Poème signé : inconnu
ce poème a éré écrit par une sœur …
QUAND VOUS PENSEZ NE PLUS POUVOIR ENDURER.......
A genoux, je me suis traîné devant Jéhovah,
Pour lui parler de l'oppression qui m'étreint.
Je lui ai dit : "Je n'en peux plus cette fois,
Ne retarde plus le jour où tu interviens,
J'endure tellement de choses, je touche le fonds,
Je ne pourrais plus supporter encore longtemps
Ces coups qu'on me porte, cette constante pression
Entre les gens de ce monde et Satan ..."
Tandis que je répandais devant Lui mes tourments,
Jéhovah restait silencieux autant qu'il sait l'être,
Ecoutant chacune de mes plaintes attentivement,
Jusqu'à ce qu'une voix apaisante se diffuse dans mon être.
"Je comprends que tu éprouves ces sentiments,
Ces derniers jours se font pesants pour toi.
Moi aussi, tu sais, cela fait longtemps que j'attends.
Je veux être sûr que mon peuple reste confiant en moi.
Depuis qu'Adam et Eve ont repoussé ma main,
Mon coeur a connu tellement de déceptions ...
J'ai envoyé mon propre Fils parmi les humains
Pour qu'entre nous il y ait réconciliation !
J'entends encore son cri donnant sa vie...!
Ceux que j'aimais m'ont rejeté loin d'eux,
Pour des dieux cruels qu'ils ont servis.
Aux yeux de beaucoup, je n'existe pas vraiment,
Et l'on m'accuse de tout le mal qu'ils se font !
Je n'ai jamais souhaité les pleurs des innocents,
Je ne veux que le rire et l'amour dans les maisons".
"Quant à toi, je ne t'abandonnerai pas,
Je ne te laisserai rien endurer sans mon soutien.
Je serai toujours là pour guider tes pas,
Aussi longtemps que tu prendras ma main.
Mon Royaume est pour ceux, qui jusqu'au bout, en moi espèrent,
Je suis Jéhovah ! Mon amour et ma justice sont éternels !
J'entends les clameurs tout autour de la terre,
Comme j'entendais les appels de Job mon serviteur fidèle.
Souviens-toi de lui, qui ne discernait pas les raisons.
Et que même dans la plus sombre tourmente,
Il ne m'a pas fait défection.
Toi tu connais ces raisons, même si tu te lamentes,
Sois joyeux, malgré tout, car tu portes mon Nom.
Continue de prêcher et d'endurer l'opposition.
Et quand tu t'épuises, serre ma main plus fort.
Je te guiderai, aie confiance! Reste près de moi!
La fin est si proche ... Ne me tourne pas le dos..."
ce poème a éré écrit par une sœur …
QUAND VOUS PENSEZ NE PLUS POUVOIR ENDURER.......
A genoux, je me suis traîné devant Jéhovah,
Pour lui parler de l'oppression qui m'étreint.
Je lui ai dit : "Je n'en peux plus cette fois,
Ne retarde plus le jour où tu interviens,
J'endure tellement de choses, je touche le fonds,
Je ne pourrais plus supporter encore longtemps
Ces coups qu'on me porte, cette constante pression
Entre les gens de ce monde et Satan ..."
Tandis que je répandais devant Lui mes tourments,
Jéhovah restait silencieux autant qu'il sait l'être,
Ecoutant chacune de mes plaintes attentivement,
Jusqu'à ce qu'une voix apaisante se diffuse dans mon être.
"Je comprends que tu éprouves ces sentiments,
Ces derniers jours se font pesants pour toi.
Moi aussi, tu sais, cela fait longtemps que j'attends.
Je veux être sûr que mon peuple reste confiant en moi.
Depuis qu'Adam et Eve ont repoussé ma main,
Mon coeur a connu tellement de déceptions ...
J'ai envoyé mon propre Fils parmi les humains
Pour qu'entre nous il y ait réconciliation !
J'entends encore son cri donnant sa vie...!
Ceux que j'aimais m'ont rejeté loin d'eux,
Pour des dieux cruels qu'ils ont servis.
Aux yeux de beaucoup, je n'existe pas vraiment,
Et l'on m'accuse de tout le mal qu'ils se font !
Je n'ai jamais souhaité les pleurs des innocents,
Je ne veux que le rire et l'amour dans les maisons".
"Quant à toi, je ne t'abandonnerai pas,
Je ne te laisserai rien endurer sans mon soutien.
Je serai toujours là pour guider tes pas,
Aussi longtemps que tu prendras ma main.
Mon Royaume est pour ceux, qui jusqu'au bout, en moi espèrent,
Je suis Jéhovah ! Mon amour et ma justice sont éternels !
J'entends les clameurs tout autour de la terre,
Comme j'entendais les appels de Job mon serviteur fidèle.
Souviens-toi de lui, qui ne discernait pas les raisons.
Et que même dans la plus sombre tourmente,
Il ne m'a pas fait défection.
Toi tu connais ces raisons, même si tu te lamentes,
Sois joyeux, malgré tout, car tu portes mon Nom.
Continue de prêcher et d'endurer l'opposition.
Et quand tu t'épuises, serre ma main plus fort.
Je te guiderai, aie confiance! Reste près de moi!
La fin est si proche ... Ne me tourne pas le dos..."