Samedi 2 octobre.
Le fruit du ventre est une récompense (Ps. 127:3).
Parents, vos enfants sont un cadeau que Dieu vous a fait, ils sont « un héritage de Jéhovah ». Vous avez la responsabilité de prendre soin de cet héritage. Que pouvez-vous faire pour protéger vos enfants contre les abus sexuels ? Premièrement, informez-vous sur le sujet. Cherchez à savoir quel genre d’individus abuse d’enfants et quelles méthodes ils utilisent pour les tromper. Soyez vigilants : évitez les situations et les gens qui pourraient être dangereux (Prov. 22:3 ; 24:3). Rappelez-vous que, dans la plupart des cas, l’agresseur est quelqu’un que l’enfant connaît et en qui il a confiance. Deuxièmement, entretenez une bonne communication avec vos enfants (Deut. 6:6, 7 ; Jacq. 1:19). Souvenez-vous que, souvent, un enfant qui a subi une agression sexuelle n’a pas envie d’en parler.
Il a peut-être peur qu’on ne le croie pas, ou alors l’agresseur l’a menacé pour qu’il n’en parle à personne. Si vous avez l’impression que quelque chose n’est pas normal, essayez gentiment de faire parler l’enfant en lui posant des questions et en écoutant patiemment ce qu’il vous répond. Troisièmement, enseignez vos enfants. Expliquez-leur ce qu’ils doivent dire et faire quand quelqu’un essaie de les toucher d’une façon qui ne convient pas.
w19.05 13 § 19-22.
Le fruit du ventre est une récompense (Ps. 127:3).
Parents, vos enfants sont un cadeau que Dieu vous a fait, ils sont « un héritage de Jéhovah ». Vous avez la responsabilité de prendre soin de cet héritage. Que pouvez-vous faire pour protéger vos enfants contre les abus sexuels ? Premièrement, informez-vous sur le sujet. Cherchez à savoir quel genre d’individus abuse d’enfants et quelles méthodes ils utilisent pour les tromper. Soyez vigilants : évitez les situations et les gens qui pourraient être dangereux (Prov. 22:3 ; 24:3). Rappelez-vous que, dans la plupart des cas, l’agresseur est quelqu’un que l’enfant connaît et en qui il a confiance. Deuxièmement, entretenez une bonne communication avec vos enfants (Deut. 6:6, 7 ; Jacq. 1:19). Souvenez-vous que, souvent, un enfant qui a subi une agression sexuelle n’a pas envie d’en parler.
Il a peut-être peur qu’on ne le croie pas, ou alors l’agresseur l’a menacé pour qu’il n’en parle à personne. Si vous avez l’impression que quelque chose n’est pas normal, essayez gentiment de faire parler l’enfant en lui posant des questions et en écoutant patiemment ce qu’il vous répond. Troisièmement, enseignez vos enfants. Expliquez-leur ce qu’ils doivent dire et faire quand quelqu’un essaie de les toucher d’une façon qui ne convient pas.
w19.05 13 § 19-22.