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Avortement, un droit de tuer ?

5 participants

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1Avortement, un droit de tuer ? Empty Avortement, un droit de tuer ? Ven 30 Déc - 5:22

Yirmeyah Jérémie

Yirmeyah Jérémie

Je ne comprends pas, mais vraiment pas. Il n'y a rien à comprendre.

Je songe aux mouvements féministes qui réclament haut et fort le droit des femmes, l'égalité avec l'homme, le droit de décider pour leur corps, le fait qu'ils sont mère en dedans d'eux, et d'autres part, ces mouvements luttent pour l'avortement.

Comment d'un côté une femme peut-elle dire qu'un bébé est si innocent et ceux qui s'en prennent à eux sont des monstres cruels, tandis que dans leur propre ventre grandi un bébé juste pas assez développé pour exprimer quoi que ce soit. Malgré leur grande innocence et leur grande vulnérabilité, certaines femmes n'hésitent pas à avorter, comme s'il s'agissait d'un vulgaire ménage, du nettoyage tandis qu'en fait, elles s'en prennent à des enfants trop jeune pour avoir des droits.

Et puis les droits et les responsabilités, ne sont-elles pas là ? Quand on parle des femmes violé, c'est triste et on a compassion pour elle, mais l'enfant lui, il n'y est pour rien dans toute cette histoire.

Il me semble que le début dans l'histoire d'un avortement serait de consulté un médecin spécialiste qui vérifierait le bien fondé de l'avortement en évaluant les capacités physiques seulement. Pour le reste, il existe assez de béquilles pour ne pas assassiner. Pour Jéhovah, de toute façon, la position est claire : pas d'avortement.

Ce côté si doux des féministes qui décrivent l'homme comme un oppresseur oublient qu'elles font aussi un action de cruauté et sont oppresseurs à leur façon.

http://communautetjfrancoph.forum-canada.com/

Josué

Josué
Administrateur

le comble c'est que ses extrémistes n'hésitent pas à tuer des personnes .

Yirmeyah Jérémie

Yirmeyah Jérémie

Leur propre est de pointer les hommes et leur défauts mais d'oublier les leurs. Comme quoi, homme ou femme, nous sommes les mêmes.

http://communautetjfrancoph.forum-canada.com/

Invité


Invité

Il y a des exceptions à l'avortement.

Josué

Josué
Administrateur

pschitt a écrit:Il y a des exceptions à l'avortement.
la bible n'en parle pas en tout cas!

Invité


Invité

C'est sûr, avant, certains mots n'existaient pas. Il n'y avait pas les mêmes lois, et puis tout était parfait. Les enfants qui naissaient été t'ils des enfants désirés ? Cela reste moins sûr.

Josué

Josué
Administrateur

pschitt a écrit:C'est sûr, avant, certains mots n'existaient pas. Il n'y avait pas les mêmes lois, et puis tout était parfait. Les enfants qui naissaient été t'ils des enfants désirés ? Cela reste moins sûr.
Mais c'est pas une histoire de mots mais de principe s directeurs sur la vie.

Yirmeyah Jérémie

Yirmeyah Jérémie

Josué a écrit:
pschitt a écrit:C'est sûr, avant, certains mots n'existaient pas. Il n'y avait pas les mêmes lois, et puis tout était parfait. Les enfants qui naissaient été t'ils des enfants désirés ? Cela reste moins sûr.
Mais c'est pas une histoire de mots mais de principe s directeurs sur la vie.

Non, la Bible parle de peine de mort à celui qui provoquer un avortement dans un contexte ou deux hommes se battent, et c'est la seule référence à un avortement. Si Jéhovah voulait permettre l'avortement, il n'aurait pas omis de parler des autres situation. De plus ce passage fait ressortir l'amour pour le bébé à naître. Si jamais le bébé naissait et était vivant, l'homme qui avait frappé la femme devait payer une lourde dette au lieu de mourir. Donc ici Jéhovah applique le principe : oeil pour oeil, dent pour dent, et donc une vie pour une vie.

http://communautetjfrancoph.forum-canada.com/

VENT

VENT
MODERATEUR
MODERATEUR

Yirmeyah a écrit:
Il me semble que le début dans l'histoire d'un avortement serait de consulté un médecin spécialiste qui vérifierait le bien fondé de l'avortement en évaluant les capacités physiques seulement.

Que veux-tu dire par là Yrmeya ?

Que le médecin est seul compétent pour décider si l'avortement est justifié si les capacités physiques ou mentales de l'enfants son dégradé ?

Josué

Josué
Administrateur

*** g93 22/5 p. 3-5 Le dilemme de l’avortement: 60 millions de meurtres sont-ils la solution? ***
Le dilemme de l’avortement: 60 millions de meurtres sont-ils la solution?
DÉROUTÉE, effrayée et en larmes, une adolescente de 15 ans regarde son petit ami s’éloigner, dégoûté. Il vient de la traiter d’imbécile parce qu’elle est enceinte. Elle pensait qu’ils s’aimaient.
À son plus grand désespoir, une femme apprend qu’elle attend son sixième enfant. Son mari n’a pas de travail, et sa petite famille va se coucher tous les soirs le ventre creux. Comment peuvent-ils nourrir un enfant de plus?
“Cela ne pouvait pas tomber plus mal”, explique à son docteur une femme élégamment vêtue. Elle vient de décrocher son diplôme d’ingénieur et est sur le point d’entamer une nouvelle carrière. Quant à son mari, il est entièrement absorbé par son travail d’avocat. Où trouveraient-ils le temps de s’occuper d’un enfant?
Ces personnes ont des modes de vie très différents et ne rencontrent pas les mêmes difficultés. Mais elles choisissent la même solution: l’avortement.
L’avortement est l’un des dossiers les plus brûlants de ces dix dernières années. Il suscite de violents débats dans les domaines politique, social, médical et théologique. Aux États-Unis, les adversaires de l’avortement manifestent pour les droits de l’enfant. Ses défenseurs, eux, invoquent les principes de la liberté et du droit de la femme à décider. Les deux camps s’affrontent lors des élections, devant les tribunaux, dans les églises, voire dans la rue.
Des millions de personnes sont prises entre deux feux, écartelées dans la controverse passionnée qui oppose les deux parties. Les termes eux-mêmes (“pour le choix” et “pour la vie”) ont été soigneusement choisis pour séduire les indécis. En cette époque où l’on idolâtre la liberté, qui n’inclinerait pas pour le droit de choisir? Mais, inversement, qui ne pencherait pas pour le droit à la vie? Les uns brandissent des tiges de métal comme symbole des femmes opprimées qui meurent lors d’avortements illégaux. Les autres brandissent des bocaux de fœtus pour évoquer les millions d’enfants qui n’ont jamais vu le jour.
Laurence Tribe résume très bien la tragédie dans son livre Avortement: le choc des absolus (angl.): “Beaucoup de ceux qui sont prompts à reconnaître dans le fœtus un humain à part entière, qui lui attachent un grand prix et qui versent des larmes oublient cet autre humain qui le porte et sa situation critique. (...) Beaucoup d’autres, qui pensent avant tout à la femme et à son corps, qui réclament à cor et à cri le droit de celle-ci à disposer d’elle-même, ne pensent guère au fœtus qu’elle abrite et ne le considèrent pas comme un véritable être vivant.”
Pendant que cette guerre continue de faire rage, 50 à 60 millions de fœtus seront cette année encore immolés sur l’autel des droits.
Quelle est votre position sur ce sujet délicat? Que répondriez-vous à ces questions essentielles: la femme a-t-elle fondamentalement le droit de décider? L’avortement se justifie-t-il, quel que soit le cas? Quand la vie commence-t-elle? Enfin, la question la plus importante, bien que rarement posée: Comment le Créateur de la vie et de la maternité considère-t-il l’avortement?
L’avortement est une pratique ancienne. Dans la Rome et la Grèce antiques, elle était courante. Dans l’Europe du Moyen Âge et de la Renaissance, elle était permise tant que la mère ne sentait pas le fœtus remuer dans son ventre. Puis vint la révolution sexuelle et ses conséquences: des millions de grossesses non désirées.
Les années 60 ont vu l’émergence du mouvement féministe, dont ce que l’on a appelé le droit à disposer de son corps est une pierre de fondement. Certains réclament à cor et à cri le droit d’avorter pour les femmes victimes de viol ou d’inceste, ou lorsque la santé de la mère est en danger. Les techniques médicales permettent aujourd’hui de détecter d’éventuelles malformations congénitales et de connaître le sexe du bébé avant sa naissance. Des grossesses sont interrompues sur simple diagnostic pessimiste d’un médecin. Quant aux femmes de plus de 40 ans, certaines redoutent de mettre au monde un enfant anormal.
Dans les pays pauvres, de nombreuses femmes qui n’ont guère accès aux méthodes contraceptives estiment ne pas pouvoir nourrir un enfant de plus. D’autres donnent au libre choix la définition la plus large et choisissent d’avorter parce qu’elles jugent que la grossesse tombe à un mauvais moment ou, apprenant le sexe de l’enfant, elles n’en veulent pas.
Quand la vie commence-t-elle? C’est souvent autour de cette question qu’ont lieu les affrontements. Rares sont ceux qui nieront que l’ovule fécondé est une cellule vivante. La question porte plutôt sur ce qu’est cette vie: un simple tissu ou un humain? Un gland est-il un chêne? Pareillement, un fœtus est-il une personne? A-t-il des droits? La guerre des mots est sans fin. Comble de l’ironie, dans un même hôpital des médecins feront tout pour sauver la vie d’un prématuré tandis qu’ils interrompront la vie d’un fœtus du même âge. La loi leur permet de tuer un bébé dans le ventre de sa mère, alors que ce serait un meurtre hors du ventre.
Les plus combatives à défendre l’avortement légal sont ces femmes “libérées” qui ont plein accès aux méthodes contraceptives. Elles revendiquent avec véhémence ce qu’elles appellent le droit à disposer de leur corps, alors qu’elles font déjà librement usage de leurs facultés de conception et de reproduction. Ce qu’elles désirent, en réalité, c’est le droit d’interrompre la reproduction. “C’est mon corps!” disent-elles pour se justifier. Mais l’est-ce vraiment?
On lit dans le Guide de l’avortement (angl.) que, dans les 12 premières semaines de la grossesse, “le minuscule morceau de tissus à l’état gélatineux est très facile à ôter”. Peut-on à bon droit considérer l’avortement comme l’“ablation d’une boule de tissus” ou l’“interruption du fruit de la conception”? Ces expressions tout miel n’ont-elles pas plutôt été forgées pour adoucir le goût amer de la vérité et apaiser les consciences troublées?
Ce morceau de tissus indésirable est en réalité un être vivant en plein épanouissement, doté de chromosomes bien à lui. Ces chromosomes, telle une autobiographie prophétique, racontent en détail l’histoire d’un individu comme il n’en existe pas deux. A. Liley, chercheur renommé en fœtologie, explique: “Du point de vue biologique, à aucun stade on ne peut souscrire à l’idée selon laquelle le fœtus est un simple appendice de la mère. La mère et le bébé sont deux individus génétiquement distincts depuis la conception.”

Yirmeyah Jérémie

Yirmeyah Jérémie

VENT a écrit:
Yirmeyah a écrit:
Il me semble que le début dans l'histoire d'un avortement serait de consulté un médecin spécialiste qui vérifierait le bien fondé de l'avortement en évaluant les capacités physiques seulement.

Que veux-tu dire par là Yrmeya ?

Que le médecin est seul compétent pour décider si l'avortement est justifié si les capacités physiques ou mentales de l'enfants son dégradé ?

Non, les capacités physiques de la femme, et seulement physique. Il y a une forme d'avortement qui est laissé à la conscience de chacun et c'est dans le cas où la naissance mettra fin aux deux vies de façon certaine. Les conséquences mentales ou sociales ne sont pas à considérer, car il existe maints et maints possibilités de ne pas garder l'enfant et un crime, ou un drame, même si horrible, reste que cela est une réalité de notre monde et qu'un enfant n'a pas à payer pour cela.

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Jacqueline_12



Bonjour,
Il semble qu'il n'y ait que des hommes, qui parlent ?

Josué citant g93 22/5 p. 3-5 :
Avortement, un droit de tuer ? Avorte13

On parle de l'avortement dans la Bible, comme il a été dit, lorsqu'un homme frappe une femme et fait mourir l'enfant qu'elle porte.

On ne parle pas de l'enfant né d'un viol dans la Bible, ou de la femme portant l'enfant d'un viol dans son ventre. Est-ce parce que les femmes étaient moins sensibles que nous le sommes ? Ou plus écrasées par les hommes (car il fallait que la femme violée crie très fort !) ? Ou plus ( + ) en contact avec la vie des animaux qui se montent dessus même s'ils ne sont pas en couple ?

De nos jours, les viols sont ressentis de façon diverses. Et si un enfant devait grandir dans le ventre d'une femme violée, comment le ressentirait-elle ? En réalité, pas par lavage de cerveau ? Que ce lavage de cerveau vienne de la société où elle vit, ou de sa religion ? Même si elle aime Jéhovah ? Oui, Jéhovah et la communauté des frères et sœurs peuvent aider une maman a supporter le fruit d'un viol et tant mieux pour la maman. Mais si cette femme est trop perturbée par ce viol et ne supporte pas l'idée de sentir grandir cet enfant dans son ventre, est-elle condamnable ?

Perso, je suis contre l'avortement qui serait une sorte de contraception. Et je militerai toujours contre les IVG faits par confort. Mais s'il y a souffrance mentale trop forte ?


Comment peut-on dire Yirmeyah : Peu importe les conséquences mentales ? Avortement, un droit de tuer ? Avorte11

Si l'enfant est le fruit d'un rapport sexuel consenti et non protégé, ou mal protégé, là oui, je pense que la femme responsable se doit d'assumer car les aides financières sont présentes. Et il existe des foyers maternels, ou des solutions matérielles. Mais s'il y a danger sur le plan mental, on ne peut pas se permettre d'être intransigeant !

Dans le cas d'un viol : Qu'ont prévu les médecins pour que cette horreur puisse être supportée ?

On prétend que l'enfant à naître ne peut venir à terme que si la maman le désire, même inconsciemment. Donc on pourrait penser que l'enfant est désiré par une partie du psychisme de la maman. Mais si une autre partie de son psychisme ne peut pas supporter et si cette partie est plus forte que la partie qui désire, que fait-on ? On attache la mère et on la met sous sédatifs lourds, on la met en coma jusqu'au retour des couches, puis on lui fait une lobotomie pour qu'elle oublie tout ?

Tant mieux pour les bébés à naître fruits d'une violence extrême, si leur maman arrive à surmonter cet horrible traumatisme pour donner vie au fruit de leur ventre. Toutes n'en sont pas capables, même parmi les chrétiennes.

Lorsque j'ai fait l'étude avec les T.J. la question a été posée. J'ai répondu que j'assumerais la condamnation de Jéhovah, car il me serait impossible de ne pas devenir folle pour pouvoir nier cet enfant dans mon ventre, ou me suicider. Pour moi, le fruit d'un viol ne peut être que monstrueux à supporter. Que le sperme introduit dans mon vagin lors de cette violence extrême qu'est un viol puisse donner forme à un enfant qui va grandir et me faire souvenir à chaque seconde ce viol horrible est insupportable. J'ai été violée étant enfant, et je sais les dégâts que ça fait. Et pour une femme violée, suivant comment sa personnalité a pu se construire étant enfant, la réaction pourra être différente. On ne peut pas généraliser, trancher, même Bible en main. Ne soyons pas comme le Pape lorsqu'il refuse l'usage des préservatifs aux femmes africaines victimes des hommes malades du SIDA.

Une femme qui porte l'enfant d'un viol dans son ventre, peut ressentir la chose comme pour un insecte, d'être vivant et d'être dévoré par l'intérieur par la larve d'une guêpe.

Vous trouvez que mes mots sont excessifs ? Je ne le pense pas. Déjà que lorsque l'enfant est désiré, parfois la femme sent cet enfant dans son ventre, surtout en début de grossesse lorsqu'il commence à grandir, comme un parasite, alors d'autant plus lorsque cet enfant est le fruit d'un viol. Combien de femmes osent le dire alors que c'est l'homme qu'elles aiment qui a permis que l'ovule soit fécondé ? Très peu car c'est mal considéré. Pourtant il est exact que même si on parvient à chasser cette impression car l'enfant a été désiré, elle est bien là pour pas mal de femmes.

Croyez-moi, cela fait de nombreuses années que je réfléchis à cela, près de 30 ans, et même maintenant que je ne suis plus en mesure de donner naissance à un enfant, ce que je ressens est toujours aussi vif.


Josué citant g93 22/5 p. 3-5 :
Avortement, un droit de tuer ? Avorte12

Oui, les périodiques sont nuancés. Ils font le tour des possibilités, mais appuient généralement sur le fait que la Bible dit que. Bien sûr, les périodiques ne sont pas là pour faire une étude sociologique et psychologique, mais la réalité pour la femme, il faut bien la regarder, et ne pas laisser les hommes décider pour nous, les femmes.

C'est à chacune, en son âme et conscience de choisir. Et d'assumer les conséquences, y compris devant Jéhovah.

Que Dieu nous protège !
Jacqueline

Josué

Josué
Administrateur

désolé les écritures ne disent pas qu'il y a des exceptions ou l'avortement serait autorisé.

Jacqueline_12



Malheur à la femme enceinte d'un viol puisque c'est de cela que je parle.

Elle devra laisser grandir en elle le fruit d'une violence extrême, jour après jour : le sentir bouger, grandir, tendre sa peau, et elle vivra chaque instant avec la violence de l'agression, la menace de mort si elle crie, puis le regard des autres, de ceux qui ont le coeur tellement fermé qu'ils ne comprendront pas pourquoi l'idée même de devoir garder ce pauvre enfant (qui n'a en effet rien demandé et qui devrait pouvoir être aimé par son père et sa mère dès sa conception) lui est tellement insupportable qu'elle préfèrerait se suicider et de toute façon affronter le regard de son Dieu.

Heureusement que je crois en l'Amour inconditionnel de YHWH et de son Fils Jésus-Christ qui savent, j'en suis persuadée, voir le coeur de cette femme et qui sauront lui pardonner.

Dieu ait pitié de vous, hommes au coeur fermé !



Josué

Josué
Administrateur

j'avais bien compris mais je ne peut inventer un verset pour allé dans ton sens.

Une femme qui a été violée est en droit de se sentir offensée au plus haut degré, puisque le viol est un crime gravissime aux yeux de Dieu. Sous la Loi mosaïque, un violeur devait mourir, “ car c’est comme lorsqu’un homme se dresse contre son semblable et l’assassine bel et bien ”. (Deutéronome 22:25, 26.) Même si nous ne sommes plus soumis à cette Loi, elle nous éclaire sur la manière dont Jéhovah considère le terrible outrage qu’est le viol.
voila ce qu'il est dit ici.
*** g93 22/5 p. 11 La vie: un don à chérir ***
Jéhovah voit-il les choses différemment si l’enfant est le produit d’un viol ou d’un inceste? Bien que ces actes soient criminels, l’enfant n’est pas en cause. Interrompre sa vie reviendrait seulement à opposer à un acte de violence un autre acte de violence. À coup sûr, Jéhovah est conscient du traumatisme causé, et il peut aider la mère et l’enfant à en surmonter les séquelles

Yirmeyah Jérémie

Yirmeyah Jérémie

Jacqueline, il faut comprendre que la perception du viol aujourd'hui est devenue très différente qu'à l'époque. On en fait beaucoup d'histoires aujourd'hui, probablement avec raison, mais à l'époque un homme pouvait décider de marier la femme si elle était consentante après, sinon, c'était la mort. La vie n'appartenant pas à la femme, elle ne pouvait décider de se séparer du bébé. Même de nos jours, trop souvent, il est impossible de dire avec précision de qui est l'enfant, sauf assez tard dans la grossesse.

C'est un malheur et un crime d'être violé, mais en quoi l'enfant doit-il être tué pour cela ? Lui, il vivrait un pire crime pour une injustice grave ? C'est que Jéhovah reconnaît des droits aux enfants à naître, même avant la naissance, ce que notre société d'aujourd'hui refuse de faire. L'avortement est-il un processus naturel ? Dans le cas d'un foetus mort oui, mais sinon, cela n'est pas.

"Ne vous inquiétez de rien, mais en tout, par la prière et la supplication avec action de grâces, faites connaître vos requêtes à Dieu ; 7 et la paix de Dieu, qui surpasse toute pensée, gardera vos cœurs et vos facultés mentales par le moyen de Christ Jésus." (Philippiens 4:6-7)

Il y a certain qui sorte fort des épreuves, d'autres écrasés. Par exemple, pendant des siècles des femmes ont été violés et même des enfants, cela a été grandement banalisé. Dans les familles, circulaient alors seulement entre eux l'idée qu'il ne fallait pas en parler et d'être fort, d'oublier cela et avancer. Tout le monde agissait ainsi et même s'il détestait leur agresseur(e), il continuait et vivait un vie plutôt normale et avait des enfants et une famille et perpétuait l'idée.

Ce n'est que depuis environ 50 ans que la société actuelle ne tolère plus rien. La société actuelle a raison de ne pas toléré cela, mais par contre, là où elle a tort, c'est l'hyper-victimisation des gens. Les victimes ne sont pas plus, ni moins, victime qu'avant et les actions ne sont pas différentes.

Je donne un exemple triste, mais réel : une jeune fille de 7 ans a eu des attouchements sexuels dans un cadre où cela est considéré un acte de pédophilie. L'agresseur toutefois n'avait pas toutes ses facultés sociales et les bonnes valeurs pour s'en empêcher, il ne sera d'ailleurs jamais considéré comme pédophile et ne recommettra jamais cet acte car il faisait cela dans un cadre quasi-innocent (pas d'intention de faire un crime). Il reste qu'il l'a fait, donc il est accusé et paiera une petite peine très ridicule. La fillette est évaluer psychologiquement, aucune séquelle décelé, n'ayant pas senti un abuseur, elle a pris cela pour un jeu banal.

Toutefois, les années passent et ses parents lui rappellent sans cesse combien elle est différente et tristement, elle a été abusée et combien, selon eux, le criminel en question n'a pas été assez puni. Elle grandi avec cette idée, avec les années elle apprend qu'être victime d'acte sexuel est grave, en plus en étant enfant, c'est pire que pire. Elle se crée un milieu de victimisation où elle cherche à se libérer d'un acte, pourtant, pour lequel elle ne peut rien. Elle devient très vite complexé, elle regrette de ne pas avoir réagit à 7 ans, on lui apprend que beaucoup d'enfant son innocents, mais elle continue à victimiser, car elle pense, par exemple, que les parents auraient pu la prévenir etc...

Finalement, aujourd'hui elle consulte peut-être même auprès d'organisme pour femme battue ou femme violée, mais en fait, la conclusion est très simple : l'acte en lui-même ne faisait pas de séquelle. Qu'est-ce qui cause le traumatisme ? C'est l'hyper-victimisation de la société, le fait de rendre cette personne unique à cause d'un crime. On devrait tous se demander, même si c'est écoeurant et pervers et méchant, est-ce qu'un crime envers soi, même de ce genre , a vraiment le droit de nous dénaturer ?

J'ai moi-même vécu des choses étant très jeune, et pourtant, moi à l'époque je ne comprenais pas. Quand j'ai fini par réaliser que ces actions avaient été commis contre moi, j'ai consulté et j'ai réalisé que j'avais tellement tout minimisé, que je ne me souvenais pas de tout. On m'a dit : on va t'aider à te remémorer, et à passer à travers ! Et j'ai répondu "je crois que si j'oublais tout, ce serait plus facile". et j'ai cesser là, ça n'a jamais abouti. La question est la façon de percevoir les choses. Je n'aime pas ce qui est arrivé, mais je ne suis pas différent des autres et plus un sur-homme que les autres, donc cela m'est arrivé. Le même monde d'injustice existe, les mêmes conséquences et Jéhovah est là, alors que faire du passé. J'ai mis cela dans une filière et j'ai verrouillé le tout à double tour en faisant l'EFFORT CONSCIENT de passer à autre chose et oublier les sornettes de ce monde qui protègent tant que cela les droits la personnes, mais oublient ses devoirs !

Aujourd'hui ,je n'y pense jamais, ou presque jamais.

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Jacqueline_12



Ta réponse lapidaire, Josué, m'a choquée, tu pardonneras, j'espère la réponse que je t'ai faite, et aux hommes "bien pensants", en général.

Josué a écrit:désolé les écritures ne disent pas qu'il y a des exceptions ou l'avortement serait autorisé.

J'eus préféré que vous répondiez tout de suite comme vous venez de le faire.

Et je me demande bien comment ça se fait qu'aucune femme n'ait répondu depuis que le sujet est ouvert. Elles n'ont pas vu les mots "avortement" et "droit de tuer" dans les titres du portail ? Moi c'est comme ça que j'ai vu que ce sujet était ouvert peu après mon inscription, et donc l'ouverture du sujet. C'est pourtant un sujet qui nous touche du premier chef, nous les femmes ! Il me semble que les femmes violentées qui seraient sur le forum enrichiraient de leurs propos ce sujet.

En effet, on ne peut pas trouver un verset qui n'existe pas, ni l'inventer. Et je ne demandais pas cela, bien entendu.

Mais que penser de l'attitude des pharisiens et de ceux qui étaient sous leur tutelle au sujet de la femme prostituée, et même au sujet des collecteurs d'impôts, et l'attitude tout à fait différente de Jésus sur les mêmes sujets ?

On ne touche pas là au meurtre, mais ça montre tout de même quelque chose.

Bien entendu que de tuer un enfant à naître est horrible. Par le passé, j'ai vu une vidéo qui montrait un médecin qui pratiquait des IVG, et qui, après avoir filmé l'échographie d'un avortement par le sel a tout arrêté, horrifié par ce qu'il a vu. Il a compris. Ils montraient aussi d'autres images, bien sûr. Cette vidéo s'appelle "le cri silencieux". Je ne sais pas si on la trouve encore dans le commerce ou sur le Net.

Les cas que tu énonces, Yirmeyah, bien sûr ça peut se produire, mais il n'y a pas que ces cas qui se terminent "bien".

Il est trop facile de dire qu'avec l'aide de Jéhovah et de la communauté des frères et soeurs, elle peut s'en sortir. Car combien de femmes violées sont détruites malgré l'aide des frères et des soeurs et de Jéhovah ? Je pense là à une soeur T.J. avec qui j'ai sympathisé dans le temps. Elle n'a pas été enceinte, mais détruite, oh que oui ! Et elle ne pouvait se confier à personne car certaines mentalités sont archaïques. Alors qu'est-ce que ça aurait donné si elle avait été enceinte ?

Moi-même violée à un âge pré-pubère, et qui ne peut envisager une seule seconde de pouvoir porter jusqu'à son terme un enfant du viol. J'ai grandi avec l'idée que le sort de la femme (enfant et adulte) est de se faire violer ! Par bonheur je ne suis plus en mesure d'être enceinte. Merci, mon Dieu ! Et on ne peut accuser personne de mon entourage de m'avoir induite dans mes pensées, mon vécu m'a suffit.

Alors je repose les questions :

que fait-on pour la femme enceinte d'un violeur et qui en perd la raison, de sentir grandir en elle le résultat de cette violence extrême ?

et

Avortement, un droit de tuer ? Avorte14

Je ne cherche pas la polémique, ma contribution au sujet est apportée. Et je préfèrerais que ce soient les femmes du forum qui prennent la relève, celles qui ont connu les violences sexuelles.

I love you

Josué

Josué
Administrateur

c'est pas question d'être intransigeant il est question de ce que disent les écritures.je ne peux pas allé au-delà de ce quelles disent.

Yirmeyah Jérémie

Yirmeyah Jérémie

Comme je dis, tout est question de perception. Un enfant peut effectivement avoir une perception erronné à cause d'un crime, mais cela est typique des enfants. Il reste que cela se corrige.

on peut effectivement s'en sortir sans trop de mal, la plupart du temps, quand on confie tout à Jéhovah et on cherche la voie que Jéhovah nous a tracé. Si la congrégation des frères et soeurs peut aider, ce n'est pas le cas de tous, pour certains, cela deviendra lourd. C'est l'importance capitale de rappeler que la congrégation est une école, un milieu exemplaire, mais aussi imparfait, et que notre service n'est pas d'abord envers la congrégation et les frères et soeurs, mais en premier lieu envers Jéhovah. Si alors tout va bien, on va contribuer et/ou profiter de la congrégation.

On dira ce que je veux, j'étais très connu pour avoir été un jeune exemplaire qui avait très lourdement enduré dans l'opposition. Les frères et soeurs me rappellaient de tenir bon que Jéhovah aimaient cela. MAis cela a fini par me peser sur les épaules. Je dois dire que la congrégation m'a toujours été très lourde sur les épaules, donc au lieu d'en profiter, j'ai contribué de mon expérience et de ce que je pouvais faire. Parfois, on n'en retire rien de plus que la satisfaction de se savoir approuvé par Jéhovah par l'action que nous faisons ! Ça aussi ça compte beaucoup pour Jéhovah.

http://communautetjfrancoph.forum-canada.com/

VENT

VENT
MODERATEUR
MODERATEUR

Jacqueline_12 a écrit:

Alors je repose les questions :

que fait-on pour la femme enceinte d'un violeur et qui en perd la raison, de sentir grandir en elle le résultat de cette violence extrême ?

J'ai lu avec beaucoup d'émotion tes messages Jacqueline, mais l'avortement n'empêchera pas cette femme de perdre la raison à cause du traumatisme du viole, peut-être même que l'avortement pourrait agraver sa dépression, et je ne dis pas ça pour dire ce qu'il faut faire, c'est la bible qui donne une ligne de conduite à suivre même dans les pires situations.

Cela dit, je pense que tu souffres d'un traumatisme que l'on comprend, qui conduit tes pensées à imaginer ce que tu aurais pu vivre s'il t'était arrivée d'être enceinte suite à un viole. Mais tu ne t'ai pas trouvé enceinte, alors il faut que tu te batte de toutes tes forces pour rejeter ces idées qui te persécutent mentalement, c'est long je ne dirais pas à oublier mais à arriver à vivre de mieux en mieux. Je te dis ça parce que moi je n'ai pas connu ni viole ni inceste mais j'ai subit la perversion par des actes de torture. Le plus dur, c'est que le traumatisme est tellement fort qu'on ne pense cas le reproduire, (je peux dire cela même si je suis un homme) et l'avortement est la reproduction de cette violence, même si les femmes mettent en avant le motif de disposer de leur corps, prétexte bien mince, la preuve comme tu la remarqué Jacqueline, aucune autre femme n'est venu sur ce forum parler de l'avortement.

Invité


Invité

Josué a écrit:
pschitt a écrit:Il y a des exceptions à l'avortement.
la bible n'en parle pas en tout cas!

Rien de plus normal; La Bible a un Dieu misogyne, pardonnez-moi, ou non, mais dans toute croyance, la Femme est exploitée. L'homme, est le chef de la femme !

Je lis la Bible, Dieu est jaloux, il a crée Adam, un homme, ba oui, comme Lui, alors Dieu est un individu, ou est-t'il assexué ? Et, il lui fallait un joujou, un objet sexuel, alors il a crée une Femme, pour qu'elle subisse tous les plaisirs de l'Homme.

L'Homme est cruel, Dieu aussi. Dieu et toutes les croyances sont pour la domination de l'homme, qui avec son sexe, domine, écrase, affaiblit, l'autre. Sachez chers Messieurs Croyants que Dieu a voulu d'une bête de foire, la Femme ! Avortement ou non, l'homme ne peut concevoir, c'est îdiot ! Dans une autre vie Rolling Eyes, qui sait.Avortement, un droit de tuer ? 3202468650 Concevoir un enfant né d'un viol, une femme qui garde l'enfant, moi je l'a respecte, et elle monte dans mon estime. Cela j'espère ne sera jamais mon cas. La question n'est pas de savoir si Dieu, parce que la réponse est que Dieu est masculin, Dieu a conçu Adam, en premier, et c'est pas tout à fait par hasard. Faut pas prendre les gens moi qui suis une femme pour des prunes. Dieu, n'a jamais aimé les femmes, comme la Bible essaie de nous le dire, une page consacrée aux femmes sur les qualités. L'avortement est interdit, n'est pas consigné dans la Bible Tout cela est normal. Hommes foutez-nous la paix, avec votre désir sexuel, si vos hormones frétillent à la vue d'une demoiselle, bah mettez le voile, devenez aveugles. Je comprends tout à fait Jacqueline.Chacun est différent, Yirmenah, dire que vous avez digéré, c'est votre droit, cela ressort toujours un jour ou l'autre.

Après dire que Dieu, peut nous aider, avec Phi:4:6-7; c'est relatif, pas à long terme. Amis visiteurs, si vous voulez réagir, inscrivez-vous. Plus on est de fous, mieux on rit.Avortement, un droit de tuer ? 3366463139

Yirmeyah Jérémie

Yirmeyah Jérémie

Houlà, ce genre de propos n'ont pas vraiment leur place ici. Tu écoutes beaucoup trop de féministes.

Dieu créa l'homme, la femme fut crée par la suite car l'homme se demandait pourquoi Jéhovah n'avait pas fait pareillement avec l'homme qu'avec les animaux. Cela dit, ils les créa égaux. Il bénit grandement la femme parce qu'elle peut faire un miracle : procréer. Si ce n'était de se miracle, pour son péché qu'elle a engendré dans le monde, Ève aurait été maudite et détruite, mais sa punition fut les douleurs de l'enfantement.

Dire que l'homme domine avec son sexe est une absurdité. Il est le chef d'une maisonnée et responsable de la spiritualité, mais aussi il est celui conçu pour travailler fort physiquement. Tu ne me diras pas que tu aurais voulu une vie du genre : la femme enfante comme le kangourou et le père porte l'enfant comme l'hippocampe ? Cela est plus qu'absurde. On ne peut pas être deux à faire le même travail. Le problème avec les mouvements féministes, c'est qu'à vouloir être "l'égal" de l'homme selon la vision courante et moderne, ils oublient le rôle naturelle de la femme, le rendant contre-nature et voulant l'associer aux attributs de l'homme. Si l'homme enfantait lui aussi, tu crois qu'il aurait la même constitution physique et le même rôle ? Ridicule.

Comme on t'a déjà expliqué en détails, les seuls références à l'avortement font un lien étroit avec la comdamnation à mort de celui qui fait avorter un foetus. Il me semble que c'est clair, et dans le cas expliqué, c'est un homme qu'il est question, mais étant égaux, la femme aussi serait mise à mort. Le foetus a donc le droit de vie et Jéhovah protège ce droit. Si un préjudice majeur était fait à une personne en Israël antique, il payait beaucoup, mais il n'était pas mis à mort, sauf s'il enlevait une vie estimé par Jéhovah (même accidentellement) ou qu'il apostasiait.

Les hommes étaient mis aux travaux durs toute l'année et s'occupait de la justice familiale et distribuait les tâches familiale et finalement s'occupait de la spiritualité. La femme s'occupait des tâches appuyait son mari, elle enfantait aussi, mais souvent était L'HONNEUR de la famille et celle qui s'occupait de toute la maisonnée et son ordre, et l'accueille d'étranger. Elle maintenant parfois un commerce aussi à elle seule.

Les femmes n'étaient pas envoyées à la guerre, comme cela est encore assez peu fréquent à notre époque. Les hommes mourraient avant les femmes. Tu sais, dire que la femme n'avait pas sa place parce qu'elle n'était pas un homme n'a aucun sens. On ne peut pas être tous gay simplement pour plaire à cette idée d'égalité.

Aujourd'hui, la Bible dit encore que l'homme est chef de famille, pas le bourreau de famille. Paul explique plus que clairement comment l'homme doit considérer sa femme au moins autant que lui-même. Les avis de sa femme doivent avoir la MÊME importance que ses propres avis et il doit savoir plier sur ses désirs parfois. Toutefois, c'est comme conduire une voiture, si les deux mettent les mains sur le volant et les pieds sur les pédales, il est fort à parier que personne ne se rendra à destination sain et sauf, ni même se rendra du tout. Donc, celui qui tranche est l'homme, mais vient avec aussi une condamnation : l'homme prend la décision, donc assume pour tout péché que cette décision pourrait encourir, même pour sa femme (on parle de péché simple ou imprévisible, pas de péchés graves). C'est lui qui rend les comptes et devra se racheter.

Le monde d'aujourd'hui s'amuse à faire croire aux femme qu'enfanter est un fardeau, qui empêche d'avoir un emploi, et qu'être mère de famille est une tâche ingrate qui empêche d'avoir une carrière et de l'argent. Mais sais-tu que si un jour j'ai une femme qui me dit qu'elle veut travailler et ne pas s'occuper des enfants, je vais me faire un plaisir de balancer mon emploi par dessus bord pour prendre cette place. On ne crée pas la vie avec un travail, mais avec l'amour et c'est incroyable, comment à notre époque, il n'y a pas un gramme d'amour dans un emploi. C'est simplement la vision détraqué de ce monde qui pousse à faire croire que femme et hommes devraient être égaux en TOUT POINT, mais cela est stupide.

Moi je travaillais dans un entrepôt, une femme me demande alors de lever une boîte trop lourde pour elle. Or dans la compagnie est claire, l'exigence d'emploi est de lever couramment des boîtes de 25 kg et plus. Nous sommes payés le même salaire heure, sous l'idée de l,égalité des sexes et l'équité d'emploi. Alors pourquoi dois-je travailler plus dur qu'elle ? Dans ce monde de fous, je dis cela : non, tu dois faire toi-même ton travail, alors elle ne le fera pas et fera porter le fardeau au prochain qui devra la lever. Dans la vérité chrétienne, selon les normes bibliques : on accepte l'injustice et parce qu'elle est une femme on le fait sans critiquer car de toute façon, le monde juste de Dieu vient.

Si tu n'apprécies pas les femmes au même niveau que les femmes, c'est que tu as des croyances et des perceptions erronées à propos des deux sexes. Savais-tu qu'un homme qui avait subit des mutilations génitales, par les coutumes de son pays, par handicap, ou accident, n'avait non plus jamais le droit de faire toutes les choses spirituelles et les décisions importantes d'un pays. C'était la loi, il payait se préjudice toute sa vie, pourtant il n'y était pour rien.

Des injustices, il y en a partout et associé au sexe, cela se peut aussi. Mais en quoi, je le redemande, la souffrance et l'atrocité d'un crime envers une femme lui donne le droit d'enlever la vie de quelqu'un d'autre ? Un homme n'a pas plus ce droit.

http://communautetjfrancoph.forum-canada.com/

chico.

chico.

la bible met en valeur la femme elle n'est pas rabaissé du tout.

Jacqueline_12



désinscrit a écrit:
Tes propos sont mesurés et humains, Désinscrit, et je te remercie.

Oui, j'avais lu sur des forums, que des femmes qui avaient avorté avaient déclaré une dépression.

Choc de la façon de faire lors d'un avortement ?
Choc d'avoir tué de la vie en elles ?
Choc de la façon de faire et d'avoir tué ?

Et certaines culpabilisaient d'avoir tué cette vie qui était en elles. Les impératifs, les priorités avaient peut-être évolué dans leur esprit.

Si je m'imagine dans la situation et dans le cadre que j'ai pris dès le début, c'est à dire du viol, je serais soulagée de ne plus avoir ce "parasite" dans mon ventre, mais en tuant, et qui plus est, une vie innocente, moi qui ne tue même pas les moustiques ni les mouches qui sont pourtant bien embêtantes lorsque ces insectes s'y mettent, je serais très mal, et ne cesserais de demander pardon à mon Dieu.

Notre vie d'humain n'est vraiment pas facile.

Merci Désinscrit. Je conserve précieusement ta réponse.

Josué

Josué
Administrateur

un extrait de rv sur cette question.

*** g93 22/5 p. 5 Le dilemme de l’avortement: 60 millions de meurtres sont-ils la solution? ***
Victimes de la violence ou des circonstances?
Les études montrent que les grossesses dues aux viols sont extrêmement rares. Lors d’une enquête portant sur 3 500 viols survenus à Minneapolis (États-Unis), on n’en a relevé aucune. Sur 86 000 femmes qui se sont fait avorter dans l’ex-Tchécoslovaquie, seules 22 étaient enceintes à la suite d’un viol. Ainsi, rares sont les femmes qui cherchent à se faire avorter à la suite d’une agression sexuelle.
Que dire des pronostics effrayants faisant état de malformations congénitales graves ou de tares héréditaires? Au moindre soupçon, certains médecins conseillent vivement l’avortement. Mais peuvent-ils être absolument sûrs de leur diagnostic? De nombreux parents sont là pour attester que ces sinistres prédictions ne sont pas forcément fondées, et ils ont des enfants heureux et en bonne santé pour le prouver. D’autres, dont les enfants sont considérés comme handicapés, n’en sont pas moins heureux de les avoir. En fait, seules 1 % des femmes américaines qui cherchent à se faire avorter agissent par crainte d’une malformation du fœtus.
Quoi qu’il en soit, pendant que vous lisiez cet article, des centaines d’enfants à naître sont morts. Où cela? En quoi cela touche-t-il l’existence des personnes impliquées?

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