Le jour s'effritte comme une falaise de grès
Je voix mes mains qui jour après jour
Se frippent comme asséchée
Une chose grandi cependant Ton Amour.
Ais je douté de Toi Parfois ?
Non je ne mentirais Pas !
Tu sais mon c\oe{}ur mieux que moi
J'ai douté de Toi, parfois.
Mais toujours tu as su trouver les mots
Pour venir à bout de mes maux
Tu m'as cajolée
Tu m'as choyée
Je sais que mes rides pour toi
Ne sont rien.
Je sais que ma vie pour toi
est ton précieux bien!
Tu veilleras sur moi
Quand dans la mort
Alors mon corps
S'endormira
Et avec moi tu sera encore
Alyette H Hoderlin
Je voix mes mains qui jour après jour
Se frippent comme asséchée
Une chose grandi cependant Ton Amour.
Ais je douté de Toi Parfois ?
Non je ne mentirais Pas !
Tu sais mon c\oe{}ur mieux que moi
J'ai douté de Toi, parfois.
Mais toujours tu as su trouver les mots
Pour venir à bout de mes maux
Tu m'as cajolée
Tu m'as choyée
Je sais que mes rides pour toi
Ne sont rien.
Je sais que ma vie pour toi
est ton précieux bien!
Tu veilleras sur moi
Quand dans la mort
Alors mon corps
S'endormira
Et avec moi tu sera encore
Alyette H Hoderlin