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Vivre avec une maladie chronique : la Bible est-elle utile ?

5 participants

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bouboule



Tout est dans le titre

Michael

Michael
MODERATEUR
MODERATEUR

La bible aide a avoir une bonne mentalité, et ainsi aussi on peut vivre avec belle espérance réelle.

bouboule



oui entre autre..

Karlnar

Karlnar

C'est vrai Imaginamick. Y'a un phrase qui dit: "L'espoir fait vivre" (c'est pas dans la Bible Laughing ), mais c'est tellement vrai. Si on a l'espérance d'une vie meilleure après cette vie si l'on endure nos épreuves jusqu'a la fin, comme Paul et tant d'autres, alors l'on aura beaucoup plus de facilité a surmonter nos problemes.

samuel

samuel
Administrateur

L'espérance est utile dans tout sorte de cas.

Karlnar

Karlnar

Oui!

Josué

Josué
Administrateur

Infirme, mais heureux de servir Dieu
PAR VARNAVAS SPETSIOTIS
En 1990, à 68 ans, je me suis retrouvé complètement paralysé. Malgré cela, voilà une quinzaine d’années que je suis évangélisateur à plein temps sur l’île de Chypre. Où ai-je trouvé la force de rester actif et joyeux au service de Jéhovah ?
J’AI vu le jour dans une famille de neuf enfants — quatre garçons et cinq filles — le 11 octobre 1922. Nous habitions à Chypre, dans le village de Xylophágou. Mes parents avaient beau être relativement aisés, pour faire vivre une si grande famille ils devaient travailler dur dans les champs.
Mon père, Antonis, était curieux de nature et aimait apprendre. Peu après ma naissance, il a remarqué chez l’instituteur du village à qui il rendait visite un tract intitulé La Tribune du Peuple. Ce tract était publié par les Étudiants de la Bible (comme on appelait alors les Témoins de Jéhovah). Il a commencé à le lire et a tout de suite été captivé par son contenu. Lui et son ami, Andreas Christou, allaient être parmi les premiers sur l’île à se joindre aux Témoins de Jéhovah.
Des progrès malgré l’opposition
Avec le temps, tous deux ont reçu des publications des Témoins de Jéhovah. Rapidement, ils se sont sentis poussés à faire connaître aux habitants du village les vérités bibliques qu’ils apprenaient. Par leur prédication, ils se sont attiré les foudres du clergé orthodoxe grec et d’autres pour qui les Témoins de Jéhovah constituaient une menace.
Mais de nombreux villageois ne pouvaient s’empêcher d’éprouver du respect pour ces deux enseignants de la Bible. Mon père était bien connu pour sa gentillesse et sa générosité. Il aidait très souvent les familles pauvres. Régulièrement il sortait discrètement tard le soir pour aller déposer devant leur porte du blé ou du pain. Pareil altruisme donnait du poids au message de ces deux chrétiens. — Matthieu 5:16.
En conséquence, une douzaine de personnes se sont intéressées aux Écritures. Bientôt, les membres de ce petit groupe ont éprouvé le besoin de se réunir chez les uns ou les autres pour étudier la Bible ensemble. Vers 1934, Nikos Matthéakis, un évangélisateur à plein temps, est arrivé de Grèce. Avec patience et détermination, il les a aidés à s’organiser et à affiner leur intelligence des Écritures. Ce groupe a été le noyau de la première congrégation des Témoins de Jéhovah à Chypre.
Comme l’œuvre progressait et que de plus en plus de personnes acceptaient la vérité, les frères ont estimé qu’il serait bien de disposer d’un lieu fixe pour tenir les réunions. Mon frère aîné, George, et sa femme, Eleni, ont mis à la disposition du groupe une dépendance contiguë à leur maison. Après quelques travaux, ce qui servait auparavant de grange est devenu un lieu de réunion convenable. C’est ainsi que les frères ont eu leur première Salle du Royaume sur l’île. Qu’ils étaient heureux ! Et quelle impulsion cette disposition a donnée à l’œuvre !
J’embrasse la vérité
En 1938, à l’âge de 16 ans, j’ai décidé de devenir menuisier. Mon père m’a donc envoyé vivre à la capitale, Nicosie. Avec une grande clairvoyance, il a fait en sorte que j’habite chez Nikos Matthéakis. Beaucoup se souviennent encore du zèle et de l’hospitalité de ce frère fidèle. Un enthousiasme débordant associé à un courage à toute épreuve : telles étaient les qualités que tout chrétien vivant à Chypre devait manifester alors.
Frère Matthéakis a beaucoup fait pour que la connaissance biblique s’enracine en moi et que je progresse spirituellement. Tout le temps où il m’a hébergé, j’ai assisté aux réunions qui se déroulaient à son domicile. Pour la première fois, j’ai senti croître mon amour pour Jéhovah. J’ai résolu de nouer des liens solides avec Dieu. Au bout de quelques mois, j’ai demandé à frère Matthéakis si je pouvais l’accompagner dans le ministère. C’était en 1939.
Peu après, je suis rentré chez moi pour voir ma famille. Le fait de côtoyer mon père a renforcé ma conviction que j’avais trouvé la vérité ainsi que le sens de la vie. En septembre 1939, la Deuxième Guerre mondiale a éclaté. De nombreux jeunes hommes de mon âge se sont engagés ; pour ma part, conformément à ce qu’enseigne la Bible, j’ai choisi de rester neutre (Isaïe 2:4 ; Jean 15:19). La même année, je me suis voué à Jéhovah et, en 1940, je me suis fait baptiser. Enfin, j’étais libéré de la crainte de l’homme !
En 1948, je me suis marié avec Efprepia. Nous avons eu quatre enfants. Il nous est rapidement apparu que nous allions devoir faire de gros efforts pour les élever “ dans la discipline et les avertissements de Jéhovah ”. (Éphésiens 6:4.) Ces efforts, accompagnés de prières, se sont concentrés sur un objectif : implanter chez eux un profond amour pour Jéhovah et le respect de ses lois et de ses principes.
Ma santé se dégrade
En 1964, à l’âge de 42 ans, j’ai commencé à sentir que ma main droite et ma jambe droite s’engourdissaient. Cette sensation s’est peu à peu étendue au côté gauche. On a diagnostiqué une atrophie musculaire, maladie incurable qui aboutit à une paralysie totale. Cette nouvelle m’a bouleversé. Tout s’était passé si vite et si brutalement ! La colère et l’indignation m’ont envahi. Je me disais : ‘ Pourquoi moi ? Qu’est-ce que j’ai fait pour mériter ça ? ’ J’ai fini par me remettre du choc de cette nouvelle. Mais c’est l’anxiété qui m’a alors submergé. Toutes sortes de questions me traversaient l’esprit. Serais-je totalement paralysé et entièrement dépendant des autres ? Comment ferais-je face ? Serais-je en mesure de subvenir aux besoins des miens — ma femme et mes quatre enfants ? Ces pensées m’épouvantaient.
À ce moment critique de ma vie, j’ai plus que jamais éprouvé le besoin de me tourner vers Jéhovah et de lui parler à cœur ouvert de mes préoccupations et de mes craintes. Je priais jour et nuit, les larmes aux yeux. Je me suis rapidement senti mieux. Les paroles apaisantes de Philippiens 4:6, 7 se sont vérifiées dans mon cas : “ Ne vous inquiétez de rien, mais en tout, par la prière et la supplication avec action de grâces, faites connaître vos requêtes à Dieu ; et la paix de Dieu, qui surpasse toute pensée, gardera vos cœurs et vos facultés mentales par le moyen de Christ Jésus. ”
Je fais face
Mon état s’est dégradé. J’ai compris que je devais m’adapter rapidement à ma nouvelle situation. Puisque je ne pouvais plus être menuisier, j’ai décidé de trouver un travail moins exigeant physiquement, mais qui me permettrait néanmoins de pourvoir à la subsistance de ma famille. Je me suis établi marchand de glaces ambulant. J’ai fait cela pendant six ans environ, jusqu’à ce qu’un fauteuil roulant me soit nécessaire. Je me suis alors orienté vers des activités de moins en moins astreignantes.
Depuis 1990, ma santé a décliné au point que je ne peux absolument plus travailler. À présent, je dépends complètement des autres, même pour des choses qu’une personne valide fait sans y penser. J’ai besoin d’aide pour me mettre au lit, me laver et m’habiller. Afin que je puisse assister aux réunions chrétiennes, on doit m’emmener en fauteuil jusqu’à la voiture, me porter pour m’installer sur un siège, puis faire l’opération inverse une fois arrivé à la Salle du Royaume. Lors de la réunion, j’utilise un radiateur électrique de façon à garder mes pieds au chaud.
Malgré la paralysie, j’assiste très régulièrement aux réunions. Je comprends que c’est là que Jéhovah nous enseigne, et je me sens en sécurité au milieu de mes frères et sœurs spirituels ; ils sont pour moi une source d’encouragement (Hébreux 10:24, 25). Les visites régulières que me rendent des chrétiens mûrs me procurent un soutien constant. Je partage les sentiments de David, qui a dit : “ Ma coupe est bien remplie. ” — Psaume 23:5.
Ma chère femme m’aide d’une manière remarquable depuis toutes ces années. Mes enfants aussi m’entourent de soins. Voilà plusieurs années qu’ils s’occupent de moi au quotidien, ce qui devient de plus en plus difficile avec le temps. Leur patience et la façon dont ils donnent d’eux-mêmes sont vraiment exemplaires. Je prie Jéhovah qu’il continue de les bénir.
Un autre moyen extraordinaire que Jéhovah utilise pour fortifier ses serviteurs est la prière (Psaume 65:2). En réponse à mes supplications, Jéhovah m’a donné la force d’endurer avec foi. Particulièrement lorsque je n’ai pas le moral, la prière m’aide à conserver une certaine joie. Je trouve du réconfort à parler constamment à Jéhovah ; cela entretient ma détermination à persévérer. Je suis absolument convaincu que Jéhovah entend les prières de ses serviteurs et qu’il accorde à ces derniers la paix de l’esprit qui leur est nécessaire. — Psaume 51:17 ; 1 Pierre 5:7.
Par-dessus tout, je me sens revigoré quand je me rappelle que Dieu va guérir tous ceux qui vivront dans le Paradis sous le règne de son Fils, Jésus Christ. Plus d’une fois j’ai laissé échapper des larmes de joie en songeant à cette merveilleuse espérance. — Psaume 37:11, 29 ; Luc 23:43 ; Révélation 21:3, 4.

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