http://www.itl-usa.org/fr/topics/atonement.html
Kaffâra - La Rédemption
La Bible et le Coran citent tous les deux la Kaffâra – qui peut être traduite par rachat, expiation, rançon ou rédemption; cependant c’est la Bible qui fournit l’étude la plus complète sur le sujet. La promesse que Dieu accorderait la Kaffâra – la rédemption – à son peuple est mentionnée plusieurs fois dans le Coran, mais sans en expliquer le mécanisme. Le Coran dit que Allah fera l’expiation pour les mauvaises actions (Sourate 65:5; 29:7; 5:45, 65, 89, etc.), mais cela implique cependant que les bonnes oeuvres des croyants ont un rôle à jouer (Sourate 11:114). Toutefois, il n’y a aucun moyen de savoir si l’expiation a été faite ou non. D’autre part le Coran déclare** (Sourate 3:129; 11:118; 14:4; 16:93; 19:71, 72). Les traditions musulmanes disent que Dieu a déjà créé certaines personnes pour l’enfer et d’autres pour le paradis. On prétend que Mahomet dit:
"‘Dieu créa Adam, puis il passa sa main droite sur son dos et il fit naître sa descendance en disant: ‘J’ai créé ceux-ci pour le paradis et ils feront les oeuvres de ceux qui vont au paradis.’ Puis il passa sa main sur son dos et fit naître sa descendance en disant: ‘J’ai créé ceux-ci pour l’enfer et ils feront les oeuvres de ceux qui vont en enfer.’" (Mishkat Al-Masabih, Vol. I, p.116)
Le point de vue biblique sur la rédemption
Dieu peut faire tout ce qui est dans sa volonté, mais s’il va pardonner le pécheur, étant un Dieu de justice, il doit pardonner avec justice. Par l’intermédiaire de Moïse, Dieu institua l’offrande par sacrifice d’animaux. Il les acceptait parce qu’ils symbolisaient le sacrifice auquel il allait pourvoir pour l’ensemble de l’humanité. La Bible insiste sur le fait que Dieu est juste et que sa justice exige la punition du pécheur. La seule façon de s’en sortir est ou bien la mort éternelle, ou bien la réconciliation par la rédemption.
La pratique des sacrifices pour couvrir le péché commença avec les premiers êtres humains, lorsqu’Adam et Eve désobéirent à Dieu et c’est Dieu qui couvrit leur nudité – une parabole en action de la rédemption (Genèse 4:4). Plus tard, Dieu n’accepta que le sacrifice d’Abel et non celui de Caïn. Lorsque nous étudions cette histoire dans la Bible et dans le Coran, nous voyons que l’on avait dû enseigner à la famille d’Adam une manière particulière pour s’approcher de Dieu (Genèse 4:4; Sourate 5:27-32). Les gens devaient se rendre compte que le résultat du péché est la mort. Mais, par la foi, on pouvait remettre une rançon (fidyah) ou faire un sacrifice pour racheter le pécheur. On peut considérer que le sacrifice se substitue au pécheur.
On en trouve une illustration dans l’histoire d’Abraham et de son fils (Genèse 22:1-14). Un autre exemple est l’agneau pascal. Après avoir envoyé de nombreux fléaux en Egypte, Dieu dit qu’il allait tuer tous les premiers-nés du pays. Cependant, Dieu dit à Moïse d’ordonner au peuple d’Israël de sacrifier un agneau et d’asperger de son sang les montants de la porte de leur maison. L’ange de Dieu passerait alors au dessus de chaque porte aspergée de sang et le premier-né se trouvant dans cette maison serait épargné. Dieu tint sa promesse et les premiers-nés d’Israël furent sauvés (Exode 12:1-42).
La rédemption et la Loi de Moïse
Dans la loi de Moïse qui se trouve dans le livre du Lévitique, Dieu révéla de quelle manière s’approcher de lui par le moyen des sacrifices. Il dit: ‘Sans effusion de sang il n’y a pas de pardon’ (Hébreux 9:22; Levitique 17:11). Moïse expliqua aux Israélites comment procéder aux sacrifices: le pécheur devait amener un animal parfait à la porte du temple de l’Eternel. Là il devait poser les mains sur lui, en transférant symboliquement ses péchés à l’animal. Ensuite il devait le tuer. Le prêtre aspergeait le sang au pied de l’autel et offrait le reste à Dieu sur l’autel. Dieu acceptait la mort de l’animal à la place de la mort du pécheur.
Jésus: Zabih-ullah, le sacrifice de Dieu
Comment un animal peut-il mourir pour un être humain, dont la valeur est beaucoup plus grande? L’animal n’enlève pas le péché; il est simplement un symbole annonçant ce qui allait arriver. Dieu permit une telle situation jusqu’à ce que le sacrifice parfait soit offert pour tous les péchés. Cette offrande serait valable pour les péchés de tous les gens, ceux qui étaient vivants, ceux qui étaient morts et ceux qui n’étaient pas encore nés. Après Moïse, Dieu envoya de nombreux prophètes pour annoncer ce grand sacrifice. L’un de ces prophètes était Esaïe. Il prononça une prophétie étonnante qui s’est accomplie des siècles plus tard, par la vie et la mort de Jésus qui a accompli le dessein de Dieu (Esaïe 52:12-15; 53:1-12).*
Jean-Baptiste, que les Musulmans connaissent sous le nom de Yahya, rendit ce témoignage: ‘Voici l’Agneau de Dieu, qui ôte le péché du monde!’ (Jean 1:29). Les Musulmans, cependant, rejettent Jésus comme rédempteur de substitution. Yusuf Ali, traducteur musulman et commentateur du Coran, fait les commentaires suivants: ‘Nous sommes totalement responsables de nos actes nous-mêmes: Nous ne pouvons pas en faire supporter les conséquences par quelqu-un d’autre. Personne ne peut racheter nos péchés à notre place.’ (Yusuf Ali, Le Saint Coran, texte, traduction et commentaire, p.339)
Cependant, ceci est en contradiction avec un passage du Coran, dans lequel nous voyons une vie substituée à une autre. Lorsqu’Abraham démontra sa bonne volonté pour offrir son fils en sacrifice (bien que le nom du fils ne soit pas mentionné dans le Coran, le récit est semblable à celui de la Bible), Dieu fournit un animal à sacrifier à la place du garçon. Il est rapporté que Dieu dit alors à Abraham: ‘*’ (Sourate 37:99-111).
D’habitude, les commentateurs musulmans nous précisent que le ‘sacrifice solennel’ était le bélier fourni par Dieu pour être sacrifié à la place du fils d’Abraham. Mais est-ce qu’un bélier peut être un ‘sacrifice solennel’ comparé au fils d’Abraham? Notez que ce fut le fils, et non Abraham, qui fut racheté par le bélier fourni par Dieu, de telle sorte que le ‘sacrifice solennel’ par lequel Abraham devait être racheté doit se référer à quelque autre sacrifice tout à fait essentiel offert par Dieu lui-même. Cela pose la question suivante: Est-ce que cela désignait un grand sacrifice à venir?
Dans le Coran, ces événements ne sont pas décrits en détail, mais ils se trouvent entièrement rapportés dans la Bible. Là, nous apprenons ce que fut le sacrifice, par lequel Dieu racheta non seulement Abraham, mais aussi tous ceux qui, comme Abraham, croient et sont fidèles. Jésus-Christ est celui qui fut fait sacrifice et rançon pour le monde entier. Jésus dit une fois: ‘Abraham, votre père, a tressailli de joie à la pensée de voir mon jour: il l’a vu, et il s’est réjoui’ (Jean 8:56). Parlant à nouveau de lui-même, il dit qu’il ‘est venu, non pour être servi, mais pour servir et donner sa vie comme la rançon de plusieurs’ (Matthieu 20:28). Jésus est présenté comme un sacrifice et une rançon dans la Torah, les Psaumes, et aussi dans les livres des prophètes. Là nous apprenons qu’à travers les âges, les gens ont attendu que Dieu les rachète de leurs péchés et de la mort éternelle par sa force toute-puissante. Alors, au moment choisi par Dieu, Jésus arriva pour remplir sa mission. Il se donna lui-même en rançon, en mourant sur la croix selon la volonté de Dieu et en ressuscitant le troisième jour . Avant son ascension, il dit à ses disciples: ‘C’est là ce que je vous disais lorsque j’étais encore avec vous, qu’il fallait que s’accomplît tout ce qui est écrit de moi dans la loi de Moïse, dans les prophètes et dans les psaumes’ (Luc 24:44).
L’histoire de la rédemption du péché ne se termine pas là. Elle ne signifie pas seulement la délivrance de la punition du péché. Jésus est devenu le médiateur. A travers lui, nous acquérons une pleine connaissance de Dieu et nous pouvons établir une relation véridique et forte avec lui. Les Ecritures chrétiennes peuvent nous en apprendre plus au sujet de la rédemption. Si vous voulez en avoir un exemplaire en français, veuillez prendre contact avec nous
Pour compléter voici ce que mentionne la sainte Bible au sujet de Jésus
Hébreux 9:5 C’est pourquoi, quand il entre dans le monde, il dit : “ ‘ Sacrifice et offrande, tu n’en as pas voulu, mais tu m’as préparé un corps. 6 Tu n’as pas agréé holocaustes et [sacrifice] pour le péché. ’ 7 Alors j’ai dit : ‘ Vois ! Je suis venu (dans le rouleau du livre il est écrit à mon sujet) pour faire ta volonté, ô Dieu ! ’ ” 8 Après avoir dit tout d’abord : “ Tu n’as pas voulu et tu n’as pas agréé sacrifices et offrandes et holocaustes et [sacrifice] pour le péché ” — [sacrifices] qui sont offerts selon la Loi —, 9 alors vraiment il dit : “ Vois ! Je suis venu pour faire ta volonté. ” Il supprime le premier pour qu’il puisse établir le second. 10 Par cette “ volonté ”-là, nous avons été sanctifiés grâce à l’offrande du corps de Jésus Christ une fois pour toutes
Kaffâra - La Rédemption
La Bible et le Coran citent tous les deux la Kaffâra – qui peut être traduite par rachat, expiation, rançon ou rédemption; cependant c’est la Bible qui fournit l’étude la plus complète sur le sujet. La promesse que Dieu accorderait la Kaffâra – la rédemption – à son peuple est mentionnée plusieurs fois dans le Coran, mais sans en expliquer le mécanisme. Le Coran dit que Allah fera l’expiation pour les mauvaises actions (Sourate 65:5; 29:7; 5:45, 65, 89, etc.), mais cela implique cependant que les bonnes oeuvres des croyants ont un rôle à jouer (Sourate 11:114). Toutefois, il n’y a aucun moyen de savoir si l’expiation a été faite ou non. D’autre part le Coran déclare** (Sourate 3:129; 11:118; 14:4; 16:93; 19:71, 72). Les traditions musulmanes disent que Dieu a déjà créé certaines personnes pour l’enfer et d’autres pour le paradis. On prétend que Mahomet dit:
"‘Dieu créa Adam, puis il passa sa main droite sur son dos et il fit naître sa descendance en disant: ‘J’ai créé ceux-ci pour le paradis et ils feront les oeuvres de ceux qui vont au paradis.’ Puis il passa sa main sur son dos et fit naître sa descendance en disant: ‘J’ai créé ceux-ci pour l’enfer et ils feront les oeuvres de ceux qui vont en enfer.’" (Mishkat Al-Masabih, Vol. I, p.116)
Le point de vue biblique sur la rédemption
Dieu peut faire tout ce qui est dans sa volonté, mais s’il va pardonner le pécheur, étant un Dieu de justice, il doit pardonner avec justice. Par l’intermédiaire de Moïse, Dieu institua l’offrande par sacrifice d’animaux. Il les acceptait parce qu’ils symbolisaient le sacrifice auquel il allait pourvoir pour l’ensemble de l’humanité. La Bible insiste sur le fait que Dieu est juste et que sa justice exige la punition du pécheur. La seule façon de s’en sortir est ou bien la mort éternelle, ou bien la réconciliation par la rédemption.
La pratique des sacrifices pour couvrir le péché commença avec les premiers êtres humains, lorsqu’Adam et Eve désobéirent à Dieu et c’est Dieu qui couvrit leur nudité – une parabole en action de la rédemption (Genèse 4:4). Plus tard, Dieu n’accepta que le sacrifice d’Abel et non celui de Caïn. Lorsque nous étudions cette histoire dans la Bible et dans le Coran, nous voyons que l’on avait dû enseigner à la famille d’Adam une manière particulière pour s’approcher de Dieu (Genèse 4:4; Sourate 5:27-32). Les gens devaient se rendre compte que le résultat du péché est la mort. Mais, par la foi, on pouvait remettre une rançon (fidyah) ou faire un sacrifice pour racheter le pécheur. On peut considérer que le sacrifice se substitue au pécheur.
On en trouve une illustration dans l’histoire d’Abraham et de son fils (Genèse 22:1-14). Un autre exemple est l’agneau pascal. Après avoir envoyé de nombreux fléaux en Egypte, Dieu dit qu’il allait tuer tous les premiers-nés du pays. Cependant, Dieu dit à Moïse d’ordonner au peuple d’Israël de sacrifier un agneau et d’asperger de son sang les montants de la porte de leur maison. L’ange de Dieu passerait alors au dessus de chaque porte aspergée de sang et le premier-né se trouvant dans cette maison serait épargné. Dieu tint sa promesse et les premiers-nés d’Israël furent sauvés (Exode 12:1-42).
La rédemption et la Loi de Moïse
Dans la loi de Moïse qui se trouve dans le livre du Lévitique, Dieu révéla de quelle manière s’approcher de lui par le moyen des sacrifices. Il dit: ‘Sans effusion de sang il n’y a pas de pardon’ (Hébreux 9:22; Levitique 17:11). Moïse expliqua aux Israélites comment procéder aux sacrifices: le pécheur devait amener un animal parfait à la porte du temple de l’Eternel. Là il devait poser les mains sur lui, en transférant symboliquement ses péchés à l’animal. Ensuite il devait le tuer. Le prêtre aspergeait le sang au pied de l’autel et offrait le reste à Dieu sur l’autel. Dieu acceptait la mort de l’animal à la place de la mort du pécheur.
Jésus: Zabih-ullah, le sacrifice de Dieu
Comment un animal peut-il mourir pour un être humain, dont la valeur est beaucoup plus grande? L’animal n’enlève pas le péché; il est simplement un symbole annonçant ce qui allait arriver. Dieu permit une telle situation jusqu’à ce que le sacrifice parfait soit offert pour tous les péchés. Cette offrande serait valable pour les péchés de tous les gens, ceux qui étaient vivants, ceux qui étaient morts et ceux qui n’étaient pas encore nés. Après Moïse, Dieu envoya de nombreux prophètes pour annoncer ce grand sacrifice. L’un de ces prophètes était Esaïe. Il prononça une prophétie étonnante qui s’est accomplie des siècles plus tard, par la vie et la mort de Jésus qui a accompli le dessein de Dieu (Esaïe 52:12-15; 53:1-12).*
Jean-Baptiste, que les Musulmans connaissent sous le nom de Yahya, rendit ce témoignage: ‘Voici l’Agneau de Dieu, qui ôte le péché du monde!’ (Jean 1:29). Les Musulmans, cependant, rejettent Jésus comme rédempteur de substitution. Yusuf Ali, traducteur musulman et commentateur du Coran, fait les commentaires suivants: ‘Nous sommes totalement responsables de nos actes nous-mêmes: Nous ne pouvons pas en faire supporter les conséquences par quelqu-un d’autre. Personne ne peut racheter nos péchés à notre place.’ (Yusuf Ali, Le Saint Coran, texte, traduction et commentaire, p.339)
Cependant, ceci est en contradiction avec un passage du Coran, dans lequel nous voyons une vie substituée à une autre. Lorsqu’Abraham démontra sa bonne volonté pour offrir son fils en sacrifice (bien que le nom du fils ne soit pas mentionné dans le Coran, le récit est semblable à celui de la Bible), Dieu fournit un animal à sacrifier à la place du garçon. Il est rapporté que Dieu dit alors à Abraham: ‘*’ (Sourate 37:99-111).
D’habitude, les commentateurs musulmans nous précisent que le ‘sacrifice solennel’ était le bélier fourni par Dieu pour être sacrifié à la place du fils d’Abraham. Mais est-ce qu’un bélier peut être un ‘sacrifice solennel’ comparé au fils d’Abraham? Notez que ce fut le fils, et non Abraham, qui fut racheté par le bélier fourni par Dieu, de telle sorte que le ‘sacrifice solennel’ par lequel Abraham devait être racheté doit se référer à quelque autre sacrifice tout à fait essentiel offert par Dieu lui-même. Cela pose la question suivante: Est-ce que cela désignait un grand sacrifice à venir?
Dans le Coran, ces événements ne sont pas décrits en détail, mais ils se trouvent entièrement rapportés dans la Bible. Là, nous apprenons ce que fut le sacrifice, par lequel Dieu racheta non seulement Abraham, mais aussi tous ceux qui, comme Abraham, croient et sont fidèles. Jésus-Christ est celui qui fut fait sacrifice et rançon pour le monde entier. Jésus dit une fois: ‘Abraham, votre père, a tressailli de joie à la pensée de voir mon jour: il l’a vu, et il s’est réjoui’ (Jean 8:56). Parlant à nouveau de lui-même, il dit qu’il ‘est venu, non pour être servi, mais pour servir et donner sa vie comme la rançon de plusieurs’ (Matthieu 20:28). Jésus est présenté comme un sacrifice et une rançon dans la Torah, les Psaumes, et aussi dans les livres des prophètes. Là nous apprenons qu’à travers les âges, les gens ont attendu que Dieu les rachète de leurs péchés et de la mort éternelle par sa force toute-puissante. Alors, au moment choisi par Dieu, Jésus arriva pour remplir sa mission. Il se donna lui-même en rançon, en mourant sur la croix selon la volonté de Dieu et en ressuscitant le troisième jour . Avant son ascension, il dit à ses disciples: ‘C’est là ce que je vous disais lorsque j’étais encore avec vous, qu’il fallait que s’accomplît tout ce qui est écrit de moi dans la loi de Moïse, dans les prophètes et dans les psaumes’ (Luc 24:44).
L’histoire de la rédemption du péché ne se termine pas là. Elle ne signifie pas seulement la délivrance de la punition du péché. Jésus est devenu le médiateur. A travers lui, nous acquérons une pleine connaissance de Dieu et nous pouvons établir une relation véridique et forte avec lui. Les Ecritures chrétiennes peuvent nous en apprendre plus au sujet de la rédemption. Si vous voulez en avoir un exemplaire en français, veuillez prendre contact avec nous
Pour compléter voici ce que mentionne la sainte Bible au sujet de Jésus
Hébreux 9:5 C’est pourquoi, quand il entre dans le monde, il dit : “ ‘ Sacrifice et offrande, tu n’en as pas voulu, mais tu m’as préparé un corps. 6 Tu n’as pas agréé holocaustes et [sacrifice] pour le péché. ’ 7 Alors j’ai dit : ‘ Vois ! Je suis venu (dans le rouleau du livre il est écrit à mon sujet) pour faire ta volonté, ô Dieu ! ’ ” 8 Après avoir dit tout d’abord : “ Tu n’as pas voulu et tu n’as pas agréé sacrifices et offrandes et holocaustes et [sacrifice] pour le péché ” — [sacrifices] qui sont offerts selon la Loi —, 9 alors vraiment il dit : “ Vois ! Je suis venu pour faire ta volonté. ” Il supprime le premier pour qu’il puisse établir le second. 10 Par cette “ volonté ”-là, nous avons été sanctifiés grâce à l’offrande du corps de Jésus Christ une fois pour toutes