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1001 Inventions et le monde d'Ibn Al-Haytham

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Mikael
Talab-al-ilm
6 participants

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Talab-al-ilm

Talab-al-ilm

Au nom d’Allah, L'Infiniment Miséricordieux, Le Très Miséricordieux. Que le salut et bénédictions soient sur son messager, Mohammad, le dernier maillon de la chaîne prophétique. Amine

Bonjour à tous

1001 Inventions et le monde d'Ibn Al-Haytham



Bon visionnement !

http://www.aimer-jesus.com

Talab-al-ilm

Talab-al-ilm

Au nom d’Allah, L'Infiniment Miséricordieux, Le Très Miséricordieux. Que le salut et bénédictions soient sur son messager, Mohammad, le dernier maillon de la chaîne prophétique. Amine

Bonjour à tous

Ibn Al-Haytham (Alhazen) - Père de la Méthode Scientifique Moderne| by Jim Al-Khalili



Bon visionnement

http://www.aimer-jesus.com

Talab-al-ilm

Talab-al-ilm

Au nom d’Allah, L'Infiniment Miséricordieux, Le Très Miséricordieux. Que le salut et bénédictions soient sur son messager, Mohammad, le dernier maillon de la chaîne prophétique. Amine

Bonjour à tous

Voici une autre video qui nous permet de découvrir Ibn Haytam



La vérité est enfin dévoilé sur ce personnage méconnu en occident qui est Ibn Haytham et ce n'est que le début de cette merveilleuse découverte.

Wa Salam

http://www.aimer-jesus.com

Mikael

Mikael
MODERATEUR
MODERATEUR

Pourquoi ce doublon ?????

Talab-al-ilm

Talab-al-ilm

Bonjour Mikael

Mon ordinateur a buguer durant l'envoie de ce nouveau poste mais il avait passé quand même sans le savoir. Alors j'ai renvoyé le poste une deuxième fois. Je pensais que le site de forum avait un problème mais en réalité c'est plutôt mon ordinateur qui n'arrête pas de buguer à chaque fois que je veux envoyer un nouveau poste. J'ai remarqué aussi que le forum n'a pas de SSL ce qui facilite facilement les spaywers qui causent des bugues.

http://www.aimer-jesus.com

Mikael

Mikael
MODERATEUR
MODERATEUR

Et c'est quoi un s'il ?

Talab-al-ilm

Talab-al-ilm

Bonjour Mikael

Probablement que vous faites référence au SSL ? c'est est un fichier de données qui lie une clé cryptographique aux informations d'une organisation ou d'un individu. Installé sur un serveur, le certificat active le cadenas et le protocole « https »  dans les navigateurs, afin d'assurer une connexion sécurisée entre le serveur web et le navigateur.

Généralement, le SSL est utilisé pour sécuriser les transactions bancaires, le transfert de données et les informations de connexions, telles que les noms d'utilisateur et les mots de passe.

http://www.aimer-jesus.com

Josué

Josué
Administrateur

Merci du renseignement.
Ceci dit je n'ai aucun problème pour mettre des vidéos ou des images.

Talab-al-ilm

Talab-al-ilm


Bonjour Josué

Tu peux supprimer l'autre poste car il n'est pas nécessaire d'avoir de doublons sur le même sujet.

Wa Salam

http://www.aimer-jesus.com

Lechercheur



Il faut relativiser a disant que le monde arabe a inventé tel ou tel chose, en fait c'est plus des améliorations faites a des instruments qui existaient déjà.
https://fr.wikipedia.org/wiki/Techniques_arabes_au_Moyen_Âge

Talab-al-ilm

Talab-al-ilm

Au nom d’Allah, L'Infiniment Miséricordieux, Le Très Miséricordieux. Que le salut et bénédictions soient sur son messager, Mohammad, le dernier maillon de la chaîne prophétique. Amine

Bonjour Lechercheur

Pour les esprits colonisateurs du XIXe siècle, les Arabes n’ont rien inventé, ils ont juste eu l’immense privilège de garder bien au chaud le savoir des Grecs. Et quand enfin, au XXe siècle, les historiens reconnaissent l’importance des sciences arabes, les esprits s’échauffent : ce sont les Arabes qui ont tout inventé ! Jusqu’à nos célèbres chiffres ! Petite mise au point...

Les sciences méditerranéennes naissent au IIe Millénaire av JC., en Mésopotamie (voir Ré- flexiences n°3). On sait que les Mésopotamiens sont parvenus à repérer les cycles d’éclipses de Lune et de Soleil au terme de plusieurs siècles d’observations qu’ils se transmettent de génération en génération, jusqu’à l’avènement du monde grec. Celui-ci s’empare de ces extraordinaires relevés et commence à produire des textes scientifiques qui explicitent les résultats mésopotamiens. Puis, entre les IIe et IXe siècles ap JC., les observations se font plus rares : on n’en a relevé que neuf autour du berceau méditerranéen. Après Ptolémée (IIes. ap JC.), il n’y a plus d’avancées en astronomie et on ne fait plus que commenter les anciens textes. Par contre, du côté des mathématiques, la recherche continue et elle subsiste même jusqu'au IVe siècle.

Toutes les sciences démarrent au IXe siècle, sous le califat d’al-Ma’mûn. A partir de 813, celui-ci fait traduire à tour de bras tous les textes grecs philosophiques et scientifiques possibles. Il crée la Maison de la Sagesse, un centre qui fonctionne comme une académie : on y dépose les textes à traduire, puis les traductions. Ce centre, financé par le pouvoir, permet le redémarrage de l’activité scientifique. La recherche naît donc immédiatement de la traduction. Ainsi, après la première traduction de l’Almageste de Ptolémée (ouvrage grec d’astronomie du IIe siècle), on construit le tout premier observatoire du monde arabe, et les observations continues reprennent. Au Xe siècle, à Bagdad, les astronomes arabes établissent un programme d’observations sur trente ans ! (durée nécessaire pour pouvoir observer le plus grand cycle des planètes connues alors).

Ce surprenant et fulgurant essor des sciences dans le monde arabe s’explique en partie par la géographie de l’empire. Le passage du monde byzantin au monde musulman s’est pratiquement fait sans déplacement de frontières car les Arabes se sont installés sur des territoires qu’ils ont repris aux Byzantins. Les scientifiques arabes disposent ainsi de manuscrits grecs qui sont déjà sur place et qu’ils n’ont pas besoin de rechercher. De plus, les pélerinages à La Mecque favorisent des échanges incroyables. Le voyage peut durer quatre ans. Les savants s’arrêtent au Caire, à Damas, à Bagdad, etc. et ils transmettent leur savoir de ville en ville.

Source :

http://islampaix.canalblog.com/archives/2015/05/27/32122701.html

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papy

papy

Les Arabes et la simplification mathématique
Les Arabes firent à l’Europe un cadeau somptueux en introduisant l’usage des chiffres arabes à la place des chiffres romains. En fait, il serait probablement plus exact de parler de “chiffres indo-arabes”. En effet, si le mathématicien et astronome arabe du IXsiècle al-Khārezmī décrivit ce système, il s’inspira des mathématiciens indiens de religion hindoue qui l’avaient défini plus de mille ans auparavant, au IIIsiècle avant notre ère.
Le système resta peu répandu en Europe jusqu’à ce que le grand mathématicien Leonardo Fibonacci (également appelé Léonard de Pise) en fasse l’éloge en 1202 dans son Liber abaci (Livre des abaques). Vantant ses avantages, il écrivit: “Les neuf chiffres indiens sont: 9 8 7 6 5 4 3 2 1. Avec ces neuf chiffres et le signe 0 (...) on peut écrire n’importe quel nombre.” Les Européens ne se laissèrent pas convaincre facilement, mais, à la fin du Moyen Âge, ils avaient adopté ce nouveau système de numération qui, par sa simplicité, favorisa le progrès scientifique.
Si vous n’êtes pas convaincu que les chiffres indo-arabes soient une simplification par rapport aux chiffres romains, essayez donc de soustraire LXXIX de MCMXCIII. Vous séchez? Peut-être 1 993 moins 79 serait-​il un peu plus facile?

Talab-al-ilm

Talab-al-ilm

Au nom d’Allah, L'Infiniment Miséricordieux, Le Très Miséricordieux. Que le salut et bénédictions soient sur son messager, Mohammad, le dernier maillon de la chaîne prophétique. Amine

Bonjour à tous

Comme disait Jésus ( aleyhi salam) Il faut rendre à César ce qui appartient à César.

Algèbre, algorithme.  Ces mots sont issus du travail et du nom du plus célèbre mathématicien de langue arabe, Al-Khwarizmi. Il naquit vers 780 à Khiva, dans l’actuel Ouzbékistan, et qu’il fréquenta la Maison de la sagesse à Bagdad, ville où il mourut vers 850.

De son vivant, il était connu comme astronome. Il étudia également l’astrologie, la géographie, et surtout les mathématiques. Dans son Livre de l’addition et de la soustraction d’après le calcul indien, il décrit le système décimal, les chiffres de 1 à 9 et le zéro, ainsi que certaines méthodes de calcul. L’ouvrage est perdu aujourd’hui, mais nous le connaissons grâce aux traductions latines qui en ont été faites à partir du XIIe siècle en Europe. C’est grâce à lui que les chiffres dits « arabes » remplacèrent le système de calcul antique, basé sur l’utilisation des chiffres romains et de l’abaque.

Al-Kwarizmi est aussi l’inventeur d’une nouvelle discipline, l’algèbre. Cette branche des mathématiques étudie les règles des opérations sur les nombres et la résolution des équations. Il l’expose dans son Abrégé du calcul par la restauration et la comparaison (en arabe : Kitab al-jabr wa al-muqabala, « al-jabr » ayant été traduit phonétiquement par « algèbre » en Occident). L’ouvrage explique comment trouver des solutions à des problèmes de la vie courante - partages d’héritage, droits de succession, échanges commerciaux, arpentages des terres… - grâce à la résolution d’équations à inconnues.

Les plus anciennes tables astronomiques qui nous soient parvenues sont aussi l’œuvre d’al-Khwarizmi. Elles permettaient de retrouver la position des astres dans le ciel à une date donnée, et remplissaient divers usages, comme la détermination des heures de prière, ou encore l’élaboration d’horoscopes par les astrologues. Ces tables exercèrent une grande influence sur l’astronomie européenne à partir du XIIIe siècle.

Al-Khwarizmi, dont le nom a été latinisé en Algoritmi, est considéré de nos jours comme le père de l’algèbre et le fondateur des mathématiques arabes.

Wa Salam

http://www.aimer-jesus.com

Josué

Josué
Administrateur

Al-Kharezmi

DANS beaucoup de pays, pour mesurer son poids ou calculer le prix de ses courses, on se sert des chiffres indo-arabes. Pourquoi « indo-arabes » ? Parce qu’apparemment les bases du système numéral moderne utilisant les chiffres de zéro à neuf ont été élaborées en Inde et introduites en Occident au Moyen Âge par des savants qui rédigeaient leurs écrits en arabe. Le plus éminent d’entre eux est un homme du nom de Muhammad ibn Musa al-Kharezmi. Né probablement vers 780 de notre ère dans une région correspondant aujourd’hui à l’Ouzbékistan, al-Kharezmi a été surnommé le « grand héros des mathématiques arabes ». Que lui vaut un tel éloge ?

LE « HÉROS DES MATHÉMATIQUES ARABES »

Dans ses écrits, al-Kharezmi a traité des applications concrètes du système décimal, et a clarifié et popularisé une méthode de résolution de certains problèmes mathématiques. Il a expliqué sa méthode dans son livre L’abrégé du calcul par la restauration et la comparaison. Le terme al-djabr dans le titre arabe original, Kitab al-djabr wa’l-muqabala, a donné le mot français algèbre. D’après Ehsan Masood, auteur scientifique, l’algèbre est considérée comme « le plus grand outil mathématique jamais inventé et la base de toutes les branches de la science* ».

Pour illustrer la simplicité des chiffres arabes : le nombre 188 s’écrit CLXXXVIII en chiffres romains.

« D’innombrables générations de lycéens auraient préféré qu’[al-Kharezmi] ne se donne pas autant de peine », plaisante un auteur. Il n’empêche que son but, tel qu’il l’a énoncé, était de fournir des méthodes permettant de simplifier les calculs pour le commerce, le partage d’héritage, l’arpentage, etc.
Des siècles plus tard, al-Kharezmi était tenu en haute estime par des mathématiciens occidentaux, tels Galilée et Fibonacci, pour ses explications claires sur l’utilisation des équations. Ses descriptions ont ouvert la voie à des études plus poussées en algèbre, en arithmétique et en trigonométrie. Grâce à cette dernière discipline, des savants du Moyen-Orient ont pu calculer la valeur des angles et des côtés d’un triangle, ainsi qu’approfondir l’étude de l’astronomie*.
L’algèbre : « le plus grand outil mathématique jamais inventé ».
Ceux qui se sont appuyés sur les travaux d’al-Kharezmi ont imaginé de nouvelles applications des fractions décimales et ont conçu de nouvelles techniques de calcul des surfaces et des volumes. Les architectes et les constructeurs du Moyen-Orient ont utilisé ces méthodes avancées bien avant leurs homologues occidentaux, qui les ont découvertes au cours des croisades. Ces derniers les ont plus tard rapportées chez eux, avec l’aide de prisonniers et d’immigrants musulmans instruits.

L’EXPANSION DES MATHÉMATIQUES ARABES

Avec le temps, les écrits d’al-Kharezmi ont été traduits en latin. On attribue généralement au mathématicien italien Fibonacci, dit Léonard de Pise (v. 1170-1250), le mérite d’avoir popularisé les chiffres indo-arabes en Occident. Il avait découvert leur existence lors de ses voyages dans le monde méditerranéen, avant d’écrire son Liber abbaci (Livre de l’abaque, ou Livre du calcul).
Il a fallu des siècles pour que les explications d’al-Kharezmi se propagent. Mais ses méthodes et les mathématiques associées sont aujourd’hui le fondement même de la science et de la technique, ainsi que du commerce et de l’industrie.

En algèbre moderne, les inconnues sont représentées par des lettres, comme ou y. En voici un exemple : l’équation + 4 = 6. En soustrayant 4 de chacun des membres de l’équation, on trouve que est égal à 2.
Ce sont des astronomes grecs qui ont effectué les premiers travaux sur le calcul des côtés et des angles des triangles. La trigonométrie a permis aux savants islamiques de déterminer la direction de La Mecque. C’est dans cette direction que les musulmans prient. De plus, la tradition exige que les morts soient enterrés face à la Mecque et que les bouchers s’orientent vers cette ville pour abattre les animaux.


EN BREF



  • Les ancêtres des chiffres modernes ont été en usage en Inde dès le IIIsiècle avant notre ère.
  • Plus tard, des savants hindous ont transmis leurs connaissances mathématiques à la cour du calife al-Mansur, à Bagdad.
  • L’ouvrage d’al-Kharezmi intitulé Algorithmi de numero indorum (Calcul par les chiffres indiens) présentait le système décimal, en s’appuyant sur des notions trouvées dans des sources plus anciennes, dont des traités grecs, hébreux et hindous.

chico.

chico.

En fait ce n'est pas vraiment les arabes qui ont inventé les chiffres, il les ont importés d'autres pays,et les ont fait connaitre.

Josué

Josué
Administrateur

Un héritage inestimable
« En matière de chiffres et de mathématiques, l’héritage [laissé par les savants du Moyen-Orient médiéval] est immense et incontestable » (La science et l’islam [angl.], par Ehsan Masood).
« Les chiffres occidentaux modernes sont sans doute un mélange issu de différentes sources. Toutefois, pour autant que l’on sache, le premier pays à avoir utilisé le plus grand nombre de ces formes numérales est l’Inde » (Britannica Online Encyclopedia).
En Europe, les chiffres indo-arabes « se sont répandus au cours du XVe siècle » (Encyclopedia of Society and Culture in the Medieval World).

chico.

chico.

Ce sont des astronomes grecs qui ont effectué les premiers travaux sur le calcul des côtés et des angles des triangles. La trigonométrie a permis aux savants islamiques de déterminer la direction de La Mecque. C’est dans cette direction que les musulmans prient. De plus, la tradition exige que les morts soient enterrés face à la Mecque et que les bouchers s’orientent vers cette ville pour abattre les animaux.

Lechercheur



Qui à inventé l'algèbre?
https://www.persee.fr/doc/crai_0065-0536_1940_num_84_4_77331

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