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Les secrets-enfouis de la Bible

4 participants

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1Les secrets-enfouis de la Bible Empty Les secrets-enfouis de la Bible Sam 14 Avr - 11:45

Josué

Josué
Administrateur

Les secrets-enfouis de la Bible ce soir sur Arte (documentaire)
jordan Aujourd'hui à 11:29

http://www.programme-tv.net/programme/culture-infos/1898597-les-secrets-enfouis-de-la-bible/

Synopsis : Quand est né le judaïsme ? Quelles étaient les croyances des premiers Israélites ? Comment la Bible a-t-elle été écrite ? Ce documentaire confronte les investigations sur les textes religieux et les découvertes archéologiques en Terre sainte depuis la fin du XIXe siècle. A l'époque d'Abraham, il apparaît que la première religion monothéiste était loin d'être une entité cohérente. Ainsi, la plupart des Israélites ont longtemps adoré des dieux païens. Par ailleurs, nombre d'entre eux pensaient que Dieu avait une épouse, qui était elle-même une idole vénérée. Ce n'est qu'après la destruction de Jérusalem que les juifs, exilés à Babylone, ont commencé à concevoir l'existence d'un dieu unique et universel. Et c'est durant l'exil - entre 597 et 538 avant J.-C. - qu'ont été rédigés les cinq premiers livres de la Bible.

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olya



Hâte de voir ça , rediffusion dimanche à 13h55 ,merci pour cette info .

Josué

Josué
Administrateur

olya a écrit:Hâte de voir ça , rediffusion dimanche à 13h55 ,merci pour cette info .
par contre je ne savais pas pour la rediffusion.alors merci.

Josué

Josué
Administrateur

il y avait à boire et à mangé dans cette émission.une chose que j'ai retenu c'est que le carbone 14 pouvait avoir une marge d'erreur de 30 ans.30ans c'est par grand chose mais dans la chronologie ça peut changer beaucoup de chose notamment concernant la chute de Jérusalem.

olya



oui je n'ai pas compris le point de vue complètement arrêté d’Israël Finkelstein à ce sujet alors que soit disant d'autres chercheurs ont refait cette datation sans cette marge d'erreur qui remettait en cause le Royaume Davidique .

Josué

Josué
Administrateur

olya a écrit:oui je n'ai pas compris le point de vue complètement arrêté d’Israël Finkelstein à ce sujet alors que soit disant d'autres chercheurs ont refait cette datation sans cette marge d'erreur qui remettait en cause le Royaume Davidique .
tout a fait .donc faisons confiance en la bible plus qu'aux hommes .

Mikael

Mikael
MODERATEUR
MODERATEUR

A propos de La Bible Dévoilée :

'[i]Esprit & Vie n°67 / octobre 2002 - 1e quinzaine, p. 3-6.
www.esprit-et-vie.com

Sous le titre «La Bible dévoilée», sous-titrée Les nouvelles révélations de l'archéologie, le public francophone a désormais accès à un livre publié d'abord aux États-Unis et intitulé The Bible Unearthed. Deux auteurs sont responsables de cet ouvrage : Israël FINKELSTEIN, professeur à l'Université de Tel-Aviv et directeur de l'Institut d'archéologie de cette université, connu par ses fouilles à Izbet Sartah, Silo et Megiddo, et Neil Asher SILBERMAN, journaliste scientifique pas-sionné par l'archéologie [1].
La thèse principale de ces deux auteurs est assez simple : les données archéologiques permettent d'affirmer que la rédaction de la Bible ne s'est faite que sous le roi Josias (VIIe siècle av. J.-C.), et que la présentation, que fait la Bible de l'histoire du peuple d'Israël, ne relève pas de l'histoire pour les périodes antérieures au VIIe siècle. La Bible est ainsi passée au crible de la seule recherche archéologique, ce qui ne manque pas de faire question.
Le plan de l'ouvrage
Trois parties composent l'ouvrage. La première partie, intitulée L'historicité de la Bible, met en doute la valeur historique de ce qui est raconté, depuis la venue d'Abraham en Canaan jusqu'au règne de Salomon inclus. La deuxième partie est consacrée à l'émergence et à la chute de l'ancien Israël, c'est-à-dire à l'histoire du royaume d'Israël, depuis la mort de Salomon jusqu'à la conquête de Samarie, capitale du royaume, par les Assyriens en 722. La troisième partie a pour titre : Juda et la création de l'histoire biblique. Après la disparition du royaume d'Israël, seul subsiste le petit royaume de Juda dont l'histoire est marquée par la réforme du roi Josias (640-609). C'est ce roi qui, sous l'influence du Deutéronome, serait le responsable principal de la présentation du passé d'Israël.
Pour être complet, signalons que le livre s'achève sur une série de sept appendices destinés à préciser certains points traités plus rapidement dans le corps de l'ouvrage.
L'historicité de la Bible
Sous ce titre, la première partie de l'ouvrage présente un examen critique du texte biblique du point de vue de sa valeur historique. Le traitement de ce qu'on peut appeler la « préhistoire » d'Israël obéit à un même schéma : présentation du texte biblique, incohérence de celui-ci, par rapport aux données archéologiques et historiques, proposition d'une datation du texte plus conforme aux données actuellement connues.
Ainsi, à propos des patriarches, les auteurs commencent par offrir un tableau qui ne fait que
reprendre le récit de la Genèse, puis ils amorcent une critique de la datation des patriarches, en sou-lignant quelques incohérences, comme la présence de chameaux en Gn 37, 25. L'utilisation de Gn 14, texte fort discuté depuis longtemps, ne manque pas de faire problème dans cette présentation.
Faute de proposer une lecture des textes, selon les règles de l'exégèse, le lecteur se trouve devant des remarques qui sont souvent justes, mais qui font oublier l'essentiel. Pourquoi et quand ces textes ont-ils été écrits ? Depuis fort longtemps, on sait que les récits qui mettent en scène les patriarches sont d' époques différentes, et que la mis e en success ion d' Abraham, I saac et Jacob/Israël, date d'une période où le peuple d'Israël est déjà constitué. Déjà en 1971, R. DE VAUX reconnaissait, au terme d'une longue enquête, que c'est seulement, en termes généraux que l'on peut parler d'une « époque des Patriarches », dont il n'est pas possible de dater exactement, ni le début, ni la fin (Histoire ancienne d'Israël, Paris, Éd. Gabalda, p. 253).

La question essentielle est de savoir pourquoi la Bible recueille une tradition patriarcale. Mettre en doute l'existence des patriarches offre peu d'intérêt ; en fait, nos auteurs sont enclins à y voir « des êtres vivants ». Mais le plus important est de découvrir que les patriarches sont porteurs d'une promesse qui continue à valoir, au long de l'histoire du peuple, ce qui n'est pas sans signification. Seule la lecture du texte permet de découvrir cette fonction et l'archéologie n'est ici d'aucun secours.
La séquence consacrée à l'Exode et à son contexte historique fait l'objet d'une question : l'Exode a-t-il eu lieu ? Il est vrai que, sur ce point, la riche histoire de l'Égypte n'offre guère de données sûres pour dater l'Exode. La présentation biblique de l'événement laisse parfois rêveur quand le nombre de ceux qui quittent l'Égypte se monte à plus de six cent mille personnes (Ex 38, 26). L'Exode est lié à Moïse, et à un petit nombre de gens, mais doit-on fixer la date de rédaction du texte biblique au VIIe siècle av. J.-C. ? Ce qui est certain, et nos auteurs le reconnaissent, c'est qu'il existait une tradition sur Moise et l'Exode qui était connue du prophète Osée, donc au VIIIe siècle av. J.-C., lorsque celui-ci affirme, opposant Jacob à Moïse : « par un prophète le Seigneur fit monter Israël d'Égypte, et par un prophète il fut gardé » (Os 12, 14). Il est donc difficile d'affirmer, en même temps, que « l'Exode d'Israël, hors d'Égypte, n'est pas une vérité historique et qu'elle n'est pas non plus une fiction littéraire » (p. 90). Si l'on prend le récit d'Ex 14, il est certain que celui-ci est écrit après coup et qu'il recueille, pour en faire la synthèse, deux récits indépendants mettant en scène, soit Dieu comme acteur principal, soit Dieu et Moïse, selon une autre forme du récit. Le texte s'offre
à nous, non pas d'abord comme un récit historique selon nos critères modernes, mais comme un récit destiné à susciter une réponse de foi de la part du peuple (Ex 14, 31). Ici comme ailleurs, on veut obtenir une vérité historique qui n'est pas le but principal du texte, mais alors, on lui impose des critères qui sont les nôtres, mais non pas ceux du texte qu'il faut accepter de lire avec ses limites.
Sur la conquête de Canaan, nos deux auteurs ont beau jeu de souligner les difficultés du texte
biblique. Il est certain que le tableau que nous offre le livre de Josué (chap. 3 à 12), différent de celui de Jg 1, est très schématique, mais ce schématisme même doit éveiller l'attention du lecteur. Il est trop facile de décrire Josué comme « un général remarquable, particulièrement doué pour la surprise tactique » (p. 92), alors que l'on sait que ni Jéricho, ni Aï n'ont fait l'objet d'une conquête militaire au témoignage même de l'archéologie. Une fois cela reconnu, et nos auteurs l'affirment avec force, il reste à comprendre le texte biblique qui doit faire l'objet d'une étude rigoureuse. Peut-on faire de Jos 6 un récit de conquête militaire ?
Plusieurs données du texte résistent à cette lecture que l'on continue à faire, comme si les fouilles archéologiques à Tell es-Sultan, le site de Jéricho, n'avaient pas eu lieu sans avoir mis au jour une occupation du site entre 1300 et 1100. De manière plus générale, peut-on comprendre ce qui a poussé le rédacteur principal du livre de Josué à présenter une vision aussi schématique de la conquête du pays, lors de l'installation des tribus ? Tant que l'on n'aura pas répondu à cette question, il sera impossible de se prononcer sur l'historicité de cette conquête. Soutenir que la figure du roi Josias se cache derrière le masque de Josué (p. 117) ne suffit pas à expliquer le livre de Josué, car le royaume d'Israël avait déjà disparu en 722 av. J.-C., donc bien avant le règne de Josias. En réalité, dès le VIIIe siècle, la possession de la terre était mise en question par les conquêtes assyriennes.
Dans un nouveau chapitre intitulé : Qui étaient les Israélites ?, I. FINKELSTEIN aborde une question qui lui tient à coeur, depuis les fouilles qu'il a entreprises sur le site de Izbet Sartah. En effet, si on ne se laisse pas prendre par une vision trop simpliste à l'égard de l'installation des tribus, la question se pose de savoir d'où viennent les Israélites. Sur ce point, différentes hypothèses ont été émises, depuis 1920, pour tenter de comprendre l'implantation des groupes humains au Fer l dans la région des collines : on a ainsi parlé d'infiltration pacifique de semi-nomades, éleveurs de petit bétail, s'installant peu à peu dans la zone montagneuse de Canaan, plus précisément d'une révolte sociale amenant les paysans cananéens à se réfugier dans cette même région, pour échapper au pouvoir des centres urbains. Aujourd'hui, grâce aux résultats de l'archéologie régionale, la multi-plication des villages autour de 1200 av. J.-C. révèle une transformation de l'occupation humaine dans la région montagneuse qui constitue le centre de Canaan. C'est donc une vision archéologique renouvelée de l'occupation de Fer l (1200-1000) que propose I. FINKELSTEIN, à la suite de plusieurs explorations archéologiques régionales. La conclusion est claire : « Les premiers Israélites seraient apparus aux alentours de 1200 av. J.-C. Ils vivaient dans les collines, où ils menaient une existence de fermiers et d'éleveurs. Leur culture matérielle, très simple, était caractéristique d'une économie de subsistance » (p. 134).'

samuel

samuel
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Il y a à boire et a mangé dans son livre.

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