer catholique) et plus encore la pratique (le fait d’aller à la messe) sont très nettement inférieures. Si la baisse se poursuit au rythme actuel, donc sans s’accélérer, le catholicisme sera réduit au rang d’une consistante minorité.

Une enquête inédite
Notre étude offre deux éléments. D’abord une photographie originale de la situation présente, avec des vues nouvelles. Ensuite, des scénarios pour l’avenir, basés sur des hypothèses réalistes. Nos projections ne sont pas faites au doigt mouillé. Si nos chiffres, pour la plupart inédits, pourront toujours être discutés ou relativisés, nous ne les avons pas tirés d’un sondage, mais de statistiques. Nous avons travaillé à partir de l’ensemble des données disponibles de l’après-guerre à nos jours, des informations publiques de l’Église catholique, des projections démographiques officielles. Comme tout ce qui relève des lois de la population et non de l’opinion, ce sont donc des tendances lourdes, peu sensibles aux variations saisonnières et aux fluctuations de l’air du temps. Nos chiffres reposent sur un constat scientifique et non sur des considérations idéologiques.

> A lire aussi : Les leçons d'une enquête inédite sur les baptisés en France

Des objections possibles
On connaît d’avance les objections de ceux qui ne veulent pas ouvrir le débat. Il y en a trois principales.

D’abord la dénégation rassurante. Allons, cela ne va pas si mal ! Le denier du culte se maintient. L’enseignement catholique attire massivement. À Pâques, 3 900 adultes seront baptisés. 30 % de plus qu’il y a 10 ans. Mais en 10 ans, on a perdu près de 100 000 baptêmes d’enfants. L’un ne compense donc pas l’autre, et de loin. Il en va de même pour la courbe des mariages ; les épousailles catholiques déclinent plus vite que les unions en mairie. Un comble pour une Église qui s’est mobilisée pour la défense du mariage civil…

Ensuite, le détachement historique. Le catholicisme français a traversé bien des crises. À la veille de la Révolution, les monastères étaient quasi vides. Pendant la Terreur, on a conduit prêtres, religieuses et fidèles à l’échafaud et célébré la déesse Raison sur l’autel de Notre-Dame. Au début du XXe siècle, on a expulsé les congrégations. Nous n’en sommes pas là. Mais… justement, faut-il attendre de tragiques circonstances pour déclarer à nouveau la France « pays de mission » ?

Enfin, la satisfaction consolatrice. Depuis 30 ans, la peau de chagrin est devenue notre seconde nature. On s’est s’adapté en fusionnant les paroisses ou en confiant aux laïcs la célébration des funérailles. D’aucuns pensent même que le « qualitatif » aurait remplacé le « quantitatif », forcément méprisable. Autrement dit que notre foi serait plus vraie que celle de nos grands-mères parce que personnelle et non sociale, choisie et non contrainte. La sortie d’un régime de chrétienté ramènerait le christianisme à sa condition évangélique première. Vaste débat. Mais peut-on sérieusement penser que le catholicisme était moins « profond » à l’époque de saint Vincent de Paul ou à celle de Thérèse de Lisieux parce qu’il était plus répandu ?

Un moment opportun
Donner ces chiffres en pleine Semaine sainte, ce n’est pas faire acte de défi, mais au contraire acte de foi. Le christianisme n’est pas refus de la mort, mais confiance dans la Résurrection. Les signes de renouveau existent d’ailleurs. Nous leur avons délibérément consacré plus de pages qu’au constat de déclin. On observe l’émergence d’une multitude d’acteurs et d’initiatives. On relève la tendance à l’augmentation du nombre d’inscrits dans les aumôneries étudiantes, la franche progression qu’affiche le scoutisme, le succès de festivals, comme Anuncio. Autant d’hirondelles ne font pas encore le printemps mais l’annoncent. Quel plus beau moment que le temps de Pâques pour le dire ?
le diagnostic

Notre enquête montre qu’à l’heure actuelle deux Français sur trois sont encore baptisés catholiques, toutes générations confondues. Soit beaucoup plus, pour le coup que ce que d’aucuns imaginent. Ainsi, on peut estimer à la lecture de nos chiffres que le nombre de baptisés reste pratiquement 10 fois supérieur à celui des pratiquants. Or l’activité de l’Église demeure délibérément, même obstinément centrée sur ces pratiquants, et parmi eux sur les plus réguliers, autrement dit sur le cercle des convaincus, sans stratégie de reconquête des « brebis égarées ». Par méprise ou par mépris, par résignation ou par paresse, elle ignore la masse molle et mouvante qui entoure ce noyau dur. Il y a pourtant un immense effort à faire pour « réveiller » ceux que le sacrement a comblé de grâce à leur naissance, mais qui se sont éloignés, qui ont été déçus ou blessés, ou avec lesquels on n’a pas su maintenir le contact, passé le stade du catéchisme ou du mariage.

> Infographie : Les baptisés aujourd'hui... et en 2045 ?

Et maintenant, que faire ?
Pour le pape François, une Église centrée sur elle-même « tombe malade ». Or l’activité principale de l’Église, en dehors du domaine éducatif et du caritatif, reste ciblée sur « ceux qui viennent » spontanément et est absorbée par la gestion de leur diminution naturelle. C’est cette spirale qui est mortifère, non le constat que nous dressons. Le renouveau ne proviendra pas d’un aménagement technocratique des structures, mais d’un changement radical. L’enjeu principal est clairement la conversion missionnaire de chaque personne et de chaque communauté. La transformation d’une Église passive en Église écoutante, confessante et évangélique dépasse de très loin le simple aménagement paroissial. Il faut aller du palliatif au prospectif et de la gestion à l’évangélisation.

Il ne s’agit pas de distribuer des bons points. Ni de faire la leçon. Ni de nier l’engagement de tous ceux et celles qui agissent dans un contexte difficile. Nous n’oublions pas non plus que le renouveau des uns peut susciter l’inquiétude des autres, comme on le voit avec l’exemple du diocèse de Toulon ou, dans un tout autre genre, face aux enjeux du développement personnel et des nouvelles spiritualités. Soyons clairs : les exemples que nous donnons ne fournissent en aucun cas des modèles à reproduire. Ils invitent plutôt à engager le débat. Réagissez donc… Écrivez-nous. Signalez-nous d’autres initiatives, peut-être les vôtres. Toutes les formes de renouveau possible seront évoquées et débattues aux prochains États généraux du christianisme, à Strasbourg, le premier week-end d’octobre.

Josué

Josué
Administrateur

Baptisés en France : les leçons d'une enquête inédite
PHILIPPE CHRIQUI
CRÉÉ LE 01/04/2015

Philippe Chriqui, sociologue, président de Paradox’Opinion, une entreprise spécialisée en affaires publiques, opinion et géopolitique de l’opinion, tire les leçons de notre grande enquête inédite sur l'évolution de catholicisme en France.

Dans une génération, probablement moins d’un Français sur deux aura reçu le baptême. Nous voici donc à l’aube d’un bouleversement majeur du paysage religieux. Si nous ne sommes pas pour autant à l’orée de la disparition programmée du catholicisme français, les résultats de notre étude vont tous dans le même sens. Celui d’un recul régulier et inexorable. D’ici à 2045, alors que la France devrait gagner plus de 7 millions d’habitants, pour en compter 71 millions, l’Église pourrait perdre entre 8 millions et 10 millions de « fidèles » pour ne compter que 35 millions de baptisés. Cela n’est d’ailleurs que la poursuite de tendances anciennes : moins d’un tiers des mariages sont célébrés à l’Église contre deux tiers il y a 30 ans. Pour noircir davantage un tableau déjà digne de Soulages, la moyenne d’âge des baptisés sera élevée : 54 ans en moyenne. Enfin, la baisse des baptêmes, des mariages et de la pratique dominicale s’accompagne d’une baisse des ordinations. Mais dans des proportions plus harmonieuses qu’on l’imagine. Le nombre de prêtres diminue à peu près au même rythme que celui des mariages et des baptêmes, au point que l’on pourrait presque ne pas parler de « crise des vocations ». Le recrutement des fidèles devrait préoccuper l’Église plus que celui des prêtres… Mais l’un va-t-il sans l’autre ?

> Infographie : Les baptisés aujourd'hui... et en 2045 ?

Quant à la concurrence de l’islam, il s’agit de remettre les pendules à l’heure. Les musulmans ne seront pas plus nombreux que les catholiques dans un proche avenir. La démographe Michèle Tribalat estime dans une étude approfondie que la France compterait aujourd’hui environ 4 millions de musulmans. Même à imaginer le scénario le plus improbable d’un doublement de cette population à l’horizon de 2045, ce que le solde migratoire et la différence du taux de natalité entre population d’origine catholique et d’origine musulmane ne sauraient laisser envisager, seuls 8 millions de Français seraient alors musulmans. À peine plus de 10 % de la population, pour environ 50 % de catholiques baptisés. Le fantasme du « grand remplacement » cher à l’extrême droite est donc largement infondé.

> Infographie : Combien de prêtres aujourd'hui ?

Au train où vont les choses et compte tenu de l’affaiblissement de l’Église, on aurait pu légitimement s’attendre à une érosion plus rapide et plus importante. Imaginer que la France soit « à moitié baptisée » dans 30 ans est déjà un résultat surprenant. Presque réconfortant pour les responsables de l’Église de France. Surtout lorsque l’on sait qu’aujourd’hui les « messalisants » ne sont plus que 4 % de la population française, que le nombre de pratiquants occasionnels est très bas (13 % en 2014), et qu’ils sont âgés : environ la moitié des pratiquants occasionnels ont dépassé l’âge de la retraite.

> Infographie : Le mariage religieux aujourd'hui

Notre exercice de projection est théorique. Il est par définition statique. Il ne laisse en rien augurer de ce qui peut se passer d’ici à une génération. En revanche, il permet de prévoir ce qui doit arriver si aucune action n’est engagée. Un déclin n’est jamais irrémédiable. Cette étude invite en revanche les catholiques à trouver d’autres moyens pour rejoindre ses fidèles. Le judaïsme considère que chaque génération doit lire et réinterpréter la Bible afin de revivre la révélation du désert. Le défi du catholicisme français est un peu le même : refonder sa transmission.

Josué

Josué
Administrateur

http://www.ledauphine.com/isere-nord/2015/04/05/baptemes-par-immersion

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