Des djihadistes devaient faire un attentats sanglant le 17/11 contre les "gilets jaunes"
Rebelote !
Quatre candidats présumés au djihad, mis en examen en fin de semaine dernière pour association de malfaiteurs terroriste criminelle et placés en détention, auraient envisagé de passer à l'action samedi, premier jour des manifestations de "gilets jaunes", ont déclaré lundi des sources proches de l'enquête.
L'un d'eux a dit dans un SMS adressé à sa fiancée "ça va saigner le 17", ont précisé ces sources, confirmant des informations du Parisien.
Trois de ces hommes avaient été interpellés mardi à Saint-Etienne par la sous-direction antiterroriste (Sdat) de la police judiciaire et deux autres, déjà incarcérés, également placés en garde à vue dans le cadre d'une enquête préliminaire ouverte le 31 août par le parquet de Paris.
"Cette enquête vise des velléités de départ et l'évocation précise d'un projet de passage à l'acte violent", avait-on alors expliqué de source judiciaire.
L'un des deux hommes extraits de prison pour être placé en garde à vue n'a pas été mis en examen, contrairement aux quatre autres, pour lesquels le parquet de Paris à ouvert samedi une information judiciaire.
Source
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Quatre candidats présumés au djihad, mis en examen en fin de semaine dernière pour association de malfaiteurs terroriste criminelle et placés en détention, auraient envisagé de passer à l'action samedi, premier jour des manifestations de "gilets jaunes", ont déclaré lundi des sources proches de l'enquête.
L'un d'eux a dit dans un SMS adressé à sa fiancée "ça va saigner le 17", ont précisé ces sources, confirmant des informations du Parisien.
Trois de ces hommes avaient été interpellés mardi à Saint-Etienne par la sous-direction antiterroriste (Sdat) de la police judiciaire et deux autres, déjà incarcérés, également placés en garde à vue dans le cadre d'une enquête préliminaire ouverte le 31 août par le parquet de Paris.
"Cette enquête vise des velléités de départ et l'évocation précise d'un projet de passage à l'acte violent", avait-on alors expliqué de source judiciaire.
L'un des deux hommes extraits de prison pour être placé en garde à vue n'a pas été mis en examen, contrairement aux quatre autres, pour lesquels le parquet de Paris à ouvert samedi une information judiciaire.
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