Par un seul homme le péché est entré dans le monde et par le péché la mort, et [...] la mort s’est étendue à tous les hommes parce que tous avaient péché. — Rom. 5:12.
Le péché touche 100 % des humains (Rom. 3:23). Et aucun n’en réchappe ; Paul a bien précisé que le péché entraîne la mort de “ tous les hommes ” ! Aujourd’hui, beaucoup ont tendance à relativiser le péché et la mort. Ils font tout pour éviter une mort prématurée, mais ils qualifient de “ naturelle ” la mort causée par le vieillissement. Les humains oublient un peu trop facilement ce que le Créateur avait prévu au départ. Notre vie devait être infiniment plus longue. Et pourtant, du point de vue de Dieu, aucun homme n’a vécu ne serait-ce qu’“ un jour ”. (2 Pierre 3:8.) La Bible affirme d’ailleurs que notre vie est aussi éphémère que le souffle de la respiration ou que l’herbe qui ne dure qu’une saison (Ps. 39:5, Traduction Œcuménique de la Bible ; 1 Pierre 1:24). Nous avons tout intérêt à nous souvenir du dessein de Dieu. En effet, si nous comprenons la gravité de la “ maladie ” qui nous affecte, nous n’en apprécierons que davantage le “ remède ” qui s’offre à nous, notre délivrance. w09 15/9 5:3, 4.
Le péché touche 100 % des humains (Rom. 3:23). Et aucun n’en réchappe ; Paul a bien précisé que le péché entraîne la mort de “ tous les hommes ” ! Aujourd’hui, beaucoup ont tendance à relativiser le péché et la mort. Ils font tout pour éviter une mort prématurée, mais ils qualifient de “ naturelle ” la mort causée par le vieillissement. Les humains oublient un peu trop facilement ce que le Créateur avait prévu au départ. Notre vie devait être infiniment plus longue. Et pourtant, du point de vue de Dieu, aucun homme n’a vécu ne serait-ce qu’“ un jour ”. (2 Pierre 3:8.) La Bible affirme d’ailleurs que notre vie est aussi éphémère que le souffle de la respiration ou que l’herbe qui ne dure qu’une saison (Ps. 39:5, Traduction Œcuménique de la Bible ; 1 Pierre 1:24). Nous avons tout intérêt à nous souvenir du dessein de Dieu. En effet, si nous comprenons la gravité de la “ maladie ” qui nous affecte, nous n’en apprécierons que davantage le “ remède ” qui s’offre à nous, notre délivrance. w09 15/9 5:3, 4.