Témoins de JEHOVAH VERITE actif


Rejoignez le forum, c’est rapide et facile

Témoins de JEHOVAH VERITE actif
Témoins de JEHOVAH VERITE actif
Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.
Témoins de JEHOVAH VERITE actif

forum des discussions sur la bible ouvert a tous.

Le deal à ne pas rater :
Display Star Wars Unlimited Ombres de la Galaxie : où l’acheter ?
Voir le deal
-55%
Le deal à ne pas rater :
Coffret d’outils – STANLEY – STMT0-74101 – 38 pièces – ...
21.99 € 49.04 €
Voir le deal

Vous n'êtes pas connecté. Connectez-vous ou enregistrez-vous

viande de cheval

4 participants

Aller en bas  Message [Page 1 sur 1]

1viande de cheval Empty viande de cheval Mer 20 Fév - 14:35

Josué

Josué
Administrateur


©AFP / Miguel Medina
Le groupe suisse montre du doigt une société allemande, H.J. Schypke, sous-traitant de son fournisseur JBS Toledo NV.

Le même jour, le géant allemand de la distribution Lidl annonçait de son côté avoir retiré des plats contenant de la viande de cheval en Suède, en Finlande, au Danemark et en Belgique.

C'est la première fois que de la viande de cheval étiquetée comme boeuf est détectée en Finlande depuis que l'affaire a éclaté en Europe il y a un mois. La Suède avait déjà vu le retrait de produits de diverses marques, dont des lasagnes Findus, contenant aussi du cheval.

Jusqu'à présent, les autorités ont assuré qu'il n'y avait pas de risque pour la santé humaine.

Lidl Finlande avait indiqué à l'AFP à la mi-journée qu'il avait retiré du goulasch et des raviolis de la marque Coquette "par mesure de précaution" après avoir été averti par sa maison mère de soupçons pesant sur la viande de la conserverie allemande Dreistern.

Une analyse a permis de déterminer que ces produits contenaient "des traces de viande de cheval", a précisé en fin d'après-midi le distributeur.

2viande de cheval Empty Re: viande de cheval Sam 23 Fév - 13:32

Josué

Josué
Administrateur

Le président français François Hollande a indiqué samedi qu'il exigerait "un étiquetage obligatoire" sur les viandes insérées dans les plats cuisinés, réagissant au scandale de la viande chevaline lors de l'inauguration du 50e Salon de l'agriculture à Paris. "Je veux que, à terme, il y ait un étiquetage obligatoire sur les viandes qui sont insérées, introduites dans les produits cuisinés", a-t-il déclaré, évoquant les "fraudes" constatées ces derniers jours.

"D'ici là, je soutiendrai avec le ministre de l'Agriculture et les ministres concernés toutes les initiatives qui seront prises pour des démarches volontaires d'étiquetage", a-t-il enchaîné lors d'une brève prise de parole avant une conférence de presse prévue à la mi-journée. Il s'agit, a-t-il spécifié, de faire en sorte que le consommateur puisse être "informé de la provenance des produits qu'il consomme et notamment des viandes".

François Hollande est arrivé samedi peu après 7 heures au parc des expositions de la Porte de Versailles pour inaugurer la cinquantième édition du Salon de l'agriculture. Son périple dans les allées du salon est censé se terminer en milieu d'après-midi. Mais l'an dernier, le candidat à la présidentielle avait arpenté ces allées pendant une douzaine d'heures.


3viande de cheval Empty Re: viande de cheval Sam 23 Fév - 15:10

Invité


Invité

tu vois moi j'en ai deja mangé et je suis tombé malade alors maintenant je n'en mange plus. faut croire que mon systeme digestif ne peut prendre cette viande mais il y a aussi ceci: la viande rouge, que ce soit du boeuf ou cheval, cette viande est de nature acide. le poulet quant à lui, est meilleur pour la santé.

4viande de cheval Empty Re: viande de cheval Lun 25 Fév - 17:22

Josué

Josué
Administrateur

Viande de cheval: Ikea retire des boulettes de viande vendues en Suède
Le 25/02/2013 à 13:59 - L'Expressavec Réagissez !
Le géant du meuble a annoncé ce lundi qu'il retire de la vente des boulettes de viande en Suède. Elles contiendraient du cheval, selon les résultats d'un test réalisé en République tchèque.

©L'Express

Nouvelle découverte dans le scandale de la viande de cheval. Le géant du meuble, Ikea, qui vend et sert également des spécialités culinaires suédoises, a annoncé ce lundi qu'il retire de la vente en Suède ses boulettes de viande, car elles contiendraient du cheval, selon les résultats d'un test réalisé en République tchèque.

"Nous avons aujourd'hui reçu l'information que nos boulettes de viande peuvent contenir des traces de viande de cheval après un test fait en République tchèque (...) nous interrompons la vente et la distribution de boulettes de viande dans le pays" (en Suède), a indiqué le groupe dans un communiqué.

5viande de cheval Empty Re: viande de cheval Mar 26 Fév - 16:42

Josué

Josué
Administrateur

Panzani a détecté du cheval dans ses raviolis fabriqués par William Saurin
Mis à jour le 26/02/2013 | 16:33 , publié le 26/02/2013 | 16:15


De la viande de cheval a été détectée dans plusieurs boites de raviolis en conserve de la marque Panzani, fabriqués par William Saurin, a indiqué l'entreprise espagnole de pâtes dans un communiqué, mardi 26 février.

Selon le magazine professionnel spécialisé dans la distribution LSA, Panzani, qui appartient au groupe espagnol Ebro, avait confié depuis treize ans la fabrication de ses raviolis au groupe français William Saurin, propriété de Financière Turenne Lafayette. William Saurin a été "victime d'une tromperie par un de ses fournisseurs", affirme le magazine.

Selon LSA, Panzani a immédiatement demandé à William Saurin de retirer du marché les raviolis concernés et de rembourser les consommateurs trompés. Des tests ADN ont par ailleurs été diligentés par la société espagnole, qui affirme "ne pas acheter de viande d'origine roumaine". La principale filière d'incorporation frauduleuse de viande de cheval dans des plats préparés, jusqu'ici mise au jour, utilisait de la viande roumaine.

Francetv info

6viande de cheval Empty Re: viande de cheval Mer 27 Fév - 6:29

Josué

Josué
Administrateur

http://www.bfmtv.com/actualite/dossier-viande-cheval/#?xtor=EREC-10-[dossier-viande-cheval]-20130213
Serge Papin sur la viande de cheval : "On a été stupéfait de cette escroquerie"
Serge Papin, PDG du groupement coopératif Magasins U, était l'invité de Jean-Jacques Bourdin ce lundi.

7viande de cheval Empty Re: viande de cheval Mer 29 Mai - 7:22

Josué

Josué
Administrateur

Scandale de la viande de cheval : les emplois des 240 salariés de Spanghero supprimés
Par Francetv info
Mis à jour le 28/05/2013 | 18:56 , publié le 28/05/2013 | 17:54

C'est fini pour les employés de Spanghero. Les 240 salariés de l'entreprise de Castelnaudary (Aude), au coeur du scandale de la viande de cheval, seront tous licenciés, selon les syndicats, à l'issue d'un comité d'entreprise mardi 28 mai. Selon Midi Libre, "des salariés auraient investi les locaux et encerclent (...) la salle où se tenait le Comité d'entreprise".

L'administrateur judiciaire avait convoqué un comité d'entreprise à 16 heures. Il a confirmé que les deux projets de poursuite d'activité déposés à ce jour, pour la reprise de l'entreprise placée en liquidation judiciaire, n'étaient pas viables et qu'ils avaient été rejetés "pour des raisons financières", selon L'Indépendant.

Mis en cause dans l'affaire de la fraude à la viande de cheval, Spanghero avait décidé en février d'abandonner son activité de négoce, pour se recentrer sur les activités de découpe, de préparation de viande et de fabrication de produits à base de viande. Activités pour lesquelles tous ses agréments sanitaires avaient été confirmés. Mais en mars, de nouvelles accusations avaient entaché sa réputation. Accusé d'avoir mis en vente 57 tonnes de mouton britannique, une viande interdite à l'importation en France, Spanghero avait pointé du doigt son fournisseur, lui aussi mis en cause dans l'affaire de la viande de cheval.

8viande de cheval Empty Re: viande de cheval Mar 2 Juil - 8:27

Josué

Josué
Administrateur

VIDEO. Viande de cheval : Laurent Spanghero veut laver son nom
A 74 ans, il souhaite remettre sur pied l'entreprise qu'il a fondée. Son offre de reprise sera étudiée ce mardi par le tribunal de commerce de Carcassonne (Aude).


(Emilie Quéno, Salah Agrabi / France 2)
Par Francetv info
Mis à jour le 01/07/2013 | 19:54 , publié le 01/07/2013 | 19:48

Le grand public l'avait découvert en larmes quelques heures après les révélations sur la viande de cheval. A 74 ans, Laurent Spanghero veut remettre sur pied l'entreprise qu'il a fondée. Mardi 2 juillet, le tribunal de commerce de Carcassonne (Aude) va étudier son offre de reprise. Une deuxième offre est portée par des salariés.

Pour reprendre la marque, Laurent Spanghero est accompagné de ses deux partenaires, un promoteur immobilier de Narbonne, Jacques Blanc, et l'un des dirigeants du cabinet de conseil Investeam. Il compte sur son nom pour redresser l'entreprise qu'il a créé avant de la céder à la coopérative basque Lur Berri en 2009. Au terme de ses travaux vendredi, le comité d'entreprise a rendu un avis consultatif mais il appartiendra au tribunal de commerce de Carcassonne de trancher.
http://www.francetvinfo.fr/faits-divers/affaire/viande-de-cheval/video-viande-de-cheval-laurent-spanghero-veut-laver-son-nom_360608.html#xtor=EPR-2-[newsletterquotidienne]-20130702-[lestitres-coldroite/titre7]-[]

9viande de cheval Empty Re: viande de cheval Mar 9 Juil - 7:50

Josué

Josué
Administrateur

Du boeuf contaminé par la tuberculose exporté en France

contaminé,tuberculose,viande
D'après le SundayTimes, du boeuf testé positif à la tuberculose tué au Royaume-Uni serait offert chaque année à la France. Une partie de la viande serait servie dans les cantines et les restaurants d'hôpitaux, entre autres...

Chaque année, le Royaume-Uni offrirait 28 000 bêtes testées positives à la tuberculose à la France, la Belgique et les Pays-Bas. Si une partie de cette viande serait transformée en nourriture pour les animaux, une autre serait écoulée dans les cantines scolaires et les restaurants hospitaliers ! Peut-être même ailleurs, on ne peut pas vraiment savoir... Et le plus incroyable dans tout ça, c'est que ce n'est pas illégale d'exporter cette viande contaminée puisque d'après les experts scientifiques du gouvernement britannique, le risque de contamination à l'homme serait "très faible". Le gain d'argent pour leur Etat peut néanmoins nous faire douter de leur totale sincérité à ce niveau...
De l'éleveur à nos assiettes

Dans le détail, les bêtes contaminées sont retirées des troupeaux pour ne pas infecter les autres animaux. L'éleveur reçoit alors une compensation de l'Etat comme dédommagement. L'Agence vétérinaire du gouvernement les revend ensuite à un abattoir, qui est au courant de la contamination, puis les carcasses sont envoyées à l'étranger sans étiquetage particulier. Selon Laurent Pinatel, porte-parole de la Confédération paysanne interrogée par le Sunday Times "cette pratique devrait être immédiatement arrêtée". Et de faire remarquer qu'il est "bizarre qu'une agence publique soit impliquée là-dedans". De son côté, Lord Rooker, président de la FSA (Food Standards Agency) a suggéré que ces viandes soient étiquetées pour informer l'acheteur de la contamination.

10viande de cheval Empty Re: viande de cheval Lun 16 Déc - 11:38

Josué

Josué
Administrateur

Mis à jour le 16/12/2013 | 11:04 , publié le 16/12/2013 | 07:08

La viande de cheval fait de nouveau l'actualité. Onze mois après le scandale des plats cuisinés qui a mis en cause l'entreprise Spanghero de Castelnaudary, France 3 Languedoc-Roussillon révèle qu'une opération de gendarmerie est en cours dans onze départements, lundi 16 décembre, pour démanteler un vaste réseau de trafiquants de viande de cheval. L'opération, conduite dans le sud de la France et en Espagne, mobilise une centaine de militaires dans l'Hexagone. Francetv info récapitule les éléments connus de l'affaire.

Qui sont les personnes interpellées ?
Une vingtaine de personnes ont été interpellées, d'après France 3, dans 11 départements, dont quatre personnes d'une même famille à Narbonne (Aude), suspectées d'être les cerveaux du trafic, un informaticien habitant à Reillanne (Alpes-de-Haute-Provence), trois vétérinaires, de Vauvert (Gard), Peyrins (Drôme) et Maurs (Cantal). Sont également accusés d'avoir participé à ce commerce illégal des personnels d'abattoir, notamment à Gérone en Catalogne, ainsi que des maquignons.

Les enquêteurs soupçonnent ces personnes d'avoir tissé un réseau pour fabriquer des faux "papiers" à ces animaux théoriquement impropres à la consommation, les faire abattre, et les revendre dans des boucheries du sud de la France, d'Espagne et peut-être d'Italie. Contrairement au premier scandale de la viande de cheval, cette marchandise n'aurait pas été vendue comme de la viande de bœuf, mais bien comme du cheval.

D'où vient la viande de cheval incriminée ?
L'affaire porte sur "plusieurs centaines de chevaux ayant participé à des programmes scientifiques entre 2010 et 2012", explique France 3 Languedoc-Roussillon. "Les bêtes, utilisées par des laboratoires de recherche ou des entreprises pharmaceutiques, comme Sanofi", se sont retrouvées dans le circuit agroalimentaire, "après falsification des documents de traçabilité qui accompagnent obligatoirement ces animaux".

Selon France 3 Languedoc-Roussillon, d'autres chevaux, issus de centres équestres ou de particuliers, traités avec des anti-inflammatoires et des antibiotiques, donc interdits à la consommation, ont également été intégrés à l'industrie agroalimentaire.

Le laboratoire Sanofi peut-il être mis en cause ?
A ce stade de l'enquête, précise France 3, il semble que le groupe Sanofi ait été abusé. Car, après s'être servi du sang des animaux pour la fabrication et la recherche de sérums ou de vaccins, le laboratoire pharmaceutique revendait les bêtes pour une somme modique à un marchand de chevaux.

Des reventes légales, effectuées en toute transparence, selon le labo, puisque des fiches médicales accompagnant ces animaux précisaient effectivement : "abattage interdit pour la consommation humaine". Mais les chevaux, au lieu d'être euthanasiés puis transportés à l'équarrissage, étaient revendus par les maquignons. Selon France 3, chaque animal racheté à Sanofi pour 10 euros leur a ainsi rapporté entre 500 et 800 euros. Au départ, précise la chaîne, la transaction était également intéressante pour le laboratoire, puisqu'elle lui évitait les frais d'équarrissage estimés à près de 250 euros l'animal.

"On ne suit pas le devenir de tous les chevaux, on fait confiance à ceux qui nous les achètent", précise l'entreprise pharmaceutique, contactée par francetv info. "Nous gardons les chevaux pendant trois ans avant de les réformer et de les vendre à des particuliers, des vétérinaires ou des éleveurs", ajoute son porte-parole, qui précise que ces chevaux ne sont en aucun cas destinés à l’alimentation mais qu’ils sont "suivis au-delà de la normale".

Comment ce réseau a-t-il été démantelé ?
Cette opération est le fruit de deux ans d'enquête entre la France et l'Espagne. Tout a commencé par une lettre anonyme, envoyée à la direction départementale de la protection des populations de l'Aude, en octobre 2012. Ce courrier accuse une société de négoce de chevaux de Narbonne, la Narbonnaise des viandes, d'agissements frauduleux.

Une enquête est alors lancée par le parquet de Narbonne. Les hommes de la section de recherche de la gendarmerie nationale de Montpellier découvrent qu'entre 2010 et 2012, au moins 200 chevaux ont été rachetés à Sanofi-Pasteur sur son site d'Alba-la-Romaine, en Ardèche, par un marchand de chevaux de Saint-Jean-de-Maruéjols (Gard). Ce dernier revendait les animaux à un négociant de Narbonne qui est suspecté d'être l'organisateur du trafic.

Quels sont les risques pour la santé ?
Sanofi garde encore secrète la nature exacte des traitements effectués sur ces chevaux. Selon France 3 Languedoc-Roussillon, le laboratoire précise "ne pas être en mesure de se prononcer sur la dangerosité de la consommation de viande de cheval provenant de leur laboratoire". Les vaccins expérimentés sur ces animaux auraient été testés et homologués par l'Agence nationale de santé.

Une convention internationale souligne que tout animal ayant servi à des programmes scientifiques ne peut être destiné ensuite à la consommation humaine.

11viande de cheval Empty Re: viande de cheval Lun 16 Déc - 11:43

Psalmiste

Psalmiste

Ah oui, j'ai entendu ça ce matin sur RTL Sad

12viande de cheval Empty Re: viande de cheval Lun 16 Déc - 12:58

Josué

Josué
Administrateur


Une vaste opération de gendarmerie a été déclenchée lundi matin dans 11 départements français dans le cadre d'une enquête contre un trafic de viande de cheval et de viande en gros.
http://webmail1m.orange.fr/webmail/fr_FR/read.html?FOLDER=SF_INBOX&IDMSG=187247&check=&SORTBY=1

13viande de cheval Empty Re: viande de cheval Lun 16 Déc - 13:14

Psalmiste

Psalmiste

On ne saurait plus quoi manger Sad

14viande de cheval Empty Re: viande de cheval Lun 16 Déc - 13:50

Josué

Josué
Administrateur

entre le foie de canard vendue made in France mais gavez en Bulgarie nous somme piégé de toutes partout.

15viande de cheval Empty Re: viande de cheval Lun 16 Déc - 14:07

Psalmiste

Psalmiste

Meme le miel est contrefait... J'ai vu 1 video la dessus, c'est affreux !

16viande de cheval Empty Re: viande de cheval Sam 28 Déc - 11:38

chico.

chico.

Un trafic de viande de cheval aux ramifications européennes
Mis à jour le 27.12.13
Belgique - Les autorités sanitaires belges ont saisi 16,2 tonnes de viande de cheval, dont une partie proviendrait d'un trafic mis au jour dans le sud de la France à la mi-décembre. Elles ont aussi critiqué l'inaction des autorités européennes.

17viande de cheval Empty Re: viande de cheval Ven 3 Jan - 18:50

Josué

Josué
Administrateur

Du renard dans de la viande d'âne en Chine
Mis à jour le 2.01.14
Alimentation - Wal-Mart, numéro un mondial de la distribution, a annoncé jeudi le rappel de produits à base de viande d' «Âne cinq épices» dans la province orientale de Shandong, en Chine.

(Photo: Keystone)
Après la viande de cheval dans du bœuf, voilà du renard dans de la viande d'âne en Chine. Le numéro un mondial de la distribution, Wal-Mart, a rappelé divers produits.

Les consommateurs qui se sont procuré de la viande d' «Âne cinq épices» seront remboursés, a dit le groupe américain. La viande d'âne est un en-cas très prisé dans certaines régions chinoises, même si elle ne représente qu'une très petite fraction de l'ensemble de la consommation de produits carnés en Chine.

Wal-Mart a présenté ses excuses et promis qu'une enquête serait menée pour déterminer les causes de ce nouveau scandale sanitaire qui ternit un peu plus encore le blason du groupe américain.

Canard périmé

Avec son homologue français Carrefour, il a écopé en 2011 d'une amende de 9,5 millions de yuans pour s'être rendu coupable de manipulation de prix. Il avait, la même année, été condamné a

18viande de cheval Empty Re: viande de cheval Mar 11 Mar - 19:30

chico.

chico.

Toujours de la viande de chevaux maltraités en vente en Suisse
Mis à jour il y a 43 minutes
Un an après le scandale de la viande de cheval, une association de protection des animaux dénonce la viande de chevaux élevés dans des mauvaises conditions dans les commerces Aldi, Denner, Migros et Spar.

L'enquête de la télévision alémanique montre que de la viande de cheval élevé dans des mauvaises conditions est toujours vendue en Suisse. (Photo: DR)
L'organisation de protection des animaux «Tierschutzbund Zürich» (TSB) demande à ces sociétés de n'acheter de la viande de cheval que dans les pays qui respectent les normes suisses et européennes en matière de protection des animaux. L'émission de la télévision alémanique «Kassensturz» a abordé ce problème mardi.

Il y a un an, TSB avait dénoncé les conditions d'élevage des chevaux destinés à la boucherie aux Etats-Unis, au Canada, en Argentine et au Mexique. La situation n'a pas changé et reste inacceptable, écrit TSB dans un communiqué. Les chevaux sont maltraités et mal nourris.

Migros «va vérifier»

Une porte-parole de Migros a indiqué que les conditions actuelles d'élevage de son fournisseur canadien ne respectent pas la loi sur la protection des animaux. C'est pourquoi une nouvelle installation est en cours de construction. Elle devrait être terminée cet été.

Des experts de Migros et des contrôleurs externes vont vérifier que les animaux sont bien traités, souligne le géant orange dans un communiqué. Si les conditions posées en matière d'élevage, de transport, d'abattage et de traçabilité ne sont pas respectées, Migros mettra fin à sa relation avec ce fournisseur.

Chez Aldi, un porte-parole a indiqué que la chaîne de magasins n'importera plus que de la viande certifiée SGS «dès que possible et au plus tard durant l'été». Chez Avec, on précise que la société ne vend que peu de viande de cheval. Des contrôles ont été opérés chez le fournisseur en février pour garantir que les animaux sont bien traités.

(ats)

19viande de cheval Empty Re: viande de cheval Mar 22 Juil - 7:53

Josué

Josué
Administrateur

La Chine ferme l'usine de viande d'un fournisseur de McDonald's, KFC et Burger King

Des salariés ont été surpris en train de mélanger de la viande périmée à de la viande fraîche, dans une filiale d'une société américaine.

Des salariés du fournisseur de viande OSI Group, sur une chaîne production, à Shanghai (Chine), le 20 juillet 2014.

Par Francetv info avec AFP
Mis à jour le 21/07/2014 | 13:53 , publié le 21/07/2014 | 13:43

McDonalds, KFC, Burger King et d'autres. La ville de Shanghai (Chine) ferme une usine du fournisseur américain OSI Group. Il est accusé d'avoir vendu de la viande "périmée" à de grandes chaînes de restauration, rapporte le Shanghai Daily (en anglais), lundi 21 juillet.

C'est un journaliste de la télévision locale qui a découvert les méfaits. En caméra cachée, il a filmé les employés de l'usine en train de mélanger de la viande périmée à de la viande fraîche. Ils auraient aussi délibérément menti aux contrôleurs de qualité envoyés par McDonald's, selon le Shanghai Daily.

Certaines pratiques encouragées par la direction
Des salariés admettent mélanger de la peau de poulet avec de la chair, et ont été vus en train de stocker au congélateur de la viande périmée. La direction, elle, "incite ouvertement à mélanger des morceaux de poulet de qualité inférieure avec les meilleures parties", affirme le Shanghai Daily. "Il y a même un manuel qui explique les proportions à respecter", reconnaît un salarié, filmé à son insu par la chaîne locale.

Un ancien employé explique en outre que les services de contrôle de la qualité de l'usine "gardent deux registres" : l'un pour les autorités sanitaires, l'autre "pour ce qu'il se passe vraiment".

McDo, KFC, Pizza Hut cessent de se fournir chez OSI
Les autorités sanitaires ont fermé l'usine dimanche, et saisi les produits incriminés, d'après un communiqué de l'administration en charge de la sécurité alimentaire. Selon cet organisme, la police enquête, et menace de "représailles sévères" pour des cas similaires à l'avenir.

McDonald's a assuré dans un communiqué avoir "immédiatement" arrêté d'utiliser la production de cette usine et le groupe de restauration Yum a indiqué que ses restaurants KFC et Pizza Hut avaient également cessé de servir de cette viande. Parmi les autres clients de l'usine figuraient les chaînes Burger King, Pizza Hut, Starbucks et Subway.

20viande de cheval Empty Re: viande de cheval Mar 22 Juil - 16:18

samuel

samuel
Administrateur

La viande de boeuf est-elle dangereuse pour la planète ?
Le Point.fr - Publié le 22/07/2014 à 12:39
Selon une étude américaine, l'élevage du bétail destiné à la consommation contribuerait à hauteur de 20 % aux émissions de gaz à effet de serre.
viande de cheval Sipa-2753602-jpg_2387983Pour élever un boeuf, un agriculteur a besoin d'une surface 28 fois plus étendue que pour produire des oeufs ou de la viande de volaille, rapporte une étude américaine. © GILE MICHEL/SIPA


La production de viande de boeuf induit un coût environnemental bien plus élevé que celle de volaille, de porc ou de toute autre source de protéines animales, révèle une étude publiée lundi aux États-Unis. Pour élever un boeuf, un agriculteur aura ainsi besoin d'une surface 28 fois plus étendue que pour produire des oeufs ou de la viande de volaille, rapporte cette étude parue dans les Proceedings of the National Academy of Sciences (PNAS). De même, il faut 11 fois plus d'eau pour irriguer les champs où poussent les foins et grains dont se nourrissent les bovins que pour les autres animaux d'élevage, selon les chercheurs du Bard College de New York, de l'université de Yale et de l'Institut des sciences Weizmann de Rehovot, en Israël.

Les boeufs émettent aussi cinq fois plus de gaz à effet de serre que les autres animaux qui sont sources de protéines. Au total, l'élevage de bétail destiné à la consommation contribue à hauteur de 20 % aux émissions de gaz à effet de serre, et c'est aussi une source majeure de pollution des cours d'eau, relèvent les scientifiques. "Et le boeuf est très clairement l'animal le moins économe en ressources parmi les cinq catégories d'animaux", pointe l'étude. La viande de boeuf compte pour 7 % de l'ensemble des calories consommées par les Américains, rappelle-t-elle. 

Des représentants de la filière bovine américaine dénoncent la méthode utilisée pour cette étude

En conséquence, et pour soulager le fardeau environnemental, les auteurs proposent de "réduire la consommation de viande de boeuf". Pour rédiger leur étude, ces derniers ont analysé les données ayant trait aux champs consacrés à l'élevage, à l'utilisation des ressources en eau et aux engrais que leur ont fournies les ministères américains de l'Agriculture, de l'Énergie et des Affaires intérieures, pour les années 2000-2010. Des représentants de la filière bovine américaine se sont élevés contre la méthode utilisée pour cette étude.

"L'étude parue dans les PNAS est une simplification grossière du système complexe qu'est la chaîne de production de boeuf", s'est indignée Kim Stackhouse, une responsable de l'Association américaine des éleveurs bovins. "Le fait est que le boeuf produit par la filière bovine américaine émet moins de gaz à effet de serre que celle de n'importe quel autre pays", a-t-elle assuré à l'AFP.

21viande de cheval Empty Re: viande de cheval Mar 9 Sep - 16:53

samuel

samuel
Administrateur

ASIE
Le scandale de la viande avariée menace MacDo
Mis à jour il y a 20 minutes
La chaîne de restauration rapide a vu ses ventes baisser encore au mois d'août. Les bénéfices de l'entreprise vont s'amoindrir explique-t-elle dans un communiqué.



viande de cheval Image_big_ipad_http___files2.newsnetz.ch_story_2_5_2_25207389_4_topelement


Le groupe avait déjà prévenu le mois dernier que l'affaire compromettait sa prévision annuelle de ventes mondiales, pour lesquelles il attendait jusqu'alors une stagnation. (Photo: Keystone)
Le scandale de la viande avariée en Chine a encore pesé lourdement en août sur les ventes de la chaîne américaine de restauration rapide McDonald's et va peser sur ses bénéfices trimestriels, a-t-il prévenu ce mardi 9 septembre.
La division régionale Asie/Pacifique, Moyen-Orient et Afrique (APMEA) a vu ses ventes à nombre de restaurants comparables chuter de 14,7%, après déjà un recul de 7,3% en juillet.
Impact négatif dur à rattraper
C'est «largement dû au récent problème chez un fournisseur en Chine, qui a beaucoup affecté les résultats en Chine, au Japon et sur d'autres marchés», explique le groupe dans un communiqué.
Les autorités de Shanghai avaient fermé en juillet une usine d'Husi Food, une filiale du producteur alimentaire américain OSI qui fournissait entre autres McDonald's et est accusée d'avoir mélangé de la viande avariée avec de la viande fraîche et ré-étiqueté des produits périmés.
Entre les ventes perdues et les dépenses liées aux efforts pour ramener la confiance des consommateurs, McDonald's a estimé mardi que l'impact négatif sur le bénéfice net par action du troisième trimestre devrait atteindre 15 à 20 cents, comparé à la même période de l'an dernier où il avait atteint 1,52 dollar.
Le groupe avait déjà prévenu le mois dernier que l'affaire compromettait sa prévision annuelle de ventes mondiales, pour lesquelles il attendait jusqu'alors une stagnation.
Recul mondial des ventes
Au final en août, les ventes mondiales de McDonald's ont reculé de 3,7% (après -2,5% en juillet). Outre l'Asie, le groupe souffre d'une «croissance économique molle dans un marché hautement concurrentiel» aux Etats-Unis, son premier marché: les ventes mensuelles y ont reculé de 2,8%.
En Europe, elles se replient de 0,7% car une «performance positive» au Royaume-Uni a été plus qu'altérée par une «faible performance en Russie».
McDonald's est actuellement dans le collimateur des autorités russes, qui ont fermé plusieurs de ses restaurants après des inspections des services sanitaires.
Ces contrôles ont été largement interprétés par la presse russe comme une mesure de rétorsion visant une société symbolique du mode de vie américain, sur fond de guerre des sanctions entre Moscou et les Occidentaux en raison de la crise ukrainienne.
(afp)

22viande de cheval Empty Re: viande de cheval Dim 4 Mar - 22:29

Josué

Josué
Administrateur

[size=33]Scandale de la viande de cheval: la justice française ordonne un procès[/size]

  • Par  viande de cheval Svg+xml;base64,<?xml version="1.0" encoding="UTF-8" standalone="no"?>
<svg width="14px" height="14px" viewBox="0 0 14 14" version="1.1" xmlns="http://www.w3.org/2000/svg" xmlns:xlink="http://www.w3.org/1999/xlink">
    <!-- Generator: sketchtool 3.8.1 (29687) - http://www.bohemiancoding.com/sketch -->
    <title>9BA324DB-27A2-48A7-A016-AAC8D469325A</title>
    <desc>Created with sketchtool.</desc>
    <defs></defs>
    <g id="Article" stroke="none" stroke-width="1" fill="none" fill-rule="evenodd">
        <g id="ARTICLE" transform="translate(-230.000000, -490.000000)">
            <g id="auteur" transform="translate(230.000000, 488.000000)">
                <g id="icon-mini-figaro" transform="translate(0.000000, 2.000000)">
                    <g id="fplume">
                        <path d="M14,11.8996 C14,13.0595725 13.0592968,14 11.899576,14 L2.09994401,14 C0.940543258,14 0,13.0595725 0,11.8996 L0,0 L11.899576,0 C13.0592968,0 14,0.940267459 14,2.10024003 L14,11.8996" id="Fill-1" fill="#3775CA"></path>
                        <path d="M8.98235294,9 L8.96698292,8.99192957 C8.96375712,8.98826119 8.6540797,8.6334067 8.00910816,8.05918317 L8,8.02567865 L8.02144213,8.00440205 L8.12125237,8 L8.13529412,8.00538029 C8.48235294,8.31548056 8.64516129,8.51504035 8.87001898,8.79139154 C8.91081594,8.84030325 8.95294118,8.89214967 8.99867173,8.94741991 L9,8.98972854 L8.98235294,9 M8.62590975,8 L8,8 L8,8.29698734 C8.40101892,8.47364668 8.59505095,8.61857508 8.59679767,8.62000119 C8.60232897,8.62374473 9.24949054,9.04248618 9.78020378,9.63806524 C9.97016012,9.85073385 10.1053857,9.98336205 10.2247453,10.1004813 C10.4334789,10.3051281 10.6148472,10.4826787 11,11 C10.6812227,10.4775091 10.2355167,9.91134351 9.56870451,9.17547091 C9.26200873,8.8365916 8.91979622,8.41036306 8.62590975,8" id="Fill-2" fill="#999999"></path>
                        <path d="M10.6843328,9.55518041 C10.116149,9.08335013 9.40411254,8.48105221 8.93555881,8.00650071 L8.91938398,8 L8.77828444,8 L8.75918438,8.01103608 L8.76245376,8.03099174 C9.11640712,8.38777464 9.533167,8.76133844 9.90570421,9.05659141 C10.6939689,9.68065914 11.2208552,10.1608043 11.5976942,10.6039105 C11.1423901,10.1651885 10.9279876,10.014614 10.6812355,9.84106027 C10.5401359,9.74173554 10.3802805,9.62925821 10.1557257,9.44890143 C9.52834896,8.94381173 8.76331412,8.5886918 8.75677536,8.58551703 C8.75453842,8.5843076 8.51793857,8.45746825 8.02839198,8.30432373 L8.0087757,8.30689377 L8,8.32216287 L8,8.52126587 L8.01376581,8.53895384 C8.66299578,8.74485991 8.96240213,8.89377142 8.96532737,8.89528321 C8.97479136,8.89981858 9.93650521,9.37996372 10.637357,9.9716791 C11.2284264,10.4716287 11.3734836,10.6092018 11.5312742,10.7643116 C11.5431472,10.7715682 11.8291319,10.9467849 11.9722963,10.9986394 L11.9803837,11 L11.995354,10.9947087 L12,10.9742995 C11.997591,10.9693106 11.7391379,10.4299032 10.6843328,9.55518041" id="Fill-3" fill="#999999"></path>
                        <path d="M8.12125237,8 L8.02144213,8.00440205 L8,8.02567865 L8.00910816,8.05918317 C8.6540797,8.6334067 8.96375712,8.98826119 8.96698292,8.99192957 L8.98235294,9 L9,8.98972854 L8.99867173,8.94741991 C8.95294118,8.89214967 8.91081594,8.84030325 8.87001898,8.79139154 C8.64516129,8.51504035 8.48235294,8.31548056 8.13529412,8.00538029 L8.12125237,8" id="Fill-4" fill="#999999"></path>
                        <path d="M4,4 L12,4 L12,6.24902942 L10.0433531,6.24902942 L10.0433531,5.86683423 C10.0433531,5.66324813 9.90872142,5.49060838 9.6084674,5.49060838 L7.83657917,5.49060838 L7.83657917,6.75312493 L9.47705334,6.75312493 L9.47705334,8.11052265 L7.83657917,8.11052265 L7.83657917,9.12248379 C7.83657917,9.40100088 7.96629975,9.51567514 8.35800169,9.51567514 L8.97933954,9.51567514 L8.97933954,11 L4,11 L4,9.51567514 L4.65842506,9.51567514 C4.84843353,9.51567514 4.98154107,9.39644532 4.98154107,9.22019255 L4.98154107,5.85678059 C4.98154107,5.6453401 4.94360711,5.49060838 4.62980525,5.49060838 L4,5.49060838 L4,4" id="Fill-5" fill="#FFFFFF"></path>
                        <path d="M2.02794884,3 C2.0517922,3.66985421 2.26275067,4.39974918 2.26275067,4.39974918 C2.26022422,4.39849506 2.25785568,4.39724095 2.25548713,4.39598683 C2.2591189,4.40962533 2.26275067,4.4234206 2.26638244,4.43721586 L2.26054003,4.45634112 L2.24127586,4.46041699 C2.23669667,4.45884935 2.14227065,4.42577206 2,4.29738203 C2.01279015,4.34268694 2.0258961,4.38705126 2.03963366,4.43063176 C2.23211748,4.91675811 2.74988157,6.04499138 3.53750197,6.43580499 L3.54776567,6.45759523 L3.5286594,6.47233109 C3.51476393,6.47233109 3.22216959,6.46950933 2.94157587,6.35710926 C3.12916469,6.53582066 3.39807358,6.73099232 3.67250908,6.91189842 C3.96620875,7.09985891 4.36080846,7.32951873 4.88757303,7.59962377 L4.89799463,7.61765167 L4.88567819,7.63473899 C4.88330965,7.63583634 4.82220117,7.65982129 4.68829938,7.65982129 C4.59229433,7.65982129 4.48428865,7.64775043 4.36617717,7.62392224 C4.45018159,7.67847625 4.53292279,7.73052203 4.61408495,7.77990281 C4.72461709,7.84543032 4.85583452,7.92099075 5,8 L5,6.50932748 C5,6.29832262 4.96462972,6.1439097 4.67203537,6.1439097 L4.08479394,6.1439097 L4.08479394,5.71798087 C3.20085268,5.08825835 2.53118585,3.85765794 2.3315964,3.31133406 C2.19295752,3.1804358 2.09063635,3.07258191 2.02794884,3" id="Fill-6" fill="#999999"></path>
                        <path d="M4,5 L4,5.43381766 L4.69057935,5.43381766 C5.03466205,5.43381766 5.0762565,5.59109053 5.0762565,5.80600351 L5.0762565,7.32428549 C5.22926467,7.39693438 5.39471404,7.47229762 5.56629116,7.54558518 C6.04796979,7.74660706 6.43680366,7.86891266 6.68748453,7.93772952 C6.79555583,7.96423439 6.90028472,7.98547022 7,8 L6.99442931,5.77199425 C6.99442931,5.77199425 6.94355038,5.66549577 6.83473632,5.49992017 L6.83752166,5.53361009 L6.84792028,5.53281175 L6.97121812,6.76512853 L6.97827433,6.77295226 L6.98254518,6.78333067 L6.99034414,6.88727447 L6.97456053,6.90755229 L6.96769002,6.9085103 L6.94800693,6.89893023 C6.89322852,6.8214913 6.35435751,6.11512055 4.32495667,5.17547501 C4.21410002,5.12422162 4.10584303,5.06530417 4,5" id="Fill-7" fill="#FFFFFF"></path>
                        <path d="M4,4 L4.0551116,4.46365693 C4.11766327,4.52060588 4.18476164,4.57755483 4.25558005,4.63371693 L4.1935795,4.12324186 L4.22747313,4.121078 L4.29319372,4.66371594 C4.35546983,4.71171437 4.42091485,4.75892594 4.48925324,4.80495721 L4.42022596,4.24038556 L4.45398181,4.2382217 L4.52645357,4.82944821 C4.58721411,4.86918462 4.65004133,4.90764237 4.71534858,4.94472312 L4.64425462,4.33451362 L4.67814825,4.33234976 L4.7519978,4.96577161 C4.7729402,4.97737779 4.79415817,4.98878725 4.81551392,5 L4.81551392,4.41880594 L5,4.41880594 C4.79195371,4.3546769 4.52672913,4.26094226 4.26646459,4.1356349 C4.17249931,4.08970198 4.08404519,4.04455592 4,4 M4,3 L3.98329545,3.63329764 C3.95795455,3.75321199 3.93017045,3.87633833 3.9,4 L3.92142045,3.208601 L3.91409091,3.20681656 C3.94414773,3.13650964 3.973125,3.06727338 4,3 M3,3 L2.99230769,3.43918919 C2.96600496,3.61193694 2.93523573,3.8018018 2.9,4 L2.91705955,3.24887387 C2.94646402,3.16283784 2.97419355,3.07995495 3,3 M3,3 C2.98052239,2.97811935 2.94738806,2.94307414 2.9,2.9 L2.90783582,2.96007233 C2.94141791,2.97417722 2.9719403,2.9874141 3,3" id="Fill-8" fill="#999999"></path>
                        <path d="M7,5 L6.96747851,6.66484899 C6.94159503,6.78041107 6.91905444,6.89282718 6.9,7 L6.92965616,5.4880453 L6.93190067,5.4840604 C6.94312321,5.39324664 6.96666667,5.21308725 7,5 M6,5 L5.96457462,6.7394551 C5.94146908,6.82724521 5.91994421,6.91402624 5.9,7 L5.93221757,5.37214934 C5.95178987,5.25247225 5.97447699,5.1271443 6,5 M4.21631664,4 L4,4 L4,4.84048076 C4.04862682,4.87191523 4.09854604,4.90235403 4.14927302,4.93193941 L4.06219709,4.00668516 L4.10177706,4.00398265 L4.19159935,4.9573999 C4.26268174,4.99736861 4.33570275,5.03491928 4.41050081,5.07062087 L4.32164782,4.12730247 L4.36155089,4.12445772 L4.45266559,5.09110305 L4.46946688,5.09906835 C4.5368336,5.12979162 4.60403877,5.16179504 4.67108239,5.19450964 L4.57576737,4.2126449 L4.61550889,4.20951568 L4.71308562,5.21541853 C4.78820679,5.25240026 4.8628433,5.29094659 4.9368336,5.3297774 L4.82084006,4.14010383 L4.86058158,4.13711685 L4.97899838,5.35225091 C5.053958,5.39264633 5.1276252,5.43417965 5.20048465,5.47571296 L5.0819063,4.25887206 L5.12164782,4.25588507 L5.24297254,5.50032003 C5.31793215,5.54412915 5.3914378,5.58822274 5.46300485,5.63288529 L5.34458805,4.4028163 L5.38449111,4.39968708 L5.50581583,5.66005263 C5.5812601,5.70770215 5.65541195,5.75577839 5.7266559,5.80442358 L5.60775444,4.5720788 L5.64781906,4.56937629 L5.76962843,5.8341512 C5.84943457,5.88948154 5.926979,5.94481189 6,6 L5.88029079,4.80605931 L5.91631664,4.8033568 C5.78756058,4.6736363 5.64071082,4.54548041 5.47495961,4.43837565 C4.95121163,4.1015575 4.74862682,4.02218903 4.68432956,4.00398265 L4.70710824,4.13569447 L4.70016155,4.15134059 L4.68174475,4.15503876 C4.67819063,4.1540431 4.48901454,4.10369106 4.21631664,4" id="Fill-9" fill="#FFFFFF"></path>
                        <path d="M4.99426798,4 L4.9992333,3.99745426 L5,3.98647574 L4.98006572,3.9 L4.96020445,3.9 C4.9611172,3.91344471 4.96126323,3.9239459 4.95870756,3.9239459 C4.9584885,3.9239459 4.95823293,3.92386635 4.95797736,3.92370724 C4.94954363,3.91607001 4.94125593,3.90811456 4.93311428,3.9 L4.9,3.9 C4.95659,3.96690533 4.99364732,3.99936356 4.99426798,4 M2.1038496,2 L2.09191286,2.01590668 C2.0519248,2.49826205 2.23202029,3.198156 2.28155774,3.37946271 C2.17711131,3.30493696 2.0341689,3.11965359 2.0325276,3.11759161 L2.00999702,3.11243667 L2,3.13290916 C2.32363474,4.4712796 3.0601313,5.12860846 3.29036109,5.30638035 C3.17218741,5.27427242 2.95628171,5.20283964 2.80528201,5.15070107 L2.78439272,5.15718157 L2.78439272,5.17853776 C3.20173083,5.75721692 4.26126529,6.28523035 4.58012534,6.43516555 C4.38660101,6.41218923 4.06684572,6.34517497 4.06296628,6.34429127 L4.04267383,6.35460115 L4.04789615,6.3763992 C4.37033721,6.62707671 4.69516562,6.83268528 5,7 L5,6.86994816 C4.88287078,6.80617415 4.76111608,6.73650878 4.63533274,6.66036291 C4.53178156,6.5993873 4.44747836,6.54769059 4.38928678,6.5114587 C4.39316622,6.51219512 4.39719487,6.51307883 4.40107431,6.51381525 C4.34079379,6.47493225 4.27991644,6.43457641 4.21829305,6.39289502 C4.21829305,6.39289502 4.65070128,6.46668434 4.79886601,6.46668434 C4.79886601,6.46668434 4.2614145,6.18257335 3.74559833,5.84485095 C3.33407938,5.58283257 3.13264697,5.40682809 3.04461355,5.31948863 C3.04804536,5.32096147 3.05147717,5.32228703 3.05490898,5.32361258 C3.01387645,5.28487687 2.97702178,5.24702486 2.94509102,5.21035113 C2.94509102,5.21035113 3.22843927,5.33112407 3.55162638,5.37044892 C3.55162638,5.37044892 2.63040883,4.86865206 2.20262608,3.51363851 C2.18009549,3.45693413 2.16219039,3.40950866 2.14920919,3.37386591 C2.15458072,3.37887357 2.15995225,3.38373395 2.16517457,3.38844704 C2.15070128,3.33704489 2.13697404,3.28416991 2.12384363,3.23041122 C2.12384363,3.23041122 2.16621904,3.35236244 2.40659505,3.48108872 C2.21874067,2.75998586 2.17173978,2.29294804 2.16039988,2.13240839 C2.16935243,2.1434547 2.17964787,2.15582656 2.1915846,2.16952398 C2.19068935,2.14566396 2.19009251,2.12165665 2.18979409,2.09794391 C2.18979409,2.09794391 3.1753208,3.23011665 4.43330349,3.72572758 L4.62279916,3.72572758 C4.38973441,3.63441145 3.76962101,3.38196654 3.47508207,3.17179215 C2.92002387,2.77545069 2.13115488,2.01178273 2.12324679,2.00412395 L2.1038496,2" id="Fill-10" fill="#999999"></path>
                        <path d="M6,7 L6,7.16815845 C6.54014327,7.78308894 6.97823053,7.9961912 6.98418458,7.99885736 L6.98678947,8 L6.99376686,7.99504856 L6.99832543,7.97695677 L7,7.83450771 L6.99023165,7.81089316 C6.98148665,7.808227 6.97274165,7.80537041 6.96381059,7.80232337 L6.96381059,7.81889164 C6.96381059,7.81889164 6.90771235,7.79394401 6.80723788,7.7280518 C6.62750023,7.62292897 6.42962136,7.4475338 6.24551121,7.26033137 C6.16820169,7.18358408 6.08605452,7.09693392 6,7 M4.90403155,4 L4.92932556,4 L4.92644278,3.9877 C4.93048797,3.9911 4.93537008,3.9952 4.94094964,4 L5,4 C4.96847548,3.9729 4.936393,3.9487 4.90389206,3.9278 C4.90352009,3.9276 4.90319461,3.9275 4.90286914,3.9275 C4.89812651,3.9275 4.90021885,3.9531 4.90235768,3.9788 C4.90296213,3.986 4.90356658,3.9933 4.90403155,4 M5.0866947,4 L5,4 C5.54836551,4.26608099 5.86331485,4.7443199 6,5 L5.99588989,4.94052307 L5.99436054,4.93527214 C5.93127509,4.81975159 5.70502772,4.42754721 5.44580386,4.2349793 C5.31179507,4.13581743 5.18744026,4.05776027 5.0866947,4" id="Fill-11" fill="#999999"></path>
                        <path d="M4.99424706,5 C5.00124706,5 5.00084706,4.9868 4.99834706,4.9699 L4.92414706,4.9699 C4.94644706,4.9801 4.96914706,4.9901 4.99224706,4.9997 C4.99294706,4.9999 4.99364706,5 4.99424706,5 M2.9,5 C2.93017045,4.87633833 2.95795455,4.75321199 2.98329545,4.63329764 L3,4 C2.973125,4.06727338 2.94414773,4.13650964 2.91409091,4.20681656 L2.92142045,4.208601 L2.9,5 M2.9,5 C2.93523573,4.8018018 2.96600496,4.61193694 2.99230769,4.43918919 L3,4 C2.97419355,4.07995495 2.94646402,4.16283784 2.91705955,4.24887387 L2.9,5 M1.9,2.9 C1.94738806,2.94307414 1.98052239,2.97811935 2,3 C1.9719403,2.9874141 1.94141791,2.97417722 1.90783582,2.96007233 L1.9,2.9 M2,3 C2.00039904,3.02709829 2.00119713,3.05453321 2.00239425,3.08179982 C2.08160415,3.15972846 2.21089385,3.27552738 2.38607342,3.41606822 C2.63826816,4.00263689 3.48443735,5.32388914 4.60135674,6 L4.60135674,5.85474641 C4.57043097,5.8355588 4.53970471,5.81603456 4.50937749,5.7961737 L4.40243416,4.71224192 L4.35335196,4.71594479 L4.45630487,5.76015485 C4.36173184,5.69670108 4.2707502,5.63089093 4.18276137,5.56289273 L4.07781325,4.55116697 L4.02893057,4.55486984 L4.12889066,5.52098294 C4.02992817,5.44221275 3.93515563,5.3614228 3.84497207,5.27928636 L3.74980048,4.35070691 L3.70071828,4.35440978 L3.79050279,5.22795108 C3.68794892,5.1318447 3.59078212,5.03439183 3.50019952,4.93693896 L3.42039106,4.14351436 C3.54209896,4.21975987 3.67019154,4.29701526 3.80626496,4.37561715 C4.18316042,4.59004713 4.56723863,4.75044883 4.86851556,4.86018851 L5,4.86018851 C3.31783719,4.29381732 2,3 2,3" id="Fill-12" fill="#999999"></path>
                        <path d="M6.9,7 C6.91905444,6.89282718 6.94159503,6.78041107 6.96747851,6.66484899 L7,5 C6.96666667,5.21308725 6.94312321,5.39324664 6.93190067,5.4840604 L6.92965616,5.4880453 L6.9,7 M5.9,7 C5.91994421,6.91402624 5.94146908,6.82724521 5.96457462,6.7394551 L6,5 C5.97447699,5.1271443 5.95178987,5.25247225 5.93221757,5.37214934 L5.9,7 M4.89493294,4 L4.75670641,4 C4.7585693,4.01073431 4.76099106,4.02242991 4.76341282,4.03396529 C4.77198212,4.07514019 4.78036513,4.11615487 4.76136364,4.11615487 C4.76005961,4.11615487 4.75875559,4.11599466 4.75726528,4.11567423 C4.62704918,4.08218959 4.49850969,4.04341789 4.37220566,4 L4.24944113,4 C4.56389717,4.11679573 4.78204173,4.17351135 4.78614009,4.17463284 L4.80737705,4.17046729 L4.81538748,4.15284379 L4.78912072,4.00448598 C4.86326379,4.02499332 5.09687034,4.11439252 5.70081967,4.49377837 C5.89195231,4.61441923 6.06128912,4.7587717 6.20976155,4.90488652 L6.16821908,4.90793057 L6.30625931,6.25276368 C6.22205663,6.1906008 6.13263785,6.1282777 6.04061103,6.06595461 L5.90014903,4.64133511 L5.85394933,4.64437917 L5.99105812,6.03246996 C5.90890462,5.9776769 5.82339791,5.9235247 5.73640089,5.86985314 L5.59649776,4.45020027 L5.55048435,4.45372497 L5.68703428,5.83925234 C5.6045082,5.78894526 5.51974665,5.73927904 5.43330849,5.68993324 L5.29340537,4.2882243 L5.24757824,4.29158879 L5.38431446,5.66221629 C5.30029806,5.61543391 5.21535022,5.56865154 5.12891207,5.52315087 L4.99236215,4.15444593 L4.94653502,4.15781041 L5.08029061,5.49783712 C4.99497019,5.4540988 4.90890462,5.41068091 4.82228018,5.36902537 L4.70976155,4.23599466 L4.66393443,4.23951936 L4.77384501,5.34547397 C4.69653502,5.30862483 4.61903875,5.27257677 4.54135618,5.23797063 L4.52198212,5.22899866 L4.41691505,4.14018692 L4.37090164,4.14339119 L4.47336066,5.2059279 C4.38710879,5.16571429 4.30290611,5.12341789 4.2209389,5.07839786 L4.11736215,4.00448598 L4.07172131,4.00753004 L4.17213115,5.04971963 C4.11363636,5.01639519 4.05607303,4.98210948 4,4.94670227 L4,5.08496662 C4.1061848,5.15049399 4.21479136,5.20961282 4.32600596,5.26104139 C6.36195976,6.20389853 6.90257079,6.91268358 6.95752608,6.99038718 L6.97727273,7 L6.98416542,6.99903872 L7,6.97869159 L6.99217586,6.87439252 L6.98789121,6.86397864 L6.98081222,6.85612817 L6.85711624,5.61959947 L6.84668405,5.62040053 L6.84388972,5.58659546 C6.57749627,5.18093458 5.96367362,4.42216288 4.89493294,4" id="Fill-13" fill="#999999"></path>
                        <path d="M5,8 C4.96550736,7.96366831 4.93211948,7.93042867 4.9,7.9 L4.9,7.90133521 C4.93735679,7.93675334 4.97135843,7.97062544 5,8 M4,7 C4.44543229,7.48061203 4.90954774,7.88492978 4.90954774,7.88492978 C4.78160031,7.88492978 4.40819482,7.77992035 4.40819482,7.77992035 C4.46140961,7.83923706 4.51398016,7.89666737 4.5660353,7.95200168 C4.66241464,7.98386083 4.75054761,8 4.82888803,8 C4.9381523,8 4.98801701,7.96793125 4.98994975,7.96646405 L5,7.94361769 L4.99149594,7.91951373 C4.56165443,7.55837351 4.23965984,7.25131 4,7 M2,4 C2.30017799,5.41277641 2.94660245,5.93596437 2.94660245,5.93596437 C2.71981991,5.89496314 2.52099257,5.76904177 2.52099257,5.76904177 C2.5433986,5.80727887 2.56925976,5.84674447 2.59805256,5.88713145 C2.78410638,5.99723587 2.97811747,6 2.98733117,6 L3,5.98556511 L2.99319443,5.9642199 C2.47094545,5.58138821 2.12763061,4.47619779 2,4 M2,4 C1.99551935,3.98272598 1.99083503,3.96573592 1.98589613,3.94921912 C1.94002037,3.91045906 1.9095723,3.90047326 1.90809572,3.9 L1.90188391,3.90123048 L1.9,3.90700426 C1.90117108,3.91116895 1.90234216,3.91533365 1.90351324,3.91945102 C1.98553971,3.96081401 2,4 2,4" id="Fill-14" fill="#999999"></path>
                        <path d="M7,9 C6.93582888,8.9654 6.9,8.9523 6.9,8.9523 L6.9,8.961 C6.93190731,8.9701 6.96541889,8.9834 7,9 M5,8 L5,7.99862915 C5.35051156,7.96190476 5.685108,7.92907648 6,7.9 C5.64986737,7.93311688 5.31223948,7.96717172 5,8" id="Fill-15" fill="#999999"></path>
                    </g>
                </g>
            </g>
        </g>
    </g>
</svg> AFP agence 
     

Le juge d'instruction en charge de l'enquête entamée début 2013 a ordonné que soient jugés quatre protagonistes soupçonnés d'être impliqués dans le scandale, dont deux ex-dirigeants de l'entreprise Spanghero.
Voici un plaquage dont Spanghero ne se sera jamais relevé. Cinq ans après le retentissant scandale en Europe de la viande de cheval vendue comme étant du bœuf, la justice française a décidé de juger quatre protagonistes soupçonnés d'avoir participé à l'escroquerie, dont deux ex-dirigeants de l'entreprise Spanghero. Le juge d'instruction, en charge de l'enquête entamée début 2013, a ordonné le 26 janvier que soit jugé l'ancien dirigeant de cette société de transformation des viandes implantée en Occitanie, ainsi que l'ex-directeur du site et deux négociants néerlandais.
» LIRE AUSSI - Le scandale de la viande de cheval résumé en cinq points
L'ancien dirigeant Jacques Poujol et le directeur Patrice Monguillon, en lien avec leurs intermédiaires Johannes Fasen et Hendricus Windmeijer, sont soupçonnés d'avoir trompé la société de fabrication de plats préparés Tavola, filiale du groupe Comigel, en lui vendant en 2012 et début 2013 plus de 500 tonnes de viande présentée comme du bœuf alors qu'il s'agissait de cheval. L'un d'eux a fait appel de cette ordonnance du juge et la cour d'appel de Paris devra encore valider ou non la tenue du procès.

750 tonnes de viande écoulées dans 13 pays européens


Le scandale, parti du Royaume-Uni début 2013, s'était étendu à toute l'Europe. Il avait mis en lumière l'opacité des circuits d'approvisionnement menés par des «traders» en viande dont les affaires passaient par Chypre, les Pays-Bas ou la Roumanie, dans un contexte de guerre des prix. Si l'affaire n'avait causé aucune conséquence sanitaire, le public avait découvert l'existence du «minerai de viande», un aggloméré de bas morceaux hachés, vendu le plus souvent surgelé et destiné essentiellement aux plats préparés, comme des lasagnes en barquette. Plusieurs marques, comme Findus et Picard, avaient été touchées, dans un contexte de tromperie massive portant sur 750 tonnes de viande écoulées dans 13 pays européens, soit 4,5 millions de plats cuisinés, avait révélé l'autorité française anti-fraudes (DGCCRF). Loin d'une simple addition de négligences, l'ordonnance de renvoi de 150 pages, signée par le juge parisien Serge Tournaire et dont l'AFP a eu connaissance, est accablante pour les pratiques qui se déroulaient sur le site de Spanghero à Castelnaudary (Aude).

D'importantes fraudes et des négligences


L'ordonnance de renvoi met en évidence des pratiques de fraudes parfaitement organisées. Première étape, la suppression d'indications sur la marchandise envoyée à Tavola, pour faire croire que la viande était découpée et travaillée à Spanghero, alors qu'elle venait de Roumanie, de Belgique ou du Canada. Ensuite, le retrait de toute référence à de la viande de cheval et le remplacement par des étiquettes intitulées «avant de bœuf désossé». Au premier plan de l'affaire, le rôle trouble du négociant Johannes Fasen et de Jacques Poujol. Ce dernier «apparaît impliqué au premier plan comme responsable de la fraude au sein de la société Spanghero, compte tenu notamment des relations étroites qu'il a su nouer avec Johannes Fasen», qui venait d'être condamné en 2012 aux Pays-Bas pour une autre fraude sur la viande de cheval, et «des instructions qu'il a données» aux salariés «pour mettre en œuvre ou faciliter la fraude», écrit le juge.
» LIRE AUSSI - Le nouveau combat des Spanghero
Toujours selon l'ordonnance de renvoi, «même si sa responsabilité apparaît moins centrale», Patrice Monguillon, l'ex-directeur du site, «a contribué à la réalisation de la fraude, notamment en officialisant et en secondant les directives de Jacques Poujol». Ce dernier est lui aussi renvoyé devant le tribunal pour «destruction de preuves» et tous deux pour «altération de preuves». Si elles n'ont pas été inquiétées judiciairement, Cogimel et sa filiale Tavola se voient reprocher leur négligence par le juge. «Un simple examen visuel aurait permis» de découvrir que certaines étiquettes étaient mensongères, avait relevé la DGCCRF lors de l'enquête. La viande de cheval n'est pas la seule fraude reprochée. L'ordonnance réclame aussi de juger les deux ex-dirigeants et M. Fasen pour l'importation de 65 tonnes de viande de mouton séparée mécaniquement. Cette méthode est interdite depuis la crise de la vache folle pour éviter que des éclats d'os ou de moelle infectés se retrouvent dans l'aliment.
L'entreprise Spanghero, qui revendiquait 240 salariés lors du scandale, ne s'en est pas remise. En juillet 2013, son fondateur, l'ancien rugbyman Laurent Spanghero, a tenté de la relancer en vain, sous le nom de La Lauragaise. Il l'a cédée un an plus tard.

23viande de cheval Empty Re: viande de cheval Lun 21 Jan - 17:45

Josué

Josué
Administrateur

la viande de cheval: Qu’est-ce qui a changé pour les consommateurs six ans après?
MIS À JOUR LE 21/01/19 À 09H05
Certaines failles dans les système de contrôle subsistent toujours, selon plusieurs experts…

24viande de cheval Empty Re: viande de cheval Dim 9 Juin - 15:14

Josué

Josué
Administrateur

[size=38]L’étrange histoire de la fraude aux steaks hachés pour les plus démunis[/size]

Enquête 

Le gouvernement a porté plainte, vendredi 7 juin, après que les bénévoles des associations d’aide alimentaire ont découvert une fraude portant sur la qualité de viande hachée distribuée aux plus démunis.
Une entreprise française s’approvisionnant auprès d’un industriel polonais est dans le collimateur.



     
  • Nathalie Birchem, 

  • le 07/06/2019 à 18:21 




viande de cheval Faits-relevent-tromperie-bande-organisee-peuvent-valoir-aauteurs-prison-15-million-deuros-damende_0_729_486



Les faits, qui relèvent de la tromperie en bande organisée, peuvent valoir à leurs auteurs deux ans de prison et 1,5 million d’euros d’amende.[size=12]L.BOUVIER/STOCK ADOBE
[/size]


C’est une vaste fraude aux steaks hachés au préjudice des associations d’aide aux plus démunis. Révélée par RTL, l’affaire débute fin février quand des bénévoles donnent l’alerte. « En distribuant les repas, ils ont constaté que les steaks hachés congelés distribués, moins rouges que d’habitude, étaient bizarres », relate Anne Bideau, directrice des activités bénévoles de la Croix-Rouge.
« On a commencé à avoir des remontées des associations à qui on donne l’aide alimentaire et des bénéficiaires eux-mêmes qui trouvaient que la qualité n’était pas bonne, tant visuellement qu’au goût, renchérit Laurence Champier, directrice fédérale du réseau des Banques alimentaires. Dans 5 à 6 banques, on a procédé à des dégustations et on a décidé d’alerter les autorités départementales. »

À lire aussi

Les associations interpellent l’Union européenne sur l’aide alimentaire

viande de cheval Entrepot-Banques-Alimentaires-Amiens_0_190_135




« Des os, de la peau, du soja, de l’amidon, le tout mixé »


Les associations se rendent alors compte que le lot de steaks hachés incriminés provient des stocks financés par le Fonds européen pour l’aide aux plus démunis (Fead). Un fonds qui en France bénéficie à quatre associations : les Banques alimentaires, la Croix-Rouge, les Restos du Cœur et le Secours populaire.
Après concertation, elles décident de confier l’analyse d’échantillons à un laboratoire. « Ces analyses ont tout de suite montré que, s’il n’y avait pas de risque sanitaire à consommer ces produits, ces steaks n’étaient pas conformes au cahier des charges. Alors que c’était censé être du pur bœuf 15 % de matière grasse, là, on trouvait à la fois beaucoup de gras mais aussi des os, de la peau, du soja, de l’amidon, le tout mixé », reprend Laurence Champier.
L’État se saisit de l’alerte le 28 mars et la Direction générale de la concurrence, de la consommation et de la répression des fraudes (DGCCRF) lance ses propres analyses, qui aboutissent aux mêmes conclusions, fin mai-début juin. Entre-temps, les quatre associations cessent la distribution de steaks hachés.

Un appel d’offres remporté par une entreprise française


En 2015, les Restos du Cœur avaient déjà retiré des steaks hachés après des suspicions de présence de salmonelle. Mais « c’est la première fois qu’on a affaire à une fraude dans le cadre du Fead », précise Laurence Champier.
Que s’est-il passé ? En France, chacun des 27 produits (viande, mais aussi lait, pâtes, riz, sucre, conserves…), financés par le Fead, fait l’objet d’un appel d’offres géré par France Agrimer, avec un cahier des charges précis. C’est une entreprise française qui a remporté le marché avant de faire appel à un intermédiaire, également français. Leurs noms n’ont pas été révélés officiellement. Mais, explique-t-on à Bercy, « comme c’est courant dans le secteur de la viande, le donneur d’ordre se fournit auprès d’un courtier qui lui-même se fournit auprès d’un industriel, en l’occurrence ici une entreprise polonaise ».
En ce qui concerne les steaks hachés, ce marché pour 2018 portait sur 1 500 tonnes de produits, dont 780 ont déjà été écoulées, pour un montant de 5,2 millions d’euros. Ce qui représente autour de 3 € le kilo. Un prix certes très bas, mais qui est « le même que les années précédentes », affirme la Direction générale de la cohésion sociale (DGCS), l’autorité de gestion du Fead, qui assure que « tous les contrôles prévus ont bien été faits comme il le fallait ».
En l’occurrence, « chaque entreprise qui fabrique à l’étranger est tenue de fournir des autocontrôles au soumissionnaire de l’appel d’offres qui doivent les donner aux autorités. Cela a été fait et les contrôles ne montraient pas de problème, précise-t-on à la DGCS. De plus, la DGCCRF est aussi tenue de procéder à des prélèvements sur les produits une fois qu’ils sont dans les associations. Les échantillons ont bien été analysés et ils n’étaient pas non conformes. »

Les bénéficiaires de l’aide alimentaire privés de viande


Autrement dit, il y aurait bien eu volonté de duper les autorités sur la marchandise. Les faits, qui relèvent de la tromperie en bande organisée, peuvent valoir à leurs auteurs deux ans de prison et 1,5 million d’euros d’amende. « C’est du pénal, on va transmettre au procureur et il est hors de question que ce type d’attitude se reproduise », a indiqué sur RTL Agnès Pannier-Runacher, secrétaire d’État auprès du ministre de l’économie, qualifiant cette fraude de « choquante et moralement inqualifiable ».
En attendant, « la première conséquence, c’est qu’un certain nombre de personnes en situation de précarité n’ont pas accès à des repas avec de la viande », ajoute Laurence Champier. De plus, les associations, qui attendent que le fournisseur reprenne et remplace les produits, ont annoncé « avoir demandé une compensation financière pour faire face aux frais de stockage engendrés par cette situation ».

Contenu sponsorisé



Revenir en haut  Message [Page 1 sur 1]

Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum