Témoins de JEHOVAH VERITE actif


Rejoignez le forum, c’est rapide et facile

Témoins de JEHOVAH VERITE actif
Témoins de JEHOVAH VERITE actif
Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.
Témoins de JEHOVAH VERITE actif

forum des discussions sur la bible ouvert a tous.

Le deal à ne pas rater :
Code promo Nike : -25% dès 50€ d’achats sur tout le site Nike
Voir le deal

Vous n'êtes pas connecté. Connectez-vous ou enregistrez-vous

Ouïghours : la Chine critiquée par les eurodéputés

+2
Mikael
Josué
6 participants

Aller en bas  Message [Page 1 sur 1]

Josué

Josué
Administrateur

[size=38]Ouïghours : la Chine critiquée par les eurodéputés[/size]

Suite à une tribune, fin septembre, appelant la communauté internationale à mettre fin au « crime contre l’humanité » perpétré par la Chine sur les Ouïgours du Xinjiang, l’ambassade de Chine en France a réagi avec colère, accusant les eurodéputés de « semer le trouble sur les questions liées au Xinjiang »



  • Dorian Malovic, 
  • le 16/10/2020 à 09:24 
  • Modifié le 16/10/2020 à 10:46

.

Ouïghours : la Chine critiquée par les eurodéputés Manifestation-faveur-Ouighours-proximite-lambassade-Chine-Paris-25-juillet-2020_0



Manifestation en faveur des Ouïghours à proximité de l’ambassade de Chine à Paris le 25 juillet 2020. [size=12]IP3 PRESS/MA
[/size]



L’ambassade de Chine à Paris a dérapé. Dans un de ses tweets vengeurs qui avaient pourtant disparu depuis avril, elle s’en est prise au député européen Raphaël Glucksmann, à l’initiative d’une tribune publiée le 30 septembre et défendant les Ouïgours en Chine. Signée par des intellectuels, acteurs et responsables politiques (1), elle appelait la communauté internationale à des « actes puissants » et «

Mikael

Mikael
MODERATEUR
MODERATEUR

Ouïghours au centre des préoccupations

Plusieurs groupes militants ainsi que des hommes politiques républicains ont multiplié récemment leur appel à un boycott américain des JO de Pékin. Ils s’appuient en partie sur plusieurs ONG et pays qui accusent la Chine de persécuter les musulmans ouïghours, notamment en les plaçant dans des camps d’internement où les membres de cette minorité sont soumis, selon les témoignages de rescapés, à divers sévices.
L’administration du président Joe Biden n’a jamais écarté la possibilité d’un boycott des Jeux olympiques, sans annoncer d’orientation ferme. La porte-parole de la Maison Blanche Jen Psaki avait déclaré en février que l’administration consulterait le Comité olympique américain sur la question. Pékin de son côté dénonce les appels au boycott et rejette toute accusation de génocide envers les Ouïghours, présentant les supposés camps d’internement comme des « centres de formation professionnelle ».

samuel

samuel
Administrateur

[size=38]Ouïghours : Amnesty dénonce des « crimes contre l’humanité »[/size]
Analyse
 

Dans un document, publié le 10 juin, où 55 personnes ayant été détenues dans des camps livrent leur témoignage, l’ONG accuse l’État chinois d’emprisonnement « en violation des règles du droit international », de « torture » et de « persécution » à l’encontre des populations musulmanes de la région.

Lechercheur



C'est quand même étrange que peut de pays musulmans réagissent devant ce fait concernant des musulmans.

Josué

Josué
Administrateur

[size=38]Chine : la construction d’un hôtel sur les ruines d’une mosquée ouïghoure indigne la communauté musulmane Abonnés[/size]
Les faits
 

Dans la province du Xinjiang, un projet d’hôtel de luxe sur le site d’une mosquée ouïghoure détruite sur ordre du Parti communiste chinois fait scandale au sein de la communauté musulmane américaine.



  • Youna Rivallain, 
  • le 02/07/2021 à 16:42 
  • Modifié le 02/07/2021 à 1

Lechercheur



Et l'Arabie Saoudite ne dit rien!
A moins que pour eux ce ne sont pas de bons musulmans ?

papy

papy

Pakistan : Imran Khan, un Premier ministre dans la main de Pékin

Pour la première fois, le dirigeant d'un des plus grands pays musulmans du monde a réfuté les souffrances du peuple ouïgour. Un aveu de dépendance à l'égard de la Chine.




Ouïghours : la Chine critiquée par les eurodéputés Imran-khan-1_6315140
[size=10][size=10]Le Premier ministre pakistanais Imran Khan, le 24 février 2021 lors d'un déplacement au Sri Lanka.

Ishara S. KODIKARA / AFP


[size=13]par Reshma Mathias
publié le 14/07/2021 à 13:00 , mis à jour à 19:25
Dans l'hebdo du 15 Juillet[/size][/size][/size]


C'est une interview surréaliste qui en dit long sur la relation qui lie le Pakistan à son voisin chinois. Interrogé le 20 juin par un journaliste américain du portail d'information Axios, le Premier ministre pakistanais, Imran Khan, a affirmé "ne pas être sûr de ce que l'on raconte" sur le traitement réservé aux Ouïgours en Chine.  

LIRE AUSSI >> Répression des Ouïgours en Chine : "Rendez-moi ma mère!"
Cette communauté musulmane du Xinjiang, une région qui borde la partie du Cachemire sous administration pakistanaise, dans l'ouest de l'Himalaya, subit pourtant les affres du régime du président chinois, Xi Jinping. Depuis 2017, les témoignages affluent sur les exactions menées à l'encontre des Ouïgours, à leur domicile, au travail et dans des camps de "déradicalisation", où 1 million d'entre eux croupissent actuellement, accusés de "terrorisme". 

Double langage


L'ancien champion de cricket, qui a pourtant la réputation de dire tout haut ce que tout le monde pense tout bas, a enchéri que, "selon les Chinois", aucune répression ne s'exerçait sur les 11 millions de Ouïgours. Poussé dans ses retranchements par le journaliste, il a répété plusieurs fois que "les problèmes éventuellement rencontrés avec les Chinois se traitent toujours à huis clos". 

Josué

Josué
Administrateur

07.02.2022
Sur Arte 

Ouïghours : la Chine critiquée par les eurodéputés 20220211

Mikael

Mikael
MODERATEUR
MODERATEUR

[size=62]En marge des JO, l’épreuve sans fin des Ouïgours[/size]

[size=30]Le spectre de la répression au Xinjiang hante les Jeux olympiques d’hiver de Pékin 2022, mettant dans l’embarras Chinois, Occidentaux et sponsors.[/size]




Par Jérémy André
Le Point.

Josué

Josué
Administrateur

Ouïgours : pourquoi la Chine est accusée de génocide
Le caractère génocidaire des agissements de Pékin au Xinjiang reste controversé. Pour certains spécialistes, les preuves sont pourtant irréfutables.
Une manifestation de soutien aux Ouigours a Djakarta, en Indonesie, le 14 janvier 2022.
Une manifestation de soutien aux Ouïgours à Djakarta, en Indonésie, le 14 janvier 2022.
© DASRIL ROSZANDI / ANADOLU AGENCY / Anadolu Agency via AFP
Par Jérémy André
Publié le 12/02/2022 à 08h00
L'unanimité, ou presque (169 pour, 5 abstentions, 1 contre). À l'Assemblée nationale française, le 20 janvier dernier, la reconnaissance du « caractère génocidaire » du traitement des Ouïgours par la Chine n'a pas réellement fait débat. Mis à part Clémentine Autain, de La France insoumise, qui a justifié l'abstention des membres de son groupe en invoquant l'absence de consensus entre experts sur la question, les députés ont approuvé comme un seul homme. Et le seul à avoir voté contre, Buon Tan, champion LREM de la communauté chinoise du 13e arrondissement de Paris, de manière tout à fait attendue donc, s'est muré dans le silence.

Il a pourtant fallu du temps pour que la qualification de génocide s'impose ainsi sans résistance. Même chez les Ouïgours. À la suite des attentats djihadistes...

Josué

Josué
Administrateur

Lechercheur



C'est étrange car aucun pays musulman ne dit mot sur cette affaire qui concerne pourtant des musulmans!

chico.

chico.

Lechercheur a écrit:C'est étrange car aucun pays musulman ne dit mot sur cette affaire qui concerne pourtant des musulmans!
Car pour eux c'est des musulmans de seconde zone.

papy

papy

[size=49]Répression des Ouïgours : témoigner contre la machine à broyer chinoise[/size]

ÉDITORIAL


Le Monde

Les « Xinjiang Police Files », documents issus des forces de sécurités chinoises et publiés par un groupe de médias internationaux, dont « Le Monde », rappellent qu’il faut garder les yeux grands ouverts sur la réalité que la Chine représente aujourd’hui.

Publié le 24 mai 2022 à 11h30 - Mis à jour le 25 mai 2022 à 10h45   Temps deLecture 2 min. Read in English
[size=81]Qui pourra encore nier, relativiser ou encore passer sous silence le sort infligé par la Chine à l’une de ses minorités ? Certes, personne n’a jamais cru à l’explication officielle de Pékin, qui présente les camps d’internement des Ouïgours et autres ethnies musulmanes de la région du Xinjiang comme des centres de formation professionnelle. Les multiples témoignages de rescapés parus dans la presse ces dernières années racontaient déjà le ciblage arbitraire des populations, le système carcéral, les stérilisations forcées et l’endoctrinement pour effacer les signes distinctifs de ces cultures.[/size]

Les « Xinjiang Police Files » apportent cependant une autre dimension à cette tragédie. Ces documents issus directement des forces de sécurité chinoises et publiés, mardi 24 mai, par Le Monde et treize autres médias internationaux confirment de l’intérieur l’obsession sécuritaire et l’effort d’essence totalitaire déployé pour remodeler une population. Ils décrivent, avec la précision terrifiante d’une notice d’utilisation, la machine à broyer à laquelle sont livrées des familles entières, suspectes par association, internées du seul fait d’être proches d’un autre détenu, ou en raison d’une « forte atmosphère religieuse familiale ».
Lire aussi : Article réservé à nos abonnés « Xinjiang Police Files » : révélations sur la machine répressive chinoise contre les Ouïgours
Et la machine tourne à plein régime si l’on se fie au chef de la région d’alors, Chen Quanguo. Ce dernier se félicite, dans des discours internes au Parti communiste chinois, que les « quatre ruptures » aient été « bien accomplies », à savoir casser les lignées des familles, les racines des populations, leurs relations avec l’extérieur et même avec leurs « origines ».
Lire aussi : Article réservé à nos abonnés Répression contre les Ouïgours : « Réduire à néant les séparatistes et les traîtres ! »
Ces révélations surviennent au moment où la haut-commissaire aux droits de l’homme des Nations unies, Michelle Bachelet, effectue une visite longuement négociée en Chine, notamment au Xinjiang. Les termes du déplacement n’ont pas été rendus publics. Les chances d’une réelle enquête de terrain indépendante, sans entraves, sans mise en scène, sont très faibles, et les autorités chinoises pourraient, au contraire, détourner la séquence pour en tirer une validation de leur politique radicale.

papy

papy

Génocide
Ouïghours: l’ONU reconnaît enfin les crimes de masse commis par la Chine au Xinjiang
Article réservé aux abonnés
La répression des Ouïghours en Chinedossier
Quelques minutes avant la fin de son mandat, Michelle Bachelet, la haute-commissaire aux droits de l’homme, a publié un rapport accablant, attendu depuis un an.

Des Ouïghours manifestent devant le consulat chinois à Istanbul, en Turquie, le 5 juillet 2022. (MURAD SEZER/REUTERS)
par Laurence Defranoux
publié le 1er septembre 2022 à 17h45

papy

papy



Le secrétaire d'Etat américain Antony Blinken — Mandel Ngan/AP/SIPA

ENQUETE

Xinjiang : Washington exige que Pékin rende des comptes du « génocide » des Ouïghours

MIS À JOUR LE 02/09/22 À 10H09

L’ONU a présenté mardi un rapport sur les violations de droits de l’homme au Xinjiang et sur la minorité ouïghoure



Le secrétaire d’Etat américain Antony Blinken a salué ce jeudi le rapport de l’ONU sur les violations présumées des droits de l’homme dans la région chinoise du Xinjiang, exigeant que Pékin rende des comptes sur ce « génocide ».

« Ce rapport renforce et réaffirme nos graves préoccupations concernant le génocide en cours et les crimes contre l’humanité perpétrés par les autorités chinoises » contre la minorité musulmane des Ouïghours, a déclaré Antony Blinken dans un communiqué.

« Nous continuerons à exiger que les autorités chinoises rendent des comptes et appelons celles-ci à libérer tous ceux qui sont maintenus en détention sans justification (…) et à permettre un accès sans restrictions à des enquêteurs indépendants au  possibilité de « crimes contre l’Humanité », a affirmé le chef de la diplomatie américaine.de génocide.

Josué

Josué
Administrateur

[size=62]L’ombre des forçats ouïgours sur le solaire chinois[/size]

[size=30]L’industrie chinoise des panneaux photovoltaïques, en pleine expansion, est accusée de contraindre la minorité ouïgoure à travailler dans ses usines.[/size]
Par Jérémy André
Ouïghours : la Chine critiquée par les eurodéputés 23751422lpw-23816809-article-jpg_9251994_660x287
Une centrale solaire thermodynamique à concentration ­installée à Yumi, dans la région autonome du Xinjiang, en Chine.:copyright: Zuma/ABACA / Zuma/ABACA

Publié le 03/01/2023 à 09h30

[size=55]C'est un triomphe et, pour ses concurrents, une déculottée. Passé inaperçu à sa parution, en juillet dernier, un rapport de l'Agence internationale de l'énergie (AIE) sur la chaîne d'approvisionnement mondiale du photovoltaïque solaire dresse le tableau d'une hégémonie écrasante de la Chine. En vingt ans, Pékin s'est taillé un quasi-monopole : la République populaire concentre plus de 80 % de l'industrie mondiale, 70 % de la production de panneaux solaires (contre 7 % en 2005) et même 97 % de la production des plaquettes de silicium nécessaires pour fabriquer ces derniers. Avec 30 milliards de dollars, les ventes de panneaux représentent pas moins de 7 % du total des exportations de l'usine du monde !

Ouïghours : la Chine critiquée par les eurodéputés 23751422lpw-23816814-embed-libre-jpg_9251997
« Compte tenu des usines de fabrication en construction ou planifiées, la domination de...

[/size]
https://www.lepoint.fr/dossiers/hors-serie/energie-petrole-nucleaire-renouvelables-geopolitique/l-ombre-des-forcats-ouigours-sur-le-solaire-chinois-03-01-2023-2503511_4637.php?boc=333128&m_i=mIE4APtJo8EU9_xcVsastPF4UJJsJymo2YyL53TS3MCLM_7nwZVUJVB9UTuC4mil_p0Zv06HKEcpguDKpImE%2BSTuOAmmmZ&M_BT=52544877662#xtor=EPR-57-[Push-email]-20230103-[Article_1

chico.

chico.

Presque tous ce qui concerne ce genre de produit vient de Chine.

Josué

Josué
Administrateur

-20230803-[comprendre_titre_2]&M_BT=113977059162465]https://www.lemonde.fr/international/article/2023/07/30/le-xinjiang-region-ouigoure-qui-doit-devenir-chinoise-comme-les-autres_6183873_3210.html?xtor=EPR-33281134-[religions]-20230803-[comprendre_titre_2]&M_BT=113977059162465



Le Xinjiang, région ouïgoure qui doit devenir chinoise comme les autres
Par [url=/signataires/simon-leplatre/] Simon Leplâtre [/url] (Shanghaï, correspondance) Publié le 30 juillet 2023 à 06h00, modifié le 30 juillet 2023 à 06h00


Reportage photoAprès l’internement massif de la minorité musulmane ouïgoure, la région semble entrer dans une nouvelle phase plus apaisée, que documente le photographe Gilles Sabrié. Les spécificités culturelles sont réduites au folklore. L’heure est à une sinisation accélérée.




Des familles qui s’amusent dans un parc fraîchement construit, une enfant qui révise, livre à la main dans une rue tranquille d’un « centre ancien » refait à neuf, un couple, main dans la main devant une mosquée : les photos de Gilles Sabrié illustrent des scènes de la vie quotidienne dans des villes chinoises. Or toutes ces villes sont situées au Xinjiang, la région où vivent les Ouïgours et d’autres minorités musulmanes, victimes d’une répression féroce par le pouvoir chinois. Pour qui a suivi l’actualité du Xinjiang ces dernières années, la banalité des scènes capturées par le photographe frappe.

La « région autonome ouïgoure du Xinjiang », située dans le nord-ouest de la Chine, a toujours été étroitement contrôlée, mais la pression a été renforcée après des émeutes meurtrières en 2009. Alors que les attentats se multipliaient, Pékin a lancé la campagne « Frapper fort » en 2014. Deux ans plus tard, un nouveau secrétaire du Parti communiste chinois (PCC) pour la région rendait la police omniprésente et mettait en place des camps de « rééducation », bientôt renommés « centres de formation professionnelle ». Plus d’un million de Ouïgours, soit près d’un sur dix, y ont été « éduqués », selon les autorités. Le Xinjiang de l’époque avait des airs de prison à ciel ouvert.

Et puis, doucement, on y a vu un peu moins de policiers, moins de checkpoints. En 2019, les autorités chinoises, sous la pression de la communauté internationale, ont affirmé que tous les « étudiants » avaient été « diplômés », et avaient retrouvé leur liberté. Ils restent largement contrôlés : par la police, par les réseaux de comités de quartiers et de villages, ou par leurs employeurs, car nombre d’entre eux ont été enrôlés dans des programmes de « réduction de la pauvreté », envoyés aux quatre coins de la région ou du pays pour travailler dans des usines. Refuser n’est pas une option, d’où les accusations de travail forcé contre Pékin.

Josué

Josué
Administrateur

[size=42]A Urumqi, Xi Jinping se félicite de la mise au pas des Ouighours[/size]

31 août 2023 16 h 50 min


Ouïghours : la Chine critiquée par les eurodéputés Urumqi-Xi-Jinping-Ouighours-e1693493345748
[size][size][url][/url]
 [/size]
Le président chinois, en visite dans la capitale de la région autonome du Sin-kiang, s’est entretenu avec les responsables locaux du parti communiste pour leur dire sa satisfaction de la politique menée là-bas depuis 2014. En chinois, Sin-kiang signifie nouvelle frontière, et la mise au pas des populations altaïques majoritairement musulmanes, Ouighours, Kazakhs ou Kirghizes est l’ambition du PC chinois depuis l’origine, sous le nom d’action « anti-terroriste ». Elle s’est traduite selon certaines sources par la déportation de trois millions de personnes, la destruction des mosquées, la séparation des familles, l’interdiction de la religion musulmane, la réduction de la langue ouïghoure, la stérilisation de femmes afin d’assurer la domination démographique des Hans. Après avoir reconnu la qualité du travail accompli, Xi Jinping a demandé au parti de « construire un Sin-kiang uni, harmonieux, prospère et culturellement avancé » afin de faire de la Chine un « Etat socialiste fort et moderne ».[/size]

Josué

Josué
Administrateur

[size=38]Thaïlande : le drame de 50 réfugiés ouïghours oubliés[/size]
Analyse 
Une cinquantaine d’Ouïghours ayant fui la dictature chinoise croupissent dans des centres de rétention thaïlandais depuis plus de dix ans, au mépris du droit international, selon plusieurs ONG. Vivant dans des conditions de détention déplorables, cinq Ouïghours sont morts depuis 2014.


  • Valentin Cebron, correspondant à Bangkok (Thaïlande), 
  • le 17/03/2024 à 15:34


Ouïghours : la Chine critiquée par les eurodéputés 1384179-suspected-uighurs-from-china-s-troubled-far-wester



Une cinquantaine d’Ouïghours ayant fui la dictature chinoise croupissent dans des centres de rétention thaïlandais depuis plus de dix ans, au mépris du droit international, selon plusieurs ONG. Vivant dans des conditions de détention déplorables, cinq Ouïghours sont morts depuis 2014.ATHIT PERAWONGMETHA / REUTERS

«Je vous implore de libérer mon père pour que l’on puisse enfin redevenir une famille», supplie ce jeune Ouïghour «le cœur serré». Voilà plus d’une décennie que ce fils – dissimulant son identité pour des raisons de sécurité –, exilé en Turquie depuis plusieurs année, n’a pas vu son père. Ce dernier est incarcéré depuis mars 2014 dans un centre de rétention en Thaïlande avec une cinquantaine d’autres Ouïghours ayant fui la province chinoise du Xinjiang. Arrêtés il y a dix ans pour entrée illégale dans le royaume de Thaïlande après avoir fui les persécutions du régime chinois, ils n’ont toujours pas retrouvé leur liberté.


Une liberté encore lointaine


«Les années passent et sa libération semble de moins en moins probable,» poursuit-il dans ce message adressé au gouvernement diffusé début mars à Bangkok lors d’une conférence organisée par l’ONG locale The Fort engagée auprès de ces Ouïghours. L’association Human Rights Watch (HRW) a dénombré 350 Ouïghours arrêtés par les autorités thaïlandaises depuis 2014. Alors que 172 femmes et enfants...

Contenu sponsorisé



Revenir en haut  Message [Page 1 sur 1]

Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum