"Pendant 35 ans, le pasteur Russell a pensé que la Grande Pyramide de Guizèh était un témoin de pierre pour Dieu, qui corroborait les périodes bibliques (Es. 19:19). Mais les Témoins de Jéhovah ont renoncé à l'idée qu'une pyramide égyptienne ait quelque chose à voir avec le vrai culte. (Voir les numéros de la "Tour de Garde" de février 1929 (15 novembre et 1er décembre 1928, en anglais).)" ("Les Témoins de Jéhovah - Prédicateurs du Royaume de Dieu"; p.201)
En 1993, dans le livre : « Les Témoins de Jéhovah prédicateurs du royaume de Dieu », 23 lignes (p.161-162 et 201) relatent le fait que Charles Taze Russell « a pensé que la Grande Pyramide de Guizèh était un témoin de pierre pour Dieu, qui corroborait les périodes bibliques », soit au mieux 0.07% du contenu du livre pour expliquer une ancienne doctrine fondamentale dans un livre à vocation historique...
La croyance en la pyramide de Guizeh comme témoin de Dieu est-elle un enseignement ésotérique? Mélange-t-elle la sagesse de ce monde avec les enseignements bibliques? D'une façon générale, Charles Taze Russell et J. Rutherford enseignaient-ils des doctrines occultes?
L'avis des historiens et des écrivains sur la pyramide de Guizeh :
« Depuis des millénaires, le Sphinx et la Grande Pyramide excitent la curiosité, le désir de découvertes, l’imagination, particulièrement chez les adeptes des sciences occultes. Ceux-ci luttent contre les sobres égyptologues, si peu exaltants par comparaison, et prétendent entre autres que la Grande Galerie a servi d’observatoire, que l’on peut calculer le périmètre de la Terre à partir des dimensions de la pyramide de Khéops et que les bâtisseurs de la Grande Pyramide voulaient laisser à la postérité une « encyclopédie monumentale » rassemblant tout le savoir de leur époque. Quand au Sphinx, il ne daterait absolument pas de l’Ancien Empire mais serait antérieur au déluge. » (Livre : « L’EGYPTE, Les hommes - les dieux - les pharaons »; Rose-Marie & Riner Hagen; Editions Taschen; 2005; P.36)
« L’une des sept merveilles du monde : la pyramide de Chéops (sous-titre)
(…) A la perfection des dimensions et de la réalisation de la superstructure, correspond, dans l‘infrastructure, celle de l‘agencement du système des couloirs et des chambres. Le point de vue positive tente, aujourd‘hui encore, d‘attribuer à la construction des trois chambres trois changements de plans successifs. Ce serait faire injure aux bâtisseurs qui ont conçu et réalisé cet édifice unique avec une telle perfection, que de supposer qu‘ils aient exécuté le système des chambres funéraires, élément essentiel de la pyramide, sans plan et sans conception de l‘ensemble. Le fait que l‘édifice extérieur, son agencement, ses dimensions, se trouve en parfaite cohérence avec le système des chambres et que l‘on n‘observe nulle part, ni à l‘extérieur ni à l‘intérieur du monument, une quelconque rupture de projet plaide contre l‘hypothèse des trois plans successifs de construction. De récentes études ont, en outre, montré que les tombeaux des rois, dès l‘époque thinite, présentaient non pas une chambre funéraire mais bien une série de trois pièces ou espaces dont la fonction n‘a, jusqu‘ici, pu être totalement élucidée. C‘est là un argument qui devrait définitivement contrecarrer la théorie mystique, de nouveau actuelle, à propos des pyramides, selon laquelle le système des chambres de la pyramide de Chéops recélerait un savoir ésotérique et des secrets, ainsi que d‘autres chambres, encore cachées dans la pyramide, qui contiendraient les « trésors du savoir ».» (Livre : « L’EGYPTE, sur les traces de la civilisation pharaonique »; Regine Schulz et Matthias Seide; Editions Könemann; 2004; p.61)
« Pyramides : (…) Toutes ces constructions obéissent à des croyances religieuses et à des rites magiques, sur lesquels les égyptologues les plus sérieux sont beaucoup plus sobres d’explications que les prolixes amateurs. S’il existe une pyramidologie très sujette à caution, quant aux rapprochements entre la science des pharaons et celle des savants modernes, il n’est cependant pas interdit d’interroger les croyances anciennes pour percevoir les raisons de ces constructions colossales. (…) Les rapports géométriques de la grande pyramide de Guizeh ont ouvert la voie à d’autres interprétations, qui font retrouver le symbolisme des alchimistes. On sait que le périmètre du carré de base (de cette pyramide) est sensiblement égal à la longueur d’une circonférence de rayon égal à la hauteur, ce qui revient à dire que le rapport de la base carrée et du cercle est exprimé dans l’élévation. Rien de plus simple, dès lors, que d’imaginer une circonférence, dont le rayon aurait la hauteur de la pyramide et qui pivoterait sur le sommet de celle-ci, soit à la verticale comme une roue, soit à l’horizontale comme un disque, soit en oblique sur tout autre plan; on peut aussi bien imaginer une sphère dont l’axe serait celui de la pyramide et dont la circonférence aurait la même longueur que le périmètre de la pyramide : les alchimistes verraient là un exemple de solution du problème de la quadrature du cercle. » (« Dictionnaire des symboles »; Jean Chevalier et Alain Gheerbrant; Editions Robert Laffont / Jupiter; 1994; p.790-792)
En 1993, dans le livre : « Les Témoins de Jéhovah prédicateurs du royaume de Dieu », 23 lignes (p.161-162 et 201) relatent le fait que Charles Taze Russell « a pensé que la Grande Pyramide de Guizèh était un témoin de pierre pour Dieu, qui corroborait les périodes bibliques », soit au mieux 0.07% du contenu du livre pour expliquer une ancienne doctrine fondamentale dans un livre à vocation historique...
La croyance en la pyramide de Guizeh comme témoin de Dieu est-elle un enseignement ésotérique? Mélange-t-elle la sagesse de ce monde avec les enseignements bibliques? D'une façon générale, Charles Taze Russell et J. Rutherford enseignaient-ils des doctrines occultes?
L'avis des historiens et des écrivains sur la pyramide de Guizeh :
« Depuis des millénaires, le Sphinx et la Grande Pyramide excitent la curiosité, le désir de découvertes, l’imagination, particulièrement chez les adeptes des sciences occultes. Ceux-ci luttent contre les sobres égyptologues, si peu exaltants par comparaison, et prétendent entre autres que la Grande Galerie a servi d’observatoire, que l’on peut calculer le périmètre de la Terre à partir des dimensions de la pyramide de Khéops et que les bâtisseurs de la Grande Pyramide voulaient laisser à la postérité une « encyclopédie monumentale » rassemblant tout le savoir de leur époque. Quand au Sphinx, il ne daterait absolument pas de l’Ancien Empire mais serait antérieur au déluge. » (Livre : « L’EGYPTE, Les hommes - les dieux - les pharaons »; Rose-Marie & Riner Hagen; Editions Taschen; 2005; P.36)
« L’une des sept merveilles du monde : la pyramide de Chéops (sous-titre)
(…) A la perfection des dimensions et de la réalisation de la superstructure, correspond, dans l‘infrastructure, celle de l‘agencement du système des couloirs et des chambres. Le point de vue positive tente, aujourd‘hui encore, d‘attribuer à la construction des trois chambres trois changements de plans successifs. Ce serait faire injure aux bâtisseurs qui ont conçu et réalisé cet édifice unique avec une telle perfection, que de supposer qu‘ils aient exécuté le système des chambres funéraires, élément essentiel de la pyramide, sans plan et sans conception de l‘ensemble. Le fait que l‘édifice extérieur, son agencement, ses dimensions, se trouve en parfaite cohérence avec le système des chambres et que l‘on n‘observe nulle part, ni à l‘extérieur ni à l‘intérieur du monument, une quelconque rupture de projet plaide contre l‘hypothèse des trois plans successifs de construction. De récentes études ont, en outre, montré que les tombeaux des rois, dès l‘époque thinite, présentaient non pas une chambre funéraire mais bien une série de trois pièces ou espaces dont la fonction n‘a, jusqu‘ici, pu être totalement élucidée. C‘est là un argument qui devrait définitivement contrecarrer la théorie mystique, de nouveau actuelle, à propos des pyramides, selon laquelle le système des chambres de la pyramide de Chéops recélerait un savoir ésotérique et des secrets, ainsi que d‘autres chambres, encore cachées dans la pyramide, qui contiendraient les « trésors du savoir ».» (Livre : « L’EGYPTE, sur les traces de la civilisation pharaonique »; Regine Schulz et Matthias Seide; Editions Könemann; 2004; p.61)
« Pyramides : (…) Toutes ces constructions obéissent à des croyances religieuses et à des rites magiques, sur lesquels les égyptologues les plus sérieux sont beaucoup plus sobres d’explications que les prolixes amateurs. S’il existe une pyramidologie très sujette à caution, quant aux rapprochements entre la science des pharaons et celle des savants modernes, il n’est cependant pas interdit d’interroger les croyances anciennes pour percevoir les raisons de ces constructions colossales. (…) Les rapports géométriques de la grande pyramide de Guizeh ont ouvert la voie à d’autres interprétations, qui font retrouver le symbolisme des alchimistes. On sait que le périmètre du carré de base (de cette pyramide) est sensiblement égal à la longueur d’une circonférence de rayon égal à la hauteur, ce qui revient à dire que le rapport de la base carrée et du cercle est exprimé dans l’élévation. Rien de plus simple, dès lors, que d’imaginer une circonférence, dont le rayon aurait la hauteur de la pyramide et qui pivoterait sur le sommet de celle-ci, soit à la verticale comme une roue, soit à l’horizontale comme un disque, soit en oblique sur tout autre plan; on peut aussi bien imaginer une sphère dont l’axe serait celui de la pyramide et dont la circonférence aurait la même longueur que le périmètre de la pyramide : les alchimistes verraient là un exemple de solution du problème de la quadrature du cercle. » (« Dictionnaire des symboles »; Jean Chevalier et Alain Gheerbrant; Editions Robert Laffont / Jupiter; 1994; p.790-792)
Ci dessous, le livre : "The Divine plan of the Ages as shown in the Great Pyramid"
Ci-dessous, image du "Photo-drame de la création"