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Dix craintes pour la nouvelle décennie.

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Mikael
Josué
6 participants

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Josué

Josué
Administrateur

Catastrophes naturelles - Tsunami indonésien en 2004, ouragan Katrina en 2005, séisme en Haïti ou tempête Xynthia en 2010, la multiplication et la gravité de ces événements ont fait du réchauffement climatique et des catastrophes naturelles la crainte numéro 1 des Français pour la décennie à venir. (Source : Opinionway)Le Point.fr © HO / X80001
http://www.lepoint.fr/societe/dix-craintes-pour-la-nouvelle-decennie-03-01-2011-1281516_23.php?xtor=EPR-6-[Newsletter-Quotidienne]-20110103

Josué

Josué
Administrateur

En cette année 2010, la Terre a clairement fait savoir son mécontentement : éruptions, séismes, typhons, inondations... Plus d'un quart de millions de personnes sont décédées des suites decatastrophes naturelles. Un bien triste record à une époque où l'influence de l'homme sur le climat n'est malheureusement plus à prouver. 
Voici un retour en images sur ces tragiques événements qui ont marqué l'année, en espérant que 2011 saura calmer le courroux de Mère Nature...

<http://news.fr.msn.com/ecologie/photo/galerie.aspx?cp-documentid=155689044>

Mikael

Mikael
MODERATEUR
MODERATEUR

ce fut une année difficile pour l'humanité mais personne n'en tire des leçons.

Josué

Josué
Administrateur

Que restera-t-il de 2010 ?
Votre sélection des événements marquants

Nous avons répertorié ci-dessous les 33 événements qui ont marqué l'année 2010 dans le monde (sans exclure un brin de fantaisie).

Nous vous invitons à cocher ceux dont vous pensez que les livres d'Histoire garderont le souvenir (entre 0 et 33 sélections) puis à voter en bas de page.

À la clôture du concours, le samedi 22 janvier 2010, l'événement le plus cité sera affecté de 16 points, le 2e de 15,... le 16e de 0,... le 17e de -1 point,... le 33e de -16 points. Le classement général sera publié dans notre lettre Une semaine d'Histoire.

Les 10 votants qui se rapprocheront le mieux du classement général (explication du palmarès) seront récompensés par le DVD de leur choix parmi tous ceux de notre Boutique.



Haïti frappé par la tragédie (12 janvier 2010)
Un séisme de force 7,3 sur l'échelle de Richter se solde par un bilan effroyable : 250.000 morts, 300.000 blessés, 1,2 million de sans-abris...
[lire la suite] [vos commentaires]

Affrontements religieux au Nigeria (17 janvier 2010)
De violents affrontements entre chrétiens et musulmans à Jos, au nord du Nigeria, font 300 morts et poussent des milliers de chrétiens à fuir la ville...
[lire la suite] [vos commentaires]

Ukraine : l'orange, c'est fini (7 février 2010)
Le candidat pro-russe Viktor Ianoukovitch remporte l'élection présidentielle devant le Premier ministre, Ioulia Timochenko, que sa natte blonde a fait connaître dans le monde entier...
[lire la suite] [vos commentaires]

L'armée turque mise au pas (22 février 2010)
Coup de force légaliste à Ankara. Une cinquantaine de militaires de haut rang, dont une majorité à la retraite, ont été arrêtés sous l'inculpation, sans doute justifiée, de fomenter des troubles...
[lire la suite] [vos commentaires]

Xynthia submerge le littoral atlantique (27 février 2010)
Une tempête d'une ampleur exceptionnelle entraîne la submersion de nombreux littoraux européens, en particulier en Vendée. On compte 65 morts en Europe dont 53 en France...
[lire la suite] [vos commentaires]

Obama a la santé (21 mars 2010)
Le président américain obtient de la Chambre des représentants l'adoption de sa réforme du système de santé. Elle permettra à 32 millions d'Américains supplémentaires et 95% de la population du pays de bénéficier d'une couverture sociale...
[lire la suite] [vos commentaires]

La Grèce fait capoter l'Europe (25 mars 2010)
Réunis en urgence, les seize chefs d’État et de gouvernement de la zone euro tentent de rendre à la Grèce la confiance des marchés...
[lire la suite] [vos commentaires]

Vers un monde dénucléarisé ? (8 avril 2010)
Les présidents russe Dmitri Medvedev et américain Barack Obama signent à Prague un nouveau traité START (Strategic Arms Reduction Talks) de désarmement nucléaire. CIl prévoit que chacun des deux pays réduise son arsenal d’ogives nucléaires d’un tiers en sept ans, de 2.200 à 1.550...
[lire la suite] [vos commentaires]

Bain de sang à Bangkok (10 avril 2010)
21 morts et plus de 800 blessés à Bangkok. Le bilan des affrontements qui ont opposé le 10 avril 2010 les «chemises rouges» aux forces de sécurité en fait les plus meurtriers depuis près de deux décennies en Thaïlande...
[lire la suite] [vos commentaires]

La Pologne en deuil (10 avril 2010)
Le président polonais Lech Kaczynski périt dans un accident d'avion près de Smolensk (Biélorussie), ainsi que son épouse et 94 hauts responsables polonais du gouvernement, de l'armée et de l'Église. Tous se rendaient en pèlerinage sur le site de Katyn, à l'occasion du 70e anniversaire de ce crime d'État...
[lire la suite] [vos commentaires]

Éruption d'un volcan islandais (15 avril 2010)
Un volcan islandais entre en éruption sans autre conséquence qu'un épais nuage de cendres. Mais ce dernier suffit à bloquer au sol pendant plusieurs jours tous les avions du ciel européen...
[lire la suite] [vos commentaires]

Marée noire dans le golfe du Mexique (20 avril 2010)
Une plateforme pétrolière de la compagnie BP prend feu et le forage se met à fuir dans les eaux profondes du golfe, libérant 780 millions de litres de brut. Cela en fait la plus importante marée noire à ce jour...
[lire la suite] [vos commentaires]

Omar El Béchir triomphe (26 avril 2010)
Un an après son inculpation pour crimes contre l'humanité par la Cour pénale internationale de La Haye, Omar El Béchir est reconduit à la tête du Soudan...
[lire la suite] [vos commentaires]

Les conservateurs de retour en Grande-Bretagne (6 mai 2010)
Les élections législatives débouchent sur la victoire attendue des conservateurs (tories) et de leur chef David Cameron (43 ans). Mais en l'absence de majorité absolue, ils doivent s'allier avec le nouveau parti libéral-démocrate centriste (LibDem) de Nick Clegg (43 ans)...
[lire la suite] [vos commentaires]

La crise européenne (9 mai 2010)
L'Histoire s'accélère en Europe : crise grecque, plans de rigueur en cascade et dégringolade de l'euro... 60 ans après la fondation de la CECA par Robert Schumann, le Conseil européen des 27 chefs d'État et de gouvernement promet solennellement d'engager sa garantie à hauteur de 750 milliards d'euros en cas de défaillance d'un État membre...
[lire la suite] [vos commentaires]

Brésil-Turquie-Iran : défi au Nord (17 mai 2010)
À Téhéran, le Premier ministre turc Recep Tayyip Erdogan et le président brésilien Luiz Inacio Lula da Silva concluent avec éclat un accord avec le président iranien Ahmanidejad sur les échanges de technologies nucléaires...
[lire la suite] [vos commentaires]

Blocus de Gaza : un Exodus palestinien ? (31 mai 2010)
La Marine israélienne intercepte une flottille qui tentait de forcer le blocus de Gaza. L'attaque fait une dizaine de morts et beaucoup de dégâts politiques...
[lire la suite] [vos commentaires]

Belgique : élections sans issue (13 juin 2010)
Des élections législatives anticipées se soldent par le triomphe des séparatistes flamands...
[lire la suite] [vos commentaires]

Balzac chez les Bettencourt (16 juin 2010)
Le site Mediapart publie les enregistrements pirates du majordome de Liliane Bettencourt, héritière de L'Oréal et deuxième fortune de France. Il s'ensuit un scandale à rebondissements, sur fond de crise sociale...
[lire la suite] [vos commentaires]

Football amer (17 juillet 2010)
Les Français ont droit à une déconvenue amère : la défaite de leur équipe de football face au Mexique dans la Coupe du Monde 2010, en Afrique du Sud...
[lire la suite] [vos commentaires]

L'été des Roms (18 juillet 2010)
Des Français de la communauté gitane, près d'Orléans, saccagent une gendarmerie après qu'un des leurs eut été tué par les forces de l'ordre. Le chef de l'État réplique en ordonnant le renvoi immédiat chez eux de quelques milliers de Roumains de la communauté rom...
[lire la suite] [vos commentaires]

Al-Qaida s'implante au Sahara à la faveur d'une prise d'otage (22 juillet 2010)
L'armée mauritanienne, assistée de militaires français, lance une attaque sur le territoire du Niger pour tenter de délivrer Michel Germaneau, un humanitaire français de 78 ans enlevé le 19 avril précédent par des bandits. Deux jours plus tard, l'un des bandits, l'Algérien Abou Zeïd, annonce la mort de l'otage...
[lire la suite] [vos commentaires]

Obama retire ses troupes combattantes d’Irak (31 août 2010)
Le président Obama annonce solennellement, depuis le Salon ovale de la Maison Blanche, le retrait ce jour des derniers combattants américains encore présents en Irak. Il laisse néanmoins pas moins de 50.000 «conseillers militaires» dans ce pays, pour assister l'armée et la police locales...
[lire la suite] [vos commentaires]

La burqa interdite de cité (4 septembre 2010)
Après d'interminables débats, le Parlement français vote l'interdiction du voile islamique intégral (la «burqa») dans l'espace public...
[lire la suite] [vos commentaires]

Prix Nobel de la Paix à un dissident chinois (8 octobre 2010)
L'Académie de Stockholm attribue le Prix Nobel de la Paix à un dissident chinois, Liu Xiaobo (54 ans)...
[lire la suite] [vos commentaires]

Brésil : une révolutionnaire succède à un syndicaliste (31 octobre 2010)
Élection de Dilma Rousseff (63 ans) à la tête du Brésil. Fille d'un avocat bulgare, militante communiste arrêtée et torturée sous la dictature, la nouvelle présidente a gagné grâce au soutien de son prédécesseur, le populaire Lula...
[lire la suite] [vos commentaires]

Prise d’otages dans une église de Bagdad (31 octobre 2010)
Des terroristes revendiquant leur appartenance à la mouvance Al-Qaida ont pris en otage les chrétiens réunis dans une église catholique syriaque de Bagdad (Irak). Au cours de l'assaut lancé par les forces gouvernementales et des conseillers américains, 37 fidèles ont été tués...
[lire la suite] [vos commentaires]

La puissance chinoise à l'oeuvre (5 novembre 2010)
Le président chinois Hu Jintao a effectué cet automne 2010 une tournée des capitales européennes : Athènes, Paris, Lisbonne. Il a partout été accueilli en sauveur par des chefs d'État confrontés à une crise économique et financière majeure...
[lire la suite] [vos commentaires]

Passage en force de la réforme des retraites (10 novembre 2010)
La loi portant réforme des retraites est publiée au Journal officiel en dépit d'une exceptionnelle mobilisation populaire, syndicale et même lycéenne, tout au long de l'été...
[lire la suite] [vos commentaires]

Karachi : bombe à retardement (15 novembre 2010)
Charles Millon, qui fut ministre de la Défense du gouvernement Balladur (1993-1995), confirme devant le juge Renaud van Ruymbeke l'existence de «rétrocommissions» sur le contrat de vente de sous-marins conclu entre la France et le Pakistan en 1995.00
[lire la suite] [vos commentaires]

La gastronomie française, patrimoine universel (16 novembre 2010)
L'UNESCO a inscrit le «repas gastronomique des Français» au patrimoine immatériel de l'humanité. L'annonce a réjoui la presse hexagonale qui y a vu la reconnaissance d'un savoir-faire exceptionnel et admiré dans tout l'univers...
[lire la suite] [vos commentaires]

Côte d’Ivoire : descente aux enfers (28 novembre 2010)
Les élections présidentielles en Côte d'Ivoire se soldent par la victoire d'Alassane Ouattara, ancien haut fonctionnaire du FMI qui a le soutien de la communauté internationale. Mais le président sortant, Laurent Gbagbo, conteste les résultats. Onze ans après un premier coup d'État, l'ancienne vitrine de l'Afrique de l'Ouest est au bord du chaos...
http://www.herodote.net/editorial011_retrospective.php

Josué

Josué
Administrateur

[img]Dix craintes pour la nouvelle décennie. Effetserre [/img]

Aude

Aude

Admin a écrit:Que restera-t-il de 2010 ?
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Nous avons répertorié ci-dessous les 33 événements qui ont marqué l'année 2010 dans le monde (sans exclure un brin de fantaisie).

Nous vous invitons à cocher ceux dont vous pensez que les livres d'Histoire garderont le souvenir (entre 0 et 33 sélections) puis à voter en bas de page.

À la clôture du concours, le samedi 22 janvier 2010, l'événement le plus cité sera affecté de 16 points, le 2e de 15,... le 16e de 0,... le 17e de -1 point,... le 33e de -16 points. Le classement général sera publié dans notre lettre Une semaine d'Histoire.

Les 10 votants qui se rapprocheront le mieux du classement général (explication du palmarès) seront récompensés par le DVD de leur choix parmi tous ceux de notre Boutique.



Haïti frappé par la tragédie (12 janvier 2010)
Un séisme de force 7,3 sur l'échelle de Richter se solde par un bilan effroyable : 250.000 morts, 300.000 blessés, 1,2 million de sans-abris...
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Affrontements religieux au Nigeria (17 janvier 2010)
De violents affrontements entre chrétiens et musulmans à Jos, au nord du Nigeria, font 300 morts et poussent des milliers de chrétiens à fuir la ville...
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Ukraine : l'orange, c'est fini (7 février 2010)
Le candidat pro-russe Viktor Ianoukovitch remporte l'élection présidentielle devant le Premier ministre, Ioulia Timochenko, que sa natte blonde a fait connaître dans le monde entier...
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L'armée turque mise au pas (22 février 2010)
Coup de force légaliste à Ankara. Une cinquantaine de militaires de haut rang, dont une majorité à la retraite, ont été arrêtés sous l'inculpation, sans doute justifiée, de fomenter des troubles...
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Xynthia submerge le littoral atlantique (27 février 2010)
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Obama a la santé (21 mars 2010)
Le président américain obtient de la Chambre des représentants l'adoption de sa réforme du système de santé. Elle permettra à 32 millions d'Américains supplémentaires et 95% de la population du pays de bénéficier d'une couverture sociale...
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Vers un monde dénucléarisé ? (8 avril 2010)
Les présidents russe Dmitri Medvedev et américain Barack Obama signent à Prague un nouveau traité START (Strategic Arms Reduction Talks) de désarmement nucléaire. CIl prévoit que chacun des deux pays réduise son arsenal d’ogives nucléaires d’un tiers en sept ans, de 2.200 à 1.550...
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21 morts et plus de 800 blessés à Bangkok. Le bilan des affrontements qui ont opposé le 10 avril 2010 les «chemises rouges» aux forces de sécurité en fait les plus meurtriers depuis près de deux décennies en Thaïlande...
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La Pologne en deuil (10 avril 2010)
Le président polonais Lech Kaczynski périt dans un accident d'avion près de Smolensk (Biélorussie), ainsi que son épouse et 94 hauts responsables polonais du gouvernement, de l'armée et de l'Église. Tous se rendaient en pèlerinage sur le site de Katyn, à l'occasion du 70e anniversaire de ce crime d'État...
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Éruption d'un volcan islandais (15 avril 2010)
Un volcan islandais entre en éruption sans autre conséquence qu'un épais nuage de cendres. Mais ce dernier suffit à bloquer au sol pendant plusieurs jours tous les avions du ciel européen...
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Omar El Béchir triomphe (26 avril 2010)
Un an après son inculpation pour crimes contre l'humanité par la Cour pénale internationale de La Haye, Omar El Béchir est reconduit à la tête du Soudan...
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Les conservateurs de retour en Grande-Bretagne (6 mai 2010)
Les élections législatives débouchent sur la victoire attendue des conservateurs (tories) et de leur chef David Cameron (43 ans). Mais en l'absence de majorité absolue, ils doivent s'allier avec le nouveau parti libéral-démocrate centriste (LibDem) de Nick Clegg (43 ans)...
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La crise européenne (9 mai 2010)
L'Histoire s'accélère en Europe : crise grecque, plans de rigueur en cascade et dégringolade de l'euro... 60 ans après la fondation de la CECA par Robert Schumann, le Conseil européen des 27 chefs d'État et de gouvernement promet solennellement d'engager sa garantie à hauteur de 750 milliards d'euros en cas de défaillance d'un État membre...
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Brésil-Turquie-Iran : défi au Nord (17 mai 2010)
À Téhéran, le Premier ministre turc Recep Tayyip Erdogan et le président brésilien Luiz Inacio Lula da Silva concluent avec éclat un accord avec le président iranien Ahmanidejad sur les échanges de technologies nucléaires...
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Blocus de Gaza : un Exodus palestinien ? (31 mai 2010)
La Marine israélienne intercepte une flottille qui tentait de forcer le blocus de Gaza. L'attaque fait une dizaine de morts et beaucoup de dégâts politiques...
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Belgique : élections sans issue (13 juin 2010)
Des élections législatives anticipées se soldent par le triomphe des séparatistes flamands...
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Le site Mediapart publie les enregistrements pirates du majordome de Liliane Bettencourt, héritière de L'Oréal et deuxième fortune de France. Il s'ensuit un scandale à rebondissements, sur fond de crise sociale...
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Football amer (17 juillet 2010)
Les Français ont droit à une déconvenue amère : la défaite de leur équipe de football face au Mexique dans la Coupe du Monde 2010, en Afrique du Sud...
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L'été des Roms (18 juillet 2010)
Des Français de la communauté gitane, près d'Orléans, saccagent une gendarmerie après qu'un des leurs eut été tué par les forces de l'ordre. Le chef de l'État réplique en ordonnant le renvoi immédiat chez eux de quelques milliers de Roumains de la communauté rom...
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Al-Qaida s'implante au Sahara à la faveur d'une prise d'otage (22 juillet 2010)
L'armée mauritanienne, assistée de militaires français, lance une attaque sur le territoire du Niger pour tenter de délivrer Michel Germaneau, un humanitaire français de 78 ans enlevé le 19 avril précédent par des bandits. Deux jours plus tard, l'un des bandits, l'Algérien Abou Zeïd, annonce la mort de l'otage...
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Obama retire ses troupes combattantes d’Irak (31 août 2010)
Le président Obama annonce solennellement, depuis le Salon ovale de la Maison Blanche, le retrait ce jour des derniers combattants américains encore présents en Irak. Il laisse néanmoins pas moins de 50.000 «conseillers militaires» dans ce pays, pour assister l'armée et la police locales...
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Après d'interminables débats, le Parlement français vote l'interdiction du voile islamique intégral (la «burqa») dans l'espace public...
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Prix Nobel de la Paix à un dissident chinois (8 octobre 2010)
L'Académie de Stockholm attribue le Prix Nobel de la Paix à un dissident chinois, Liu Xiaobo (54 ans)...
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Brésil : une révolutionnaire succède à un syndicaliste (31 octobre 2010)
Élection de Dilma Rousseff (63 ans) à la tête du Brésil. Fille d'un avocat bulgare, militante communiste arrêtée et torturée sous la dictature, la nouvelle présidente a gagné grâce au soutien de son prédécesseur, le populaire Lula...
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Prise d’otages dans une église de Bagdad (31 octobre 2010)
Des terroristes revendiquant leur appartenance à la mouvance Al-Qaida ont pris en otage les chrétiens réunis dans une église catholique syriaque de Bagdad (Irak). Au cours de l'assaut lancé par les forces gouvernementales et des conseillers américains, 37 fidèles ont été tués...
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La puissance chinoise à l'oeuvre (5 novembre 2010)
Le président chinois Hu Jintao a effectué cet automne 2010 une tournée des capitales européennes : Athènes, Paris, Lisbonne. Il a partout été accueilli en sauveur par des chefs d'État confrontés à une crise économique et financière majeure...
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Passage en force de la réforme des retraites (10 novembre 2010)
La loi portant réforme des retraites est publiée au Journal officiel en dépit d'une exceptionnelle mobilisation populaire, syndicale et même lycéenne, tout au long de l'été...
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Karachi : bombe à retardement (15 novembre 2010)
Charles Millon, qui fut ministre de la Défense du gouvernement Balladur (1993-1995), confirme devant le juge Renaud van Ruymbeke l'existence de «rétrocommissions» sur le contrat de vente de sous-marins conclu entre la France et le Pakistan en 1995.00
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La gastronomie française, patrimoine universel (16 novembre 2010)
L'UNESCO a inscrit le «repas gastronomique des Français» au patrimoine immatériel de l'humanité. L'annonce a réjoui la presse hexagonale qui y a vu la reconnaissance d'un savoir-faire exceptionnel et admiré dans tout l'univers...
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Côte d’Ivoire : descente aux enfers (28 novembre 2010)
Les élections présidentielles en Côte d'Ivoire se soldent par la victoire d'Alassane Ouattara, ancien haut fonctionnaire du FMI qui a le soutien de la communauté internationale. Mais le président sortant, Laurent Gbagbo, conteste les résultats. Onze ans après un premier coup d'État, l'ancienne vitrine de l'Afrique de l'Ouest est au bord du chaos...
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Je suis larguée affraid

Mikael

Mikael
MODERATEUR
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Il est parfois préférable de prendre un peu de hauteur pour mieux appréhender un événement. Retrouvez les temps forts de 2011 vus de l'espace.
http://news.fr.msn.com/ecologie/photo/galerie.aspx?cp-documentid=155902665&page=2

Josué

Josué
Administrateur

Vingt-huit millions d'enfants sont "privés d'éducation, en raison des conflits armés" qui les exposent "aux attaques ciblées sur leurs écoles" ou "aux violences sexuelles", dénonce un rapport de l'Unesco publié mardi qui plaide pour revoir le système d'aide humanitaire.

Josué

Josué
Administrateur

Pour récapitulatif :

1er Janvier : inondations en Australie
3 Janvier : tremblement de terre de 6.8 au Chili
11 Janvier : Brisbane (Australie) inondée (superficie de la France et de l'Allemagne réuni)
12 Janvier : 400 morts dans une inondation au Brésil
14 Janvier : tremblement de terre de 7.1 en Indonésie
15 Janvier : Révolution en Tunisie (le gouvernement tombe)
21 Janvier : tremblement de terre de 7.2 au Pakistan
22 Janvier : déjà 10 personnes immolées au Maghreb
24 Janvier : attentat à Moscou
27 Janvier : manifestations en Egypte
29 Janvier : tremblement de terre de 6.1 au nord de l'Islande

1 Février : Famine planétaire annoncé dans un rapport sur l'état des cultures mondiale.
3 Février : tempête Yasi sur l'Australie (vent à 285 km/h, jamais vu !)
4 Février : tremblement de terre de 6.4 à Myanmar
8 Février : tremblement de terre de 6.2 au large de l'Australie
10 Février : tremblement de terre de 6.5 aux Philippines
11 Février : Révolution en Egypte (le gouvernement tombe)
17 Février : manifestations en Libye (233 morts), Yemen, Iran, Algérie...
22 Février : tremblement de terre de 6.4 en Nouvelle Zélande (65 morts)

Josué

Josué
Administrateur

Un séisme d'une magnitude de 8,8 a touché le Japon ce vendredi matin. Une alerte au tsunami a été déclenchée pour le Japon, les Philippines, la Russie et îles Mariannes.

14h54 Les premières vagues du tsunami provoqué par le séisme survenu au large du Japon ont frappé Hawaii.
14h46 48 personnes, dont 23 collégiens, sont portées disparues après le passage du tsunami dans le port d'Ofunato au nord-est du pays, a rapporté l'agence de presse Jiji.
14h42 Une forte explosion a eu lieu dans un complexe pétrochimique dans la région de Sendai.

Josué

Josué
Administrateur

L'un des volcans les plus actifs sur l'île de l'Indonésie a éclaté et libéré de gaz dans l'atmosphère, ce qui a conduit à l'effondrement de ses pentes, la suite d'un puissant tremblement de terre au Japon. Selon la note AP publiées par le site de "The Washington Post," volcanologue Agus Budianto confirmé que les autorités indonésiennes a ap urando cet après-midi l'évacuation des résidents de la région.

samuel

samuel
Administrateur

a t'on des nouvelles de nos frères au JAPON ?

Josué

Josué
Administrateur

un sujet a été ouvert la.
https://meilleurforum-net.1fr1.net/t645-nouvelles-des-temoins-de-jehovah-du-japon
Une fusion du coeur du réacteur n°2 de la centrale atomique de Fukushima-Daiichi n'est pas à exclure, selon l'agence de presse japonaise Jiji qui cite Tepco. Le niveau de l'eau aurait tellement baissé que les cartouches de combustible nucléaire se trouveraient à l'air libre, hors de ce circuit de refroidissement. Pour l'heure, des explosions ont eu lieu sur les réacteurs n°1 et n°3 de la centrale.

Josué

Josué
Administrateur

ropos recueillis par ESTELLE DAUTRY
Cyril Honoré, directeur adjoint de la prévision à Météo-France, répond aux questions du Point.fr.

Si des particules radioactives sont rejetées dans l'air au Japon, les vents peuvent-ils les porter jusqu'en Europe ?

Cyril Honoré : Bien sûr. De façon générale, les vents dans l'hémisphère Nord circulent d'ouest en est. Donc les particules seront d'abord entraînées vers le Pacifique. Mais les vents ne s'arrêtent jamais ; leur vocation est de faire un trajet circulaire et continu autour du globe. En avril 1986, lors de l'accident nucléaire de Tchernobyl, les particules radioactives ont librement circulé avec les vents. Il ne faut pas penser qu'on peut stopper ou contrôler la circulation des vents.

Donc les particules radioactives pourraient faire le tour de la Terre ?

Oui. Généralement, on dit que les vents circulant à haute altitude font le tour de la Terre en dix jours. Mais cela dépend du positionnement du vent, son altitude, sa vitesse, et du poids des particules qu'il transporte. Les vents sont soumis à des mouvements extrêmement compliqués, difficiles à calculer. Des courants à haute altitude peuvent rester des mois dans l'atmosphère avant de redescendre ! Il y a des effets de dilution et de dispersion, mais les particules ne disparaissent pas.

L'exemple le plus marquant est celui de l'éruption du Pinatubo en 1991. Le volcan, situé aux Philippines, a rejeté des cendres et des particules qui ont circulé dans l'atmosphère pendant deux ans. Mais les éruptions volcaniques sont assez spécifiques ; aujourd'hui, on n'a aucune idée des particules que pourraient rejeter les centrales nucléaires japonaises.

Une surveillance spécifique a-t-elle été mise en place en France ?

Notre rôle, dans pareille situation, est d'informer le gouvernement sur les facteurs météorologiques. C'est une procédure organisée. Nos moyens sont mis à disposition des autorités afin de les aider à prendre des décisions. Les particules radioactives peuvent contaminer des éléments présents dans l'air comme la vapeur d'eau. Les particules retombent avec les précipitations et les différents vents. Et ensuite on peut les retrouver dans les sols ou l'eau. L'IRSN, Institut de radioprotection et de sûreté nucléaire, surveille les taux présents dans notre environnement.

christelle

christelle

Admin a écrit:Vingt-huit millions d'enfants sont "privés d'éducation, en raison des conflits armés" qui les exposent "aux attaques ciblées sur leurs écoles" ou "aux violences sexuelles", dénonce un rapport de l'Unesco publié mardi qui plaide pour revoir le système d'aide humanitaire.

Voilà quelques semaines en Belgique, une petite fille a été brûlée à 75% à l'eau bouillante et par cigarettes. Ce sont des amis à la maman qui ont commis cette atrocité. Cette petite fille a l'âge de mon fils, elle est dans le coma.

Quel monde cruel et sans amour!

J'en suis malade!

Josué

Josué
Administrateur

Un nouveau séisme a frappé ce mercredi matin le Japon. L'ordre d'évacuation du personnel de la centrale de Fukushima a pourtant été levé.
13h53"C'est dans les 48 heures que ça se joue", a jugé lors d'un point de presse Thierry Charles, directeur de la sûreté des usines à l'Institut de radioprotection et de sûreté nucléaire (IRSN). Ce délai sera crucial pour rétablir le niveau d'eau dans la piscine de stockage du combustible usé du réacteur 4 de Fukushima, sous peine de rejets radioactifs "très importants". Avant que la totalité du combustible usé, mais toujours fortement radioactif, ne soit totalement hors d'eau, "il faut compter un jour ou deux, puis après les rejets vont apparaître", a-t-il ajouté. "C'est un risque majeur pour deux raisons: ce rejet serait très important, et surtout, ce bassin - quasiment en plein air - interdirait l'accès sur le site par la suite" en raison de son niveau de radioactivité.
http://www.lexpress.fr/actualite/monde/japon-c-est-dans-les-48-heures-que-tout-se-joue_972678.html?xtor=EPR-181

Josué

Josué
Administrateur

Le choléra pourrait affecter 800.000 personnes en Haïti, selon une étude
Huit cent mille personnes pourraient être affectées par le choléra cette année en Haïti, soit le double de l'estimation faite par les agences de l'Onu, et 11.000 en mourir, indique une étude publiée par la revue scientifique médicale britannique The Lancet mercredi.


AFP/Archives
"Les estimations mondiales actuelles de l'épidémie sont basées sur la supposition que l'épidémie va attaquer quatre pour cent de la population, mais il s'agit essentiellement d'une supposition", indique l'étude, menée par une équipe américaine conduite par Jason Andrews, de l'Ecole de santé publique de Harvard

Les estimations précédentes ne sont "basées sur aucune donnée" et ignorent "les caractéristiques des épidémies de choléra, tel que le lieu où les gens ont été infectés par le choléra, comment ils ont été immunisés et le rôle des interventions humaines en matière notamment de distribution d'eau ou de vaccination", ajoute l'étude.

Les résultats, publiés par la version en ligne de la revue, laissent supposer qu'une combinaison d'accès à de l'eau potable, de vaccination orale et d'usage accru d'antibiotiques pourrait sauver des milliers de vie.

Les chercheurs ont développé une série de modèles mathématiques pour prédire les différents résultats lorsque les trois variables sont modifiées.

Ceux-ci ont permis d'estimer qu'il y aurait 779.000 cas de choléra dont 11.000 pourraient être mortels entre le 1er mars et le 30 novembre 2011. Si les trois variables étaient appliquées, les prévisions seraient de 170.000 cas et 3.400 morts.

Le nombre de morts du choléra a atteint 4.672 cinq mois après que l'épidémie s'est déclarée dans le pays, a indiqué la semaine dernière le ministère haïtien de la santé.
http://news.fr.msn.com/m6-actualite/monde/article.aspx?cp-documentid=156515810

Josué

Josué
Administrateur

Des traces d'iode radioactif dans l'eau du robinet !
19 mars 2011 à 13h00 -





Aujourd'hui, l'électricité sera peut-être rétablie sur quatre réacteurs de la centrale nucléaire de Fukushima, gravement endommagée lors du séisme du 11 mars. Un signe d'espoir pour les Japonais. Ce qui l'est moins, c'est que des niveaux anormaux de radioactivité ont été relevés dans du lait et des épinards et que des traces d'iode radioactif, trouvées dans l'eau du robinet. [Vidéos]
http://www.letelegramme.com/ig/generales/france-monde/monde/japon-des-traces-d-iode-radioactif-dans-l-eau-du-robinet-19-03-2011-1240547.php

Josué

Josué
Administrateur

Le Japon a déclenché samedi une première alerte à la contamination de produits alimentaires à proximité de la centrale de Fukushima, où les secours poursuivaient 24 heures sur 24 la lutte pour éviter une catastrophe nucléaire de grande ampleur.


AFP
Le nombre des morts confirmés et des personnes portées disparues à la suite du séisme et du tsunami au Japon approchent désormais les 20.000, huit jours après la catastrophe, a annoncé samedi la police.

L'agence de la police nationale a indiqué que le nombre de morts confirmés atteignait 7.653 et celui des personnes portées disparues 11.746, soit un total de 19.399, à 23H00 locales (14HOO GMT) samedi après la catastrophe du 11 mars dans le nord-est du Japon.

Toutefois les autorités craignent que ce bilan ne soit encore loin de la réalité, de vastes zones d'habitations situées sur la côte du Pacifique de l'île de Honshu ayant été dévastées.

La population a été prévenue que des taux de radioactivité anormaux avaient été relevés sur du lait et des épinards produits dans le nord-est, ainsi que dans l'eau du robinet à Tokyo et ses environs.

Le niveau de contamination "ne présente pas de risques immédiats pour la santé. Je vous demande de rester sereins", a déclaré Yukio Edano, le porte-parole du gouvernement, en faisant référence au lait et aux épinards.

Pour l'eau, les doses d'iode radioactif (iode 131) et de césium 137 retrouvées sont nettement inférieures au seuil légal, a précisé le ministère des Sciences.

La limite légale pour la teneur en iode 131 a cependant été ponctuellement dépassée le 17 mars dans l'eau courante d'une municipalité de la préfecture de Fukushima située à 45 kilomètres de la centrale. Le niveau est redescendu bien en-dessous dès le lendemain, selon les relevés effectués.

Les autorités avaient pris les devants en ordonnant jeudi aux autorités locales d'effectuer des tests de radioactivité et en fixant des seuils légaux pour plusieurs types d'aliments.

Les Japonais accordent une attention extrême à la qualité de leur alimentation et à l'hygiène en général.

Ils ont continué à suivre heure par heure la course contre la montre engagée à Fukushima par quelque dizaines d'électriciens, de pompiers et d'ingénieurs pour éviter que l'accident nucléaire le plus grave depuis Tchernobyl ne dégénère encore plus.

Leur priorité est le rétablissement de l'alimentation électrique pour les six réacteurs endommagés à partir de la ligne à haute tension tirée vendredi de l'extérieur de la centrale.

Mais les secours n'ont pas réussi à alimenter un premier réacteur dès samedi comme les autorités l'avaient prévu.

"L'électricité n'a pas encore été rétablie car il faut faire plusieurs vérifications, des zones baignant dans l'eau de mer", sans provoquer de court-circuit, a expliqué un porte-parole de l'opérateur Tokyo Electric Power (Tepco), Fumiaki Hayakawa.

Les autorités espèrent que les réacteurs 2 et 1 pourront être alimentés dimanche, avant de faire de même avec les 3 et 4, les plus endommagés.

Un générateur diesel de secours fait actuellement fonctionner les systèmes de refroidissement des réacteurs 5 et 6, les moins touchés.

Les techniciens ont une énorme pression sur les épaules car le rétablissement de l'électricité est essentiel pour relancer les pompes qui fournissent de l'eau au système de refroidissement des réacteurs et remplissent les piscines où est entreposé le combustible usé.

Leur assèchement menace de libérer d'importantes quantités de radioactivité dans l'environnement.

En attendant, les autorités continuaient de refroidir les installations à l'aide de camions citernes équipés de canon à eau, qui devraient désormais opérer 24 heures sur 24, selon le ministre de la Défense Toshimi Kitazawa.

Les autorités nippones affirment pour l'heure que les niveaux de radiation relevés ne sont pas dangereux au-delà d'une zone de 30 km autour de la centrale.

Mais la défiance est forte parmi les habitants des régions alentour face aux informations jugées trop techniques et parcellaires données par le gouvernement.

"Je veux juste que le gouvernement nous dise la vérité", a déclaré Teechi Sagama, un directeur d'école de Miyako, au milieu de la zone dévastée.

Pour tenter de rassurer la population, l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA) va effectuer des mesures de radioactivité à Tokyo, distinctes de celles du gouvernement.

Dans les pays étrangers, les craintes demeurent également élevées malgré les messages rassurants des organisations internationales comme l'OMS.

Selon le ministère américain de l'Energie, des traces d'une radioactivité "minuscule" provenant de Fukushima ont été détectées vendredi en Californie pour la première fois.

Le bilan humain du séisme et du tsunami qui ont dévasté le nord-est du pays le 11 mars s'est encore aggravé avec 7.320 morts confirmés et 11.300 personnes toujours portées disparues.

Alors que les espoirs de retrouver des survivants se sont évanouis, les soldats croyaient avoir découvert samedi un "miraculé" dans les décombres d'une maison. Mais ce jeune homme, retrouvé "en état de choc", était en fait simplement rentré chez lui.

"Lorsqu'il a été transporté à l'hôpital, un pompier l'a reconnu et a déclaré aux sauveteurs que le jeune homme séjournait depuis une semaine dans un centre pour réfugiés", a expliqué un porte-parole de l'armée.

La situation humanitaire demeure précaire pour les quelque 400.000 sinistrés, confrontés aux risques sanitaires ainsi qu'aux pénuries d'eau courante et d'électricité dans certains centres d'hébergement.

Mais ils ont bénéficié samedi d'un réchauffement des températures, glaciales ces derniers jours, qui ne pourrait être que temporaire, de la pluie et de la neige étant prévues pour dimanche.

"Une grande proportion des évacués sont des personnes âgées, qui souffrent de rester allongées dans des gymnases, avec des couvertures fines et pas suffisamment de chauffage", a témoigné Patrick Fuller, porte-parole de la Fédération Internationale de la Croix Rouge.

La construction de 200 maisons temporaires a débuté dans la préfecture d'Iwate, où un programme de 8.800 nouveaux logements a été lancé.
Le Japon a déclenché samedi une première alerte à la contamination de produits alimentaires à proximité de la centrale de Fukushima, où les secours poursuivaient 24 heures sur 24 la lutte pour éviter une catastrophe nucléaire de grande ampleur.


AFP
Le nombre des morts confirmés et des personnes portées disparues à la suite du séisme et du tsunami au Japon approchent désormais les 20.000, huit jours après la catastrophe, a annoncé samedi la police.

L'agence de la police nationale a indiqué que le nombre de morts confirmés atteignait 7.653 et celui des personnes portées disparues 11.746, soit un total de 19.399, à 23H00 locales (14HOO GMT) samedi après la catastrophe du 11 mars dans le nord-est du Japon.

Toutefois les autorités craignent que ce bilan ne soit encore loin de la réalité, de vastes zones d'habitations situées sur la côte du Pacifique de l'île de Honshu ayant été dévastées.

La population a été prévenue que des taux de radioactivité anormaux avaient été relevés sur du lait et des épinards produits dans le nord-est, ainsi que dans l'eau du robinet à Tokyo et ses environs.

Le niveau de contamination "ne présente pas de risques immédiats pour la santé. Je vous demande de rester sereins", a déclaré Yukio Edano, le porte-parole du gouvernement, en faisant référence au lait et aux épinards.

Pour l'eau, les doses d'iode radioactif (iode 131) et de césium 137 retrouvées sont nettement inférieures au seuil légal, a précisé le ministère des Sciences.

La limite légale pour la teneur en iode 131 a cependant été ponctuellement dépassée le 17 mars dans l'eau courante d'une municipalité de la préfecture de Fukushima située à 45 kilomètres de la centrale. Le niveau est redescendu bien en-dessous dès le lendemain, selon les relevés effectués.

Les autorités avaient pris les devants en ordonnant jeudi aux autorités locales d'effectuer des tests de radioactivité et en fixant des seuils légaux pour plusieurs types d'aliments.

Les Japonais accordent une attention extrême à la qualité de leur alimentation et à l'hygiène en général.

Ils ont continué à suivre heure par heure la course contre la montre engagée à Fukushima par quelque dizaines d'électriciens, de pompiers et d'ingénieurs pour éviter que l'accident nucléaire le plus grave depuis Tchernobyl ne dégénère encore plus.

Leur priorité est le rétablissement de l'alimentation électrique pour les six réacteurs endommagés à partir de la ligne à haute tension tirée vendredi de l'extérieur de la centrale.

Mais les secours n'ont pas réussi à alimenter un premier réacteur dès samedi comme les autorités l'avaient prévu.

"L'électricité n'a pas encore été rétablie car il faut faire plusieurs vérifications, des zones baignant dans l'eau de mer", sans provoquer de court-circuit, a expliqué un porte-parole de l'opérateur Tokyo Electric Power (Tepco), Fumiaki Hayakawa.

Les autorités espèrent que les réacteurs 2 et 1 pourront être alimentés dimanche, avant de faire de même avec les 3 et 4, les plus endommagés.

Un générateur diesel de secours fait actuellement fonctionner les systèmes de refroidissement des réacteurs 5 et 6, les moins touchés.

Les techniciens ont une énorme pression sur les épaules car le rétablissement de l'électricité est essentiel pour relancer les pompes qui fournissent de l'eau au système de refroidissement des réacteurs et remplissent les piscines où est entreposé le combustible usé.

Leur assèchement menace de libérer d'importantes quantités de radioactivité dans l'environnement.

En attendant, les autorités continuaient de refroidir les installations à l'aide de camions citernes équipés de canon à eau, qui devraient désormais opérer 24 heures sur 24, selon le ministre de la Défense Toshimi Kitazawa.

Les autorités nippones affirment pour l'heure que les niveaux de radiation relevés ne sont pas dangereux au-delà d'une zone de 30 km autour de la centrale.

Mais la défiance est forte parmi les habitants des régions alentour face aux informations jugées trop techniques et parcellaires données par le gouvernement.

"Je veux juste que le gouvernement nous dise la vérité", a déclaré Teechi Sagama, un directeur d'école de Miyako, au milieu de la zone dévastée.

Pour tenter de rassurer la population, l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA) va effectuer des mesures de radioactivité à Tokyo, distinctes de celles du gouvernement.

Dans les pays étrangers, les craintes demeurent également élevées malgré les messages rassurants des organisations internationales comme l'OMS.

Selon le ministère américain de l'Energie, des traces d'une radioactivité "minuscule" provenant de Fukushima ont été détectées vendredi en Californie pour la première fois.

Le bilan humain du séisme et du tsunami qui ont dévasté le nord-est du pays le 11 mars s'est encore aggravé avec 7.320 morts confirmés et 11.300 personnes toujours portées disparues.

Alors que les espoirs de retrouver des survivants se sont évanouis, les soldats croyaient avoir découvert samedi un "miraculé" dans les décombres d'une maison. Mais ce jeune homme, retrouvé "en état de choc", était en fait simplement rentré chez lui.

"Lorsqu'il a été transporté à l'hôpital, un pompier l'a reconnu et a déclaré aux sauveteurs que le jeune homme séjournait depuis une semaine dans un centre pour réfugiés", a expliqué un porte-parole de l'armée.

La situation humanitaire demeure précaire pour les quelque 400.000 sinistrés, confrontés aux risques sanitaires ainsi qu'aux pénuries d'eau courante et d'électricité dans certains centres d'hébergement.

Mais ils ont bénéficié samedi d'un réchauffement des températures, glaciales ces derniers jours, qui ne pourrait être que temporaire, de la pluie et de la neige étant prévues pour dimanche.

"Une grande proportion des évacués sont des personnes âgées, qui souffrent de rester allongées dans des gymnases, avec des couvertures fines et pas suffisamment de chauffage", a témoigné Patrick Fuller, porte-parole de la Fédération Internationale de la Croix Rouge.

La construction de 200 maisons temporaires a débuté dans la préfecture d'Iwate, où un programme de 8.800 nouveaux logements a été lancé.

Josué

Josué
Administrateur

LE POINT.FR
De la fumée a commencé à s'échapper lundi en fin d'après-midi, heure locale, du réacteur n° 2 de la centrale nucléaire de Fukushima (nord-est du Japon), mais celle qui sortait du réacteur n° 3 s'est arrêtée, a indiqué l'Agence de sûreté nucléaire. "Vers 18 h 20 (10 h 20, heure de Paris), une fumée blanche a commencé de sortir d'une fissure dans le toit du réacteur n° 2", a précisé un porte-parole. Des travaux de réparation étaient alors en cours au niveau de ce réacteur afin de remettre en service une partie des équipements, notamment dans la salle de contrôle.

Deux heures auparavant, une autre fumée, passant du gris au noir, avait commencé à s'échapper du réacteur n° 3, mais elle n'a pas duré. "Tepco nous a informés que de la fumée noire provenait du réacteur n° 3, mais elle s'est arrêtée à 18 h 02 et le niveau de radiation est resté stable", a affirmé un porte-parole de l'Agence. L'Agence n'a pas donné d'explications sur l'origine de cet incident, mais selon les spécialistes, il ne s'agissait pas de vapeur mais d'une fumée provenant de quelque chose qui a brûlé.

Le réacteur n° 3 a subi les plus lourds dégâts après le séisme et le tsunami du 11 mars (consultez notre dossier spécial : Japon, la grande peur). Le réacteur n° 3 est au centre des préoccupations depuis plusieurs jours. Gravement touché par une explosion qui a soufflé la partie supérieure du bâtiment, il est chargé de combustible MOX, un mélange d'oxydes d'uranium et de plutonium, dont les rejets sont particulièrement nocifs.

Lente progression

Le Premier ministre Naoto Kan a déclaré lundi que les efforts entrepris pour stabiliser la situation de la centrale permettaient de progresser, lentement mais de façon régulière. Les six réacteurs ont ainsi été connectés à l'alimentation électrique, mais les équipements doivent être testés par les techniciens avant d'être alimentés, pour éviter un court-circuit. Selon la télévision publique NHK, ces vérifications pourraient encore prendre deux à trois jours. Le système de refroidissement du seul réacteur 5, à l'arrêt pour maintenance lors du séisme et qui n'a pas subi d'explosion, fonctionnait normalement lundi. Un responsable de l'Agence de sûreté nucléaire a annoncé que la salle de contrôle du réacteur 2 pourrait être remise en service dès lundi. "Il est possible que certains équipements puissent fonctionner aujourd'hui, comme le système de climatisation et de ventilation", a-t-il expliqué.

La population restait néanmoins en alerte, notamment les 35 millions d'habitants de la région de Tokyo qui craignaient que le vent du nord soufflant sur la centrale ne charrie des substances radioactives jusque dans la capitale, à 250 kilomètres au sud-ouest. Le gouvernement tente de rassurer la population en répétant que le niveau de radioactivité présent dans la pluie, l'eau du robinet ou dans certains aliments autour des réacteurs endommagés par le séisme et le tsunami ne menace pas la santé.

Josué

Josué
Administrateur

[img]Dix craintes pour la nouvelle décennie. Ger19633 [/img]

Josué

Josué
Administrateur

La crainte d'une contamination radioactive s'est renforcée mardi au Japon, les autorités ne parvenant toujours pas à écarter le danger à la centrale accidentée de Fukushima, dont les rejets menacent désormais les produits de la mer.


Jiji Press/AFP
Les différents organismes publics ont continué mardi à répéter que le niveau de radioactivité décelé dans la pluie, l'eau du robinet, ou dans certains aliments autour des réacteurs endommagés ne menaçait pas la santé.

Le ministère de la Santé a cependant demandé aux préfectures de Chiba et Ibaraki, à l'est de Tokyo, d'intensifier leurs contrôles sur les poissons et mollusques pêchés le long des côtes.

Des taux d'iode 131 et de césium 134, respectivement 126,7 fois et 24,8 fois plus élevés que les normes fixées par le gouvernement, ont été mesurés lundi dans l'eau de mer près de Fukushima, à 250 km au nord de la mégapole de Tokyo et de ses 35 millions d'habitations.

La teneur de césium 137 était également 16,5 fois plus élevée que la normale, a indiqué la firme Tokyo Electric Power (Tepco), assurant que ces niveaux de radioactivité ne constituaient pas une menace pour la santé humaine.

L'Agence des pêches a relevé de son côté que les pêcheurs n'avaient pas pu encore reprendre le travail, onze jours après que les bateaux et les ports ont été dévastés par l'énorme tsunami déclenché par le séisme de magnitude 9.

Cette double catastrophe, la pire épreuve traversée par le Japon depuis la deuxième guerre mondiale, a fait près de 23.000 morts et disparus, dont 9.199 décès confirmés, selon un nouveau bilan toujours provisoire établi mardi soir par la Police nationale.

Par ailleurs, dans le but d'éviter de nouveaux rejets radioactifs, les travaux se poursuivaient mardi pour tenter de réactiver les systèmes de refroidissement des réacteurs.

Ces efforts qui s'éternisent depuis les premiers incidents survenus le 12 mars, au péril de la santé des pompiers et des techniciens exposés à de forts rayonnements ionisants, ont été entravés lundi après-midi par le dégagement de fumées inquiétantes s'échappant du réacteur 3.

Une élévation de température a aussi été constatée dans la piscine de désactivation du réacteur 2, se matérialisant par un panache de vapeur blanche.

Les enceintes de confinement des réacteurs de la centrale ne sont pas gravement endommagées, malgré la poursuite des rejets radioactifs, a indiqué mardi l'AIEA.

"Nous avons suffisamment d'informations pour déterminer qu'il n'y a pas de grands trous ou des rejets excessifs de ces enceintes de confinement. Mais nous voyons toujours des radiations provenir de ce site", a expliqué James Lyons, directeur de la sûreté des installations nucléaires à l'Agence internationale pour l'énergie atomique, dont le siège est à Vienne.

La centrale de Fukushima Daiichi (N°1) a été gravement endommagée par la secousse tellurique suivie d'une énorme vague de 14 mètres de haut. Tepco estimait jusqu'à présent que le tsunami venu de l'Océan Pacifique était de 10 mètres.

Mais le rétablissement des systèmes de refroidissement des réacteurs, essentiel pour éviter une fusion du combustible nucléaire, prend plus de temps que prévu.

En attendant, les techniciens ont commencé à utiliser un camion allemand équipé d'une pompe à béton articulée pour verser de l'eau par dessus le toit endommagé du réacteur 4.

Un autre engin, doté d'un immense bras articulé, était en route mardi de Chine vers le Japon, où il devrait être déployé à Fukushima pour arroser les installations.

Ce véhicule est normalement utilisé pour couler du béton sur des chantiers de bâtiments élevés. Il peut atteindre une hauteur de 62 mètres, selon son constructeur, le groupe chinois Sany, spécialisé dans la machinerie lourde de chantier.

Le réacteur 3, qui a subi les plus lourds dégâts, est celui des six du site qui inquiète le plus les autorités.

Toutefois, en fin de journée, l'électricité a été partiellement rétablie dans la salle de contrôle de cette unité, ce qui devrait permettre de relancer progressivement certaines fonctions, la plus importante étant l'alimentation en eau de la piscine et de la cuve où se trouve du combustible radioactif.

Les réacteurs eux-mêmes ne seront jamais remis en service, mais leur combustible doit impérativement être refroidi et désactivé.

Un vice-président de la compagnie Tepco a présenté mardi ses excuses à la population forcée d'évacuer les environs du site.

"Notre entreprise a provoqué de l'anxiété et des nuisances aux habitants des environs des centrales, à ceux de la préfecture de Fukushima et du pays dans son ensemble", a déclaré Norio Tsuzumi, en s'inclinant profondément comme l'exige la tradition au Japon.

Malgré les incertitudes continuant de peser sur la centrale de Fukushima, les petits pas dans le bon sens effectués ces dernières heures ont été salués à la Bourse de Tokyo où l'indice Nikkei des 225 valeurs vedettes a bondi en clôture de 4,36%, les investisseurs se ruant sur les bonnes affaires après le plongeon de la semaine dernière.

Mais la machine industrielle restait détraquée, en raison de la désorganisation occasionnée par les dégâts directs sur les sites de production, de la rupture de la chaîne logistique, du rationnement d'essence et de la nécessité de minimiser la consommation électrique.

Les constructeurs automobiles nippons Toyota et Honda ont annoncé mardi qu'ils différaient le redémarrage de leurs chaînes d'assemblage au Japon en raison d'une pénurie de pièces détachées, tandis que le géant de l'électronique Sony a suspendu le travail dans plusieurs usines de l'archipel pour des raisons similaires.
Source a f p.

Josué

Josué
Administrateur

AFP, Mise a jour : 23 mars 2011
Radioactivité: l'eau polluée à Tokyo, la peur gagne le reste du monde
Les 13 millions d'habitants de Tokyo ont reçu pour consigne mercredi de ne plus utiliser pour les bébés l'eau du robinet, polluée par la radioactivité de la centrale de Fukushima qui suscite des craintes de contamination alimentaire au Japon et désormais au-delà.


Jiji Press/AFP
Douze jours après le séisme et le tsunami dans le nord-est du pays, qui ont fait plus de 24.000 morts et disparus dont 9.452 décès confirmés, les autorités nippones ne parvenaient toujours pas à écarter le danger nucléaire.

Une nouvelle fumée noire inquiétante car inexpliquée s'échappait mercredi en fin de journée du bâtiment abritant le réacteur 3 de la centrale accidentée, imposant l'évacuation d'une partie du personnel, a annoncé l'opérateur du site, Tokyo Electric Power (Tepco).

Ces nouveaux rejets à l'air libre, montrés par la télévision nationale, ont encore aggravé les peurs de contamination de la chaîne alimentaire.

Tokyo a indiqué avoir découvert dans son réseau d'eau des niveaux d'iode radioactif deux fois supérieurs à la norme autorisée pour les nourrissons.

Josué

Josué
Administrateur

Bilan humain
Deux semaines après le séisme de magnitude 9 et le tsunami qui ont dévasté le nord-est du Japon, le dernier bilan officiel fait état de 10.035 morts confirmés et 17.443 disparus.

Les prévisions les plus pessimistes le laissaient présager dès le lendemain de la catastrophe. Certaines villes ont été entièrement rasées par une vague qui a atteint, par endroits, 23 mètres de haut.

Bilan nucléaire
La centrale de Fukushima est toujours au centre des attentions. La situation reste critique. "Elle est imprévisible" a déclaré le premier ministre japonais, selon iTélé.

Vendredi, on apprend que le réacteur n°3, le premier à avoir montré des signes d'échauffement et avoir connu une explosion au lendemain de la catastrophe, pourrait être endommagé au niveau de sa cuve qui contient les barres de combustible.

"Il est en danger accru" explique le blog {sciences²} de Libération et il libérerait "une quantité importante de substances radioactives". Les autorités ont conseillé aux personnes habitant dans la "zone de confinement", située entre 20 et 30km autour de la centrale, de quitter les lieux pour cause de difficulté d'approvisionnement en denrées alimentaires. Il ne s'agit pas encore d'une évacuation forcée.

On a appris également vendredi que les travaux pour refroidir les réacteurs pourraient prendre encore un mois.

Deux techniciens intervenant au coeur de la centrale ont été hospitalisés jeudi après avoir été grièvement blessés.

Niveau radioactivité :
- une alerte mercredi a concerné l'eau du robinet à Tokyo, elle a été levée jeudi.
- des légumes contaminés ont été découverts dans la région de Tokyo.
- autour de la centrale, des légumes et les produits laitiers ont été interdits à la vente.

Deux personnes arrivant du Japon en Chine par un vol commercial ont été hospitalisées à leur arrivée pour un taux anormal de radioactivité.


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christelle

christelle

Quelle horrible catastrophe !

Que notre Bon Père Jéhovah leur mette du baume au coeur et leur permette d'endurer ces difficiles épreuves.

Josué

Josué
Administrateur

De l'iode radioactif dans l'océan à Fukushima.
SOURCE AFP
Le Japon a annoncé samedi avoir mesuré des niveaux d'iode radioactif 1 250 fois supérieurs à la norme légale en mer près de la centrale en péril de Fukushima, renforçant les craintes d'une rupture de l'étanchéité d'un ou de plusieurs réacteurs. Cette forte concentration aggrave les risques de contamination alimentaire par les produits de la mer dont raffolent les Japonais (consultez notre dossier spécial : "Japon, la grande peur").

Vendredi, le secrétaire général de l'ONU Ban Ki-moon a invité les États à "tirer des leçons" de la crise nucléaire en cours dans le nord-est du Japon. Quelques heures auparavant, le Premier ministre japonais Naoto Kan avait reconnu que l'évolution restait "imprévisible" à Fukushima-Daiichi (n° 1).

Le nouveau relevé d'iode 131 a été effectué vendredi par la compagnie d'électricité gérant le site, Tokyo Electric Power (Tepco), et rendu public samedi par l'Agence japonaise de sûreté nucléaire. "Si vous buvez 50 centilitres d'eau courante avec cette concentration d'iode, vous atteignez d'un coup la limite annuelle que vous pouvez absorber. C'est un niveau relativement élevé", a expliqué un porte-parole de l'Agence de sûreté. Il a toutefois ajouté que, si la radioactivité relâchée dans l'océan se diluait avec les marées, la quantité absorbée par les algues et animaux marins pourrait être moindre. "En outre, la concentration d'iode se réduit de moitié tous les huit jours. Donc lorsque les gens mangeront les produits de la mer, sa quantité aura probablement fortement diminué", a-t-il précisé.

Contrôle sur les poissons et fruits de mer

Tepco a néanmoins mesuré, en outre, une concentration presque 80 fois supérieure à la limite légale de césium 137, une substance radioactive dont la concentration ne se réduit de moitié que tous les 30 ans. Mardi, un taux d'iode avait été détecté à un niveau 126 fois supérieur à la limite fixée par le gouvernement dans l'océan Pacifique. Les pouvoirs publics nippons avaient alors annoncé un renforcement des contrôles sur les poissons et fruits de mer pêchés le long des côtes.

L'organisation écologiste Greenpeace a annoncé samedi qu'elle allait effectuer des relevés de radioactivité en dehors de la zone d'exclusion de 20 kilomètres autour de la centrale. Depuis le début de la crise, "les autorités ont en permanence donné l'impression de sous-estimer à la fois les risques et l'étendue de la contamination radioactive", a affirmé l'ONG.

Pour éviter une détérioration catastrophique de la situation à Fukushima, les techniciens, pompiers et militaires déployés sur place jour et nuit doivent absolument parvenir à faire baisser la température des réacteurs. Cela impose la remise en marche du circuit de refroidissement, mis hors service par le séisme et le tsunami qui ont frappé la région le 11 mars, y faisant 10 151 morts et 17 053 disparus selon un dernier bilan provisoire. Mais les opérations sont fréquemment entravées par des pics de radioactivité et des difficultés techniques, dans un danger permanent dû aux rayonnements.

Trois ouvriers hospitalisés

Tepco a indiqué samedi avoir découvert une nouvelle quantité d'eau fortement radioactive dans la centrale, faisant craindre un délai supplémentaire. "Une flaque d'eau fortement contaminée a été découverte au sous-sol du bâtiment de la turbine du réacteur n° 1", a confirmé un responsable de l'Agence de sûreté nucléaire. "Même si les raisons exactes (de la présence de cette eau radioactive) restent à éclaircir, il se pourrait que de l'eau de la cuve du réacteur ait fui par des tuyaux ou des valves endommagés reliant (le réacteur) au bâtiment de la turbine", a ajouté ce responsable.

De l'eau montant jusqu'à un mètre a également été découverte dans le sous-sol des bâtiments de la turbine des réacteurs n° 2 et 4, et des analyses sont actuellement effectuées pour vérifier si elle est polluée, a-t-il poursuivi. Trois ouvriers, chaussés seulement de bottines en caoutchouc, ont été contaminés jeudi par une flaque d'eau très fortement radioactive lors d'une intervention dans la turbine située derrière le réacteur n° 3. Deux ont dû être hospitalisés avec des brûlures aux pieds. Les opérations de refroidissement pourraient prendre encore au moins un mois, selon un responsable.

Josué

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Administrateur

AFP, Mise a jour : 29 mars 2011
Fukushima: le gouvernement en alerte maximum pour éviter une catastrophe
Le Premier ministre japonais Naoto Kan a assuré mardi que le gouvernement était "en alerte maximum" pour éviter que la centrale accidentée de Fukushima ne provoque une catastrophe écologique, après la découverte de plutonium dans le sol et de radioactivité dans l'eau de mer.


TEPCO via JIJI PRESS/AFP/Archives
Le puissant séisme de magnitude 9 et le gigantesque tsunami du 11 mars ont fait environ 28.000 morts et disparus dans le nord-est du Japon et endommagé les circuits de refroidissement des réacteurs de Fukushima Daiichi (N°1), provoquant une série d'accidents et des fuites radioactives.

Lors d'une réunion au parlement, M. Kan a reconnu que la situation restait "imprévisible" et affirmé que son gouvernement de centre-gauche allait "s'attaquer à ce problème dans un état d'alerte maximum".

Les opérations se poursuivent sur le site de la centrale afin de stabiliser la situation dans les réacteurs et d'y rétablir les circuits de refroidissement.

Il faut aussi limiter l'écoulement dans l'environnement des quantités d'eau de mer déversées en urgence les premiers jours pour refroidir les réacteurs, et remplacée récemment par de l'eau douce à cause des effets nocifs du sel sur les équipements.

Les craintes de pollution de l'environnement et de la chaîne alimentaire ont été renforcées après l'annonce lundi soir que des traces de plutonium avaient été décelées dans cinq prélèvements de terre effectués il y a une semaine dans l'enceinte de la centrale.

"Le plutonium vient probablement des barres de combustible", a affirmé le porte-parole du gouvernement, Yukio Edano.

Tokyo Electric Power (Tepco), l'opérateur du site, a cependant assuré que les taux de plutonium mesurés étaient sans danger pour la santé.

Les experts pensent que du combustible des réacteurs 1 à 4 a vraisemblablement commencé à fusionner dans les heures qui ont suivi le tsunami, dégageant des rejets radioactifs.

La centrale de Fukushima construite il y a plus de 40 ans sur la côte du Pacifique, à 250 km au nord de la mégapole de Tokyo, n'était pas conçue pour résister au tsunami de 14 mètres de haut qui a déferlé sur la zone.

"Nous ne pouvons pas nier que l'évaluation du danger d'un gros tsunami à l'époque a été largement erronée", a reconnu mardi M. Kan.

Un contrôle sur l'ensemble des sites nucléaires doit être effectué pour vérifier leur adéquation aux risques réels, a indiqué le porte-parole du gouvernement.

Toutefois le processus, qui pourrait déboucher sur un accident nucléaire majeur à Fukushima, semble pour l'instant avoir été enrayé par Tepco.

Le rayon d'évacuation reste maintenu à 20 km autour de la centrale, et celui de la mise à l'abri, compris entre 20 km et 30 km, n'a pas non plus été élargi.

Mardi, le courant a été en partie rétabli au niveau du réacteur quatre dont la salle de contrôle est de nouveau éclairée, comme c'est le cas déjà pour les réacteurs 1 à 3.

Des centaines d'ouvriers, pompiers et soldats se sont relayés jour et nuit depuis l'accident, parfois au péril de leur vie. Au moins dix-neuf personnes oeuvrant sur le site ont été exposées à des niveaux importants de radioactivité.

Conséquence des arrosages massifs, des milliers de mètres cubes d'eau contaminée ont inondé des bâtiments annexes des réacteurs et des tunnels techniques débouchant à l'air libre, à environ 60 mètres du rivage du Pacifique.

L'étanchéité de tous les puits de regard conduisant aux tunnels techniques doit être vérifiée, afin d'empêcher l'eau polluée de s'échapper, a indiqué Tepco.

L'opérateur n'exclut pas un ruissellement vers l'océan, où les niveaux de radioactivité sont montés à près de 2.000 fois la normale la semaine dernière avant de retomber à 30 fois seulement lundi.

Les travaux de pompage de cette eau vont être compliqués, car les techniciens doivent trouver un moyen de la transvaser dans des réservoirs sans s'exposer à des doses mortelles de radiations.

La présidente d'Areva Anne Lauvergeon va se rendre au Japon, ainsi que cinq experts du groupe nucléaire public français spécialisés dans la décontamination des effluents radioactifs et la gestion des piscines d'entreposage des combustibles usés.

Des experts français de la compagnie d'électricité EDF et du Commissariat à l'énergie atomique (CEA) vont aussi se rendre au Japon pour aider Tepco à traiter l'eau radioactive.

Par ailleurs, le président français Nicolas Sarkozy est attendu jeudi à Tokyo pour une brève visite destinée à manifester la solidarité des pays du G20 au Japon, un peu moins de trois semaines après la catastrophe.

Josué

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LE POINT.FR
Les niveaux systématiquement élevés de radioactivité relevés en mer au large de la centrale atomique de Fukushima-Daiichi, dans le nord du Japon, signifient probablement que des substances radioactives s'écoulent en permanence dans la mer, a déclaré, jeudi, l'Agence de sûreté nucléaire japonaise. "C'est une possibilité", a reconnu le directeur général adjoint de cette agence, Hidehiko Nishiyama, lors d'une conférence de presse, en ajoutant qu'il ignorait où pouvaient se produire les fuites radioactives.

L'agence a indiqué jeudi que la radioactivité dans l'eau de mer au large de la centrale avait augmenté et était désormais 4 385 fois supérieure à la limite admise. Il s'agit du taux le plus élevé d'iode radioactif relevé en mer depuis le tsunami du 11 mars, qui a gravement endommagé la centrale. Mercredi, l'Agence de sûreté nucléaire parlait d'une radioactivité au même endroit 3 355 fois supérieure à la limite admise. L'agence a suggéré d'autre part au gouvernement japonais d'envisager d'étendre la zone d'évacuation décrétée autour de la centrale accidentée.

Josué

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LE POINT.FR
Jusqu'à un millier de corps de personnes tuées par le séisme et le tsunami du 11 mars au Japon (consultez notre dossier : Japon, la grande peur) n'ont pas été ramassés car ils se trouvent dans la zone d'exclusion autour de la centrale de Fukushima, où le niveau des rayonnements ionisants est élevé, a rapporté vendredi la presse. Les autorités avaient dans un premier temps prévu de récupérer et transporter ces cadavres en dehors de cette zone de 20 km de rayon d'où les rescapés ont été évacués. Mais elles ont reconsidéré ce projet, a précisé l'agence Kyodo en citant des sources policières.

Les cadavres ont en effet été "exposés à de forts niveaux de rayonnements post mortem", a indiqué l'une de ces sources, non identifiée. La police locale a donc décidé de ne pas procéder à la collecte des cadavres. Décontaminer ces corps sur place rendrait encore plus difficile leur identification ultérieure. Et les rendre tels quels aux familles causerait des dangers de pollutions aériennes radioactives lors de leur crémation, a précisé Kyodo. Les autorités nippones n'ont pour l'instant fait évacuer qu'un rayon de 20 km autour de la centrale d'où s'échappent des rejets atomiques, conseillant aux habitants situés entre 20 et 30 km de rester cloîtrés chez eux ou de partir.

L'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA) et l'organisation écologique Greenpeace préconisent d'élargir cette zone d'exclusion. La centrale de Fukushima-Daiichi (Fukushima 1) a été inondée par le tsunami du 11 mars qui a provoqué une panne de ses systèmes de refroidissement, des incidents en chaîne, des explosions et des pollutions radioactives dans la zone. Près de 28 000 personnes sont mortes ou portées disparues lors du séisme et du tsunami qui ont frappé le nord-est du Japon, selon un bilan officiel provisoire.

Josué

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De l'eau contaminée s'écoule en mer. La centrale nucléaire s'apprête à injecter du béton pour colmater la fuite.

L'opérateur de la centrale nucléaire de Fukushima-Daiichi, au Japon, a annoncé ce samedi la découverte d'une fissure sur une structure en béton du réacteur n°2 et indique que de l'eau radioactive s'écoule en mer.
Selon la Tokyo Electric Power (Tepco), la radioactivité mesurée à cet endroit est de 1000 milliSieverts par heure.

Josué

Josué
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AFP, Mise a jour : 4 avril 2011
Fukushima: rejet de milliers de tonnes d'eau radioactive dans l'océan
L'opérateur de la centrale nucléaire accidentée de Fukushima va rejeter 11.500 tonnes d'eau faiblement radioactive dans l'océan afin de permettre aux ouvriers de réparer les circuits de refroidissement des réacteurs et éviter une catastrophe pire que Tchernobyl.


AFP/JiJiPress/Archives
Le Japon a d'autre part laissé entendre lundi que le désastre survenu le 11 mars dans le nord-est et l'accident nucléaire pourraient avoir un impact sur sa politique climatique et la réduction des gaz à effet de serre.

Plus de trois semaines après cette tragédie, le bilan toujours provisoire de la police s'établit à 12.157 morts confirmés et 15.496 disparus, dont les corps ont très probablement été emportés au large par le raz-de-marée.

La centrale Fukushima Daiichi (N°1), située au bord de l'océan Pacifique à quelque 250 km au nord de la mégapole de Tokyo et de ses 35 millions d'habitants, n'a pas résisté à une vague géante de 14 mètres.

Le système d'alimentation électrique des six réacteurs est tombé en panne, stoppant net les pompes de refroidissement du combustible nucléaire. Quatre réacteurs ont alors commencé à chauffer dangereusement, provoquant des explosions et des dégagements de fumée radioactives.

Après avoir déversé des dizaines de milliers de tonnes d'eau sur les installations jour et nuit, les ouvriers, pompiers et soldats sont parvenus à empêcher les barres de combustible d'entrer en fusion et éviter une catastrophe nucléaire beaucoup plus grave que celle de Tchernobyl en 1986.

Mais ce "lessivage" a provoqué d'énormes inondations dans les bâtiments et les galeries souterraines, qui sont envahis par des milliers de tonnes d'eau radioactive, ce qui entrave les travaux de remise en état du réseau électrique et des circuits de refroidissement.

Le porte-parole du propriétaire et opérateur de la centrale, Tokyo Electric Power (Tepco), a rappelé que de l'eau hautement contaminée s'est accumulée dans les salles des machines, en particulier dans celle du réacteur 2, avec un taux de radioactivité supérieur à 1.000 millisieverts par heure, ce qui empêche toute activité humaine.

"Il est nécessaire de la transvaser dans des réservoirs prévus pour le traitement des déchets. Mais ils sont actuellement remplis de 10.000 tonnes d'eau faiblement radioactive. Il faut rejeter cette eau afin de faire de la place", a-t-il expliqué.

Le représentant de Tepco a affirmé que ces rejets n'auraient pas de conséquence sur la santé.

"Un adulte peut être exposé à une radioactivité d'environ 0,6 millisievert pendant un an s'il consomme chaque jour des algues et des produits de la mer de cette région. Dans l'environnement naturel, les gens sont exposés à des radiations de 2,4 millisieverts par an", a-t-il déclaré.

Une partie de l'eau contaminée provenant du réacteur 2 s'écoule dans l'océan par une brèche de 20 cm découverte dans une fosse surplombant la mer.

Deux tentatives de colmatage à l'aide de ciment, puis d'un mélange de polymères, de papier journal et de sciure, ont déjà échoué. Lundi, les ouvriers ont décidé d'injecter du colorant blanc dans les nappes d'eau en amont afin de voir d'où provient cet écoulement.

Alors que les travaux s'éternisent à Fukushima Daiichi, les grandes entreprises japonaises s'inquiètent de l'impact de la catastrophe sur la troisième économie mondiale.

Selon les données publiées lundi par la Banque du Japon, la prévision de confiance des importantes sociétés manufacturières nippones pour le trimestre d'avril à juin est tombé à -2 points, contre +3 avant ce drame.

Le vice-ministre en charge des Affaires environnementales, Hideki Minamikawa, a de son côté laissé entendre que cette série de catastrophes pourraient influer sur la politique climatique du Japon.

"Il est trop tôt pour évaluer l'impact des récents développements sur l'offre et la demande énergétique, l'économie japonaise en général ou nos politiques en matière de changement climatique à l'avenir", a déclaré dimanche M. Minamikawa, à la reprise des négociations sur le climat à Bangkok.

"Ce qui est clair, c'est que le gouvernement japonais doit d'abord se concentrer sur les efforts immédiats à fournir pour soulager les survivants, la reconstruction et toutes les mesures possibles pour contrôler à nouveau la centrale nucléaire endommagée", a-t-il ajouté.

Josué

Josué
Administrateur

Fort séisme dans le nord-est du Japon
Le Point.fr - Publié le 07/04/2011 à 16:54 - Modifié le 07/04/2011 à 17:07
La secousse a atteint une magnitude de 7,4 sur l'échelle de Richter. Un tsunami de deux mètres pourrait frapper les côtes japonaises.

David



Mat 24:7 ce vérifie

Fréquence des tremblements de terre depuis 1900 jusqu'en 2008


http://www.thehorizonproject.com/earthquakes.cfm

Ceci en tant que TJ nous rassurent et nous montre bien que nous vivons les temps de la fin.

Josué

Josué
Administrateur

David a écrit:Mat 24:7 ce vérifie

Fréquence des tremblements de terre depuis 1900 jusqu'en 2008


http://www.thehorizonproject.com/earthquakes.cfm

Ceci en tant que TJ nous rassurent et nous montre bien que nous vivons les temps de la fin.
bonjour DAVID
oui ça confirme les écritures.

Mikael

Mikael
MODERATEUR
MODERATEUR

LE POINT.FR
L'Agence japonaise de sûreté nucléaire a élevé mardi au niveau maximum de 7 l'accident nucléaire de la centrale de Fukushima. Celui-ci est donc désormais placé au même degré de gravité que la catastrophe nucléaire de Tchernobyl sur l'échelle des événements nucléaires et radiologiques (INES). La décision a été prise "sur la base des mesures d'iode et de césium relevés dans l'environnement". Toutefois, l'agence japonaise a précisé que le niveau des émissions radioactives enregistré depuis le début de l'accident nucléaire de Fukushima n'équivalait qu'à 10 % de celui mesuré en 1986 après la catastrophe de la centrale située en Ukraine. "Nous allons continuer de surveiller la situation. C'est un niveau provisoire", a précisé un responsable de l'agence, avant d'ajouter que la décision définitive de classer cet accident au niveau 7 serait prise ultérieurement par un comité d'experts internationaux.

Jusqu'à présent, seule la catastrophe de Tchernobyl a été classée à ce degré maximal de l'échelle internationale de l'INES. Le niveau 7 signifie qu'un "rejet majeur de matières radioactives" s'est produit avec "des effets considérables sur la santé et l'environnement". "Nous n'avons pas déploré les mêmes irradiations de personnes. Il y a eu des rejets à Fukushima de vapeurs et de fumées, mais pas de même ampleur ni de même nature qu'à Tchernobyl", a cependant mis en exergue un porte-parole de l'Agence japonaise de sûreté nucléaire. Selon l'échelle INES évaluant la gravité des incidents nucléaires, le niveau 0 correspond à l'absence d'anomalie et le niveau 7, le plus important, à un "accident majeur". L'agence japonaise avait jusqu'à présent classé l'accident au niveau 5, correspondant à un "accident ayant des conséquences étendues", tandis que son homologue française l'évaluait à 6, le niveau d'un "accident grave".

Quatre-vingt mille personnes évacuées

Fukushima-Daiichi est gravement endommagée depuis qu'elle a été touchée par un très violent séisme de magnitude 9 et un tsunami géant, le 11 mars. Les systèmes de refroidissement habituels des réacteurs sont en panne, ce qui a entraîné des explosions et des rejets radioactifs dans l'atmosphère et dans l'océan Pacifique. Quatre-vingt mille personnes ont dû être évacuées dans un rayon de 20 km autour de la centrale, et le gouvernement a ajouté lundi quelques localités situées plus loin à la liste des zones à quitter. Des légumes verts et du lait provenant des alentours ont été retirés de la vente pour cause de radioactivité excessive, et plusieurs pays étrangers ont pris des mesures de contrôle renforcé, voire d'interdiction de produits alimentaires nippons.

Les autorités tentent d'empêcher cet accident de dégénérer en catastrophe majeure en déversant d'importantes quantités d'eau dans les réacteurs pour empêcher le combustible nucléaire de fusionner. Les techniciens de l'opérateur du site essaient par ailleurs de réparer les installations en espérant pouvoir relancer le système de refroidissement habituel des réacteurs. Lors de ces opérations, trois employés ont été irradiés après avoir marché sans équipement approprié dans de l'eau fortement radioactive ayant inondé une salle des turbines d'un des six réacteurs.

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