Dimanche 21 avril Quel sera le signe […] de la période finale du monde ? (Mat. 24:3).

Dimanche 21 avril


Quel sera le signe […] de la période finale du monde ? (Mat. 24:3).


Concernant le moment où viendrait la destruction de Jérusalem ainsi que la « période finale du monde », période que nous vivons aujourd’hui, Jésus avait dit : « Ce jour-là et cette heure-là, personne ne les connaît, ni les anges dans le ciel ni le Fils, mais seulement le Père. » Après quoi, il avait vivement recommandé à tous ses disciples de ‘rester éveillés’ et d’‘être vigilants’ (Marc 13:32-37). Et en effet, les Juifs chrétiens du 1er siècle devaient à tout prix rester vigilants ; leur vie en dépendait. Jésus avait dit à ses disciples : « Quand vous verrez Jérusalem encerclée par des armées, sachez que sa dévastation est proche. » À ce moment indiqué par Jésus, les chrétiens devraient obéir à son ordre : « Fuir vers les montagnes » (Luc 21:20, 21). Lorsque les Romains ont détruit Jérusalem, les chrétiens qui ont tenu compte de cet avertissement ont eu la vie sauve. Pareillement, nous qui vivons au temps de la fin de ce monde mauvais, nous devons garder notre bon sens et être vigilants.


w23.02 14 § 1-2 ; 16 § 3.

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La leçon à retenir et de rester éveillé.

Si les chrétiens des siècles passés ont eu de bonnes raisons de continuer d’attendre, les chrétiens d’aujourd’hui en ont d’autant plus. Pourquoi ? Parce que nous vivons durant la présence de Christ. Le signe de sa présence est visible depuis 1914. Et ce signe à aspects multiples, parmi lesquels l’aggravation des conditions mondiales et la prédication du Royaume sur toute la terre, indique que « l’achèvement du système de choses » est en cours (Mat. 24:3, 7-14). Mais Jésus n’a pas révélé combien de temps durerait cette période avant que la fin n’arrive. Il nous faut donc être particulièrement vigilants.

Tout en attendant la fin de l’actuel système de choses, obéissons à ces paroles que Dieu a inspirées au disciple Jude : « Bien-aimés, en vous bâtissant sur votre très sainte foi, et en priant avec de l’esprit saint, gardez-​vous dans l’amour de Dieu, tandis que vous attendez la miséricorde de notre Seigneur Jésus Christ pour la vie éternelle » (Jude 20, 21). 

présence. Dans certains passages des Écritures grecques chrétiennes, ce mot désigne la présence royale de Jésus Christ à partir de son intronisation invisible comme Roi messianique pendant les derniers jours du monde actuel. La présence de Jésus n’est pas simplement une venue ponctuelle suivie d’un départ rapide, mais bien une présence qui dure un certain temps et correspond à une période marquée par des évènements particuliers (Mt 24:3).

Marc 13:32, Jé: “Quant à la date de ce jour, ou à l’heure, personne ne les connaît, ni les anges dans le ciel, ni le Fils, personne que le Père.” (Il va de soi que ce ne serait pas le cas si le Père, le Fils et l’Esprit Saint étaient tous égaux et constituaient la Divinité. Et si, comme le prétendent certains, c’est sa nature humaine qui empêchait le Fils de connaître cette date, pourquoi l’Esprit Saint l’ignorait-il?)

Mais quel rapport tout cela a-t-il avec le Royaume de Dieu? Quand Jésus était sur la terre, ses disciples s’intéressaient beaucoup à ce Royaume. Ils lui demandèrent un jour: “Dis-nous: Quand ces choses auront-elles lieu, et quel sera le signe de ta présence et de la conclusion du système de choses?” Cette “présence” est celle de Jésus en tant que Roi régnant chargé de juger les nations de la terre. Comment le savons-nous? C’est que, dans la réponse qu’il fit à ses disciples, Jésus déclara: “Quand le Fils de l’homme arrivera dans sa gloire, et tous les anges avec lui, alors il s’assiéra sur son trône glorieux. Et devant lui seront rassemblées toutes les nations.” (Mat. 24:3; 25:31, 32). Sa “présence” a donc lieu dans les sphères spirituelles. Voilà pourquoi il donna un “signe” visible qui indiquerait aux hommes qu’il avait commencé à régner en tant que Roi.

Plus ont avancent dans le temps plus les paroles de Jésus de confirment.