Je ne comprends pas, mais vraiment pas. Il n'y a rien à comprendre.
Je songe aux mouvements féministes qui réclament haut et fort le droit des femmes, l'égalité avec l'homme, le droit de décider pour leur corps, le fait qu'ils sont mère en dedans d'eux, et d'autres part, ces mouvements luttent pour l'avortement.
Comment d'un côté une femme peut-elle dire qu'un bébé est si innocent et ceux qui s'en prennent à eux sont des monstres cruels, tandis que dans leur propre ventre grandi un bébé juste pas assez développé pour exprimer quoi que ce soit. Malgré leur grande innocence et leur grande vulnérabilité, certaines femmes n'hésitent pas à avorter, comme s'il s'agissait d'un vulgaire ménage, du nettoyage tandis qu'en fait, elles s'en prennent à des enfants trop jeune pour avoir des droits.
Et puis les droits et les responsabilités, ne sont-elles pas là ? Quand on parle des femmes violé, c'est triste et on a compassion pour elle, mais l'enfant lui, il n'y est pour rien dans toute cette histoire.
Il me semble que le début dans l'histoire d'un avortement serait de consulté un médecin spécialiste qui vérifierait le bien fondé de l'avortement en évaluant les capacités physiques seulement. Pour le reste, il existe assez de béquilles pour ne pas assassiner. Pour Jéhovah, de toute façon, la position est claire : pas d'avortement.
Ce côté si doux des féministes qui décrivent l'homme comme un oppresseur oublient qu'elles font aussi un action de cruauté et sont oppresseurs à leur façon.
Je songe aux mouvements féministes qui réclament haut et fort le droit des femmes, l'égalité avec l'homme, le droit de décider pour leur corps, le fait qu'ils sont mère en dedans d'eux, et d'autres part, ces mouvements luttent pour l'avortement.
Comment d'un côté une femme peut-elle dire qu'un bébé est si innocent et ceux qui s'en prennent à eux sont des monstres cruels, tandis que dans leur propre ventre grandi un bébé juste pas assez développé pour exprimer quoi que ce soit. Malgré leur grande innocence et leur grande vulnérabilité, certaines femmes n'hésitent pas à avorter, comme s'il s'agissait d'un vulgaire ménage, du nettoyage tandis qu'en fait, elles s'en prennent à des enfants trop jeune pour avoir des droits.
Et puis les droits et les responsabilités, ne sont-elles pas là ? Quand on parle des femmes violé, c'est triste et on a compassion pour elle, mais l'enfant lui, il n'y est pour rien dans toute cette histoire.
Il me semble que le début dans l'histoire d'un avortement serait de consulté un médecin spécialiste qui vérifierait le bien fondé de l'avortement en évaluant les capacités physiques seulement. Pour le reste, il existe assez de béquilles pour ne pas assassiner. Pour Jéhovah, de toute façon, la position est claire : pas d'avortement.
Ce côté si doux des féministes qui décrivent l'homme comme un oppresseur oublient qu'elles font aussi un action de cruauté et sont oppresseurs à leur façon.