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Mot de l’éditeur
À l’occasion d’un colloque interrogeant les réalités des pratiques administratives mises en œuvre dans l’Union européenne pour assurer la délicate régulation des nouveaux mouvements religieux et de leurs dérives dites « sectaires », des hauts fonctionnaires de différents pays européens (Belgique, Espagne, France, Grande-Bretagne, Italie, Suisse) ainsi que des chercheurs en sciences sociales spécialisés sur ces questions (juristes, politologues, sociologues), ont tenté d’expliciter ensemble les enjeux et les difficultés de cette gestion tant au niveau national que dans les instances européennes. Dans ce livre, ils reprennent et approfondissent leur point de vue. La retranscription des débats permet par ailleurs d’appréhender les diverses réactions que suscitent les politiques en matière de « dérives sectaires », « d’organisations sectaires nuisibles », de « nouvelles croyances » ou encore de « nouveaux mouvements religieux ».
La directrice de publication
Nathalie LUCA, directrice adjointe du Centre d’Études Interdisciplinaires des Faits Religieux (CNRS/EHESS), a d’abord travaillé les nouveaux mouvements religieux de l’intérieur, en tant qu’ethnologue spécialisée sur la Corée du Sud. Elle s’est ensuite intéressée aux divergences de traitements au niveau social et politique autour de ce type de groupes entre ce pays d’Asie septentrionale et l’Europe. Elle a finalement essayé d’analyser plus globalement ces divergences, dans une perspective sociologique qu’elle développe dans l’un de ces ouvrages : Individus et pouvoirs face aux sectes (Armand Colin, 2008).
Mot de l’éditeur
À l’occasion d’un colloque interrogeant les réalités des pratiques administratives mises en œuvre dans l’Union européenne pour assurer la délicate régulation des nouveaux mouvements religieux et de leurs dérives dites « sectaires », des hauts fonctionnaires de différents pays européens (Belgique, Espagne, France, Grande-Bretagne, Italie, Suisse) ainsi que des chercheurs en sciences sociales spécialisés sur ces questions (juristes, politologues, sociologues), ont tenté d’expliciter ensemble les enjeux et les difficultés de cette gestion tant au niveau national que dans les instances européennes. Dans ce livre, ils reprennent et approfondissent leur point de vue. La retranscription des débats permet par ailleurs d’appréhender les diverses réactions que suscitent les politiques en matière de « dérives sectaires », « d’organisations sectaires nuisibles », de « nouvelles croyances » ou encore de « nouveaux mouvements religieux ».
La directrice de publication
Nathalie LUCA, directrice adjointe du Centre d’Études Interdisciplinaires des Faits Religieux (CNRS/EHESS), a d’abord travaillé les nouveaux mouvements religieux de l’intérieur, en tant qu’ethnologue spécialisée sur la Corée du Sud. Elle s’est ensuite intéressée aux divergences de traitements au niveau social et politique autour de ce type de groupes entre ce pays d’Asie septentrionale et l’Europe. Elle a finalement essayé d’analyser plus globalement ces divergences, dans une perspective sociologique qu’elle développe dans l’un de ces ouvrages : Individus et pouvoirs face aux sectes (Armand Colin, 2008).