15 août Lecture de la Bible : Psaumes 102-105
Le titre du Psaume 102 (AC) indique qu’il s’agit d’une “prière du malheureux, lorsqu’il est accablé et qu’il répand sa plainte devant Jéhovah”. Un homme ainsi affligé penserait logiquement à l’éternité de Jéhovah comparée à la terre et aux cieux matériels. En effet, les cieux et la terre physiques, qui ont été créés, sont destructibles. Ils pourraient être détruits, si tel était le dessein de Dieu. Contrairement à l’existence éternelle de Dieu, la durée de n’importe quelle partie de sa création matérielle n’est pas indépendante. Comme on le constate pour la terre, la création matérielle doit passer par un perpétuel processus de renouvellement pour subsister ou garder sa forme actuelle. Que les cieux physiques dépendent de la volonté de Dieu et de sa force de soutien, c’est ce que montre le Psaume 148 (NW). Après avoir parlé du soleil, de la lune, des étoiles ainsi que d’autres parties de la création divine, ce psaume (au verset 6) déclare que Dieu “les fait subsister à jamais, jusqu’à des temps indéfinis. Il a donné une prescription, et elle ne passera pas”.
Le titre du Psaume 102 (AC) indique qu’il s’agit d’une “prière du malheureux, lorsqu’il est accablé et qu’il répand sa plainte devant Jéhovah”. Un homme ainsi affligé penserait logiquement à l’éternité de Jéhovah comparée à la terre et aux cieux matériels. En effet, les cieux et la terre physiques, qui ont été créés, sont destructibles. Ils pourraient être détruits, si tel était le dessein de Dieu. Contrairement à l’existence éternelle de Dieu, la durée de n’importe quelle partie de sa création matérielle n’est pas indépendante. Comme on le constate pour la terre, la création matérielle doit passer par un perpétuel processus de renouvellement pour subsister ou garder sa forme actuelle. Que les cieux physiques dépendent de la volonté de Dieu et de sa force de soutien, c’est ce que montre le Psaume 148 (NW). Après avoir parlé du soleil, de la lune, des étoiles ainsi que d’autres parties de la création divine, ce psaume (au verset 6) déclare que Dieu “les fait subsister à jamais, jusqu’à des temps indéfinis. Il a donné une prescription, et elle ne passera pas”.