Jeudi 18 octobre
Continuez à vous exhorter mutuellement chaque jour (Héb. 3:13).
Certains parents ne félicitent pas leurs enfants parce qu’ils n’ont jamais reçu d’encouragements de leurs propres parents. Et beaucoup d’employés en manque de félicitations déplorent une pénurie chronique d’encouragements sur le lieu de travail. Encourager, c’est notamment féliciter quelqu’un pour une chose qu’il a bien faite. C’est aussi rassurer les autres sur leurs qualités et parler « de façon consolante aux âmes déprimées » (1 Thess. 5:14). Le mot grec traduit en général par « encouragement » signifie littéralement « appel à venir près de soi ». Puisque nous servons aux côtés de nos frères et sœurs, nous avons sans nul doute des occasions de leur adresser une parole encourageante (Eccl. 4:9, 10). Sommes-nous prompts à dire aux autres pourquoi nous les aimons et les apprécions ? Avant de répondre à cette question, il est bien de réfléchir au proverbe suivant : « Une parole en son temps, oh ! combien elle est bonne ! » (Prov. 15:23). w16.11 1:3-5.