Heureux ceux qui sont conscients de leurs besoins spirituels.

Jésus a parlé du bonheur dans les tout premiers mots de son sermon le plus célèbre. Il a dit : “ Heureux ceux qui sont conscients de leur pauvreté spirituelle. ” (Matthieu 5:3). Qu’entendait-il par là ? En quel sens sommes-nous pauvres spirituellement ?
Pour survivre, nous devons respirer, boire et manger, tout comme les animaux. Mais pour être heureux, nous avons un besoin que les animaux n’ont pas : celui de comprendre le but de la vie. Seul le Créateur de la vie peut combler ce besoin. C’est pourquoi Jésus a affirmé : “ L’homme doit vivre, non pas de pain seul, mais de toute parole qui sort par la bouche de Jéhovah. ” (Matthieu 4:4). Ceux qui sont conscients de leur pauvreté spirituelle, ou de leur besoin de spiritualité, sont heureux parce qu’ils s’approchent de Jéhovah, le “ Dieu heureux ”, qui leur donne une chose essentielle au bonheur : l’espérance. — 1 Timothée

Nous devrions tous faire un examen de conscience pour savoir si vraiment nous sommes conscient de nos besoins spirituelles!

Bonjour

Tout le monde vaudrait être heureux, et énormément de personnes recherches le bonheur.

Prenons un exemple, vous allez au restaurant avec votre épouse vous commandez un bon plat, non un très bon plat, une bonne bouteille de vin, vous êtes en tête à tête avec l'être bien aimé, comment vous sentez vous ? VOUS ÊTES HEUREUX ...... (sauf pour l'addition Very Happy )

Un autre bonheur, c'est d'avoir des amis fidèles sur qui nous pouvons nous appuyer en cas de détresse, oui ces personnes contribuent à nous rendre heureux.

Vous savez, il y a des personnes qui sont nés dans l'abondance, une villa, de la nourriture, des véhicules, mais sont-ils heureux ? Prenez les actus people, c'est la drogue, l'adultère, fornication et en plus ils vivent dans la peur d'être cambriolé, sans compter les paparazzis et ceux-ci continuent à se demander pourquoi le bonheur les fuit toujours. C'est simple, ils ne connaissent pas ceci: (Éph. 4:17-19; Rom. 13:13).

Tiens, mais que viens faire la Bible dans ce contexte ? La Bible rend-elle les gens heureux ?

Mais absolument, dans l'évangile de Matthieu dans le chapitre 5 du v. 1 au v. 11 par neuf fois Christ Jésus commence par "HEUREUX" et dans le verset 3, nous lisons ceci: "Heureux ceux qui sont conscients de leurs besoins spirituels, puisque le royaume des cieux leur appartient." Soit la première béatitude.

Donc nous devons accorder à nos besoins spirituels l’importance qu’ils méritent , mais aussi nous devons rechercher le discernement dans la Parole de Dieu. Grâce à cela, notre vie sera mieux orientée, mieux dirigée, alors, ne croyez-vous pas que ces deux arguments ne nous aident pas à trouver le bonheur, à être heureux ?

Nous avons également besoin pour notre bonheur d’un système de valeurs à la fois raisonnable et cohérent, et où trouverons-nous cela, dans la Bible évidemment. Les principes divins concordent avec la conscience dont nous avons hérité. Si nous suivons les préceptes que Jéhovah nous transmet, nous nous sentons mieux, plus à l’aise, plus en paix. Nous serons comme la Parole de Dieu le mentionne "Il sera comme un arbre planté près de cours d’eau, un arbre qui produit des fruits quand la saison arrive, dont le feuillage ne se fane pas (Ps 1:3)"

Dernier point, lorsque nous voyons certains de nos Frères et nos Sœurs qui quittent la vérité pour retourner dans le monde, croyons-nous qui sont heureux ?

Les Écritures ressemblent à une réserve de bonheur, tant elles enrichissent l’esprit et le cœur. Elles vivifient l’esprit et donnent l’espérance. Elles indiquent la façon de mener une vie productive et agréable. Elles renferment les pensées de Dieu, pour que nous puissions ensuite les refléter en toutes circonstances. Elles sont le fondement de la vraie sagesse. Voir Proverbes 3:13-18.

Le Sermon sur la montagne se retrouve dans deux Évangiles (Matthieu, chapitres 5-7; Luc 6:20-49). Le compte rendu de Matthieu est environ quatre fois plus long que celui de Luc, et il n’y a que cinq versets et demi, dans le texte de Luc, qui n’apparaissent pas dans celui de Matthieu. Ces deux récits, bien que parallèles, diffèrent souvent considérablement par la forme. Mais cela devrait-il soulever des doutes quant à l’authenticité du sermon, tel qu’il apparaît dans nos Bibles?
À propos de l’objection que soulève l’omission, par Luc, de grandes parties du sermon rapporté par Matthieu, A. Robertson écrit ce qui suit, dans Une harmonie des Évangiles pour ceux qui étudient la vie du Christ (angl.): “Cette objection ne tient pas compte des nombreuses parties importantes du sermon que Luc a rapportées ailleurs dans son récit, ou que Jésus avait répétées en d’autres circonstances ([Comparer] Matthieu 6:9-13 et Luc 11:2-4; Matthieu 6:25-34 et Luc 12:22-31). Jésus, en effet, répéta fréquemment ses préceptes en diverses occasions, comme le fait et doit le faire tout enseignant. (...) Ne soyons pas surpris non plus que Luc, écrivant pour les chrétiens en général, ait omis de grandes parties du sermon, surtout au début, qui étaient spécialement destinées aux Juifs. (Voir Matthieu 5:17-27; 6:1-18.)” Robertson ajoute:
“De plus, mises à part ces différences qui, d’ailleurs, s’expliquent, il faut nous rappeler que les deux discours commencent et se terminent pareillement, qu’ils sont agencés de la même manière, qu’ils offrent une similitude d’ensemble et souvent même une véritable identité d’expression.”