[size=34]Chine : le nord du pays sera inhabitable dans 50 ans[/size]
[size=14]ParClyde
Publié le mardi 7 août 2018[/size]
Le réchauffement climatique pourrait provoquer des vagues de chaleurs mortelles dans le nord de la Chine d’ici 2070.
[list="margin: 10px 0px; padding-right: 0px; padding-left: 0px; border: 0px; vertical-align: baseline; list-style-position: outside; list-style-image: initial;"]
[*]Environnement inscrit à l’article 1er de la Constitution: feu vert de l’Assemblée
[*]Le pic de pollution à l’ozone se poursuit en Ile-de-France, d’autres régions touchées
[*]Dès mercredi, l’humanité aura épuisé les ressources de la planète pour 2018
[/list]
[size=14]ParClyde
Publié le mardi 7 août 2018[/size]
Le réchauffement climatique pourrait provoquer des vagues de chaleurs mortelles dans le nord de la Chine d’ici 2070.
A LIRE AUSSI :
[list="margin: 10px 0px; padding-right: 0px; padding-left: 0px; border: 0px; vertical-align: baseline; list-style-position: outside; list-style-image: initial;"]
[*]Environnement inscrit à l’article 1er de la Constitution: feu vert de l’Assemblée
[*]Le pic de pollution à l’ozone se poursuit en Ile-de-France, d’autres régions touchées
[*]Dès mercredi, l’humanité aura épuisé les ressources de la planète pour 2018
[/list]
L’anticipation alarmante du devenir de la Chine provient d’une étude scientifique. Ainsi, deux chercheurs du Massachusetts Institute of Technology (M.I.T) livrent leurs conclusions, effectuées en trois temps.
CE QUE DIT L’ÉTUDE SUR LA CHINE, MAIS PAS QUE…
Elfatih Eltahir, du M.I.T et Suchul Kang, de la section singapourienne de l’enseigne, sont les référents de ces recherches. Les données à disposition de la presse aujourd’hui ne décrivent que la troisième portion de leurs publications. Les deux premières furent centrées sur la zone du Golfe persique ainsi que celle de l’Asie du sud.
Ils y ont fait des projections qui confirment une augmentation progressive des vagues de chaleur dans ces régions. De fait, aux côtés de la Chine, le Bangladesh et les pays du Golfeaffichent eux aussi un risque réel, mais moindre. En effet, selon les auteurs, la plaine du nord de la Chine concentre le risque maximum pour la vie humaine, en raison de températures trop élevées.
Et ce, plus que tout autre surface actuellement habitable de la planète.
Et ce, plus que tout autre surface actuellement habitable de la planète.
Cet endroit deviendra juste le point le plus chaud en terme de vagues de chaleurs mortelles dans le futur. Particulièrement dans un contexte de réchauffement climatique.
Annonce, d’emblée, le professeur Elfatih Eltahir.
LE CORPS HUMAIN SERA INCAPABLE DE RÉGULER SA TEMPÉRATURE
Le professeur Eltahir explique que la clé pour déterminer ces capacités de survie est une combinaison de facteurs prenant en compte la chaleur et l’humidité ambiantes. Dans les très hautes températures, il s’agit par conséquent, d’observer comment le corps, en milieu ouvert, évacue la chaleur.
Ainsi, pour une certaine durée, il le fait via la sueur : c’est le cas des fermiers qui travaillent en plein été, par exemple. Toutefois, au nord de la Chine, dans cette zone où se situe Pekin, la fournaise sera telle que les capacités d’autorégulation ne suffiront pas. Les plus en forme des 400 millions d’individus de cette aire, une fois exposés, mourront en à peine 6h.
Les pays du Golfe auront par endroits des températures supérieures à celles de Chine. Cependant, celles-ci ne toucheront que les parties maritimes, et non les zones habitables. Enfin, le Bangladesh est lui plutôt menacé de disparaître sous l’eau. La capitale, Dacca, forte de 11 millions d’habitants actuellement, sera surement engloutie d’ici 2070.
Des projections qui, une nouvelle fois, montrent la nécessité d’agir concrètement pour stopper le réchauffement climatique.