Que celui qui mange ne méprise pas celui qui ne mange pas. — Rom. 14:3.
En matière de nourriture et de détente, nous admettons que chacun puisse avoir des préférences et des goûts différents (Rom. 14:2, 4). Cela étant, nous comprenons que la diversité ne nous autorise pas à faire n’importe quoi. Prenons l’exemple de la nourriture. Bien que nous puissions être curieux de goûter à toutes sortes d’aliments, irions-nous jusqu’à manger des aliments avariés ? Ce serait contraire au bon sens et nuisible à notre santé. De la même façon, bien que nous puissions être ouverts à diverses formes de distraction, nous rejetons les loisirs dangereux, violents ou moralement corrompus. Nous y adonner reviendrait à enfreindre les principes bibliques et à mettre en danger notre santé et notre spiritualité. Pour être sûrs de rester dans des limites convenables, nous avons tout intérêt à déterminer si un divertissement qui nous attire constitue ou non une saine détente. — Éph. 5:10. w11 15/10 1:3, 4.