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« LAISSEZ TOUJOURS LA BIBLE FAIRE AUTORITÉ »

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papy
Mikael
Josué
7 participants

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Josué

Josué
Administrateur

« LAISSEZ TOUJOURS LA BIBLE FAIRE AUTORITÉ »

Wolfgang Capiton était un jeune homme aux profondes convictions religieuses. Après avoir étudié la médecine, le droit et la théologie, il est devenu pasteur en 1512, puis conseiller de l’archevêque de Mayence.
Au début, Capiton a tenté de calmer l’ardeur des réformateurs qui prêchaient un message contraire à celui de l’Église catholique. Toutefois, il n’a pas tardé à lui-​même défendre la Réforme. Quelle a été sa démarche ? Comme l’explique l’historien James Kittelson, Capiton était persuadé que la meilleure façon d’évaluer un enseignement, c’était de le confronter à la Bible, qu’il considérait comme le seul livre fiable. C’est ainsi qu’il est parvenu à la conclusion que le dogme de la transsubstantiation et la vénération des saints, enseignés par l’Église, n’étaient pas fondés sur les Écritures. (Lire l’encadré « Pour voir si ces choses étaient ainsi ».) Abandonnant en 1523 son poste en vue auprès de l’archevêque, Capiton s’est installé à Strasbourg, l’un des centres de la Réforme.
Sa maison est devenue un lieu de rencontre pour les dissidents, qui sans nul doute y discutaient de nombreux enseignements bibliques et questions religieuses. S’il est vrai que des réformateurs continuaient à soutenir la Trinité, les écrits de Capiton, eux, reflétaient sa « réserve sur le dogme de la Trinité », lit-​on dans La Réforme radicale (angl.). Pourquoi cette réticence ? Capiton avait été impressionné par la façon dont le théologien espagnol Michel Servet utilisait la Bible pour réfuter la Trinité*.
Sachant que le rejet de la Trinité pouvait lui coûter la vie, Capiton évitait d’exprimer ouvertement ses sentiments. Ses écrits suggèrent néanmoins qu’en privé il avait mis en doute la Trinité avant même d’avoir rencontré Servet. Un prêtre catholique écrira par la suite qu’on a vu Capiton et ses collaborateurs « soumettre à leur examen particulier tous les dogmes de la religion [et] rejeter le mystère de la Trinité* ». Un siècle plus tard, Capiton figurera en premier sur la liste des principaux auteurs antitrinitaires.
« LAISSEZ TOUJOURS LA BIBLE FAIRE AUTORITÉ » 838

Wolfgang Capiton pensait que le plus gros manquement de l’Église, « c’était de délaisser les Écritures ».


Capiton était convaincu que la Bible est la source de la vérité. « Laissez toujours la Bible et la loi du Christ faire autorité en théologie », a-​t-​il conseillé. D’après le professeur Kittelson, Capiton « affirmait que le plus gros manquement des théologiens scolastiques, c’était de délaisser les Écritures ».

Josué

Josué
Administrateur

Wolfgang Capiton, né en 1478 à Haguenau et mort le 4 novembre 1541 à Strasbourg, est un réformateur et un théologien alsacien. Wikipédia

Date et lieu de naissance : 1478, Haguenau
Date et lieu de décès : 4 novembre 1541, Strasbourg
Livres : The Correspondence of Wolfgang Capito

Mikael

Mikael
MODERATEUR
MODERATEUR

Il était dangereux à son époque de vouloir nié la trinité et c'est pour cela qu'il en a parlé à demi mot.

papy

papy

Malheureusement pour beaucoup de personne qui se disent chrétien la bible ne fait pas du tout autorité.
Loin sans faut!

samuel

samuel
Administrateur

La tradition prime sur la bible chez beaucoup de chrétiens.

samuel

samuel
Administrateur

Une carrière d'humaniste
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« Wolfgang Capiton » est la forme francisée du nom latin Wolfgangus Capito ou Wolfgangus Fabricius Capito, formes latinisées de Wolfgang Köpfel, Köpfel signifiant « tête » en allemand (en latin caput).

Wolfgang Capiton est le fils d'Agnes Kapp et de Hans Köpfel, un maître forgeron d'Haguenau. Ses surnoms Fabritius et Faber font d'ailleurs référence à la profession de son père. Il est le cousin de l'imprimeur strasbourgeois Wolf Köpfel[1].

Il fit ses études supérieures à l'Université d'Ingolstadt où il obtint le baccalauréat ès arts en 1501, puis à Heidelberg. À Fribourg-en-Brisgau, il fut maître ès arts (1506/1507), puis licencié en 1512. Il fut avant tout formé pour devenir médecin, mais il étudia aussi le droit et s'appliqua à la compréhension de la théologie, de telle sorte qu'il obtint un doctorat en 1515. Il rejoignit alors les Bénédictins. Durant ses études, il fut formé au contact des humanistes rhénans comme Jacques Wimpfeling, Ulrich Zasius ou Gregor Reisch. Il rencontra à cette époque Matthieu Zell, U. Rhegius et Jacques Sturm, tout comme lui futurs partisans de la Réforme protestante. Il fit également la connaissance de ses futurs adversaires Thomas Murner et Johannes Eck.

Il fut pendant trois ans prédicateur de la collégiale de Bruchsal. S'y sentant un peu à l'étroit, il y occupa une partie de son temps à l'apprentissage de l'hébreu, grâce à ses relations avec Œcolampade et de l'hébraïsant Conrad Pellican. Il fut ensuite appelé à la cathédrale de Bâle en 1515. C'est à ce moment qu'il rencontra Ulrich Zwingli et qu'il engagea une correspondance avec Martin Luther. Engagé comme professeur à l'Université, il put y déployer ses talents, comme en témoignent son commentaire de l'Épître aux Romains, fruit de prédications latines très suivies, sa collaboration à l'édition grecque du Nouveau Testament établie par Érasme, en 1516, ou son manuel d'hébreu publié en 1518. Il prit plusieurs étudiants sous son aile, parmi lesquels le jeune Caspar Hedio.

En 1520, il partit à Mayence suivant en cela la demande d'Albrecht, archevêque de cette ville, qui le nomma rapidement son chancelier. Essayant d'apaiser les tensions religieuses dans la cité, il retarda l'application des édits antiluthériens, tout en modérant le parti luthérien. La même année, il rencontra Frédéric de Saxe. En sa qualité de chancelier, il assista à la diète de Worms. Ayant sympathisé avec Luther, il se rendit lui-même à Wittenberg pour discuter avec lui des réformes que celui-ci proposait[2].

Fuyant la tempête politico-religieuse, il quitta la position brillante qu'il occupait à Mayence, pour s'installer comme prévôt à la collégiale Saint-Thomas de Strasbourg, en 1523. Il acquit le droit de bourgeoisie dès le 7 juillet.


La cour intérieure maison Capiton place Saint-Thomas à Strasbourg (1902).
– Coll. BNUS.
La Réforme strasbourgeoise
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En 1524, il embrassa la Réforme dans la précipitation des évènements qui eurent lieu à Strasbourg et sous l'influence de son ami Matthieu Zell. Animé par l'expérience nouvelle d'un peuple urbain avide de la parole de Dieu, il publia une apologie personnelle à l'intention de l'évêque de Strasbourg et fit un appel aux clercs mariés et excommuniés[3]. Sa cause finit par se confondre avec celle de la Réforme strasbourgeoise, à tel point qu'il en prit la tête contre ses opposants. Il se maria alors avec Agnes Rottel, fille d'un membre du Conseil des XV, puissant conseil de Strasbourg chargé de gérer les finances de la ville. Son mariage, ainsi que son élection à la cure de Saint-Pierre-le-Jeune lui permirent d'asseoir son rôle religieux au sein de la ville.

Autrefois élitiste religieux, préférant les livres à l'engagement social, il prit activement part à la vie de la cité. Dès 1524, il donna des cours d'exégèse de l'Ancien Testament, dont témoigne sa publication de plusieurs commentaires bibliques. Dans le cadre de ses activités pastorales, il fit imprimer un catéchisme (Kinderbericht) en 1527. Il intervint également à Altorf au côté de Bucer et de Zell afin d'apaiser une révolte paysanne. Enfin, il mena une campagne de libelles et de pétitions auprès du Magistrat pour demander la suppression totale de la messe catholique romaine, qu'il obtint en 1529. En 1530, Capiton rédigea un document, resté inédit, où il retraçait le cours des événements et des réformes qu'il y avait eu pendant huit ans, afin de justifier, devant l'opinion, les transformations imposées par la nécessité de maintenir l'ordre.

De tous les réformateurs, c'est lui qui montra, à cette époque, le plus d'indulgence envers les membres de la Réforme radicale. Pendant toute une phase de son développement théologique, il fut en effet très proche du spiritualisme anabaptiste, n'hésitant pas à abriter plusieurs membres de cette tendance, notamment Michel Servet[2]. Le spiritualisme qu'il afficha dans la dédicace de son commentaire du livre d'Osée à Marguerite de Navarre inquiéta d'ailleurs beaucoup Bucer et les autres réformateurs.

Cependant, son tempérament mélancolique, sans doute exacerbé par le décès de sa femme, ainsi que ses doutes théologiques et des difficultés financières, poussèrent Capiton à s'effacer progressivement devant Bucer[3]. Il abandonna également progressivement toute velléité sectaire, pour se consacrer à l'œuvre d'union entre les Églises et à ses propres travaux. Ainsi, en 1533, il traduisit en allemand l'ouvrage unioniste d'Érasme De sarcienda Ecclesia concordia. Le « Synodus de Berne », sans doute élaboré en grande partie par lui, reflète la tendance unioniste de sa pensée, Capiton souhaitant une alliance avec les Suisses à la mort de Zwingli. C'est aussi avec cet esprit qu'il participa à la rédaction de la Concorde de Wittenberg (21-28 mai 1536).

De 1532 à sa mort, il ne cessa de voyager en Suisse et en Allemagne, restant un interlocuteur privilégié des réformateurs qui y demeuraient. Il prit part à toutes les diètes et conférences (à l'exception de celles de Ratisbonne), c'est-à-dire aux transactions ecclésiastiques convoquées afin de pacifier les différends entre les religions, ancienne et nouvelle. Il fut ainsi présent à la deuxième conférence de Zurich et à la conférence de Marbourg et, avec Bucer, dessina les Confessio Tetrapolitana (la Confession tétrapolitaine), dont il rédigea vraisemblablement l'article eucharistique. Il assista également aux colloques religieux de Haguenau (1540) et de Worms (1540-1541).

Durant les dernières années de sa vie, sa pensée tendit de plus en plus vers l'objectivité religieuse et vers un esprit plus « catholique », surtout dans le domaine de l'ecclésiologie et de la doctrine des sacrements. Pendant longtemps, ses deux derniers ouvrages, la Responsio de Missa (1537) et l'Hexemeron Dei opus explicatum a Vuolphgango Fa (1539) furent négligés par l'historiographie[4]. Ils prouvent pourtant qu'il quitta définitivement à cette époque son idéalisme religieux pour se tourner davantage vers des réalités tangibles, notamment en ce qui concerne les devoirs de l'État ou la nécessité de protéger les familles des difficultés économiques[5].

Capiton mourut de la peste en 1541. En 1532, il s'était remarié avec Wibrandis Rosenblatt, veuve d'Œcolampade, qui elle-même se remaria, après la mort de Capiton, avec Bucer.

Postérité de sa pensée
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Dès 1525, Capiton a hébergé plusieurs Français et Wallons réfugiés en Alsace, comme Jacques Lefèvre d'Étaples, Simon Robert ou Michel d'Arande. En les faisait bénéficier de ses compétences d'hébraïsant, il a pu marquer leurs orientations exégétiques et donc celles de l'évangélisme français. Il influença également Calvin lors du séjour de celui-ci à Strasbourg (1538-1541).

Cependant, c'est surtout l'aspect spirituel de ses travaux qui a marqué les générations suivantes, et notamment le piétisme.

Ses relations avec Martin Cellarius, dont il avait préfacé le De operibus, le firent longtemps soupçonner d'arianisme.


Wolfgang Fabricius Capito par Heinrich Pantaleon (1565-1566)
Œuvres principales
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Institutionum Hebraicarum libri duo, un manuel d'hébreu
Enarrationes in Habacuc et Hoseam Prophetas
une Vie d'Œcolampade, écrite avec Simon Grynaeus, Strasbourg, 1617, in-8. (contient un passage sur le synode de Berne (1532))
une version en grec de l' Iliade où il se référence comme volfivs cephalaevs ou wolfius cephalaeus.
Les publications de Capiton comprennent 41 titres[6].

papy

papy

Selon ce qui précède, la Bible est la règle suprême en matière de foi et de vie. Elle possède l'autorité absolue en elle-même, quelle que soit la position de l'homme vis-à-vis de cette parole (Jn 12:47-48Jn 5:45De 18:19). Pour l'incroyant, elle détermine le jugement, tandis qu'elle conduit au salut le croyant qui en reconnaît l'autorité par la foi et constitue la norme de son comportement.

samuel

samuel
Administrateur

Malheureusement la chrétienté n'a pas trop confiance actuellement dans l'autorité de la bible.
En predication aussitôt que nous voulons parler de la bible les gens lèvent les bras au ciel en disant cela ne m'intéresse pas du tout.

Josué

Josué
Administrateur

Malheureusement certains chrétiens fo f plus confiance aux historiens qu"ama bible.

Invité


Invité

Quans nous sommes en groupe nous aimons laisser parler les autres personnes et ecouter leur point de vue, et encore plus si les personnes on beaucoup d'experience et de sagesse a nous raconter, et etant donner que Jéhovah est toujours a nos côté, laisse le prendre la parole en lisant un texte biblique ou ecrire un verset de la parole de DIEU ...
Un verset biblique c'est Jehovah qui parle, mais ne pensons pas que simplement mentionner un verset biblique les gens vons comprendre, il faut leur expliquer ce que veux dire le verset et faire ressortir les idees qui peuvent toucher le coeur de notre interlocuteur ....

Lechercheur



Malheureusement beaucoup de chrétiens ont une confiance des plus relative envers la bible et de ce fait elle n'a pas d'impacte chez eux.

Le Presbytre

Le Presbytre

Bonjour à tous !  sunny

Lechercheur a écrit:Malheureusement beaucoup de chrétiens ont une confiance des plus relative envers la bible et de ce fait elle n'a pas d'impacte chez eux.

Beaucoup, beaucoup de paroles mais c'est seulement au pied du mur que l'on voit le maçon!!! Certains, je veux dire beaucoup veulent toujours justifier leur mur tordu, pas d'aplomb... que du vent car un fil à plomb ou un bon niveau ça ne trompe pas !

En toute amitié.

Le Presbytre. cherche

samuel

samuel
Administrateur

Je confirme que des chrétiens ont une confiance des plus relative en la bible.

Le Presbytre

Le Presbytre

Bonjour Samuel !  sunny

samuel a écrit:Je confirme que des chrétiens ont une confiance des plus relative en la bible.

Personnellement je cherche des chrétiens qui feraient réellement confiance à la bible ou qui le voudraient coûte que coûte et je n'en vois pas à mon plus grand regret mais ça va venir....

Le Presbytre. cherche

Josué

Josué
Administrateur

Tu as frappé a la bonne car pour les TJ, la bible fait autorité.
(1 Thessaloniciens 2:13) 13 C’est pourquoi aussi nous remercions Dieu constamment, parce que, quand vous avez reçu la parole de Dieu que nous vous annoncions, vous l’avez acceptée, non comme la parole des hommes, mais comme ce qu’elle est réellement : la parole de Dieu, qui agit bel et bien en vous, les croyants.

Le Presbytre

Le Presbytre

Bonjour Josué !  Very Happy

Josué a écrit:Tu as frappé a la bonne car pour les TJ, la bible fait autorité.
(1 Thessaloniciens 2:13)   13 C’est pourquoi aussi nous remercions Dieu constamment, parce que, quand vous avez reçu la parole de Dieu que nous vous annoncions, vous l’avez acceptée, non comme la parole des hommes, mais comme ce qu’elle est réellement : la parole de Dieu, qui agit bel et bien en vous, les croyants.

Ce n'est vraiment pas le sentiment que l'on ressent lorsque l'on vous écoute, il manque comme quelque chose. Le verset que tu cites, il est parfait alors pourquoi le bouder en ne le mettant pas en pratique?

Amicalement.

Le Presbytre. cherche

Josué

Josué
Administrateur

Qui es tu pour juger ceux qui pratiquent ou pas ?

chico.

chico.

La bible est un guide et une lumière pour notre sentier.
(Psaume 119:105) 105 Ta parole est une lampe pour mon pied et une lumière pour mon sentier.

Le Presbytre

Le Presbytre

Bonjour Chico !  Very Happy

chico. a écrit:La bible est un guide et une lumière pour notre sentier.
(Psaume 119:105) 105 Ta parole est une lampe pour mon pied et une lumière pour mon sentier.

Combien de milliers de religions chrétiennes me répondraient de cette manière?... et pourtant elles comprennent la bible toutes différemment les unes et les autres! Il y a comme un problème quelque part et ce qui est sûr c'est qu'il ne provient pas de la lumière que procure les saintes écritures mais des yeux de chacun qui ne voit qu'à travers ses propres croyances, oubliant de se renier lui-même. Peut-être qu'un peu de collyre pourrait faire l'affaire!

Amicalement.

Le Presbytre. cherche

Le Presbytre

Le Presbytre

Bonjour Josué !  Very Happy

Josué a écrit:Qui es tu pour juger ceux qui pratiquent ou pas ?

J'ai beau me relire mais je ne vois pas très bien où j'aurais pu porter un jugement sur qui que ce soit! Peux-tu m'éclairer car il s'agit d'une faute à laquelle j'aimerais remédier? Merci.

Amicalement.

Le Presbytre.  cherche

Lechercheur



Je trouve cette remarque blessante.

Peut-être qu'un peu de collyre pourrait faire l'affaire!

Ce qui suppose que toi seul tu possèdes ce fameux collyre!

Le Presbytre

Le Presbytre

Bonjour Lechercheur !  Very Happy

Lechercheur a écrit:Je trouve cette remarque blessante.

Peut-être qu'un peu de collyre pourrait faire l'affaire!

Ce qui suppose que toi seul tu possèdes ce fameux collyre!

Et bien oui j'ai de ce collyre et je crois bien que toi aussi lorsque tu tiens ta bible entre les mains (2Timothée 3: 16,17), moi c'est le collyre que j'utilise après un reniement permanent de moi-même et apparemment ça marche plutôt bien tu sais! Je ne vois pas en quoi je peux blesser, pourquoi t'abstiens-tu de me le dire?

Amitiés fraternelles.

Le Presbytre. cherche

papy

papy

Le (moi je) me semble de trop, reste modeste.

(Proverbes 27:2)  2 Que ce ne soit pas ta bouche, mais celle d’un autre, qui dise du bien de toi ; pas tes lèvres, mais celles d’autres personnes.

Le Presbytre

Le Presbytre

Bonjour Papy !  Very Happy

papy a écrit:Le (moi je) me semble de trop, reste modeste.(C'est moi le Presbytre qui souligne!)

(Proverbes 27:2)  2 Que ce ne soit pas ta bouche, mais celle d’un autre, qui dise du bien de toi ; pas tes lèvres, mais celles d’autres personnes.

Tu chipotes, tu voudrais faire croire ce que je ne veux pas être; me mettre en valeur si je t'ai bien compris!
Bon à ta guise! Paul se mettait-il en valeur lorsqu'il donne des détails sur son activité? Et puis bof à quoi bon!

Amicalement.

Le Presbytre. cherche

samuel

samuel
Administrateur

Réponse: L’Ancien Testament en hébreu et le Nouveau Testament en grec sont directement inspirés par Dieu, et par ses soins particuliers et sa providence gardés purs à travers les siècles. Les traductions ne sont pas infaillibles, mais sont très fiables. ~ [url=https://biblia.com/bible/lsg/Matt 5.18?culture=fr]Matthieu 5.18[/url]
« LAISSEZ TOUJOURS LA BIBLE FAIRE AUTORITÉ » Etudes-1689-campus
L’inerrance biblique signifie qu’il n’y a aucune erreur dans la Bible que ce soit dans ses affirmations factuelles, scientifiques ou historiques. Si l’Écriture est verbalement inspirée de Dieu, elle ne peut comporter d’erreur ([url=https://biblia.com/bible/lsg/Tite 1.2?culture=fr]Tt 1.2[/url]). Jésus affirme clairement l’inerrance de la Bible lorsqu’il déclare que « l’Écriture ne peut être anéantie » ([url=https://biblia.com/bible/lsg/Jean 10.35?culture=fr]Jn 10.35[/url]). Il applique cette infaillibilité non pas uniquement aux énoncés généraux de la Bible, mais à ses moindres de détails en déclarant ([url=https://biblia.com/bible/lsg/Matt 5.18?culture=fr]Mt 5.18[/url]) : « Je vous le dis en vérité, tant que le ciel et la terre ne passeront point, il ne disparaîtra pas de la loi un seul iota ou un seul trait de lettre, jusqu’à ce que tout soit arrivé. » Jésus affirme non seulement l’inspiration infaillible des Écritures, mais il promet en outre que l’Écriture sera préservée par Dieu jusqu’à la fin du monde : « Le ciel et la terre passeront, mais mes paroles ne passeront point. » ([url=https://biblia.com/bible/lsg/Matt 24.35?culture=fr]Mt 24.35[/url]). Voici comment la théologie réformée affirme l’inspiration, l’infaillibilité et la préservation de la Sainte-Écriture :
(Par. Cool L’Ancien Testament en hébreu (la langue de l’ancien peuple de Dieu) et le Nouveau Testament en grec (une langue très connue parmi les peuples à l’époque de sa rédaction) sont directement inspirés par Dieu, et par ses soins particuliers et sa providence gardés purs à travers les siècles ; ils sont donc authentiques et, dans tout débat religieux, l’Église doit y faire son dernier appel. Or ces langues originales ne sont pas connues de tout le peuple de Dieu, qui a cependant droit et intérêt dans les Écritures, et qui a reçu l’ordre de les lire et sonder dans la crainte de Dieu. Aussi, les Écritures doivent‑elles être traduites dans la langue utilisée par chaque nation où elles pénètrent, pour qu’elles soient pleinement répandues parmi tous et que tous puissent rendre à Dieu un culte qui lui soit agréable, et que par la patience et la consolation apportées par les Écritures, ils possèdent l’espérance.
Si donc l’Écriture est inspirée de Dieu et gardée par lui, il faut expliquer ce qui peut sembler apparaître comme des erreurs ou des contradictions dans la Bible. Par exemple, lorsque Paul déclare que l’homme est justifié par la foi sans les œuvres ([url=https://biblia.com/bible/lsg/Rom 3.28?culture=fr]Rm 3.28[/url]), tandis que Jacques affirme que l’homme est justifié par ses œuvres ([url=https://biblia.com/bible/lsg/Jacques 2.24?culture=fr]Jc 2.24[/url]), il ne faut pas y voir une contradiction, mais deux affirmations complémentaires qui ne peuvent être anéanties et qui doivent être harmonisées. Nous devons donc comprendre que l’homme est justifié par la foi seule et que cette foi s’authentifie par des œuvres ([url=https://biblia.com/bible/lsg/Gal 5.6?culture=fr]Ga 5.6[/url]).
Un autre exemple est celui où David fait le dénombrement, pèche contre Dieu en agissant ainsi et attire la malédiction de l’Éternel sur son peuple. [url=https://biblia.com/bible/lsg/2 Sam 24.1?culture=fr]2 Samuel 24.1[/url] déclare que l’Éternel, qui voulait châtier Israël, excita David à agir ainsi, tandis que [url=https://biblia.com/bible/lsg/1 Chron 21.1?culture=fr]1 Chroniques 21.1[/url] affirme que c’est Satan qui l’y excita. En harmonisant les deux textes nous comprenons que Dieu, qui ne tente lui-même personne ([url=https://biblia.com/bible/lsg/Jacques 1.13-15?culture=fr]Jc 1.13-15[/url]), a châtié Israël pour la désobéissance de David incitée par le diable. Tout cela arriva suivant la contingence naturelle et le décret divin. Dieu utilise le mal et même le diable pour faire concourir son plan parfait. L’harmonisation des Écritures est la méthode qui est directement à la base de la théologie systématique qui nous permet d’avoir une connaissance vraie de la saine doctrine.
Un troisième exemple est celui où il y a une contradiction entre ce qui arrive à Paul sur le chemin de Damas et le récit qu’il en fait devant la foule à Jérusalem. [url=https://biblia.com/bible/lsg/Actes 9.7?culture=fr]Actes 9.7[/url] déclare : « Les hommes qui l’accompagnaient demeurèrent stupéfaits ; ils entendaient bien la voix, mais ils ne voyaient personne. » Cependant Paul déclare ([url=https://biblia.com/bible/lsg/Actes 22.9?culture=fr]Ac 22.9[/url]) : « Ceux qui étaient avec moi virent bien la lumière, mais ils n’entendirent pas la voix de celui qui parlait. » Il y a deux explications possibles. La première : Paul précise ce qui est arrivé aux hommes qui l’accompagnaient sur le chemin de Damas ; bien qu’ils entendirent la voix (Ac 9), ils ne comprirent pas ce qu’elle disait (Ac 22) et ils ne reconnurent personne (Ac 9) bien qu’ils virent une lumière (Ac 22). La deuxième possibilité : Luc, l’auteur des Actes, rapporte les paroles de Paul telles qu’il les a prononcées. Paul s’est trompé en parlant, mais l’Écriture rapporte infailliblement ce qui s’est passé sur le chemin de Damas ainsi que le récit que Paul en fit à Jérusalem. L’infaillibilité apostolique s’applique aux écrits de ceux-ci et non à tous leurs faits et gestes ([url=https://biblia.com/bible/lsg/Gal 2.11?culture=fr]Ga 2.11[/url]).
Nous pourrions multiplier ainsi les exemples, mais en appliquant toujours le même principe d’harmonisation des textes et en acceptant la toute-puissance de Dieu pour expliquer l’inexplicable ([url=https://biblia.com/bible/lsg/Josu 10.12-14?culture=fr]Jos 10.12-14[/url]), nous pouvons affirmer l’infaillibilité et l’inerrance de la Bible.
Les théologiens protestants font généralement une distinction entre les autographa (les écrits originaux) et les apographa (les copies des originaux). La confession déclare que ce sont les originaux hébreux et grecs qui « sont directement inspirés par Dieu, et par ses soins particuliers et sa providence gardés purs à travers les siècles ». Deux choses doivent être déduites de cette affirmation. (1) Les manuscrits et les traductions de la Bible, bien que hautement fiables, ne sont pas exempts d’erreurs. (2) Dieu, tel que promis, a préservé sa Parole originale au travers des copies faillibles par lesquelles nous possédons sa Parole infaillible. Que l’on croie à la préservation de la Parole inerrante de Dieu par le Texte reçu ou encore par la critique textuelle, nous sommes certains que Dieu a préservé sa Parole par ses soins providentiels, car il l’a promis ([url=https://biblia.com/bible/lsg/Matt 5.18?culture=fr]Mt 5.18[/url], [url=https://biblia.com/bible/lsg/Mt 24.35?culture=fr]24.35[/url] ; [url=https://biblia.com/bible/lsg/Jean 10.35?culture=fr]Jn 10.35[/url]).
Puisque Dieu commande à son peuple de sonder les Écritures ([url=https://biblia.com/bible/lsg/Josu 1.8?culture=fr]Jos 1.8[/url] ; [url=https://biblia.com/bible/lsg/Esa 8.20?culture=fr]Es 8.20[/url] ; [url=https://biblia.com/bible/lsg/Col 3.16?culture=fr]Col 3.16[/url] ; [url=https://biblia.com/bible/lsg/1 Tim 4.13?culture=fr]1 Tm 4.13[/url]) et puisque la plupart n’ont pas une connaissance des langues originales de la Bible (l’hébreu et le grec), la traduction de la Bible est nécessaire et voulue de Dieu. Les langues vernaculaires sont nécessaires à l’édification du peuple de Dieu ([url=https://biblia.com/bible/lsg/1 Cor 14.10-12?culture=fr]1 Co 14.10-12[/url]), mais seules les Écritures dans leurs langues originales sont inspirées de Dieu.

Josué

Josué
Administrateur

« LAISSEZ TOUJOURS LA BIBLE FAIRE AUTORITÉ » Bible_18
Avec cd rom

Josué

Josué
Administrateur

Elle se trouve en ligne.
https://logiciels.lelogicielgratuit.com/la-bible-des-peuples-telecharger.html

papy

papy

L'autorité de la bible selon les catholiques.

https://servir.caef.net/wp-content/uploads/2001/pdf2001/2001_01_03_linspirationdelaBible.pdf

Le Presbytre

Le Presbytre

Bonjour à tous!  Very Happy  

Que peut bien vouloir dire: "13 Et personne n’est monté au ciel, sinon celui qui est descendu du ciel, le fils de l’homme qui est dans le ciel." de Jean 3:13 ? (Version J-N Darby)

Amicalement.

Le Presbytre.  cherche

chico.

chico.

Le Presbytre a écrit:Bonjour à tous!  Very Happy  

Que peut bien vouloir dire: "13 Et personne n’est monté au ciel, sinon celui qui est descendu du ciel, le fils de l’homme qui est dans le ciel." de Jean 3:13 ? (Version J-N Darby)

Amicalement.

Le Presbytre.  cherche
Bonjour.
Examinons un exemple. Jésus a dit, selon Jean 3:13 : “ Aucun homme n’est monté au ciel sauf celui qui est descendu du ciel, le Fils de l’homme. ” Certains traducteurs ont ajouté “ qui est dans le ciel ”. En laissant entendre que Jésus était au ciel et sur la terre au même moment, cet ajout appuie le dogme de la Trinité. Ces mots supplémentaires se trouvent dans quelques manuscrits du Ve et du Xe siècle de notre ère. Mais leur absence dans les manuscrits Vaticanus et Sinaiticus, plus anciens, ont conduit bon nombre de traducteurs modernes à ne pas en tenir compte. Un tel choix dissipe la confusion relative à l’identité de Christ et s’harmonise avec le reste des Écritures. Jésus ne se trouvait pas en deux endroits en même temps ; il venait du ciel et allait bientôt retourner au ciel, ou ‘ monter ’ vers son Père. — Jean 20:17.

Le Presbytre

Le Presbytre

Bonjour Chico !  Very Happy

Tout à fait d'accord avec toi lorsque tu dis:
Jésus ne se trouvait pas en deux endroits en même temps ; il venait du ciel et allait bientôt retourner au ciel, ou ‘ monter ’ vers son Père. — Jean 20:17.
Là où les choses se compliquent c'est lorsque s'adressant à Nicodème, et donc bien vivant sur terre le Christ lui dit: (...) sinon celui qui en est descendu. Il ne veut pas dire qu'il allait rejoindre son Père, ce qu'il fera plus tard bien sûr, mais bien qu'à cet instant où il s'adresse à Nicodème il lui fait savoir qu'il était déjà monté une première fois. J'ai vérifié et revérifié ces dires dans une trentaine de traductions. Cela signifie non pas à mon sens mais en bon français qu'à c'est instant il aurait déjà séjourné une fois sur terre et serait monté une première fois auprès du Père pour en redescendre et vivre tout ce que nous savons. Les choses semblent bel et bien formelles, le Christ parle ici au passé et accepter cela c'est reconnaître l'autorité suprême des écritures. Qu'en pense-tu? Il me semble que tu ne pourrais qu'être d'accord! Très bonne journée à toi.

Amicalement.

Le Presbytre. cherche

Josué

Josué
Administrateur

Mais Jésus n'est pas venue sur terre pour y rester.
(Jean 20:16, 17) [...] . 17 Jésus lui dit : “ Cesse de te cramponner à moi. Car je ne suis pas encore monté vers le Père. Mais va-t’en vers mes frères et dis-leur : ‘ Je monte vers mon Père et votre Père, et vers mon Dieu et votre Dieu.  [...]

Le Presbytre

Le Presbytre

Josué a écrit:Mais Jésus n'est pas venue sur terre pour y rester.
(Jean 20:16, 17) [...] . 17 Jésus lui dit : “ Cesse de te cramponner à moi. Car je ne suis pas encore monté vers le Père. Mais va-t’en vers mes frères et dis-leur : ‘ Je monte vers mon Père et votre Père, et vers mon Dieu et votre Dieu.  [...]

Bonjour Josué !  Very Happy

Je ne parle pas de cet épisode mais celui de sa discussion avec Nicodème au tout début de son ministère.

Et personne n’est monté au ciel, sinon celui qui est descendu du ciel, le fils de l’homme qui est dans le ciel." de Jean 3:13 ? (Version J-N Darby)

Amicalement.

Le Presbytre. cherche

Josué

Josué
Administrateur

Mais il ne faut pas prendre un seul verset pour comprendre pourquoi Jésus est venu sur terre et lui faire dire n'importe quoi!

Lechercheur



Mais il me semble que le premier à avoir monté au ciel et Jésus!

Le Presbytre

Le Presbytre

Josué a écrit:Mais il ne faut pas prendre un seul verset pour comprendre pourquoi Jésus est venu sur terre et lui faire dire n'importe quoi!

Bonjour Josué !  Very Happy

Oui c'est vrai dans certains cas mais dans celui que je cite c'est Nicodème qui vient en pleine nuit auprès de Yèshoua pour savoir des choses qui dans la bouche du Christ sont très claires:
"Et personne n’est monté au ciel, sinon celui qui est descendu du ciel, le fils de l’homme qui est dans le ciel."
 
Si nous appliquons correctement les règles de lecture, c'est à dire honnêtement sans chercher à détourner le texte comme pour vouloir justifier une chose ou une autre, cela dit tout simplement que celui qui est déjà monté au ciel est aussi celui qui en est descendu, c'est à dire lui Yèshoua qui a déjà séjourné une première fois sur terre. Qui peut vouloir d'autres explications même si l'on n'imagine pas la suite? C'est si claire si nous opérons logiquement en nous préoccupant d'abord de ces montées et descentes.  Ici Yèshoua n'a pas parlé en allégories et sur l'instant Nicodème a parfaitement compris le sens de ces paroles et n'a pas réclamé d'autres explications pour ce passage précis. Les deux versets suivants, qui sont pleins de sens, complètent cette discussion entre Yèshoua et Nicodème mais là ce pourrait être un autre sujet lui aussi passionnant.

Amicalement.

Le Presbytre. cherche



Dernière édition par Le Presbytre le Mer 23 Fév - 10:44, édité 2 fois

Le Presbytre

Le Presbytre

Lechercheur a écrit:Mais il me semble que le premier à avoir monté au ciel et Jésus!

Bonjour Lechercheur ! Very Happy

Oui d'accord mais quand ? Ici lorsque Yèshoua s'adresse à Nicodème, il est lui bien vivant et il vient de commencer son ministère, nous sommes encore loin du jour de l'Ascension. C'est donc d'une autre montée au ciel dont il est question dans ce texte, une qui serait la première.

Amicalement.

Le Presbytre. cherche

Josué

Josué
Administrateur

Mais Jésus et le premier en toutes choses.
(Colossiens 1:17, 18) [...] , 18 et il est la tête du corps, la congrégation. Il est le commencement, le premier-né d’entre les morts, pour devenir celui qui est le premier en toutes choses  [...] 
Franchement je ne vois pas ou tu veux en venir!

Le Presbytre

Le Presbytre

Josué a écrit:Mais Jésus et le premier en toutes choses.
(Colossiens 1:17, 18) [...] , 18 et il est la tête du corps, la congrégation. Il est le commencement, le premier-né d’entre les morts, pour devenir celui qui est le premier en toutes choses  [...] 
Franchement je ne vois pas ou tu veux en venir!

Bonjour Josué ! Very Happy

C'est pour voir jusqu'à quelles limites vous êtes réellement prêts à suivre la bible dans des versets qui disent ce qu'ils disent tout simplement comme celui-ci que je vous ai cité:

"Et personne n’est monté au ciel, sinon celui qui est descendu du ciel, le fils de l’homme qui est dans le ciel."

Personnellement entre dire et faire... Pourquoi, je ne comprends pas.

Amicalement.

Le Presbytre. cherche

Josué

Josué
Administrateur

Tant fait pas pour nous la bible et la parole Dieu.
(1 Thessaloniciens 2:13) 13 Oui, voilà pourquoi, nous aussi, nous remercions Dieu constamment, parce que, quand vous avez reçu la parole de Dieu que vous entendiez de nous, vous l’avez acceptée, non comme la parole des hommes, mais, ainsi qu’elle l’est véritablement, comme la parole de Dieu, laquelle est aussi à l’œuvre en vous, les croyants. 
Je ne suis pas vraiment sur que tu connaisses ce verset.

papy

papy

Le Presbytre a écrit:Bonjour à tous!  Very Happy  

Que peut bien vouloir dire: "13 Et personne n’est monté au ciel, sinon celui qui est descendu du ciel, le fils de l’homme qui est dans le ciel." de Jean 3:13 ? (Version J-N Darby)

Amicalement.

Le Presbytre.  cherche
Que voulait dire Jésus lorsqu’il a déclaré à Nicodème : “ Aucun homme n’est monté au ciel sauf celui qui est descendu du ciel, le Fils de l’homme ” ? — Jean 3:13.
Jésus se trouvait alors sur la terre, et il n’était pas encore monté, ou retourné, au ciel. Toutefois, ce que nous savons de Jésus et du contexte des paroles qu’il a prononcées peut nous aider à comprendre ce qu’il avait à l’esprit.
Jésus était “ descendu du ciel ” puisqu’il vivait auparavant avec son Père dans le royaume spirituel. Au moment qu’il avait fixé, Dieu avait transféré la vie de son Fils dans le ventre de Marie, et Jésus était né en tant qu’homme (Luc 1:30-35 ; Galates 4:4 ; Hébreux 2:9, 14, 17). Après sa mort, Jésus serait ressuscité comme créature spirituelle et retournerait auprès de Jéhovah. C’est pourquoi, peu avant d’être exécuté, il a pu formuler cette prière : “ Père, glorifie-moi auprès de toi-même de la gloire que j’avais auprès de toi avant que le monde soit. ” — Jean 17:5 ; Romains 6:4, 9 ; Hébreux 9:24 ; 1 Pierre 3:18.
Lorsqu’il s’est entretenu avec Nicodème, Pharisien et enseignant, Jésus n’était pas encore retourné au ciel. Aucun autre humain, à sa mort, n’était monté vers le domaine spirituel, le ciel. Jésus lui-même a déclaré que Jean le Baptiste était un prophète de Dieu sans égal, mais qu’‘ un petit dans le royaume des cieux était plus grand que lui ’. (Matthieu 11:11.) L’apôtre Pierre, pour sa part, a expliqué que même le fidèle roi David était mort, qu’il se trouvait toujours dans la tombe, et qu’il n’était pas monté au ciel (Actes 2:29, 34). Pourquoi ceux qui étaient morts avant Jésus, tels David, Jean le Baptiste et d’autres hommes de foi, n’étaient-ils pas allés au ciel ? Parce qu’ils étaient décédés avant que Jésus n’inaugure la voie permettant à des humains d’être ressuscités pour la vie céleste. L’apôtre Paul a écrit que Jésus, tel un précurseur, ‘ a inauguré un chemin nouveau et vivant ’ vers le ciel. — Hébreux 6:19, 20 ; 9:24 ; 10:19, 20.
Puisque Jésus n’avait pas encore connu la mort et la résurrection, qu’avait-il à l’esprit lorsqu’il a dit à Nicodème : “ Aucun homme n’est monté au ciel sauf celui qui est descendu du ciel, le Fils de l’homme ? ” (Jean 3:13). Intéressons-nous au contexte : de quoi Jésus discutait-il avec Nicodème ?
Quand ce chef juif est venu le trouver à la faveur de la nuit, Jésus lui a dit : “ Oui, vraiment, je te le dis : Si quelqu’un ne naît de nouveau, il ne peut voir le royaume de Dieu. ” (Jean 3:3). Interloqué, Nicodème lui a répondu : ‘ Comment est-ce possible ? Comment un homme peut-il naître une seconde fois ? ’ Il ne comprenait pas cet enseignement divin au sujet du Royaume de Dieu. Pouvait-il, d’une manière ou d’une autre, en apprendre davantage ? D’un humain, non. Aucun homme ne pouvait lui expliquer quoi que ce soit sur l’accès au Royaume, puisque personne n’était allé au ciel. Seul Jésus faisait exception. Lui pouvait enseigner Nicodème et d’autres, car, étant descendu du ciel, il était bien placé pour en parler.
La question soulevée par ce verset nous conduit à retenir un point important en ce qui concerne l’étude de la Parole de Dieu. Il n’est pas raisonnable de tout remettre en cause pour la simple raison qu’un passage semble difficile à comprendre. Ce que la Bible dit à un endroit doit être analysé à la lumière d’autres passages et s’harmoniser avec eux. En outre, le contexte — la situation ou la discussion en cours — aide souvent à trouver une explication satisfaisante et logique à un verset déconcertant.

Le Presbytre

Le Presbytre

Josué a écrit:Tant fait pas pour nous la bible est la parole Dieu.
(1 Thessaloniciens 2:13) 13 Oui, voilà pourquoi, nous aussi, nous remercions Dieu constamment, parce que, quand vous avez reçu la parole de Dieu que vous entendiez de nous, vous l’avez acceptée, non comme la parole des hommes, mais, ainsi qu’elle l’est véritablement, comme la parole de Dieu, laquelle est aussi à l’œuvre en vous, les croyants. 
Je ne suis pas vraiment sur que tu connaisses ce verset.

Bonjour Josué ! Very Happy

La bible est la parole de Dieu pour bien des religions mais qui la lit correctement et peut le faire à haute voix? Toutes les religions chrétiennes se ressemblent par leur petit lait qu'elles consomment mais pas par ce qui est solide. Le verset que tu me cites mon ami Josué (si tu le veux bien), on le chante dans toutes les églises et chacune d'elles voit ça à sa  manière alors que seule la vraie façon de lire la bible peut nous rapprocher et nous unir... mais il faut appeler un chat un chat et un chien un chien.   :boukk  

Amicalement.

Le Presbytre. cherche



Dernière édition par Le Presbytre le Jeu 24 Fév - 14:29, édité 1 fois

Le Presbytre

Le Presbytre

Bonjour Papy et à tous!  Very Happy  

Que peut bien vouloir dire: "13 Et personne n’est monté au ciel, sinon celui qui est descendu du ciel, le fils de l’homme qui est dans le ciel." de Jean 3:13 ? (Version J-N Darby)

La question soulevée par ce verset nous conduit à retenir un point important en ce qui concerne l’étude de la Parole de Dieu. Il n’est pas raisonnable de tout remettre en cause pour la simple raison qu’un passage semble difficile à comprendre. Ce que la Bible dit à un endroit doit être analysé à la lumière d’autres passages et s’harmoniser avec eux. En outre, le contexte — la situation ou la discussion en cours — aide souvent à trouver une explication satisfaisante et logique à un verset déconcertant.

Il y a deux sortes d'écritures, celles qui sont à prendre au sens littéral et celles qui le sont au sens allégorique telles que paraboles, similitudes, images etc. qui elles ont un sens caché qu'il nous faut rechercher comme des perles qui vont elles nous mener à cette fameuse perle qui n'a pas de prix qu'est la Paix source de vie éternelle.

Un texte écrit au sens littéral comme c'est le cas ici n'a pas besoin d'autres textes pour être expliqués il se comprend par lui-même mais peut être bien-sûr repris tel que dans d'autres passages. Fais en l'expérience avec un enfant de dix ans libre d'esprit, il comprendra facilement.

Le texte cité a de par lui-même un sens précis, il n'a donc rien d'allégorique et ne doit pas être interprété de quelque manière que ce soit car dans ce cas la bible ne saurait en aucun cas nous servir de guide parce que l'on pourrait lui faire dire n'importe quoi et c'est ce que vous faites en permanence. C'est tout simplement dommage.

Amicalement.

Le Presbytre. cherche

PS: Surtout voit aucune méchanceté dans mes propos car parfois ils peuvent sembler durs mais je peux t'assurer qu'ils ne le sont pas.

Le Presbytre

Le Presbytre

Bonjour à tous ! Very Happy

Une autre petite question, que veut dire ce verset très important à mon sens:

"qui n’est pas journellement dans la nécessité, comme les souverains sacrificateurs, d’offrir des sacrifices, d’abord pour ses propres péchés, ensuite pour ceux du peuple; car cela, il l’a fait une fois pour toutes, s’étant offert lui-même."(Hébreux 7:27)

Pour vous aider voici ce même verset dans une trentaine de traductions.


Nouvelle Bible Français Courant
© 2019 - Éditions Bibli'O   Il n'est pas comme les autres grands-prêtres : il n'a pas besoin d'offrir chaque jour des sacrifices, d'abord pour ses propres péchés, et ensuite pour ceux du peuple. Cela, il l'a fait une fois pour toutes, quand il s'est offert lui-même.  (Hébreux 7:27)

Traduction du Monde Nouveau
© 2018 - Watchtower Bible & tract society of Pennsylvania   À la différence des autres grands prêtres, il n’a pas besoin d’offrir des sacrifices chaque jour, d’abord pour ses propres péchés et ensuite pour ceux du peuple, parce qu’il l’a fait une fois pour toutes quand il s’est offert lui-même. (Hébreux 7:27)

Bible de la Liturgie
© 2013 - Association Épiscopale Liturgique pour les pays Francophones   Il n’a pas besoin, comme les autres grands prêtres, d’offrir chaque jour des sacrifices, d’abord pour ses péchés personnels, puis pour ceux du peuple ; cela, il l’a fait une fois pour toutes en s’offrant lui-même. (Hébreux 7:27)

Traduction Œcuménique de la Bible
© 2010 - Éditions du Cerf & Bibli'O   Il n’a pas besoin, comme les autres grands prêtres, d’offrir chaque jour des sacrifices, d’abord pour ses propres péchés, puis pour ceux du peuple. Cela, il l’a fait une fois pour toutes en s’offrant lui-même. (Hébreux 7:27)

Bible Segond 21
© 2007 - Société Biblique de Genève   Il n'a pas besoin comme les autres grands-prêtres d'offrir chaque jour des sacrifices, d'abord pour ses propres péchés, ensuite pour ceux du peuple, car il a accompli ce service une fois pour toutes en s'offrant lui-même en sacrifice. (Hébreux 7:27)

Bible des Peuples
© 2005 - Éditions du Jubilé   À la différence des grands prêtres, il n’a pas à offrir chaque jour des sacrifices, d’abord pour ses propres péchés et ensuite pour le peuple. Pour le peuple, il ne l’a fait qu’une fois, quand il s’est offert lui-même. (Hébreux 7:27)

Nouvelle Bible Segond
© 2002 - Société Biblique Française   il n'a pas besoin, comme les grands prêtres, d'offrir chaque jour des sacrifices, d'abord pour ses propres péchés, et ensuite pour ceux du peuple – cela, il l'a fait une fois pour toutes, en s'offrant lui-même. (Hébreux 7:27)

Bible Parole de vie
© 2000 - Société Biblique Française   Jésus n'est pas comme les autres grands-prêtres. Il n'a pas besoin d'offrir des sacrifices chaque jour, d'abord pour ses péchés à lui, ensuite pour ceux du peuple. Il a fait cela une fois pour toutes en s'offrant lui-même. (Hébreux 7:27)

Bible du Semeur
© 2000, Société Biblique Internationale   Les autres grands-prêtres sont obligés d’offrir chaque jour des sacrifices, d’abord pour leurs propres péchés, ensuite pour ceux du peuple. Lui n’en a pas besoin, car il a tout accompli une fois pour toutes, en s’offrant lui-même. (Hébreux 7:27)

Bible Pastorale de Maredsous
© 1997 - Éditions de Maredsous   qui n'ait pas besoin, comme les grands prêtres, d'offrir quotidiennement des sacrifices pour ses propres péchés d'abord et pour ceux du peuple ensuite: cela, il l'a fait une fois pour toutes en s'offrant lui-même. (Hébreux 7:27)

Traduction du Monde Nouveau
© 1995 - Watchtower Bible & tract society of Pennsylvania   Il n’a pas besoin chaque jour, comme les grands prêtres, d’offrir des sacrifices, d’abord pour ses propres péchés et ensuite pour ceux du peuple (car cela, il l’a fait une fois pour toutes quand il s’est offert lui-même) ; (Hébreux 7:27)

Bible en français courant
© 1982 - Société Biblique française   Il n'est pas comme les autres grands-prêtres: il n'a pas besoin d'offrir chaque jour des sacrifices, d'abord pour ses propres péchés et ensuite pour ceux du peuple. Il a offert un sacrifice une fois pour toutes, quand il s'est offert lui-même. (Hébreux 7:27)

Bible Chouraqui
© 1977 - Éditions Desclée de Brouwer   Celui-là n’a pas, comme les grands desservants, la nécessité quotidienne d’offrir des sacrifices, d’abord pour leurs propres fautes, ensuite pour celles du peuple: cela, il l’a fait une fois pour toutes en s’offrant lui-même. (Hébreux 7:27)

Traduction Œcuménique de la Bible
© 1976 - Les Éditions du Cerf   Il n'a pas besoin, comme les autres grands prêtres, d'offrir chaque jour des sacrifices, d'abord pour ses propres péchés, puis pour ceux du peuple. Cela, il l'a fait une fois pour toutes en s'offrant lui-même. (Hébreux 7:27)

Bible de Jérusalem
© 1973 - Les Éditions du Cerf   qui ne soit pas journellement dans la nécessité, comme les grands prêtres, d'offrir des victimes d'abord pour ses propres péchés, ensuite pour ceux du peuple, car ceci il l'a fait une fois pour toutes en s'offrant lui-même. (Hébreux 7:27)

Traduction Osty-Trinquet
© 1970-1973 - Éditions Rencontre   qui ne soit pas contraint chaque jour, comme les grands prêtres, d'offrir des sacrifices, d'abord pour ses propres péchés, ensuite pour ceux du peuple; car cela, il l'a fait une fois pour toutes en s'offrant lui-même. (Hébreux 7:27)

Traduction Pirot-Clamer
© 1953 - Éditions Letouzey & Ané   comme les grands prêtres, d'offrir des sacrifices pour ses propres péchés, avant d'en offrir pour les péchés du peuple, car ceci, il l'a fait une fois pour toutes en s'offrant lui-même. (Hébreux 7:27)

Traduction Abbé Crampon
© 1920-1923   qui n'a pas besoin, comme les grands prêtres, d'offrir chaque jour des sacrifices d'abord pour ses propres péchés, ensuite pour ceux du peuple, car ceci, il l'a fait une fois pour toutes en s'offrant lui-même. (Hébreux 7:27)

Version Synodale
© 1921 - Société Biblique de France   Il n'a pas besoin, comme les autres souverains sacrificateurs, d'offrir tous les jours des sacrifices, d'abord pour ses propres péchés, ensuite pour ceux du peuple: il a fait cela une fois pour toutes, en s'offrant lui-même. (Hébreux 7:27)

Traduction Louis Segond
• 1910   qui n'a pas besoin, comme les souverains sacrificateurs, d'offrir chaque jour des sacrifices, d'abord pour ses propres péchés, ensuite pour ceux du peuple, — car ceci, il l'a fait une fois pour toutes en s'offrant lui-même. (Hébreux 7:27)

Traduction Jean-Baptiste Glaire
• 1900 - Bible Vigouroux   qui n'a pas besoin, comme les prêtres, d'offrir tous les jours des victimes, d'abord pour ses propres péchés, ensuite pour ceux du peuple ; car cela, il l'a fait une fois pour toutes, en s'offrant lui-même. (Hébreux 7:27)

Bible Annotée de Neufchâtel
• 1899   qui n'a pas besoin tous les jours, comme les souverains sacrificateurs, d'offrir des sacrifices, d'abord pour ses propres péchés, ensuite pour ceux du peuple; car ceci, il l'a fait une fois pour toutes, en s'offrant lui-même. (Hébreux 7:27
)
Traduction Abbé Fillion
• 1895   qui n'a pas besoin, comme les prêtres, d'offrir tous les jours des victimes, d'abord pour ses propres péchés, ensuite pour ceux du peuple; car cela, Il l'a fait une fois pour toutes, en S'offrant Lui-même. (Hébreux 7:27)

Traduction Stapfer
• 1889   qui n'est pas tous les jours obligé comme les autres grands-prêtres d'offrir des sacrifices pour ses propres péchés d'abord, pour ceux du peuple ensuite — (cela il l'a fait une fois pour toutes en s'offrant lui-même), — (Hébreux 7:27)

Traduction John Nelson Darby
• 1885   qui n’est pas journellement dans la nécessité, comme les souverains sacrificateurs, d’offrir des sacrifices, d’abord pour ses propres péchés, ensuite pour ceux du peuple; car cela, il l’a fait une fois pour toutes, s’étant offert lui-même. (Hébreux 7:27)

Bible d'Ostervald
• 1881   Qui n'eût pas besoin, comme les souverains sacrificateurs, d'offrir tous les jours des sacrifices, premièrement pour ses propres péchés, puis pour ceux du peuple; car il a fait cela une fois, en s'offrant lui-même. (Hébreux 7:27)

Traduction Oltramare
• 1874   qui ne fût pas obligé, comme les souverains sacrificateurs, d'offrir chaque jour des victimes, d'abord pour ses propres péchés, puis pour ceux du peuple; car ceci, il l'a fait une fois pour toutes en s'offrant lui-même. (Hébreux 7:27)

Traduction Albert Rilliet
• 1858   il n'a pas journellement besoin, comme les grands prêtres, d'offrir des sacrifices, d'abord pour ses propres péchés, puis pour ceux du peuple; car ceci il l'a fait une fois pour toutes en s'offrant lui-même en sacrifice. (Hébreux 7:27)

Traduction Lemaistre de Sacy
• 1759   qui ne fût point obligé comme les autres pontifes à offrir tous les jours des victimes, premièrement pour ses propres péchés & ensuite pour ceux du peuple: ce qu’il a fait une fois en s’offrant lui-même. (Hébreux 7:27)

Traduction David Martin
• 1744   Qui n'eût pas besoin, comme les souverains Sacrificateurs, d'offrir tous les jours des sacrifices, premièrement pour ses péchés, et ensuite pour ceux du peuple, vu qu'il a fait cela une fois, s'étant offert lui-même. (Hébreux 7:27)

King James Version / Bible du Roi Jacques
• 1611/1994 - Nadine L. Stratford & Bible des Réformateurs   Qui n'a pas besoin, comme ces grands prêtres, d'offrir tous les jours des sacrifices, d'abord pour ses propres péchés, et puis pour ceux du peuple; car il a fait cela une fois pour toutes, lorsqu'il s'est offert lui-même. (Hébreux 7:27)

Vulgate latine - Jérôme de Stridon
• 405   qui non habet cotidie necessitatem quemadmodum sacerdotes prius pro suis delictis hostias offerre deinde pro populi hoc enim fecit semel se offerendo (Hebreux 7:27)

Septante grecque - LXX
© 1935 - Alfred Rahlfs   ος ουκ εχει καθ ημεραν αναγκην ωσπερ οι αρχιερεις προτερον υπερ των ιδιων αμαρτιων θυσιας αναφερειν επειτα των του λαου τουτο γαρ εποιησεν εφαπαξ εαυτον ανενεγκας (Hébreux 7:27)

Version hébraïque
© 1968 - Biblia Hebraica Stuttgartensia   אשר איננו צריך יום יום ככהנים הגדולים ההם להקריב בראשונה על חטאתיו ואחרי כן על חטאת העם כי זאת עשה בפעם אחת בהקריבו את נפשו׃ (Hébreux 7:27)

D'avance merci pour vos commentaires.

Amicalement.

Le Presbyre. cherche

Le Presbytre

Le Presbytre

Bonjour à tous ! Very Happy

Une autre petite question, que veut dire ce verset très important à mon sens:

"qui n’est pas journellement dans la nécessité, comme les souverains sacrificateurs, d’offrir des sacrifices, d’abord pour ses propres péchés, ensuite pour ceux du peuple; car cela, il l’a fait une fois pour toutes, s’étant offert lui-même."
(Hébreux 7:27)

Bonjour à tous ! Very Happy

Serait-ce que l'on donne sa langue au chat? "car cela" veut dire les sacrifices qu'offraient les grands prêtre d’abord pour ses propres péchés, ensuite un autre sacrifice pour ceux du peuple c'est aussi  cela ce que celui qui a dit "Voici je viens" a offerts, donc un premier sacrifice pour ses propres péchés et puis un second pour le peuple. Un premier sacrifice où il a reçu tant de coups qu'il n'aurait pas pu survive par la suite puis suivi d'un second sacrifice hors de la ville où il est allé pour mourir sur une croix, selon l'image du serpent d'airain qui a été dressé dans le désert. C'est ce que dit la bible, il suffit de lire. Le comprendre c'est un énorme pas pour faire la volonté de Dieu qui veut que nous apprenons à discerner son fils qui est source de vie.

40 Car c’est ici la volonté de mon Père : que quiconque discerne* le Fils et croit en lui, ait la vie éternelle ; et moi, je le ressusciterai au dernier jour.Jean 6:

Amicalement.

Le Presbytre.  cherche

chico.

chico.

Quantité d’hommes ont été grands prêtres par le passé. Toutefois, Jésus exerce la fonction de Grand Prêtre d’une manière tout à fait unique. En quel sens ? Paul explique : “ Il n’a pas besoin chaque jour, comme les grands prêtres, d’offrir des sacrifices, d’abord pour ses propres péchés et ensuite pour ceux du peuple (car cela, il l’a fait une fois pour toutes quand il s’est offert lui-même) ; car la Loi établit grands prêtres des hommes ayant de la faiblesse, mais la parole du serment qui est intervenu après la Loi établit un Fils, lequel est rendu parfait pour toujours. ” — Héb. 7:27, 28.

Le Presbytre

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chico. a écrit:Quantité d’hommes ont été grands prêtres par le passé. Toutefois, Jésus exerce la fonction de Grand Prêtre d’une manière tout à fait unique. En quel sens ? Paul explique : “ Il n’a pas besoin chaque jour, comme les grands prêtres, d’offrir des sacrifices, d’abord pour ses propres péchés et ensuite pour ceux du peuple (car cela, il l’a fait une fois pour toutes quand il s’est offert lui-même) ; car la Loi établit grands prêtres des hommes ayant de la faiblesse, mais la parole du serment qui est intervenu après la Loi établit un Fils, lequel est rendu parfait pour toujours. ” — Héb. 7:27, 28.


Bonjour Chico ! Very Happy

"Laissez toujours la bible faire autorité!" un excellent principe mais d'après ce que l'on peut voir cela semble plus facile à dire qu'à mettre en pratique. Sans aucune méchanceté dans ma bouche, et que Dieu me damne si c'est le cas, c'est ce que disent toutes les religions chrétiennes ou presque et c'est le cas des Christadelphes, Évangéliques, Témoins de Jéhovah etc...

Dans ta traduction concernant ce verset, la fin me dérange un peu mais c'est un bien grand mot mais qui permet d'aller au fond des choses. Je reprends ton passage dans ma bible une J-N Darby souvent critiquée parce que trop proche de l'original ce qui la rendrait plus difficile à comprendre mais je t'assure ce n'est pas le cas.

26 Car un tel souverain sacrificateur nous convenait, saint, innocent, sans souillure, séparé des pécheurs, et élevé plus haut que les cieux,
27 qui n’est pas journellement dans la nécessité, comme les souverains sacrificateurs, d’offrir des sacrifices, d’abord pour ses propres péchés, ensuite pour ceux du peuple ; car cela, il l’a fait une fois pour toutes, s’étant offert lui-même.
28 Car la loi établit pour souverains sacrificateurs des hommes qui sont dans l’infirmité, mais la parole du serment, qui est après la loi, [établit] un Fils qui est consommé pour l’éternité.

v. 10* : consommer, ou rendre parfait, dans l’épître aux Hébreux, c’est faire tout ce qui est nécessaire pour rendre propre à remplir un office.


Nous avons ci-dessus la bonne explication du mot "consommé" mais le mot "parfait" convient très bien aussi. Bien-sûr le mot "office" est donné pour le sacrifice de Yèshoua et pour son aptitude à nous enseigner, à nous montrer le chemin de la vie car il est devenu ce chemin.

(...) car cela, il l’a fait une fois pour toutes.

La question que j'ai voulu poser est que signifie "car cela".  Dans le texte et selon la langue française bien parlée cela est mis pour ce qui précède dans le texte de manière très proche et donc ici cela remplace "(...) comme les souverains sacrificateurs, d’offrir des sacrifices, d’abord pour ses propres péchés, ensuite pour ceux du peuple" et "cela aussi" confirme que Christ aussi a fait la même démarche d'abord pour lui puis pour le peuple.

C'est ici qu'il est bien de se remémorer ce principe très juste: "Laissez toujours la bible faire autorité!" sans chercher à détourner ce principe que malheureusement pour eux certains chercheront à faire.

Bien évidemment cela soulève d'énormes questions qui doivent avoir une réponse et c'est le cas et elles nous montrent un Dieu plus grand que nous avons pu imaginer et un Christ bien plus près de nous qui mérite déjà d'être appelé "père éternel" comme l'a annoncé le prophète Ésaïe au chapitre 9:

6 Car un enfant nous est né, un fils nous a été donné, et le gouvernement sera sur son épaule ; et on appellera son nom : Merveilleux, Conseiller, Dieu fort, Père du siècle**, Prince de paix.
— v. 6** : ou : d’éternité

Amicalement.

Le Presbytre.  cherche

Josué

Josué
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Mais la bible fait autorité c'est toi qui avance des idées personnelles.
(Philippiens 3:15) 15 Ayons donc, tous ceux qui parmi nous sont mûrs, cette attitude mentale ; et si vous avez une opinion différente sur un point quelconque, Dieu vous révélera [l’attitude] dont il vient d’être question.
(1 Thessaloniciens 2:13) 13 Oui, voilà pourquoi, nous aussi, nous remercions Dieu constamment, parce que, quand vous avez reçu la parole de Dieu que vous entendiez de nous, vous l’avez acceptée, non comme la parole des hommes, mais, ainsi qu’elle l’est véritablement, comme la parole de Dieu, laquelle est aussi à l’œuvre en vous, les croyants [...]

Lechercheur



Le Presbytre a écrit:Bonjour à tous ! Very Happy

Une autre petite question, que veut dire ce verset très important à mon sens:

"qui n’est pas journellement dans la nécessité, comme les souverains sacrificateurs, d’offrir des sacrifices, d’abord pour ses propres péchés, ensuite pour ceux du peuple; car cela, il l’a fait une fois pour toutes, s’étant offert lui-même."(Hébreux 7:27)

Pour vous aider voici ce même verset dans une trentaine de traductions.


Nouvelle Bible Français Courant
© 2019 - Éditions Bibli'O   Il n'est pas comme les autres grands-prêtres : il n'a pas besoin d'offrir chaque jour des sacrifices, d'abord pour ses propres péchés, et ensuite pour ceux du peuple. Cela, il l'a fait une fois pour toutes, quand il s'est offert lui-même.  (Hébreux 7:27)

Traduction du Monde Nouveau
© 2018 - Watchtower Bible & tract society of Pennsylvania   À la différence des autres grands prêtres, il n’a pas besoin d’offrir des sacrifices chaque jour, d’abord pour ses propres péchés et ensuite pour ceux du peuple, parce qu’il l’a fait une fois pour toutes quand il s’est offert lui-même. (Hébreux 7:27)

Bible de la Liturgie
© 2013 - Association Épiscopale Liturgique pour les pays Francophones   Il n’a pas besoin, comme les autres grands prêtres, d’offrir chaque jour des sacrifices, d’abord pour ses péchés personnels, puis pour ceux du peuple ; cela, il l’a fait une fois pour toutes en s’offrant lui-même. (Hébreux 7:27)

Traduction Œcuménique de la Bible
© 2010 - Éditions du Cerf & Bibli'O   Il n’a pas besoin, comme les autres grands prêtres, d’offrir chaque jour des sacrifices, d’abord pour ses propres péchés, puis pour ceux du peuple. Cela, il l’a fait une fois pour toutes en s’offrant lui-même. (Hébreux 7:27)

Bible Segond 21
© 2007 - Société Biblique de Genève   Il n'a pas besoin comme les autres grands-prêtres d'offrir chaque jour des sacrifices, d'abord pour ses propres péchés, ensuite pour ceux du peuple, car il a accompli ce service une fois pour toutes en s'offrant lui-même en sacrifice. (Hébreux 7:27)

Bible des Peuples
© 2005 - Éditions du Jubilé   À la différence des grands prêtres, il n’a pas à offrir chaque jour des sacrifices, d’abord pour ses propres péchés et ensuite pour le peuple. Pour le peuple, il ne l’a fait qu’une fois, quand il s’est offert lui-même. (Hébreux 7:27)

Nouvelle Bible Segond
© 2002 - Société Biblique Française   il n'a pas besoin, comme les grands prêtres, d'offrir chaque jour des sacrifices, d'abord pour ses propres péchés, et ensuite pour ceux du peuple – cela, il l'a fait une fois pour toutes, en s'offrant lui-même. (Hébreux 7:27)

Bible Parole de vie
© 2000 - Société Biblique Française   Jésus n'est pas comme les autres grands-prêtres. Il n'a pas besoin d'offrir des sacrifices chaque jour, d'abord pour ses péchés à lui, ensuite pour ceux du peuple. Il a fait cela une fois pour toutes en s'offrant lui-même. (Hébreux 7:27)

Bible du Semeur
© 2000, Société Biblique Internationale   Les autres grands-prêtres sont obligés d’offrir chaque jour des sacrifices, d’abord pour leurs propres péchés, ensuite pour ceux du peuple. Lui n’en a pas besoin, car il a tout accompli une fois pour toutes, en s’offrant lui-même. (Hébreux 7:27)

Bible Pastorale de Maredsous
© 1997 - Éditions de Maredsous   qui n'ait pas besoin, comme les grands prêtres, d'offrir quotidiennement des sacrifices pour ses propres péchés d'abord et pour ceux du peuple ensuite: cela, il l'a fait une fois pour toutes en s'offrant lui-même. (Hébreux 7:27)

Traduction du Monde Nouveau
© 1995 - Watchtower Bible & tract society of Pennsylvania   Il n’a pas besoin chaque jour, comme les grands prêtres, d’offrir des sacrifices, d’abord pour ses propres péchés et ensuite pour ceux du peuple (car cela, il l’a fait une fois pour toutes quand il s’est offert lui-même) ; (Hébreux 7:27)

Bible en français courant
© 1982 - Société Biblique française   Il n'est pas comme les autres grands-prêtres: il n'a pas besoin d'offrir chaque jour des sacrifices, d'abord pour ses propres péchés et ensuite pour ceux du peuple. Il a offert un sacrifice une fois pour toutes, quand il s'est offert lui-même. (Hébreux 7:27)

Bible Chouraqui
© 1977 - Éditions Desclée de Brouwer   Celui-là n’a pas, comme les grands desservants, la nécessité quotidienne d’offrir des sacrifices, d’abord pour leurs propres fautes, ensuite pour celles du peuple: cela, il l’a fait une fois pour toutes en s’offrant lui-même. (Hébreux 7:27)

Traduction Œcuménique de la Bible
© 1976 - Les Éditions du Cerf   Il n'a pas besoin, comme les autres grands prêtres, d'offrir chaque jour des sacrifices, d'abord pour ses propres péchés, puis pour ceux du peuple. Cela, il l'a fait une fois pour toutes en s'offrant lui-même. (Hébreux 7:27)

Bible de Jérusalem
© 1973 - Les Éditions du Cerf   qui ne soit pas journellement dans la nécessité, comme les grands prêtres, d'offrir des victimes d'abord pour ses propres péchés, ensuite pour ceux du peuple, car ceci il l'a fait une fois pour toutes en s'offrant lui-même. (Hébreux 7:27)

Traduction Osty-Trinquet
© 1970-1973 - Éditions Rencontre   qui ne soit pas contraint chaque jour, comme les grands prêtres, d'offrir des sacrifices, d'abord pour ses propres péchés, ensuite pour ceux du peuple; car cela, il l'a fait une fois pour toutes en s'offrant lui-même. (Hébreux 7:27)

Traduction Pirot-Clamer
© 1953 - Éditions Letouzey & Ané   comme les grands prêtres, d'offrir des sacrifices pour ses propres péchés, avant d'en offrir pour les péchés du peuple, car ceci, il l'a fait une fois pour toutes en s'offrant lui-même. (Hébreux 7:27)

Traduction Abbé Crampon
© 1920-1923   qui n'a pas besoin, comme les grands prêtres, d'offrir chaque jour des sacrifices d'abord pour ses propres péchés, ensuite pour ceux du peuple, car ceci, il l'a fait une fois pour toutes en s'offrant lui-même. (Hébreux 7:27)

Version Synodale
© 1921 - Société Biblique de France   Il n'a pas besoin, comme les autres souverains sacrificateurs, d'offrir tous les jours des sacrifices, d'abord pour ses propres péchés, ensuite pour ceux du peuple: il a fait cela une fois pour toutes, en s'offrant lui-même. (Hébreux 7:27)

Traduction Louis Segond
• 1910   qui n'a pas besoin, comme les souverains sacrificateurs, d'offrir chaque jour des sacrifices, d'abord pour ses propres péchés, ensuite pour ceux du peuple, — car ceci, il l'a fait une fois pour toutes en s'offrant lui-même. (Hébreux 7:27)

Traduction Jean-Baptiste Glaire
• 1900 - Bible Vigouroux   qui n'a pas besoin, comme les prêtres, d'offrir tous les jours des victimes, d'abord pour ses propres péchés, ensuite pour ceux du peuple ; car cela, il l'a fait une fois pour toutes, en s'offrant lui-même. (Hébreux 7:27)

Bible Annotée de Neufchâtel
• 1899   qui n'a pas besoin tous les jours, comme les souverains sacrificateurs, d'offrir des sacrifices, d'abord pour ses propres péchés, ensuite pour ceux du peuple; car ceci, il l'a fait une fois pour toutes, en s'offrant lui-même. (Hébreux 7:27
)
Traduction Abbé Fillion
• 1895   qui n'a pas besoin, comme les prêtres, d'offrir tous les jours des victimes, d'abord pour ses propres péchés, ensuite pour ceux du peuple; car cela, Il l'a fait une fois pour toutes, en S'offrant Lui-même. (Hébreux 7:27)

Traduction Stapfer
• 1889   qui n'est pas tous les jours obligé comme les autres grands-prêtres d'offrir des sacrifices pour ses propres péchés d'abord, pour ceux du peuple ensuite — (cela il l'a fait une fois pour toutes en s'offrant lui-même), — (Hébreux 7:27)

Traduction John Nelson Darby
• 1885   qui n’est pas journellement dans la nécessité, comme les souverains sacrificateurs, d’offrir des sacrifices, d’abord pour ses propres péchés, ensuite pour ceux du peuple; car cela, il l’a fait une fois pour toutes, s’étant offert lui-même. (Hébreux 7:27)

Bible d'Ostervald
• 1881   Qui n'eût pas besoin, comme les souverains sacrificateurs, d'offrir tous les jours des sacrifices, premièrement pour ses propres péchés, puis pour ceux du peuple; car il a fait cela une fois, en s'offrant lui-même. (Hébreux 7:27)

Traduction Oltramare
• 1874   qui ne fût pas obligé, comme les souverains sacrificateurs, d'offrir chaque jour des victimes, d'abord pour ses propres péchés, puis pour ceux du peuple; car ceci, il l'a fait une fois pour toutes en s'offrant lui-même. (Hébreux 7:27)

Traduction Albert Rilliet
• 1858   il n'a pas journellement besoin, comme les grands prêtres, d'offrir des sacrifices, d'abord pour ses propres péchés, puis pour ceux du peuple; car ceci il l'a fait une fois pour toutes en s'offrant lui-même en sacrifice. (Hébreux 7:27)

Traduction Lemaistre de Sacy
• 1759   qui ne fût point obligé comme les autres pontifes à offrir tous les jours des victimes, premièrement pour ses propres péchés & ensuite pour ceux du peuple: ce qu’il a fait une fois en s’offrant lui-même. (Hébreux 7:27)

Traduction David Martin
• 1744   Qui n'eût pas besoin, comme les souverains Sacrificateurs, d'offrir tous les jours des sacrifices, premièrement pour ses péchés, et ensuite pour ceux du peuple, vu qu'il a fait cela une fois, s'étant offert lui-même. (Hébreux 7:27)

King James Version / Bible du Roi Jacques
• 1611/1994 - Nadine L. Stratford & Bible des Réformateurs   Qui n'a pas besoin, comme ces grands prêtres, d'offrir tous les jours des sacrifices, d'abord pour ses propres péchés, et puis pour ceux du peuple; car il a fait cela une fois pour toutes, lorsqu'il s'est offert lui-même. (Hébreux 7:27)

Vulgate latine - Jérôme de Stridon
• 405   qui non habet cotidie necessitatem quemadmodum sacerdotes prius pro suis delictis hostias offerre deinde pro populi hoc enim fecit semel se offerendo (Hebreux 7:27)

Septante grecque - LXX
© 1935 - Alfred Rahlfs   ος ουκ εχει καθ ημεραν αναγκην ωσπερ οι αρχιερεις προτερον υπερ των ιδιων αμαρτιων θυσιας αναφερειν επειτα των του λαου τουτο γαρ εποιησεν εφαπαξ εαυτον ανενεγκας (Hébreux 7:27)

Version hébraïque
© 1968 - Biblia Hebraica Stuttgartensia   אשר איננו צריך יום יום ככהנים הגדולים ההם להקריב בראשונה על חטאתיו ואחרי כן על חטאת העם כי זאת עשה בפעם אחת בהקריבו את נפשו׃ (Hébreux 7:27)

D'avance merci pour vos commentaires.

Amicalement.

Le Presbyre. cherche
Toutes ses versions parlent de Jésus comme étant le grand prêtre, ou se trouve le problème ?

Le Presbytre

Le Presbytre

Lechercheur nous dit:
Toutes ces versions parlent de Jésus comme étant le grand prêtre, ou se trouve le problème ?
Bonjour Lechercheur ! Very Happy

Comment n'as-tu pas lu :
Traduction John Nelson Darby

(...) qui n’est pas journellement dans la nécessité, comme les souverains sacrificateurs, d’offrir des sacrifices, d’abord pour ses propres péchés, ensuite pour ceux du peuple; car cela, il l’a fait une fois pour toutes, s’étant offert lui-même.
(Hébreux 7:27)

Ce verset nous montre clairement que le sacrifice de Yèshoua était d'abord pour son propre péché puis après pour celui du monde. Comme tant d'autres versets celui-ci nous montre ici, on ne peut plus clair, que Yèshoua a connu le péché. C'est ce que dit la bible à condition que ce livre soit notre autorité suprême dans les faits car il ne suffit pas de le dire mais de le faire. Peut-on discuter avec vous-autres uniquement sur ce point, non pas pour que chacun déballe son opinion mais pour affirmer si c'est bien ce qui est écrit ou pas et le démontrer.

Ce n'est pas le moment de mentir, le temps presse!

Amicalement.

Le Presbytre. cherche

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